Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 486 487 488 489 490 491 492 493 494 495 496 497 ...>...>>... 1133
Comment poster un commentaire ?


COCK ROBIN
COCK ROBIN


Le 04 Août 2019 par CLANSMAN57

Oui, je dirais même que le terme Pop est souvent utilisé à titre d'insulte par les mélomanes arrogants qui écoutent des trucs complexes/techniques et je constate aussi que ça se fait pas mal en France.
Peut-être que c'est culturel oui... En tout cas, il suffit que je passe la frontière pour remarquer que c'est bien plus serein et sain de parler musique en Allemagne, ils sont beaucoup moins snob à ce niveau-là.
Beaucoup pensent que la musique complexe/technique, c'est mieux et que la Pop, c'est pour les gens un peu limites...
C'est fort dommage de penser ainsi, mais tant pis pour eux!
La musique de Cock Robin est tout de même assez travaillée et sonne encore très bien aujourd'hui, à mon sens.





David BOWIE
HUNKY DORY


Le 04 Août 2019 par CLANSMAN57

Rires! Nan mais sérieux hein, à chaque fois que je vois la belle Sylvie Tellier, je pense à Bowie, bel homme lui aussi.
M'enfin, je pense aussi à Richard Dean Anderson (Mac Gyver) lorsque je vois Glenn Tipton, lol!
Il y en a quelques uns comme ça, c'est marrant.





Hiroshi KAWAGUCHI
OUT RUN


Le 04 Août 2019 par DINICED


En 86, j’avais 8 ans et je n’ai plus jamais joué à Outrun depuis, mais je me souviens de la musique et la siffle encore de temps en temps. J’avais même oublié que cette mélodie entêtante venait de ce jeu. Quelle bouffée de nostalgie !





David BOWIE
HUNKY DORY


Le 04 Août 2019 par RICHARD

D'ailleurs, selon les exégètes du Londonien, il se serait inspiré de Mme de Fontenay pour le titre de son album de 1980 :)





COCK ROBIN
COCK ROBIN


Le 04 Août 2019 par RICHARD

Bien d'accord avec vos commentaires CLANSMAN57 et MELK.
Concernant les Californiens, je crois qu'ils souffrent de deux faits terriblement handicapants pour beaucoup de personnes dans notre hexagone.
Leurs productions datent des années 80 et ils font de la Pop Variété. J'ai vraiment l'impression qu'il y a toujours une gêne à dire que l'on apprécie la Pop dite "calibrée" . Je ne sais pas si c'est culturel, mais il me semble qu'étant moins inondé de Pop qu'en Angleterre ou aux Etats-Unis, il est toujours plus difficile de dire du bien de ce style par chez nous. Je n'ai jamais compris pourquoi il y aurait un côté antinomique à apprécier aussi bien ce groupe que les Smiths ou Bowie (pour moi). Bien sûr, l'impact artistique, les territoires explorés ne sont pas les mêmes (je n'ai les places pas sur la même échelle), mais les émotions sont identiques.
Cock Robin, c'est bien réalisé, carré, et à l'image de "The Promise You Made", il y a toujours pour moi une indicible mélancolie.





COCK ROBIN
COCK ROBIN


Le 04 Août 2019 par MELK


Je profite du commentaire de CLANSMAN 57 pour livrer mon avis sur ce disque.

Nul n'est prophète en son pays comme disait l'autre, COCK ROBIN vient de chez l'Oncle Sam mais c'est en France que le groupe a connu le plus de succès. Ils y reviennent souvent en live.

Peter Kingsberry a le chic pour composer des chansons riches en émotions. Le duo qu'il formait avec Anna LaCazio était très complémentaire, je trouve. Des tubes comme "When Your Heart Is Weak", "The Promise You Made" ou "Just Around The Corner" (au clip magnifique) me font toujours autant frissonner.

Je ne connais que ce premier album : de la pop 80's accrocheuse malgré un creux au milieu (pistes 5 à 7). Sinon le reste est qualitatif. Mention spéciale à "More Than Willing", que j'adore grâce à sa rythmique funky qui déchire et une prestation vocale enjouée.

Et puis je le confesse, Anna LaCazio est l'une des plus belles chanteuses sur Terre.





RADIOHEAD
THE BENDS


Le 04 Août 2019 par FRANçOIS


Il en va de Radiohead comme de Björk, Amy Winehouse, Jimmy Sommerville, Iron Maiden, Broadcast, Stereolab, Janis Joplin, la soul de façon générale ou les braillardes québécoises : des instrus souvent très bonnes gâchées par la voix, qu'elle soit trop nasillarde / enfantine / hurleuse / "deux de tension" ou qu'elle verse trop dans les aigus ou dans l'emphase...





David BOWIE
HUNKY DORY


Le 04 Août 2019 par CLANSMAN57

C'est fou ce que Sylvie Tellier ressemble à David Bowie.
Commentaire qui ne sert à rien, mais j'avais envie de l'écrire.





The CURE
SEVENTEEN SECONDS


Le 03 Août 2019 par BAKER


Je ne m'y connais pas très bien en cold wave, et donc à l'époque de mon achat (1994) encore moins, mais bon dieu qu'est-ce que j'ai pu l'écouter celui-là !!!! Je l'ai adulé avec un 33 tours acheté 1 euro et largement usé depuis. Comment un groupe aussi jeune a pu créer une atmosphère aussi particulière ?





The COMSAT ANGELS
7 DAY WEEKEND


Le 03 Août 2019 par LEO


D'entrée de jeu c'est clair, je n'aime pas ce cinquième album des COMSAT ANGELS.
Si j'arrivais encore à sauver quelques compos sur l'album précédent, ici hormis l'enlevé et très concluant "You Move Me" paru en single à l'été '84, j'ai bien du mal à trouver un autre titre à ma convenance. en me forçant, je dirais peut-être le plus facile "Believe It" mais c'est bien tout.
Ces morceaux sont tous stéréotypés, autant pour leurs musiques sans âme ni imagination que dans leur enrobage standardisé mid-80's.
En rendant sa musique plus accessible à un large public, les COMSAT ANGELS se sont perdu en chemin et y ont laissé une grande part de leur identité (on ne reconnaît plus le groupe). tout ça pour gagner quelques nouveaux fans mais aussi perdre une bonne partie de sa fan-base qui s'est désintéressé du groupe suite à cette nouvelle orientation musicale !
Cruelle ironie du sort, Jive Records a lâché les COMSAT ANGELS à la sortie de l'album suite à quelques différents avec Stephen Fellows !
SEIJITSU note que les COMSAT ANGELS sont devenus un groupe pop et que certains amateurs de la formation ont eu du mal à l'accepter. perso ceci ne m'a jamais posé aucun problème. l'ennui réel c'est que cela soit de la pop aussi médiocre, pas autre chose !
Franchement, si j'ai envie d'entendre de la pop de qualité, je vais plutôt écouter un album de Crowded House, XTC ou Madness que cet insipide 7 Day Weekend. et franchement, à choisir entre ce dernier et l'inspiré Heads And Hearts de The Sound, mon choix est vite fait !!!
Ma note sera de 1,5/5 (pour "You Move Me" et à la rigueur "Believe It").





COCK ROBIN
COCK ROBIN


Le 03 Août 2019 par CLANSMAN57


C'est cool Internet pour découvrir de la musique et bien d'autres choses.
On commence avec la lecture des chroniques - guides et celle des commentaires, puis direction Youtube, pour finir sur les sites marchands si on adhère, sites sur lesquels on peut également consulter tout un tas d'autres avis, si besoin est.
Oh, on pourra très bien être déçu, même si on aura pu lire de nombreux retours positifs...
Je repense aux quelques centaines de disques que j'ai fichu à la poubelle, notamment en Metal.
Une collection réduite de moitié et j'ai même pas mal.
Certains sont biens réalisés, mais on se pose la question à un moment donné: "Est-ce que j'en ai vraiment besoin?" ou encore "Est-ce que ça me touche, me transmet quelque chose?"
Un tri s'est en tout cas avéré indispensable pour moi, s'étendant sur plusieurs années.
On est curieux, on tente l'aventure avec divers univers musicaux, mais on prend également conscience qu'on ne peut pas tout aimer, même si on peut reconnaître certaines qualités dans ce qui ne nous convient pas.
C'est chaud... Dans une vie de mélomane, tu te construis une collection de disques, tu grandis humainement et tu déconstruis... Ton corps change et non, ce n'est pas sale, tu reconstruis partiellement avec d'autres matériaux.
Jusqu'à ce que tu puisses te regarder comme dans un miroir et te dire "ça y est, c'est moi ça!".
Elle sera composée de plusieurs époques et registres différents, mais avec du liant, une logique par rapport à ce que tu es.
Oui, la musique est un excellent moyen de partir à la découverte de soi-même.
On en apprend tous les jours sur soi, encore faut-il le vouloir.

Puis il y a la méthode aujourd'hui considérée comme archaïque, celle de se rendre dans un magasin, de ne rien attendre, sans se laisser influencer par l'enthousiasme de untel et untel (ceci n'est pas une critique).
Une méthode qui te retombe dessus sans crier gare.
Partir pour se procurer les besoins quotidiens de la vie et tomber sur un rayon de disques, se disant "Ah ça existe encore ça?" et de se revoir bien des années avant l'ère Internet.
Cette ère durant laquelle on se laissait parfois surprendre, le hasard ou presque faisait son job.
Connaître si peu d'un artiste et se dire, "Tiens, je connais une chanson d'eux, j'aime bien, je prends!" ou "J'ai déjà lu une entrevue de ceux-là, ça m'a intéressé, pourquoi pas!"
Prendre le risque d'être déçu, car cette seule chanson pourrait être l'unique perle perdue dans un ensemble médiocre.
Même principe avec les catalogues qui en dévoilaient si peu.

Avec Cock Robin, c'est "The Promise You Made", la seule chanson que je connaissais, comme beaucoup de personnes, j'imagine.
J'ai jeté mon dévolu sur un "Best Of" qui date de 1998, format en général bannie par le mélomane, car c'est mieux de se choper toute la disco, selon certains dires.
Pour ensuite fiche la moitié à la poubelle, mais passons, c'est encore ici un avis strictement personnel qui n'engage que moi, il est parfois bon de le préciser.
A un moment donné, tu sais ce que tu veux et ce qui te procure du plaisir dans la vie en général.
Dans cette compilation de Cock Robin, j'y retrouve tout ce que j'aime.
Les 17 chansons sont belles, mélodiques, accrocheuses, bien construites avec juste ce qu'il faut de sophistication en plus d'un aspect éthéré et lumineux.
Le partage vocal fonctionne à merveille, bien que ma préférence aille vers Peter Kingsbery.
L'artiste est également un très bon bassiste, audible et il apporte un plus aux compositions.
Avant de débuter l'écoute, je me suis dit "Il y aura forcément encore une ou deux autres chansons que tu connais", mais non...
Et c'est un peu dommage à mon sens, car il y a largement de quoi diffuser autre chose que "The Promise You Made", qui demeure cependant excellente.
D'où cette petite frayeur avant l'achat: "Et si c'était le groupe d'un seul tube?"

Bref, je suis totalement hors sujet, c'est pas la première fois et je m'en excuse.
Je me permets cependant de laisser cet avis sur ce premier album.
Ma note est bien entendue celle du "Best Of".

Ah, cette bonne vieille méthode...





The COMSAT ANGELS
LAND


Le 02 Août 2019 par LEO


Faute de succès commercial en cette année 83, Polydor rendra leur contrat aux COMSAT ANGELS qui se tourneront alors vers le label Americain Jive Records sur lequel ils feront paraître leur quatrième album Land, lequel est radicalement différent de ce qui a précédé.
On sent que Stephen Fellows s'est mis la pression pour composer des choses bien plus accessibles et dans l'air du temps, au détriment de l'originalité ! (mais il n'avait malheureusement pas d'autre choix pour signer de nouveau avec une maison de disques).
Comme l'a fait remarquer SEIJITSU, "Will You Stay Tonight?" aurait pu trouver sa place sur un 33t des Simple Minds (genre Sparkle In The Rain ou Once Upon A Time par exemple), tant le style et le son s'en rapproche. ce titre paru en single eut son p'tit succès mais n'a pas fait de gros carton comme les Simple Minds ont pu le faire avec "Waterfront" & Co.
Le morceau n'a vraiment rien d'audacieux mais il est de qualité (en faisant fi des quelques synthés disgrâcieux) et sait être accrocheur sans être trop racoleur pour autant, c'est déjà ça !
"Alicia (Can You Hear Me?)" est effectivement dans le même registre et s'écoute sans déplaisir, à défaut d'être captivant comme les anciens titres du groupe. l'univers musical des COMSAT ANGELS est quand même devenu subitement bien conventionnel et balisé en l'espace d'un 33t et d'une signature avec un nouveau label !
"A World Away" est vraiment insipide et commun.
Le remake de "Independence Day" est certes plus pro et punchy mais il n'apporte pas grand chose face au morceau d'origine, d'autant que cette seconde version qui sortie aussi en single comme son aînée, n'a pas réussi à cartonner dans les charts ! c'est donc un coup pour rien. cela dit, cette cover est agréable à l'oreille et elle est loin d'être déshonorante.
Le joli "Nature Trails" est assez proche de ce que la formation faisait sur Fiction (en dépit des sonorités mid-80's très prononcées qui plombent un peu la compo).
Par contre je ne suis pas du tout emballé par le synthétique "Mister Memory", qui fait dans le hors sujet en sonnant presque comme The Human League de la même époque !
L'entraînant "Island Heart" qui paru en single est en revanche très réussi. comme quoi ce n'est pas forcément l'orientation 'grand public' qui me dérange chez THE COMSAT ANGELS mais bien la manière de le faire !
"I Know That Feeling" est plutôt mou du genou, passe-partout et pas très passionnant.
Le 33t d'origine se referme sur "As Above, So Below", qui est un peu comme un compromis entre les aspirations premières du groupe et ses contraintes commerciales. cela ne donne pas un grand morceau mais juste un titre sympathique qui se laisse écouter à l'occasion.
Voilà, sur neuf morceaux je n'en retiens finalement pas grand chose, si ce n'est les trois titres extraits en singles plus "Nature Trails" et "As Above, So Below" à la rigueur. cela fait 5 titres au final.
La réédition CD parue en 2001 ajoute deux dub sans intérêt ainsi que trois faces B de singles ("Shining Hour", "Scissors And The Stone" et "Intelligence") qui n'apportent pas grand chose et ne relèvent pas vraiment le niveau général, vraiment très moyen de mon point de vue.
Ma note réelle serait de 2,5/5 que je vais arrondir à 3 en étant généreux, et aussi parce que l'album suivant sera encore moins inspiré que celui-ci !






IRON MAIDEN
PIECE OF MIND


Le 02 Août 2019 par FRANçOIS


Eh, il est bon ce Maiden. J'aurais même tendance à le préférer à celui qui le précède et celui qui le suit, plus généralement mis en avant dans leur disco. Mention spéciale pour "Flight Of Icarus" et "Where Eagles Dare".





Johnny HALLYDAY
RESTER VIVANT


Le 01 Août 2019 par JEAN MARC CASTANELLE


Ah oui l' album "Rester vivant" il est pas mal sortie en 2014 vendu à 500 000 galettes bien pour une crise du disque .





FREDERICKS / GOLDMAN / JONES
ROUGE


Le 01 Août 2019 par NONO


Un peu d'accord avec toi. Cette période "trio" n'était pas la meilleure de JJG honnêtement. Un peu en panne d'inspiration à ce moment-là.
JJG, j'aime bien, mais ça dépend des périodes, on dirait que sur quelques années il a une inspiration du tonnerre, et puis sur quelques années après ça s'en va, pour revenir après.
Personnellement, chronologiquement voici ce que j'en pense :
- Les 2 premiers albums : pas mal mais pas génial non plus.
- "Non homologué" / période "Restos du Coeur", puis "Entre gris clair..." : sa meilleure période, le point culminant de sa carrière,
- Période Fredericks/Goldman/Jones : Assez sympa, sans plus.
- Retour en force au milieu des années 90 : "En passant" / "Chansons pour les pieds" : sa deuxième meilleure période.





The COMSAT ANGELS
FICTION


Le 01 Août 2019 par LEO


Fiction est pour moi le moment ultime où les COMSAT ANGELS sont à leur zénith, là où l'on peut entendre toutes les facettes de sa musique, rayonnante, trouble, légère ou mélancolique.
"After The Rain" démarre le 33t de manière lumineuse et sereine, tout le contraire du sombre et angoissé (mais captivant) Sleep No More de l'année passée.
Les guitares aux sonorités cristallines, la basse économe mais ample et l'ambiance dépouillée qui s'en dégage (ainsi que le bruit de l'orage en arrière plan sur la fin) m'évoque le groupe The Opposition sur leur album Breaking The Silence (mais Mark Long aurait pris une voix écorchée à l'inverse du chant apaisé de Stephen Fellows !). ce morceau est réellement magique.
Pour contrebalancer, "Zinger" est plus énergique avec sa rythmique appuyée et sa basse bien en avant. le morceau est plus dans la lignée habituelle du groupe mais la tonalité générale n'est plus austère et oppressée comme par le passé.
L'émouvant "Now I Know" est lui introspectif et désenchanté, alors que le tout aussi touchant "Not A Word" est un peu une synthèse musicale des deux titres précédents, avec une batterie un peu martelée mais un chant posé et mélodique, un clavier discret et de belles lignes de guitares aux parties contrastées (tour à tour, limpides ou grinçantes).
La formation va s'attaquer une seconde fois au morceau "Ju Ju Money", que le groupe avait enregistré durant les séances de leur premier album mais laissé de côté à l'époque (on retrouvera cette première version parmi les bonus des diverses rééditions de Waiting For A Miracle en CD). et ce coup-ci est la bonne car contrairement à sa première tentative qui à mes oreilles n'était pas concluante, le groupe a cette fois resserré les boulons en raccourcissant le titre d'une minute et arrangé sa forme (chant plus expressif, parties de guitare et de claviers plus chatoyantes et un son avec bien plus de relief).
La particularité de la majorité des titres de Fiction est d'avoir un arrangement très épuré dans lequel on arrive à distinguer très clairement chaque instrument. ainsi, les harmonieux et contemplatifs "More" et "Pictures" en sont un peu l'archétype.
Le plus percutant et accrocheur "Birdman" aurait pu paraître en single tant il en avait le potentiel et il est même étrange que le label n'y ait pas pensé. c'est dire à quel point Polydor se souciait des COMSAT ANGELS !!!
Par contraste, "Don't Look Now" est plus froid et détaché. cette compo envoûtante m'a toujours fortement évoqué Echo & The Bunnymen, autant pour la musique aux sonorités néo-psychédéliques et le jeu des musiciens qui ont (paraît-il) improvisé ce titre en studio, que pour le chant tourmenté à la manière de Ian McCulloch. franchement, ce titre n'aurait pas dépareillé sur l'un des trois premiers albums de la formation.
L'album se referme sur le poignant "What Else!?" qui contient de belles nappes synthétiques inversées et des accords de piano électrique avec un son qui me rappelle beaucoup celui de Mick MacNeil des Simple Minds. inutile de préciser que le chant de Stephen Fellows est toujours aussi habité !
Les rééditions de 2006 et 2015 proposent plusieurs morceaux, dont le single hors album paru fin '81 "(Do The) Empty House" et sa face B "Red Planet Revisited" (qui est un remake de la face A de leur premier EP). si le punchy "(Do The) Empty House" est très convaincant et fait stylistiquement la jonction entre Sleep No More et Fiction, le remake est en revanche toujours aussi peu palpitant que le morceau originel.
Egalement au programme de ces rééditions, trois morceaux fort intéressants enregistrés durant les sessions de Fiction mais pas intégrés à l'album à l'époque. deux d'entre eux finiront en single: "It's History" (en face A d'un 45t paru en Mai '82) et "Private Party" (en face B de "After The Rain" en Septembre '82). "For Your Information" était resté inédit jusque là.
Il existe une autre compo bien sympa de cette période intitulée "You Never Learn" mais elle restera sous forme de démo et ne sera pas ajoutée aux rééditions de Fiction. on peut cependant la trouver sur la double compilation d'inédits sortie en 2007 sous le nom To Before.
Ce troisième album des COMSAT ANGELS avait tout pour plaire et logiquement il aurait dû se tailler un petit succès (ne serait-ce que d'estime) en cet été '82, malheureusement il est complètement passé inaperçu autant auprès des critiques que du public un tant soit peu averti ! un mois plus tard paraissait New Gold Dream (81–82–83–84) des Simple Minds, et celui-ci fera par contre un vrai carton ! (mérité cela dit, mais un peu injuste pour la bande à Stephen Fellows qui n'a jamais vraiment eu de chance).
Pour qui s'intéresse de près ou de loin au post-punk et à la new wave, Fiction est un album essentiel de ce courant musical. une (re)découverte s'impose !





INDOCHINE
13


Le 01 Août 2019 par RICHARD


Ma petite entreprise ne connaît pas la crise.
Elle reprend la trame de Memoria pour le pourtant émouvant La Vie est belle. Elle calque la rythmique de Marilyn sur Tomboy 1. Elle recycle à jamais ses glorieuses recettes. Elle invite nombre de personnes qui n'ajoutent rien de plus (Argento, Murat). Elle décide de proposer des textes s'inspirant d'un collégien entrant en sixième. Elle aime la longueur et fait de l'ennui sa marque de fabrique déposée.
Ma petite entreprise ne connaît pas la crise et propose le pire album d'Indo depuis la création du groupe.
Et Nico, ça va ?





Bob MARLEY & THE WAILERS
SURVIVAL


Le 01 Août 2019 par SAPERLIPOPETTE!!!


Quand j'étais à l'armée, pendant mes classes, il y avait un mec dans ma piaule qui écoutait continuellement du reggae. J'étais le seul hardos de la chambrée et j'avais vraiment du mal avec ALPHA BLONDY & co. Vraiment pas mon truc.

Bien des années plus tard, m'a pris une envie sincère de découvrir cette musique. Et qui mieux que Bob MARLEY peut vous faire entrer dans l'univers rasta ?

Ce mec est une légende. Un talent hors normes, doté d'un charisme qui fait qu'on ne voit que lui sur scène, d'une honnêteté inébranlable et d'un désir sincère de justice. Un des plus grand artiste du 20ème siècle toute musique confondue.

Un grand homme... et un grand album bien sûr.





Michael JACKSON
OFF THE WALL


Le 01 Août 2019 par CLANSMAN57


"Off The Wall" est le plus souvent hyper dansant.
Quelle énergie! A te désarticuler un zombie à vie.

Le refrain du morceau-titre est une véritable perle inoubliable.
Je trouve la première moitié de l'album plus funky que la seconde qui lorgne davantage vers la Pop.
"I Can't Help It" possède une ambiance rêveuse, le piano électrique y est pour beaucoup, ainsi que sa ligne de basse, superbe.
Elle est créditée Stevie Wonder et Susaye Greene.
Reprise ou chanson composée pour Michael?
Même interrogation pour "She's Out Of My Life" et "It's The Falling In Love", toutes deux signées par des compositeurs extérieurs qui ne jouent pas sur ces chansons.

J'aime un peu moins la dernière citée.
Sans être mauvaise, je lui trouve un petit côté niais, malgré sa basse funky.
"Burn The Disco Out" me convient un peu moins également.
Elles s'écoutent, mais ça me fait une fin qui sonne "sans plus".

Ce disque a 40 ans et il ne sonne pas trop daté.
Il est vrai qu'il annonce déjà les 80's par certains aspects, mais ça reste discret à mon sens.
"Thriller", qui mérite amplement son succès colossal (et c'est pas exagéré d'utiliser ce terme), est bien ancré dans son époque, surtout en ce qui concerne les morceaux joués par les membres de Toto.
Les autres passent mieux la rude épreuve du temps.

J'allais oublier... Louis Johnson est un excellent bassiste !





FREDERICKS / GOLDMAN / JONES
ROUGE


Le 31 Juillet 2019 par JJ.LIONELLE


Certaine musiques collent pas du tout au textes ... Je suis déçu de Jean jacques a cette période là ...







Commentaires :  1 ...<<...<... 486 487 488 489 490 491 492 493 494 495 496 497 ...>...>>... 1133






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod