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MEAT LOAF
BLIND BEFORE I STOP


Le 10 Novembre 2019 par YNGWIE-COOPER


J'adore cet album, un de mes Meat Loaf préféré, bien meilleur que Dead Ringer.





GRAND FUNK RAILROAD
LIVE ALBUM


Le 09 Novembre 2019 par JENLAIN


J'aimerais avoir assez de talent pour écrire une kro-express pour réhabiliter ce disque en particulier et la première phase de ce groupe en général.Je me souvient de ce môme, un jour d'été des 70's, trouvant cet album live (version original, import US et dans un état lamentable de rayures et gondolage) dans un bac de soldeur sur un marché de Bretagne. Je connaissais le groupe de par mes lectures de Rock'n'Folk et connaissais sa réputation peu flatteuse mais il en était de même pour le MC5 et les Stooges que j'appréciais fortement. Alors, vu le prix dérisoire demandé, je l'ai acheté. Et c'est devenu un de mes disques de chevet!
Mais il FAUT se remettre dans le contexte et je comprend parfaitement qu'un chroniqueur qui n'a pas vécu cette époque passe à côté de son essence. Il qui n'a pas connu la transition entre le Blues énervé qu'on appelait Hard Rock et les prémices d'une NWOBHM qui allait obsoliser (j'ai pas le mot donc je l'invente!) les Mountain, Cactus, Wishbone Ash... et multiples autres Grand Funk Railroad qui étaient ses références, les apports d'un Punk-Rock encore adolescent qui lui demandait de foutre au feu les quelques groupes de Prog-Rock qu'il arrivait à apprécier, la New-Wave arrivante qui nous obligera à radicaliser le discours et restreindre la curiosité d'écoute d'autres styles, et l'explosion des possibilités techniques qui allaient imposer de tout autres standards.
J'ai ainsi remarqué, depuis la fin des années 80, comme un entonnoir d’influences (c'est en tout cas l’interprétation que j'en ai) les musiciens se référant à des styles de plus en plus fermés. Tant de formations actuelles évoluent dans un style ultra-codifié qui est l'héritage d'un groupe qui avait déjà, à son époque, tiré son style dans l'héritage d'un autre qui, quelques années auparavant, était sous influence d'un mini-courant venant de l'héritage d'une vague de bands se réclamant de tel ou tel groupe de la NWOBHM, du Punk, du Prog... qui n'étaient eux-mêmes que l'évolution plus ou moins radicales de différents aspect du Rock.
Une forêt est un ensemble d'arbres. Dans cette forêt, il y a une myriade d'espèces toutes différentes par leurs caractéristiques de base (taille, forme, couleur du tronc, de l'écorce, des feuilles, du bois), chaque arbre d'une espèce, considéré individuellement, est différent d'un autre de part son âge, ses conditions de vie et de milieu. Parcourir cette forêt en essayant de trouver celui qu'on trouvera le plus beau est infiniment respectable mais je vois souvent ces petits forestiers, sur ce site, ne plus parcourir les différents sentiers qu'avec des vues d'esprit très fermés, avec des focales très courtes et ne plus arriver à considérer les autres végétaux comme faisant partie entière d'un même ensemble. C'est au pied du mur qu'on voit le mieux le mur mais on le voit trop, ne voit plus que lui, on devient aveugle à tout ce qui passe autour...
Alors oui, j'aime encore beaucoup ce disque, je l'écoute encore régulièrement. Cette musique ne s'adresse pas à l'esprit mais au bas du corps. Plus précisément au bassin. C'est même au sexe, un sexe viril, prétentieux, en pleine forme, primaire, animal, sans la moindre option de réflexion, ça pulse, ça a envie, ça bastonne, ça possède, c'est égoïste, ça réfléchit pas, ça jouit!





LYNCELIA
THE BEAUTY OF DOUBT


Le 09 Novembre 2019 par RICHARD

Merci cher confrère des catacombes pour ces quelques lignes :)
Effectivement, même si je retiens toujours les petites faiblesses redondantes pour moi (linéarité des ambiances parfois), cette galette tient vraiment et encore la route. On ne peut être que sensible à la passion qui anime ce projet. Il en faut de la volonté c'est certain pour se lancer dans cette démarche artistique, les univers sombres n'ayant jamais eu aussi peu d'échos dans l'hexagone. Lyncelia, c'est une identité tout de suite reconnaissable, un juste et subtil mélange d'ambiances froides et abrasives. C'est le souffle discret qui réactive à sa manière le faible feu des univers émotionnels. Merci à eux !





The BEATLES
LET IT BE


Le 08 Novembre 2019 par PARESSEUSE

François, je ne comprends pas trop bien en quoi la date de sortie d'un album ou le nom du groupe qui figure sur la pochette peut représenter un frein à la curiosité. Qu'on écoute les Beatles (ou Zappa, ou les Stooges, ou les Kinks ou n'importe quoi d'ailleurs) et qu'on pense que c'est naze c'est entendable. Chacun ses goûts. Mais qu'on vienne se vanter de ne pas écouter parce que c'est soit-disant culte ou trop vieux, alors c'est comme si je disais "J'aime pas les mecs qui s'appellent François", parce que porter un prénom de saint ou de roi de France c'est trop consensuel. Pourtant, j'en suis convaincue, il y a des tas de chic types qui se sont appelés François, jadis. Sinon, d'un strict point de vue musical, je ne sais pas si les Beatles sont meilleurs que machin truc, mais je suis certaine que, tout comme il est impossible d'apprécier le cinéma à sa juste valeur si on n'a pas vu un film de Chaplin, on ne peut rien capter à la musique des 50 dernières années si on ne s'est pas penché un peu sur l'oeuvre des pionniers. Après, si vraiment c'est juste un problème d'étiquette, tu peux essayer l'Album Blanc, y'a pas Beatles écrit sur la pochette. Et il est pas mal du tout comme porte d'entrée. Qui mène à tout un tas de couloirs à explorer.





Bobby HUTCHERSON
THE KICKER


Le 08 Novembre 2019 par FRANçOIS

J'ai un (excellent) album du Monsieur : "San Francisco", sorti en 1971, toujours sur Blue Note et qui fait preuve d'une plus grande originalité et variété que celui-ci car à deux morceaux de jazz "classique", s'ajoutent deux pièces funky et deux autres d'un jazz plus abstrait et aventureux.





Neil YOUNG
SILVER & GOLD


Le 08 Novembre 2019 par KIT


c'est quand même le dernier album de neil qui possède une vraie grace mélodique,"distant camera" est pour moi sa dernière grande chanson,une masterclass en terme de songwriting,depuis on a entendu beaucoup de riffs,mais zéro mélodie mémorable,dans cet album faussement léger,il y en a au moins cinq ou six.





Yves DUTEIL
L'ECRITOIRE


Le 07 Novembre 2019 par CLéMENCE K.


Virages est une superbe chanson de Duteil, bien que ce ne soit pas ma tasse de thé.





PENDRAGON
PASSION


Le 07 Novembre 2019 par METALPROG84


Assez d'accord avec la chronique dans l'ensemble, même si je la trouve un poil sévère. C'est vrai que "Feeding Frenzy" et "It's Just A Matter Of Not Getting Caught" ne procurent pas beaucoup d'émotions. Par contre, "Passion" et "Skara brae" sont quand même de bons titres, mais effectivement pas au niveau de "Empathy" et "This green and pleasant land", clairement les 2 meilleurs morceaux de l'album (et çà tombe bien, puisque c'est les 2 seuls à dépasser les 10 minutes). Enfin, la ballade "Your black heart" est sympa sans plus.
Note réelle: 3.5/5.





Yves DUTEIL
J'AI LA GUITARE QUI ME DéMANGE


Le 06 Novembre 2019 par CLANSMAN57

Lors de ma dernière virée, j'avais en main quelques albums de ce chanteur que je connaissais très vaguement.
Et j'ai bien fait d'écouter quelques chansons sur le web une fois rentré, aucun regret de les avoir remis à leur place.
Il chante et joue bien, mais ça ne passe pas...
J'ai le même problème avec Sardou ou Goldman (scénario similaire pour "En passant").

Evidemment, je m'abstiens de noter.





The BEATLES
LET IT BE


Le 05 Novembre 2019 par NONO

C'est ça qui est complètement ahurissant : la carrière des Beatles tient en moins de dix ans !! Alors que d'autres groupes ont galéré 20 ans pour pouvoir seulement commencer à être connus, et retomber dans l'anonymat après 2 albums ! LOL





QUICKSILVER MESSENGER SERVICE
HAPPY TRAILS


Le 05 Novembre 2019 par FOU

Si si, moi je l'écoute tous les jours, tout le temps, mais il faut se droguer sinon ça marche pas. Et comme j'ai pas de drogue, je l'écoute pas.





The BEATLES
LET IT BE


Le 05 Novembre 2019 par FRANçOIS

@Nono : je suis d'accord, jusqu'à la dernière phrase. Les fans de rock (et jazz, blues, soul, folk/country) de ces années-là considèrent au contraire qu'ils s'agissaient de vrais artistes au contraire de la plupart de ceux apparus dans les décennies suivantes (70's et plus encore les honnies années 80) avec la montée en puissance du marketing et l'apparition des modes musicales et je ne saurais leur donner complètement tord. Il est vrai que ces groupes et artistes furent des pionniers et ont exercé une forte influence sur les décennies suivantes. Pour aller dans leur sens, je trouve également que les musiciens (dans la musique populaire j'entend car dans les marges, je ne sais pas), depuis l'arrivée massive de l'électronique et celle du punk (fin des années 70 donc), sont beaucoup plus limités techniquement que leurs aînés (le punk vient d'ailleurs en réaction à ces "musiques pour musiciens" que sont le rock progressif ou le jazz-rock). Personnellement, j'ai plutôt du mal avec les musiques "roots" citées plus haut (qualifiées de plus "authentiques" par leurs laudateurs), je les trouve trop "simples" (je n'ai pas dit "simplistes") et, oui, "routinières". J'aime quand c'est un peu plus "luxuriant". En somme, entre un groupe guitare-basse-batterie et un autre qui leur adjoindra un clavier et/ou un cuivre, c'est vers le second que je vais d'instinct me diriger. Pour en revenir aux Beatles, peut-être parviendrai-je un jour à dépasser mes préjugés...





The ROLLING STONES
GET YER YA-YA'S OUT


Le 05 Novembre 2019 par GERALDINE


Etant surement plus âgée que beaucoup d'entre vous, l'âge des Stones +70, j'ai sans doute des avis "différents". Entre les souvenirs, le vécu, l'évolution des techniques, les comparaisons sont souvent très difficiles. Alors concernant ce "mythique " get yer yaya ", je le considère comme l'un des meilleurs justement à cause de ce vécu ! Bien sûr, il n'est pas parfait ! Mais les Stones ne sont pas Pink Floyd et encore moins les Beatles ! Mais, et c'est CA aussi la magie des lives ! Je viens justement de le réécouter ce matin en voiture ( un merco classe B) et bizarrement, j'ai redécouvert des sonorités oubliées comme ce "Can't get no" très différent. Combien de lives des annees 60 avons-nous? Très peu. Alors pour moi, c'est le best de cette époque. Chaque concert est unique ! Sa perception aussi, et ses souvenirs ? Je laisse à Freud le soin d'analyser. Et merci pour vos commentaires souvent très pro. ( J'avais demandé à mon père, musicologue à ses heures, son avis sur notre musique rock yéyé : et même s'il n'était pas contre, il trouvait cela simpliste. MOZART ou Stones, faut-il choisir ? Moi, j aime les deux.





QUICKSILVER MESSENGER SERVICE
HAPPY TRAILS


Le 05 Novembre 2019 par BAAZBAAZ


Quel disque horrible ! C'est si laid que je me demande qui écoute vraiment cela en entier (ou même à moitié, ou même les premières minutes). Bien sûr, on trouvera toujours quelqu'un pour dire "Si si, moi je l'écoute tous les jours, j'adore, etc.". Mais ce sera un mensonge.





KILLING JOKE
OUTSIDE THE GATE


Le 05 Novembre 2019 par LEO


Je me suis partiellement désintéressé de KILLING JOKE à partir de l'album Night Time (bien qu'ayant quand même assisté à un concert de la tournée correspondante). J'ai donc survolé Brighter Than A Thousand Suns à sa suite (juste entendu par l'intermédiaire d'un ami à sa sortie) et j'ai complètement zappé Outside The Gate à l'époque, ne l'ayant découvert que trois ou quatre ans après la bataille et l'ayant aussi vite oublié ! Ah si, j'avais quand même entendu à la radio l'horrible single racoleur "America" avec ses synthés tout poisseux, et puis c'est tout. Il a fallu l'excellent Extremities pour que je m'intéresse de nouveau au groupe.
Je passe sur la polémique vrai-faux album de KILLING JOKE, le principal étant de savoir si ce disque est bon, mais il ne l'est pas à mes oreilles, bien qu'avec le recul, j'y trouve tout de même quelques passages intéressants mais cela ne suffit pas à sauver l'album.
Outside The Gate souffre du même problème que son prédécesseur : il est doté de compos passe-partout baignant dans les nappes de synthés (un peu dans le genre de ce que faisait Simple Minds ou Ultravox trois ans plus tôt, ce qui n'est pas une référence en soi puisque ces deux groupes étaient déjà sacrément en panne d'inspiration depuis quelque temps), le tout servi par une prod assez laide et déjà désuète en cette année 88.
Comme pour Brighter, je retiens essentiellement le chant harmonieux de Jaz Coleman dont les mélodies sont plutôt réussies, bien que ce critère puisse paraître étrange et paradoxal pour un groupe comme KILLING JOKE, et dans mon cas lorsque l'on est friand des compos brutales et tribales des quatre premiers albums !
Mais c'est un fait, je retiens essentiellement de ce disque les mélodies de "My Love Of This Land" et "Unto The Ends Of The Earth", cela dit les trois derniers morceaux "Obsession", "Tiahuanaco" et "Outside the Gate" se laissent écouter, mais pas de quoi se relever la nuit pour autant !
Par contre, comme décrit précédemment, je n'aime pas du tout "America", pas plus que "Stay One Jump Ahead" avec son côté faussement 'mordant, ni le très décousu "The Calling" qui ne va nulle part.
Projet solo ou pas, Outside The Gate est quand même franchement dans le prolongement de l'album précédent et cela ne m'étonne qu'à moitié, car Jaz Coleman était à la fin des 80's obnubilé par la conquête du marché ricain d'où un souci d'adoucir la musique du groupe afin d'atteindre sa cible. Mais là encore, ils se planta complètement car le 33-tours ne fut même pas distribué aux States et Virgin qui s'occupait de KILLING JOKE dans certains pays, se sépara de la formation juste après la parution de l'album.
Quant au groupe, il n'en subsistait plus que Jaz Coleman et Geordie Walker à ce moment-là (suite à une brouille avec la section rythmique).
Qui plus est, le duo se vit dans l'obligation de dissoudre temporairement KILLING JOKE afin d'être dégagé de son contrat avec EG Records.





The BEATLES
LET IT BE


Le 05 Novembre 2019 par SGT JAKKU

C'est en cela que les Beatles sont intéressants car ils comptent parmi les groupes et artistes majeurs ayant fait évoluer la musique Rock et Pop. En partant d'Elvis, de Chuck Berry, de Buddy Holly, de Roy Orbison, des Everly Brothers, les Beatles ont raconté la suite de l'Histoire du Rock (en croisant Bob Dylan sur leur chemin). Etudier les Beatles est un excellent moyen de comprendre à travers eux ce moment de bascule du Rock à 3 accords vers des formes de plus en plus sophistiquées qui annoncent les décennies suivantes (les 70's et après). Evidemment, il n'y a pas que les Beatles mais ils sont parmi les plus marquants. Et il ne faut pas non plus les percevoir comme des "intouchables" mais plutôt comme une formidable référence musicale. Les Beatles, c'est seulement 7 ans de discographie et passer de Please, please me (63) à Abbey road (69) est un choc tant on dirait qu'il s'est passé plusieurs décennies entre ces 2 albums.
Pour finir, c'est à partir de l'année 1965 que la mue s'opère. Pour beaucoup de spécialistes et amateurs des musiques actuelles, la période musicale 65-75 est la plus riche et la plus passionnante.
Démarrer l'écoute des Beatles à partir de Rubber Soul permet d'entrer directement dans le vif du sujet.





The BEATLES
LET IT BE


Le 05 Novembre 2019 par NONO

@François : Je suis globalement de ton avis. Pour moi aussi j'ai du mal avec le "pré-70s". Le style rock'n'roll "be-ba-be-lula" même si c'est joyeux, dansant, innocent, guilleret, tout ce qu'on veut... je n'adhère pas vraiment.
J'ai le sentiment que la décennie entière des 60s swinguait autour des 3 éternels mêmes accords. Que ce soit Elvis, Bill Haley, Joe Jones, Johnny, Eddy Mitchell... ça sonnait un peu toujours pareil ! La musique était surtout une manière de faire la fête, de s'affranchir, mais qualitativement c'était assez routinier ! (Tant pis si je me prends des beignes pour cers propos iconoclastes, mais j'assume...)
A partir des années 70 la musique est devenue davantage un art (musical) en soi et moins juste un moyen de divertissement.





The BEATLES
LET IT BE


Le 04 Novembre 2019 par FRANçOIS

@SGT JAKKU : Je me suis sans doute mal exprimé. L'aura de ces groupes ou artistes n'est pas la seule (ni principale) raison de ma désaffection. C'est plutôt, tout simplement, que je ne suis pas très fan de rock en général (ce rock-là du moins). Et de musiques anté-années 70. En gros, ma "culture" musicale s'étend essentiellement sur 3 décennies (je suis un quadra) : 70, 80 et 90. Après, il est vrai que nombre de (vieux) fans de rock sont d'une grande condescendance vis-à-vis des auditeurs plus jeunes (genre, eux ont vécu un "âge d'or". Schéma que j'avoue parfois reproduire vis-à-vis des générations d'aujourd'hui, avec moins de véhémence toutefois... Comme quoi, l'histoire est un éternel recommencement) ou qui aiment d'autres genres de musiques plus commerciales et moins "pures", moins empreintes de "rébellion" (la variété - appelée "variétoche" en guise de dénigrement - et la plupart de celles qui se dansent : disco, techno...), ce qui accentue aussi mon rejet.





The BEATLES
LET IT BE


Le 04 Novembre 2019 par BAAZBAAZ

J'envie presque François, à qui il reste tant de grands groupes à découvrir ! Il faut attendre le bon moment, voilà tout.

Pour ma part, j'ai attendu longtemps avant de jeter une oreille sur les BEATLES. Pourquoi ? L'impression vague d'en avoir déjà assez entendu çà et là (dans les soirées, dans les bars...) et d'en avoir fait le tour sans même avoir écouté un seul disque en entier. Certains de leurs tubes peuvent lasser par avance ! Je connaissais les KINKS grâce aux PRETENDERS (et à VAN HALEN il est vrai), et les BEACH BOYS grâce aux RAMONES, mais les BEATLES me semblaient ringards, question de génération... Et puis un jour, j'ai eu le déclic.

Par contre, on peut aisément laisser "Let it Be" (et tout DYLAN) de côté !





The BEATLES
LET IT BE


Le 04 Novembre 2019 par NONO

@Sgt Jakku et @François : Pour moi, c'est un peu différent. J'ai été progressivement "contaminé" par les "plus-grands-groupes-cultes" (les Stones, PInk Floyd, les Beatles...) et je reconnais que 1) leurs titres les plus connus n'étaient pas mes préférés et 2) ça m'insupportait cette aura "intouchable".
Et puis, et puis... 1 titre d'eux, puis deux, puis trois, puis des albums entiers... m'ont interpellé... pas forcément reconnus comme leurs "meilleurs albums" respectifs. Alors, j'ai compris deux choses :
1) Leur aura n'est pas tout à fait un hasard : on se rend compte qu'ils ont influencé quasiment toute la scène pop/rock des 30-40 dernières années. Quand on entend les Stones : on entend 100 groupes de rock qui ont pompé sur eux, pareil pour les Beatles et la pop.
2) Envoyer chier férocement ceux qui vous disent qu'un "album est culte". Ce n'est pas l'album, mais le groupe qui est culte, car il a souvent fait d'autres albums moins connus et toutefois bien meilleurs (j'ai toujours conchié The Wall et Dark Side mais adoré Wish you were here, Meddle et Divison Bell par exemple). Pour les Stones, j'adore Some girls, Steel Wheels et Beggars Banquet, albums qui (à l'exception du dernier) ne sont pas franchement adorés généralement... et je n'aime pas "Exile" par exemple. Suis-je normal ? Je ne veux pas jouer l'original en faisant exprès d'aimer et de détester le contraire de ce que les gens aiment ou détestent, mais force est de constater qu'un groupe n'est pas "UN album qu'il est obligatoire d'aimer".







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