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ELECTRIC SUN
BEYOND THE ASTRAL SKIES


Le 09 Juillet 2020 par CLANSMAN57


Si j'avais laissé mon commentaire après les deux premières écoutes, j'aurais mis "Okay avec Gegers" et 3 étoiles comme lui.
Les bémols évoqués dans sa chronique restent néanmoins présents par la suite, mais les choeurs, souvent suraigus en arrière plan, apportent un plus "cosmique" à mon sens.
Une grandiloquence, effectivement un peu cheap (idem pour les effets orchestraux) qui peut donc se montrer un poil indigeste au départ et qui se muera en point fort avec un tout petit peu de temps.
Par ailleurs, ils permettent de ne plus trop faire attention au chant d'Uli qui est tout de même très limite, ce qui n'est un scoop pour personne.
C'est un guitariste formidable, mais personne n'osait lui dire qu'il ne sait pas chanter ou quoi?
Il se transformait en Hulk si on lui enlevait le micro?

"Return (Chant Of Angels)" est superbe, on visualise parfaitement un hippie qui plane dans l'espace.
"Eleison" est la pièce maitresse selon moi: elle est épique, plus sombre, voire effrayante et dotée d'une belle intensité.

Bref, sans crier au chef d'oeuvre, j'aime beaucoup ce disque, malgré ses petits défauts, je mets un demi point de plus.
Sinon, pour rester dans les bémols, je trouve le son de l'édition de 2005 (remastérisée) pas toujours optimal à quelques reprises.

Et je suis bien content de l'avoir acheté pour deux raisons:
1) J'en attendais rien lorsque j'ai posé ma main dessus dans ce petit magasin.(Déjà écouté un peu ce groupe par le passé et... bof).
2) Trouvé pour 4 malheureux euros, tandis que sur Amazon ils le vendent à 473,66 euros...

Note réelle: 3,5/5







Laurent VOULZY
BELEM


Le 09 Juillet 2020 par LEO

@ BAKER

Je n'ai pas écouté cet album de Voulzy, mais s'il y a quelque part une citation de "Da Ya Think I'm Sexy?" c'est tout à fait normal, et surtout sans doute parce que Laurent Voulzy a voulu citer avant tout le morceau "Taj Mahal" composé par Jorge Ben en 1972 et dont s'est inspiré très fortement Rod Stewart pour son mega-hit sorti en 1978 ! Ce dernier morceau a d'ailleurs été l'objet d'un procès pour plagiat car Jorge Ben a affirmé que le refrain de la chanson de Rod Stewart provenait de sa chanson "Taj Mahal" (il y a effectivement une forte similitude) et l'affaire fut finalement réglée à l'amiable en faveur de Jorge Ben. Stewart a admis qu'il s'agissait d'un "plagiat inconscient" (j'aime bien l'expression !!!), ayant auparavant entendu "Taj Mahal" lors du carnaval de Rio en 1978.





Laurent VOULZY
BELEM


Le 09 Juillet 2020 par BAKER

Ah si, il y a TRÈS TRÈS CLAIREMENT une citation du Sexy de Rod Stewart.

Elle est immanquable, vraiment.





GENESIS
THE LAMB LIES DOWN ON BROADWAY


Le 09 Juillet 2020 par MICHEL MICHEL MICHEL


L'album est bon, mais avec beaucoup trop de plages réservées exclusivement à l'histoire et inintéressantes musicalement, allant parfois jusqu'au simple bruitage. Le plus intéressant de l'album, c'est le premier disque, et plus encore la face B. Quant au second disque, c'est vide et sans intérêt, à part la suite finale.
L'album est intéressant, mais musicalement parlant je préfère nettement les 3 albums précédents.





George HARRISON
ALL THINGS MUST PASS


Le 09 Juillet 2020 par JERONIMO


Sans doute est-ce dû à une affection pour les musiques bruitistes mais pour moi, cette production bourdonnante de Phil Spector colle parfaitement au folk-rock de George Harrisson. Une sorte de shoegaze avant l'heure ! La première partie me donne envie de glander dans les champs sur la pochette. Sur la fin, écouter Clapton et Harrisson jammer ensemble m'amuse beaucoup, en repensant qu'ils avaient à l'époque les yeux rivés sur la même idylle.





Laurent VOULZY
BELEM


Le 09 Juillet 2020 par BRADFLOYD

Par ailleurs, où as-tu entendu de l'Autotune ? Il s'agirait plutôt en l'espèce d'une talkbox ...
Enfin, j'aimerais bien comprendre où tu as entendu cette "citation douteuse comme "Da Ya Think I'm Sexy?" de Rod STEWART" ? J'ai beau avoir écouté attentivement ce morceau à plusieurs reprises, je ne vois pas. Par contre, tous les morceaux cités sont des morceaux créés et enregistrés par des Brésiliens au Brésil. Si tu veux, je te filerai la liste...
Amicalement,





Laurent VOULZY
BELEM


Le 08 Juillet 2020 par BRADFLOYD


Euh... Marco, ce n'est pas Voulzy qui a traduit les chansons françaises en brésilien mais ce sont les chansons françaises qui sont déjà des reprises à la base de chansons brésiliennes... Rendre à César ce qui lui appartient...





David BOWIE
BLACKSTAR


Le 08 Juillet 2020 par LEO


Blackstar restera donc comme l'ultime album studio de DAVID BOWIE, son 25ème ou bien son 28ème si l'on prend en compte les deux Tin Machine et la B.O. The Buddha Of Suburbia (je ne mentionne pas les autres bandes originales de films car Christiane F. ne contient que des enregistrements parus précédemment et la moitié des morceaux de Labyrinth sont des instrumentaux de Trevor Jones).
Depuis sa parution en Janvier 2016, je n'ai jamais pu vraiment entrer totalement dans cet album que je n'arrivais pas à apprivoiser, sans doute à cause d'une direction musicale qui ne me convenait qu'en partie, mais à la réécoute, je dois avouer qu'il y a tout de même une majorité de morceaux que j'aime ici (sur une durée bien plus courte que l'album précédent et pour seulement 7 compos !).
"Blackstar" (le morceau-titre, long de presque 10 minutes) est construit en trois parties. La première fait entendre des sonorités très électro et une rythmique de style drum and bass (retour à l'ère Earthling en mode lounge ?) ainsi que du saxophone à l'empreinte très jazzy et au-dessus de ce tapis musical, plane la voix emphatique et trafiquée de BOWIE. bof ! pas trop mon truc. Une brève section intermédiaire très planante vient faire la transition avec la 3ème partie qui, elle, est bien plus à mon goût et où le chant de David est enfin naturel bien que les choeurs restent toujours en mode 'bidouillage extraterrestre'. idem pour la rythmique parkinsonienne qui s'est tue et a fait place à quelque chose de carré et de posé, alors que vers la fin du morceau le chant principal revient à sa litanie du début mais débarrassé des éléments qui me gênaient dans sa phase initiale.
"'Tis A Pity She Was A Whore" et "Sue (Or In A Season Of Crime)" étaient déjà parus en singles en 2014 mais ces deux-là ont été réenregistrés spécialement pour l'album. Dans un cas comme dans l'autre, je n'accroche pas du tout à ces morceaux. Le premier aurait pu se trouver sans problème sur le 33-tours Black Tie White Noise tant le style et les sonorités sont proches. Quant au second, c'est à Earthling que je songe (enfin, sans les délires bruitistes de Reeves Gabrels mais remplacés par d'autres bidouillages qui m'indiffèrent tout autant!), donc je zappe.
À l'inverse, "Lazarus" est totalement à ma convenance. c'est peut-être étrange mais sur ce titre le duo basse-batterie m'évoque curieusement The Cure ! La compo est fort émouvante et l'interprétation vibrante. un très grand morceau !
"Girl Loves Me" est également très bon. C'est drôle, j'y entends le groupe Everything Everything (formation de Manchester d'indie-rock/electronica), tant pour la musique que dans le chant et ça confirme une fois de plus que BOWIE a influencé une palanquée de groupes de tous horizons et toutes générations confondues.
"Dollar Days" est plus traditionnel mais néanmoins superbe, avec une belle partie de sax et une guitare en contrepoint.
"I Can't Give Everything Away" clôt l'album de manière touchante avec son harmonica qui me rappelle "A New Career In A New Town" et plein d'autres moments de la carrière de l'artiste. Etait-ce prémédité ? Sans-doute. Etant habitué à BOWIE depuis fort longtemps, cela ne m'étonnerait pas qu'il y ait un sens caché ou une forme de malice derrière ces réminiscences ! Peut-être faut-il y voir une dernière pirouette de la part d'un artiste unique en son genre.
Tout ne me plaît pas à 100% dans Blackstar mais il s'agit tout de même d'un bien bel épilogue à une carrière à nulle autre pareille.
Comme son prédécesseur, il vaut bien un bon 4/5.





ABBA
WATERLOO


Le 08 Juillet 2020 par FRED

Ha, les fameuses "faces B" d'Agnetha Fältskog ! Inoubliables !





David BOWIE
THE NEXT DAY


Le 07 Juillet 2020 par LEO


Dix ans d'attente entre Reality et The Next Day. est-ce que cette longue pause aura valu le coup pour retrouver l'inspiration que BOWIE avait perdu (selon moi) après Outside ? dans l'ensemble, la réponse est plutôt un gros OUI, bien que je mette un léger bémol concernant la durée un peu excessive de l'album (d'autant plus dans ses éditions Deluxe & Extra) et rempli de morceaux pas tous mémorables. il aurait peut-être fallu que David et Tony Visconti fassent le tri pour n'en garder que la substantifique moelle, mais après tout, chacun élaguera à sa façon et fera son propre choix parmi la multitude de compos proposées.
Pour moi l'album a tout bon dans ses neuf premiers morceaux mais c'est à partir du dixième titre que mon attention retombe quelque peu car "Dancing Out In Space", "How Does The Grass Grow?", "You Feel So Lonely You Could Die" et "Heat" me paraissent franchement plus quelconques et inutiles. il n'y a guère que "(You Will) Set The World On Fire" (pourtant très proche de l'esprit Tin Machine) que je retiens avec les neuf premiers morceaux. en substituant ces quatre morceaux qui me semblent plus faibles par deux titres des nombreux bonus des diverses éditions ultérieures, on aurait obtenu un album bien plus court et cohérent comme on en faisait dans les années 70. "I'll Take You There" et "Atomica" auraient très bien trouvé leur place, ce qui aurait fait grimper l'album à presque 43 minutes. une durée tout à fait correcte si l'on compare avec les 33 tours de DAVID BOWIE dans les années 70 ou au début des années 80.
The Next Day n'est sans doute pas un album novateur ou exceptionnel (on reste en territoire connu) mais il est très bon dans son ensemble et surtout il ne fait pas tâche auprès de Scary Monsters (And Super Creeps) ou Outside, qui sont les deux derniers albums de l'artiste à ma convenance. en tous les cas, de mon point de vue il surpasse largement tous les albums que BOWIE a fait paraître depuis 1983 à l'exception du cru 1995 mentionné plus avant.
Un bon 4,5/5 arrondi à 4 à cause de quelques morceaux superflus vers la fin.





DOROTHEE
HOU ! LA MENTEUSE


Le 07 Juillet 2020 par FRED


Attention, malheureux Marco : à mon sens, "La valise" figure ici dans sa meilleur version, la plus mythique et surtout primale ! Ce morceau est un bijou de Synth-pop, dans la lignée du Bananasplit de LIO ! Outre ce classique, je retiens l'émouvant Rox et Rouky et bien évidemment La menteuse, entre autres sucreries de bon aloi ! Un album culte pour tous ceux qui connurent, enfant, cette époque d'insouciance optimiste mais dynamique que furent le début des années 80.
A noter que le dessin de la pochette est réalisé par le défunt Cabu, Jean Cabut pour l'état-civil, assassiné en 2015 dans des circonstances qui firent définitivement sortir plus d'un d'entre nous des dernières illusions de l'enfance. Le trépas de l'innocence !





DOROTHEE
HOU ! LA MENTEUSE


Le 07 Juillet 2020 par MS SANS COMIC

Des oublis inacceptables en effet, merci de les avoir signalés, on va y penser !
Heureusement qu'on peut compter sur nos habitués qui savent bien comment on fonctionne. :)





Bob DYLAN
ROUGH AND ROWDY WAYS


Le 07 Juillet 2020 par CED


Dis donc, c'est un peu court comme critique de disque... On ne retient que "Murder Most Foul", vraiment? Quid du premier CD?
Pour ma part, oui, "Murder Most Foul" ressemble à un testament qui résume presque 60 ans de talent d'écriture et qui dans ses paroles est aussi le testament d'une époque, d'une certaine idée de l'Amérique, qui prend fin pour le Zim' ce jour de 1963, la suite étant l'élan de cette époque qui se délite, Woodstock, Altamont... Doit- on voir en creux une vision sur l'Am2rique trumpienne, fin de course de cette Amérique shootée en 63 ?

Mais il y a 9 titres avant... Pourquoi ne pas les évoquer? Certains sont magnifiques d'emblée, "I've made up...", "Goodby Jimmy reed", "Key West" (celle-là me fusille). D'autres semblent de prime abord un peu sèches et arides, mais peu à peu se découvrent au fil des écoutes.

Cet album est moins immédiat que Modern Times par exemple, qui reste pour moi le summum du Dylan 2000, mais il transparaît une émotion particulière.





GRIMES
MISS ANTHROPOCENE


Le 07 Juillet 2020 par KID66


Si j'avais dû chroniquer ce disque j'aurais volontairement omis de parler de la vie personnelle de Claire Boucher, qui n'a vraiment rien à voir avec la choucroute effectivement. Après pour ce qui est de "séparer la personne de l'artiste", c'est un autre débat que nous n'aborderons pas ici...

Mon côté chiant espérait un Art Angels 2 mais la décéption fut de courte durée (le même côté qui critique les artistes qui ne se renouvellent pas). Sans atteindre les sommets de plaisir coupable de l'opus de 2015, je trouve que Miss Anthropocene a subi le courroux de la critique de manière très injuste. Plus posé, plus sombre mais toujours très varié et à forte personnalité, on se prend bien vite à écouter en boucles certaines pépites anthropoceniques. "So Heavy I Fell" est fantastique, tout comme "My Name Is Dark" ou l'addictive "You'll Miss Me". Attention énormes tubes en vue avec "Violence", ou encore "Delete Forever" (coucou OASIS), aussi surproduite et que délicieuse.

La fin est également belle avec un "Before The Fever" planant à souhait et "IDORU", qu'on aurait aimé voir plus décoller au début, et qui finalement nous ravi sans peine. En fait seule "4AEM" me barbe un peu.

Du coup une seule chose à faire : aller écouter sans à priori cette petite perle d'electro pop ! Un gros 3,5/5.





DOROTHEE
HOU ! LA MENTEUSE


Le 07 Juillet 2020 par FRANçOIS

Euh... Sheila et maintenant... Dorothée (!) alors que toujours pas de Jeanne Mas, de Patricia Kaas ou de Jakie Quartz... ?





Peter GABRIEL
RATED PG


Le 07 Juillet 2020 par JUAN


J'ai écouté cette galette un peu par hasard et d'une traite peu après sa sortie et j'ai été franchement agréablement surpris. je n'en connaissais que quelques morceaux et j'ai trouvé son écoute très très agréable. En accord avec la chronique, on retrouve en effet le cîoté plus tendre et doux plutôt que le côté sombre de Peter Gabriel. J'ai trouvé son écoute distrayante, un album qui dééveloppe une belle atmosphère. C'est un peu comme d'inatendue retrouvaille.





VINNIE VINCENT INVASION
VINNIE VINCENT INVASION


Le 07 Juillet 2020 par FRED


J'aime cet album.
Les compos' sont bonnes, dans le ton de l'époque. Reste le sujet des soli, remarqués et ayant donné lieu à polémique dès la sortie de l'album. J'ai personnellement toujours considéré cette démarche de Vinnie comme une expérience avant-gardiste, motivée par état d'esprit résolument provocateur et réellement artistique. Il suffit de connaître un petit peu sa carrière pré-KISS pour se rendre compte du très bon guitariste qu'il était, parvenant à se fondre dans n'importe quel style et genre avec un talent et une aisance tout à fait remarquables.
L'expérience (ou "l'invasion") est-elle un succès artistique ? Cela dépendra des goûts, mais aussi de l'état d'esprit de l'auditeur, oscillant au gré de ses humeurs entre l'admiration et l'agacement. En tout cas, cet album est tout sauf commercial. C'est même en vérité une manière de suicide commercial... pour l'amour d'une certaine conception du Rock'nRoll.





PORCUPINE TREE
FEAR OF A BLANK PLANET


Le 07 Juillet 2020 par CHIPSTOUILLE

J'ai récemment terminé le jeu Control du studio Remedy (Max Payne, Alan Wake...). Au moment où les crédits de fin déboulent, on se prend la chanson "Fear of a Blank Planet" dans la figure. Si ce n'est pas rare que des jeux vidéos aillent chercher ailleurs leur bande-son, le fait d'aller creuser du côté du rock progressif moderne l'est déjà beaucoup plus.

La B.O d'Alan Wake m'avait déjà persuadé que ces gens-là avaient bon goût. J'avoue que j'ai été soufflé par la pertinence du choix.
D'autant que, même si la thématique est quelque peu différente du concept album de PORCUPINE TREE, le titre colle parfaitement à l'ambiance très ésotérique du jeu. J'aurais d'ailleurs bien du mal à décrire ce petit chef d'oeuvre dont l'ambiance se trouve quelque part entre X-Files et Cube.

Le jeu a en outre été très influencé par l'architecture brutaliste.
Voici un lien vers un article anglophone à ce sujet :
www.gamasutra.com/view/news/352097/The_real_buildings_that_inspired_Controls_Oldest_House.php

Ce qui pour les non-joueurs vous donnera peut-être une petite idée de ce qu'on peut ressentir en associant PORCUPINE TREE à tout ceci.
En revanche, le reste de la B.O elle-même est très axé ambiant sans réelle mélodie, donc ne comptez pas trop sur moi pour une chronique.  :)





VINNIE VINCENT INVASION
VINNIE VINCENT INVASION


Le 07 Juillet 2020 par NESTOR


J'attendais avec impatience la chronique de cet album que j'ai adoré à sa sortie, et à sa lecture je suis un peu désarçonné. La note me semble bien sévère, même si je reconnais que les travers énoncés (voix suraiguë, surabondance de soli, image ridicule...) sont tout à fait présents. Et peuvent rebuter. Mais ils correspondent surtout à une époque et ne devraient, à mon sens, pas déclencher un mise à mort aussi franche. Mais, comme tout ce qui touche à la musique, c'est juste une histoire de goût... rien de bien important donc.
Désarçonné donc, car si je trouve la chronique de l'album un peu sévère, j'ai été emporté par le récit et la description de la vie artistique de Vincent. J'avoue que je ne m’étais jamais intéressé au personnage et l'éclairage que fait Jasper des errances de Mister Cusano est captivant. J'ai donc pris beaucoup de plaisir à la lecture d'une chronique dont je ne partage pas la conclusion. Je crois que c'est pourquoi le monde de la musique est magique !





David BOWIE
REALITY


Le 07 Juillet 2020 par LEO


Reality me fait le même effet que ses deux prédécesseurs, Heathen et Hours : il ne me procure pas vraiment de sensation. Il s'écoute sans déplaisir, mais aussi sans aucune passion et sitôt terminé, sitôt oublié !
En fait, depuis 1983, j'ai vraiment du mal à trouver un quelconque intérêt aux albums de BOWIE, exception faite de Outside qui bien que perfectible dans sa longueur et ses segues inutiles, est sans-doute le seul 33-tours du Thin White Duke de cette période qui comporte assez de morceaux qui me plaisent pour me tenir en haleine jusqu'au bout. En 20 ans (c'est-à-dire de 1983 à 2003) ça ne fait qu'1 seul album sur 12 qui m'ait marqué ! (puisque je prends en compte les deux Tin Machine en studio et la B.O. de The Buddha Of Suburbia).
Franchement, encore plus qu'avec l'album précédent, j'ai bien du mal à trouver ici un titre qui se détache du lot tant toutes ces compos se suivent et se ressemblent, et surtout sentent la redite et le déjà-entendu. Pour dire la vérité, je m'ennuie carrément à son écoute.
À la rigueur, je pourrais retenir le sombre et minimaliste "The Loneliest Guy" (qui m'évoque musicalement certaines pièces de l'album Outside) et peut-être le plus léger "Days" ainsi que la jolie reprise de George Harrison "Try Some, Buy Some", mais pour moi ce sera tout.
À l'autre bout du spectre, il y a vraiment deux titres que je ne supporte pas : le morceau qui donne son nom à l'album avec ses relents de l'époque Tin Machine et le paresseux & jazzy "Bring Me the Disco King" qui s'étire péniblement sur près de huit minutes. Ces deux-là me gonflent au plus haut point !
Les diverses éditions en série limitée proposaient également quelques bonus, mais était-ce bien nécessaire vu le peu d'inspiration de l'album principal ?
Pour moi, ce sera un petit 2,5/5, tout juste revu généreusement à la note supérieure.







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