Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 528 529 530 531 532 533 534 535 536 537 538 539 ...>...>>... 1133
Comment poster un commentaire ?


Hubert Felix THIEFAINE
HOMO PLEBIS ULTIMAE TOUR


Le 18 Janvier 2019 par METALPROG84


Excellent live de Thiefaine, un de plus! Le premier titre, inédit, est très bon malgré ses 10 minutes. Pas mal de titres se sont encore bonifiés par rapport aux versions studio: certains ont gagné en puissance ("Sweet amanite..." ou "113ème cigarette..."), d'autres en interprétaion ("Confession d'un never been" ou "L'étranger dans la glace" par exemple). 9 morceaux de "Suppléments de mensonge" quand même, c'est beaucoup mais comme l'album est super, çà s'intègre très bien au reste.
Seule "Solexine Et Ganja" est un peu en retrait (mais je n'ai jamais trop aimé ce titre) et "Mathématiques souterraines" a été déjà mieux interprété à mon sens.
Note réelle: 4.5/5 arrondie à 5






Ina FORSMAN
BEEN MEANING TO TELL YOU


Le 18 Janvier 2019 par RICHARD

@ ZEJACK peut-être faut il l'entendre simplement sur un plan succès populaire et reconnaissance grand public.
Parce que oui Children of Bodom a marqué son époque, mais dans la sphère restreinte du metal et je ne parle même pas de Two Witches ou Masquerade qui sont des groupes qui comptent (pour moi) dans la sphère goth, donc encore plus rikiki...
Autrement, la chronique me donne bien envie quand même de découvrir cette artiste.





Ina FORSMAN
BEEN MEANING TO TELL YOU


Le 18 Janvier 2019 par ZEJACK

"La Finlande n’a guère laissé de traces marquantes en matière de musique."

Le genre de phrase définitive qui me fait tiquer.


Tout dépend du point de vue et du genre. Pour contre exemple: le black metal.





RAJNA
OFFERING


Le 18 Janvier 2019 par CLANSMAN57


Après réécoute, quelques éléments de mon précédent commentaire me gênent un tantinet.
Le duo nous emmène donc en Grèce, il nous fait également visiter la Turquie et Chypre, d'après ce que j'ai pu lire.

Concernant les influences musicales, celle de Dead Can Dance est évidente. Je n'avais cependant jamais remarqué celle des Cocteau Twins, par exemple avec "The Dance Of Cleomene", sur laquelle le groupe joue avec une batterie programmée, une basse et une guitare.
Le très beau final,"Quiet Hour", comprend également une instrumentation plus "rock" (attention: ça reste très éthéré!!)
"Never Land" se rapproche encore plus de l'univers particulier des écossais, c'est impossible de ne pas y songer.

J'ai aussi réécouté "Black Tears" et bien que le voyage soit long (80 minutes au compteur), je le trouve finalement excellent de bout en bout.
Leur passé est plus sombre que "Offering" et moins évident.

Donc au final, ces chansons valent la note maximale pour moi, car le trip se manifeste largement!





VAN HALEN
DIVER DOWN


Le 17 Janvier 2019 par FREDJ


Diver Down aurait pu être un très bon EP … mais il est vendu comme un album … Si on décortique ce disque on se rend compte qu’il est constitué de 12 morceaux : 4 reprises, 4 courtes instrus et 4 nouveaux titres. Autant dire que pour un « vrai » album (surtout après les tueries Women&Children First et Fair Warning) c’est franchement léger. Néanmoins, le groupe est encore au sommet de son art, de ce fait tout ça tient la route : les 4 reprises sont sympas (surtout pretty woman), les 4 inédits sont excellents (little guitars en tête) et par contre les 4 instrus sont moyens. Une petite pause avant le monument MCMLXXXIV :)





ANTHRAX
FOR ALL KINGS


Le 17 Janvier 2019 par FREDJ


Un album trop sage, presque générique, on a parfois l’impression que le groupe lui-même s’ennuie sur ce disque !
Pourtant l’ensemble tient bien la route, pour moi seuls 3 morceaux sont franchement pas terribles (suzerain, all of them thieves et this battle chose us). Le meilleur morceau est incontestablement blood eagle wings avec sa progression en 2 temps et son ambiance malsaine (et son clip dégueulasse !). Je retiens aussi Evil Twin qui parle d’un sujet grave, particulièrement pour nous en France …
Un album agréable mais réalisé sans conviction.





RAJNA
OFFERING


Le 17 Janvier 2019 par CLANSMAN57


En ce qui me concerne, Rajna est une plutôt bonne alternative à Dead Can Dance.
Le duo franco-tibétain propose une musique inspirée par l'Asie, ce qui change un peu des autres musiciens officiant dans ce style.
En tout cas, c'est ce qui me semble, je n'ai que "Black Tears" (une compilation) en plus de celui-ci.

A propos de cet "Offering", Rajna explore davantage la mythologie grecque, ils coupent donc les ponts avec l'Asie, l'ambiance change un peu.
Et pour ma part, j'adhère totalement à ce disque, ce qui n'est pas le cas de la compilation pré-citée, car je retrouve les bémols cités par le chroniqueur sur certaines de ces chansons, à savoir le manque de variation qui nuit à l'hypnose que cette musique se doit d'apporter.







BLUE ÖYSTER CULT
SOME ENCHANTED EVENING


Le 17 Janvier 2019 par MAGNU


Je profite de lire la chro pour ressortir et noter cet album. Alors oui, il fait décousu de par ses 7 titres qui ne reflètent pas les setlist de l'époque, mais l'interprétation est excellente je trouve, et le son bien meilleur que sur On your Feet même si on y perd en unité. Le succès aidant, le groupe devait avoir plus de moyens.

La version Deluxe propose des titres supplémentaires, à l interprétation et au son de la même qualité (même source) non retenus à l'époque pour ne pas faire doublon avec le 1er live.

Franchement un très bon live, même si je préfère "On your Feet..." pour le côté légendaire








AEROSMITH
PERMANENT VACATION


Le 17 Janvier 2019 par LEO


Après les mésestimés Rock In A Hard Place et Done With Mirrors, AEROSMITH semble faire l'unanimité en 87 avec ce neuvième 33t en studio, mais ce n'est pas le cas en ce qui me concerne !
En effet, je n'ai jamais été emballé par la majorité des compos de Permanent Vacation qui propose des morceaux bien moins bruts de décoffrage par rapport aux albums précédents.
Pourtant "Heart's Done Time"et "Magic Touch" qui ouvrent l'album sont plutôt enthousiasmants mais pour moi ça se gâte à partir du peu palpitant "Rag Doll" avec sa section de cuivres encombrante mais qui fait aussi tout le gimmick du morceau qui ne repose que là dessus malheureusement.
"Simoriah" est un rock assez lambda mais au moins il n'est pas désagréable comme cette horreur de "Dude (Looks Like A Lady)" qui contient tous les tics de production de cette fin des années 80 (avec re-section de cuivres à l'appui).
Le shuffle "St. John" est correct mais sans plus, quand au bluesy "Hangman Jury" avec ses plus de cinq minutes au compteur, il m'ennuie au plus haut point.
Heureusement que l'énergique et groovy "Girl Keeps Coming Apart" déboule juste après car voilà un titre réjouissant dans laquelle la section de cuivres est utilisée à bon escient et qui vient ajouter du mordant à cette compo ou AEROSMITH rencontre James Brown !
Par contre je zappe direct la guimauverie "Angel" tout comme le morceau-titre avec ses steel drums incongrus.
"I'm Down" la cover des Fab-Four a la pêche et est convaincante même si elle reste anecdotique.
"The Movie" qui referme l'album est un instrumental atmosphérique sympathique mais pas à s’en relever la nuit non plus ! (faut pas pousser).
Au final, beaucoup de morceaux (12) sur ce disque mais très peu qui me satisfassent !
J'en retiens avant tout "Heart's Done Time", "Magic Touch", "Simoriah", "Girl Keeps Coming Apart" et à la rigueur la reprise des Beatles. "St. John" et "The Movie" se laissent écouter mais je n'en suis pas fan pour autant.
Voilà, pour moi ce sera juste un petit 3/5.





Francis CABREL
PHOTOS DE VOYAGES


Le 17 Janvier 2019 par NONO

Je me suis toujours demandé quelle est la signification exacte de la chanson "Encore et encore". Je pense qu'il s'agit d'une femme esseulée, suite à une séparation récente, qui imagine que son mec va revenir à chaque fois qu'elle entend un bruit spécial chez elle, ou aux abords de chez elle. Elle est tellement terrifiée par le silence et la solitude que chaque petit bruit qu'elle entend lui provoque soit une frayeur soit un espoir. Mais il y a une ambiguité tout de même : soit cette femme est tellement obsédée par son mec qu'elle interprète "chaque bruit de portière" comme un espoir de retour, ou bien est-elle terrifiée à l'idée que son mec violent revienne lui causer du tort, d'où ce sentiment de terreur nuit après nuit ?
Quelqu'un sait ?
En tout cas cette chanson met en exergue la force de l'imagination sur le réel, notamment l'emprise négative d'une obsession amoureuse.





GEORGIO
XX5


Le 16 Janvier 2019 par RICHARD


Entièrement d'accord avec la chronique. Y'a du bon, voire parfois du très bon, mais j'ai l'impression que ça patine un peu, de pas grand chose, mais suffisamment pour ne pas avoir la claque reçue avec " Héra".





TWO DOOR CINEMA CLUB
TOURIST HISTORY


Le 16 Janvier 2019 par BORAHKRETH


Je sais pas ce que ça vaut sur la longueur, et les deux derniers morceaux sont légèrement (vraiment légèrement) en-dessous du reste, mais je lâche un 5/5 totalement subjectif après seulement une écoute tant ça enchaîne les tubes et à quel point ça me fout la patate.

Personnellement ça fait une éternité que j'ai pas écouté un truc comme ça qui donne le sourire et donne envie de bouger et de danser, chanter la vie (Edouard BAER, si tu nous entends)... LE remède à la dépression hivernale.

Mais à voir sur la longueur...





CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL
MARDI GRAS


Le 16 Janvier 2019 par NUNUCHE2004


Voiàa ce qui se passait à cause des exigences absurdes de certaines maisons de disque de l'époque. Obligation de sortir 2 albums par an (ou plus) (dire que maintenant les groupe sortent tous les 3-5 ans). Ça donne donc un groupe qui a déjà tout donné en l'espace de même pas 3 ans et qui est à bout d'inspiration, d’énergie, bref ils sont lessivé, et comme le succès est plus au rendez vous, ils abandonnent. ça en a foutu en l'air des groupes à potentiel intéressant, et bizarrement les meilleurs groupe n'étaient apparemment pas soumis à ce genre de règles, tiens donc.





AEROSMITH
DONE WITH MIRRORS


Le 16 Janvier 2019 par LEO


Bien d'accord avec l'avis précédent !
Done With Mirrors est victime de la même incompréhension de la part du public, que son prédécésseur Rock In A Hard Place, pourtant Joe Perry et Brad Whitford sont revenus au bercail courant 84 et la formation originale figure au grand complet sur ce huitième 33t d'AEROSMITH !
Alors qu'est-ce qui a pu déplaire à ce point sur cette cuvée 85 ?
Comme l'a fait remarquer SNAKE P, sans doute l'album souffre t-il d'une trop grande linéarité faute à des titres qui ne se démarquent pas vraiment les uns des autres et peut-être manque t-il une compo hyper catchy qui aurait séduit les radios et accroché les auditeurs, quoique l'entraînant "Let The Music Do The Talking" (sorti en single) est un morceau marquant qui reste bien en tête.
Pour le reste, je ne vois pas vraiment. contrairement à LONG JOHN SILVER (et au groupe qui n'a jamais vraiment aimé le son de ce 33t), je trouve que la prod de Ted Templeman rend plutôt justice aux morceaux, pas tous irréprochables mais très corrects dans l'ensemble.
Certes, "My Fist In Your Face" est un rock assez passe-partout mais dans son genre il reste vraiment efficace et n'est franchement pas désagréable.
Par contre je suis du même avis que LONG JOHN SILVER concernant 2 titres à oublier: le mid-tempo "The Reason A Dog" qui traîne la patte tout du long ainsi que le Zeppelinesque et pataud "She's On Fire" qui ne décolle jamais (contrairement au dirigeable !).
Restent les très bons "Shame On You", "Shela", "Gypsy Boots" et "The Hop" qui font très bien le boulot avec "Let The Music Do The Talking" et "My Fist In Your Face". ça fait donc 6 morceaux de valables sur 8. un bon score pour ma part.
À noter qu'un neuvième titre figure en bonus sur la version CD et aussi en cassette. il s'agit de "Darkness" qui alterne shuffle et rock dur. pas mal mais pas indispensable pour autant.





The CURE
THE CURE


Le 16 Janvier 2019 par RICHARD


Sans conteste à ce jour pour moi le dernier grand album de The Cure. En même temps, avec 4:13 Dream pas trop difficile.
La production de ROBINSON donne un certain volume à tous les morceaux. C'est un peu les deux côtés de Smith qui nous sont présentés.
Toute sa frustration et sa rage avec le surpuissant "Lost" et toute sa subtile douceur sur le triste "Going Nowhere". J'y reviens très souvent car cet album est une synthèse plus qu'honnête des Anglais.





The CURE
THE CURE


Le 15 Janvier 2019 par METALPROG84


Beaucoup moins bon que le précédent, "Bloodflowers" qui lui était vraiment excellent. Quelques bons titres dans la première moitié de l'album, ensuite ça se laisse écouter mais
c'est moyennement inspiré.
Décevant dans l'ensemble surtout comparé à la plupart de leurs albums.
Note réelle: 2.5/5.





Chris REA
THE ROAD TO HELL PART II


Le 14 Janvier 2019 par REALMEAN


En accord quasi parfait avec le commentaire précédent et la chronique; si cet album n'a plus grand-chose à voir avec son illustre aîné, "The Road to Hell", ce qui coince avant tout c'est que l'innovation rime ici avec perdition. Pourtant, le break lumineux de 'Can't get through' est l'un des plus beaux oracles jamais écrits par l'ami Chris. Incompréhensible, quand on constate qu'il n'est employé que 2 fois sur toute la durée du morceau - plus de 8 minutes... A 6min20s, au moment où il fallait relancer un assaut, le titre s'enlise dans son leitmotiv électro du can't get through, une mise en boucle rédhibitoire et symptomatique de la suite de l'album.
On va s'ennuyer ferme jusqu'à 'Marvin' au moins (ou pire, s'agacer rapidement), à partir duquel la véritable griffe de Chris Rea va réapparaître brièvement, l'espace de 3 morceaux - 'Marvin', 'Firefly' et 'I'm in my car'. Peine perdue, 'New times square' qui aurait pu achever de rehausser l'enthousiasme est avorté dans un fade out sans appel, révélateur du manque de développement dont les idées de cet album ont cruellement souffert. On a le sentiment que Chris lui-même ne sait pas où sont les couplets et les refrains de ses compositions, ce qui nuit totalement, par (dé)construction, à leur aboutissement. Quant à la clôture de 'The way you look tonight', s'il est possible que son "vachement cool ce soir" ait un certain style pour un auditeur non francophone, sa conclusion -musicale et sémantique- m'a semblé bien désinvolte pour une oeuvre issue du génie de l'artiste.
Je me souviens avoir été très dérouté, dès la première écoute du "Road to Hell Part 2" - perception qui ne s'est jamais améliorée ensuite. Heureusement, cette sortie de route (!) passagère n'aura pas de conséquence durable, et la suite de la disco va montrer que le bonhomme n'a pas perdu son cap créatif. Dès "King of the Beach", l'année suivante: un des albums de Chris Rea m'ayant totalement envoûté - il aurait pu l'appeler, celui-là à juste titre, "On the Beach Part 2"...





AEROSMITH
ROCK IN A HARD PLACE


Le 12 Janvier 2019 par LEO


Rock In A Hard Place est un album qui s'est toujours traîné une sale réputation, pourtant totalement injustifiée en regard de la qualité d'ensemble et de l'énergie qu'il dégage !
Ce manque d'intérêt auprès des fans et des rock-critics était-il dû au fait qu'AEROSMITH était à ce stade de leur carrière, amputé de ses deux guitaristes d'origine ? (Joe Perry depuis l'été 1979 et Brad Whitford depuis 1981) ou bien cette désaffection peut-elle s'expliquer par l'engouement du public pour des groupes plus récents (issus par exemple de la scène NWOBHM & co.) au détriment des formations des années 70 passées de mode en ce début des 80's ? .... la réponse provient sans doute un peu de ces deux explications !
Pourtant ce septième album en studio d'AEROSMITH est globalement très satisfaisant et enthousiasmant, même si sans doute pas totalement abouti comme pouvaient l'être Toys In The Attic et Rocks mais pas forcément moins réussi que Get Your Wings ou Night In The Ruts qui comportaient de très bons moments mais aussi leur lot de trucs bien plus dispensables.
En tous les cas, ce cru 81-82 a bien des atouts en sa faveur et est pour moi bien plus concluant et palpitant que le premier album éponyme ou le fort décousu et décevant Draw The Line !
À commencer par le décoiffant et carnassier "Jailbait", sans doute le morceau le plus belliqueux que le gang ait jamais commis.
Et ce n'est qu'un début puisque les excellents "Lightning Strikes", "Bitch's Brew" et "Bolivian Ragamuffin" déboulent à la suite !
La cover relativement moyenne de "Cry Me A River" vient vite tempérer les ardeurs de ce début d'album en fanfare, tout comme le quasi-psychédélique "Joanie's Butterfly" et son prélude planant peu passionnant, cependant le boogie "Rock In A Hard Place (Cheshire Cat)" et le groovy "Jig Is Up" remettent de suite les pendules à l'heure avec leur hard plombant mais classieux.
Le bluesy "Push Comes To Shove" referme tranquillement l'album sur une note mitigée (j'ai toujours eu du mal à encaisser le chant chevrottant de chat écorché-vif de Steven Tyler sur ce titre en particulier).
N'empêche, avec "Jailbait", "Lightning Strikes", "Bitch's Brew", "Bolivian Ragamuffin", "Rock In A Hard Place (Cheshire Cat)" et "Jig Is Up", cet album d'AEROSMITH totalise 6 brûlots sur 9 (je ne compte pas "Prelude To Joanie" qui n'est qu'un bref titre d'introduction). ça fait donc une bonne moyenne sur tout un album.
Non sincèrement, ce Rock In A Hard Place est à réhabiliter de toute urgence car il fait partie des meilleurs albums de la formation.





COCTEAU TWINS
AIKEA-GUINEA


Le 12 Janvier 2019 par RICHARD


Superbe chronique.
Tout l'univers des Ecossais est sur ces quatres titres. De l'ombre à la lumière, de la tension électrique à la douceur ouatée. Puis comment ne pas fondre sur Aikea Guinea ?





Michel SARDOU
CHANTEUR DE JAZZ


Le 12 Janvier 2019 par MARCO STIVELL

Sans connaître bien SARDOU, j'adore "Chanteur de jazz", la chanson. C'est ma préférée de lui.
Beaucoup de choses contestables (les rimes en "-an" pour l'esprit "american" et parfois lourdes, les programmations synthés, la surenchère vocale), mais en formant le tout, ça crée quelque chose de grandiose.
Difficile d'expliquer davantage, ce titre-là m'a toujours fasciné, contrairement à d'autres tubes du Monsieur.







Commentaires :  1 ...<<...<... 528 529 530 531 532 533 534 535 536 537 538 539 ...>...>>... 1133






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod