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Michel SARDOU
LE BAC G


Le 22 Janvier 2019 par DR JACK'ILL


Quoi ?! Comparer Michel SARDOU à Jean-Luc LAHAYE ?!?! Erwin t'es tombé sur la tête ou ton casque déconne ! Je rêve… ou je cauchemarde plutôt ! Pas touche à Michel et ne mélange pas les torchons et les serviettes s'il te plait ! Je peux encore te passer "les mélodies franchouillardes", "les thèmes café du commerce", qui font pourtant le succès de sa carrière ceci dit, mais le comparer à J.L, là vraiment, vraiment ça dérape ! Reprends-toi ! Et oui j'aime "55 jours 55 nuits" et alors ? Non mais… ! Sardou aura du se justifier toute sa vie de chanter ses chansons et maintenant on va devoir se justifier de les écouter et de les aimer, mais où va le monde !!!! Je plaisante bien entendu ! Merci Erwin pour cette belle disco !





Michel SARDOU
LE SUCCESSEUR


Le 22 Janvier 2019 par DR JACK'ILL


Enfin une chronique dans laquelle on n'aura pas entendu parler du café du commerce !!! Oui je vous invite à écouter "Dans ma mémoire elle était bleue" c'est un petit bijou et si vous voulez essayer de la chanter, prenez de l'élan ! Curieusement je n'ai jamais aimé le titre "La même eau qui coule" qui m'a toujours tapé sur les nerfs ! Comme quoi on peut être fan sans tout aimer ! Sur cet album, je retiens aussi "Vincent", "Elle en aura besoin plus tard" et "le Paragay". Il nous fait toujours voyager Michel !





Michel SARDOU
MUSULMANES


Le 22 Janvier 2019 par DR JACK'ILL


Tiens c'est bizarre, moi sur cet album mes chansons préférées sont "Dessins de femmes" et "minuit moins dix" avec sa ligne mélodique perturbante justement ! Je trouve le 2 sévère, j'aurais mis 3 !





YES
TALES FROM TOPOGRAPHIC OCEANS


Le 22 Janvier 2019 par SGT JAKKU


Tales from...naît dans la période la plus grandiloquente et la plus ambitieuse de Yes. C'est d'ailleurs l'exemple parfait à présenter quand on veut se moquer du rock progressif. Tales...est donc la deuxième grande oeuvre de Yes entre CTTE et Relayer et la plus contestée. Cette fois-ci, le public sera un peu décontenancé par la radicalité de l'objet.
En effet, Tales...est l'oeuvre la plus personnelle du groupe, un véritable album d'auteurs, un poème rock et pop qu'on peut rapprocher de l'oeuvre symphonique "La Mer" de Debussy.
Mais l'album présente quelques faiblesses : les faces 2 et 4. Ici, les thèmes tardent trop à se développer, des longueurs qui finissent par perdre un peu l'auditeur, là où le premier mouvement et le troisième sont parfaitement écrits, équilibrés et relancent constamment l'intérêt.
Tales...n'est pas raté pour autant. Sa grande force réside dans ces moments poétiques incroyablement beaux et rares. Les pages les plus immersives et évocatrices du monde aquatique sont les plus belles de toute la carrière du groupe. Rien que pour ça, cette grande oeuvre imparfaite mérite la meilleure note.





Michel SARDOU
LE BAC G


Le 21 Janvier 2019 par RED ONE

Les récentes chroniques de la discographie de Sardou par mon estimé collègue Erwin m'ont conduit, par principe, à aller réécouter avec un nouveau regard quelques extraits de son pléthorique répertoire.

Il n'y a rien à faire.
Probablement 10 ou 15 ans après avoir écouté pour la dernière fois une de ses chansons, je ne peux toujours pas supporter d'entendre le moindre titre de Michel Sardou.
Je ne pense cependant pas que ce soit du à l’ambiguïté des idées véhiculées par ses textes, dont je sais bien qu'elle est plus complexe qu'on ne pourrait le croire au premier abord. C'est tout simplement musical : la voix de Sardou ne suscite chez moi qu'un agacement profond, une irritation à chaque note qui sort de sa bouche.

J'ai lu, ici et là, qu'on reprochait souvent à Michel Sardou un classicisme excessif dans l'écriture de ses chansons, une absence constante de prise de risques malgré des évolutions évidentes au fil des décennies dans les orchestrations. C'est peut être là l'explication : j'ai toujours vu la musique de Sardou, depuis mon enfance, comme quelque chose d'assez basique, monolithique et peu engageant. L'archétype même du chanteur de variétés ennuyeux, aux textes exagérément émouvants, aux rîmes tantôt bêtement provocantes, tantôt un peu faciles.
Même Johnny Hallyday, que je n'apprécie pourtant pas beaucoup, m'a toujours semblé bien plus intéressant que Sardou, au final.

Bref, tout ça pour dire que malgré le recul et les années, en 2018 Sardou et moi c'est toujours NON.





PINK FLOYD
THE FINAL CUT


Le 21 Janvier 2019 par LEO


Ben pour moi c'est clair, je n'aime ni The Wall ni The Final Cut !
Ces 2 machins n'ont plus rien d'un travail de groupe, donc de PINK FLOYD, mais quoiqu'il en soit c'était déjà le cas à l'époque du superbe mais angoissé ANIMALS qui cependant bénéficiait d'un minimum d'apport de David Gimour sur "Dogs" et où l'on pouvait encore ressentir la présence fantomatique de Rick Wright même si celui-ci ne contribuait plus à l'élaboration des compos.
Ici tout est mollasson et vide. ce disque pue la mort, mais en un sens c'est bien ce que souhaitait Roger Waters, son créateur.
En somme, la boucle est bouclée.
De mon point de vue le FLOYD est un groupe qui n'a duré que dix ans, pas plus, et toutes les tentatives de Gilmour pour ressusciter la formation amputée d'une partie de ses membres et de son âme n'a rien changé pour ma part.
Celà n'a pas empêché le succès monumental de A Momentary Lapse Of Reason et The Division Bell (et de ses deux succédanés en live), mais de mon point de vue, l'aspect créatif était déjà tari depuis la fin des années 70 et PINK FLOYD avait déjà tout dit sur ses dix albums en studio de 1967 à 1977.





NIRVANA
MTV UNPLUGGED IN NEW YORK


Le 21 Janvier 2019 par CLANSMAN57


Il m'est indispensable celui-ci, encore plus que l'excellent "Nevermind".
Les émotions sont si fortes lorsqu'on l'écoute le soir...
Les branleurs de manche ne devaient plus rien comprendre à l'époque.
Cobain grattait quelques accords, mais il a su choisir les bons, ceux qui vont droit au coeur, tandis qu'eux se tuaient à en faire des montagnes pour pas grand chose au final.
En plus d'être bien plus beau qu'eux et bien plus humble, me semble-t-il.

Mention chef d'oeuvre pour moi.





PINK FLOYD
THE FINAL CUT


Le 20 Janvier 2019 par REALMEAN


Je m'étais décidé à enterrer les discussions à ce sujet : à quoi bon poursuivre la polémique autour d'un "Final Cut" âgé de 36 ans ? Mais, en parcourant les opinions exprimées sur Forces Parallèles, très représentatives du déchaînement des passions faisant suite à la sortie de cet album et aux agitations liées au divorce de Waters d'avec PF, je me dis que ma contribution n'aggravera pas l'état du champ de bataille issu de la genèse de l'une des oeuvres les plus controversées de l'histoire du rock. La plus controversée, en tout cas, dans la discographie du Floyd. Au fond, la polémique est une impasse. Je comprends tout-à-fait que l'on ait pu rejeter cet album en bloc, avant tout parce que sa musique n'était pas de nature à rallier tous les suffrages, ensuite parce qu'il s'agissait de l'appropriation définitive du Floyd par la main de son seul capitaine. La suite est connue, et les aficionados ont dû ruminer nombre de griefs à l'encontre du sieur Waters, embarqué ensuite dans une carrière solo qui n'a guère rencontré qu'un succès d'estime - pour ce qui en restait, et qui a laissé le reste de l'équipage naviguer sur des voies moins floydiennes. Avec encore, il est vrai, de beaux chapitres.
De mon côté, j'ai été l'un des rares (mais pas tant que ça) à avoir été conquis, submergé par la suite du gigantesque "The Wall". Je ne l'ai nullement perçu comme le chutier au rabais de son inoubliable frère d'arme, mais bel et bien comme une oeuvre complémentaire. Pour moi, "The Wall", c'est la folie (déjà davantage celle de Waters que celle du Floyd, il faut le rappeler : l'ami Roger pouvait-il s'arrêter sur cette lancée ?). "The Final Cut", c'est la souffrance, l'introspection torturée. Une véritable quintessence. La voix de Waters y est indescriptible, inhumaine.
Il m'est arrivé quelque chose d'inexplicable à l'écoute de cet album. C'est difficile de l'expliciter, c'est un peu comme si "The Final Cut" m'avait emmené au-delà de la musique.
Aujourd'hui j'ai un peu l'impression d'avoir passé le cap de "The Wall", que je ne réécoute que rarement. Mais je n'ai toujours pas passé celui de "The Final Cut".
Je l'ai écrit dans une autre chronique : je pense que Roger Waters aurait dû labelliser cet album en son nom propre, quitte à marquer une pause avec Pink Floyd. Cette démarche, non seulement, aurait pu éviter à "Final Cut" son positionnement d'imposture, mais elle aurait peut-être permis, également, de ne pas enterrer définitivement la collaboration avec le Floyd.





YES
CLOSE TO THE EDGE


Le 20 Janvier 2019 par MAGNU


3 titres et 3 classiques du groupe. Mon album découverte de Yes, ça devait être en 1977 et je n'aimais pas du tout à l'époque.

J'ai changé d'avis.





NIRVANA
NEVERMIND


Le 20 Janvier 2019 par THIERRY RAOULT


J'ai été scotché dès la première écoute, du début à la fin. Pas de faiblesse, que du lourd. Même les deux titres calmes sont poignants. Je cherche un défaut mais je n'en vois pas.





TAMINO
AMIR


Le 20 Janvier 2019 par RICHARD

C'est vrai qu'il est extrêmement difficile de ne pas penser à Jeff Buckley. C'est certainement très réducteur de ma part, mais écouter les yeux fermés ces titres, c'est comme faire un bond dans le temps et un peu se retrouver en 1994 en pleine folie Jeff. Une voix qui transmet mille et une emotions.





SIOUXSIE AND THE BANSHEES
NOCTURNE


Le 20 Janvier 2019 par LEO

Oui RICHARD, je me souviens fort bien de toute cette période car j'avais également pu assister au concert que SIOUXSIE AND THE BANSHEES avait donné à l'Espace Balard le 25 Mars 1984 (avec TC Matic en première partie) et dont quelques titres du futur Hyaena avaient été joués ce soir là (l'album ne sortira qu'en Juin mais le maxi-single "Swimming Horses" était paru une semaine avant le concert). je me souviens également de cette apparition télévisée complètement surréaliste (sans doute fin '82) dans laquelle le groupe avait interprété en playback "Il est né le divin enfant" ! souvenirs, souvenirs....... .-)





SIOUXSIE AND THE BANSHEES
NOCTURNE


Le 19 Janvier 2019 par RICHARD

Entièrement d'accord avec toi LEO. Il y a comme un petit côté frustrant de ne pas avoir la totalité des titres joués ces deux soirs. On peut néanmoins sur des supports non officiels trouver des versions de Green Fingers et Arabian Knights enregistrées lors des dates au Japon.
Quant aux titres de Hyaena, de fait, c'est un crève-coeur de ne pas les entendre même à l'état embryonnaire. Heureusement, on peut en avoir une idée avec la prestation des Banshees début 1984 à la télévision anglaise avec une version splendide de Running Time entre autres, mais ceci, je ne te l'apprends pas :-)





YES
CLOSE TO THE EDGE


Le 19 Janvier 2019 par SGT JAKKU


Au vu du nombre de chroniques (5 !), de commentaires, CTTE ne laisse personne indifférent. Les avis ont beau être très divergents, cet album, à la fois unique et emblématique, génère encore aujourd'hui beaucoup de passion, de questionnement et d'analyse. Preuve de son importance dans l'histoire du rock. On frôle (souvent) l'indigestion quand on le découvre la première fois. La production est excessive, les arrangements, l'exécution, la musique le sont aussi. C'est la première oeuvre folle et démesurée du groupe avant Yessongs, Tales et Relayer. Bref, beaucoup d’excès mais beaucoup de génie aussi !





SIOUXSIE AND THE BANSHEES
NOCTURNE


Le 19 Janvier 2019 par LEO


Ce live (double dans sa version vinyle) résume assez bien les cinq premières années de carrière de SIOUXSIE AND THE BANSHEES. Cependant, je regrette que la setlist entière n'y figure pas. Pour celà, il eût fallu sortir un triple album, chose fort improbable pour une formation Post-punk et surtout pour une maison de disques au beau milieu des années 80, d'autant que certains morceaux sont un avant-goût du prochain album studio en chantier (Hyaena en l'occurence !).
En effet, sur Nocturne, le groupe n'a inclus qu'une partie de son répertoire scénique joué lors de ces deux soirées au Royal Albert Hall les 30 Septembre et 1er Octobre 1983.
Manquent donc à l'appel onze titres, et pas des moindres:
"Halloween", "Running Town", "We Hunger", "Red Over White", "She's a Carnival", "Tattoo", "Arabian Knights", "Green Fingers", "Blow the House Down", "Christine" et "Head Cut".
Seuls "Head Cut" et "Running Town" ont eu droit à une parution en single mais uniquement en édition limitée réservée pour le fan club du groupe au Noël 83 et celui-ci ne fut jamais réédité ni publié parmi les bonus des albums remastérisés dans les années 2000, ni sur le coffret Downside Up: B-Sides & Rarities sorti en 2004.
Il reste à espérer qu'un jour, le groupe et Polydor fassent paraître une édition Deluxe et complète en double CD, mais j'en doute fort !
En attendant, Nocturne est une très bonne porte d'introduction à l'univers de SIOUXSIE AND THE BANSHEES.





Stevie Ray VAUGHAN
IN STEP


Le 19 Janvier 2019 par CLANSMAN57


Retour à une certaine inspiration, les compositions comportent davantage de fraîcheur sur "In Step".
"The House Is Rockin" est à nouveau idéale en guise d'ouverture, c'est une tradition chez le Texan, "Crossfire" est over the top et "Tightrope"... ah "Tightrope"... j'aurais une anecdote à raconter à son sujet, mais je ne vais pas le faire, sinon des frustrés vont dire que je me jette des fleurs, lol.
"Riviera Paradise" est la conclusion parfaite, il fait partie des titres qu'il faut avoir entendu ici-bas.

Excellent dernier album du maître.






Stevie Ray VAUGHAN
SOUL TO SOUL


Le 19 Janvier 2019 par CLANSMAN57


Petite baisse de régime après les deux missiles précédents, malgré l'arrivée du claviériste qui apporte une richesse supplémentaire.

Mes préférences penchent vers l'instrumental "Say What" qui ouvre le bal, le standard "Look At Little Sister" avec son piano et son saxophone, le catchy "Change It" et l'excellent "Empty Arms".
La reprise de Earl King, à savoir "Come On (part III)", me fait furieusement penser à "Pride And Joy".
Le guitariste s'est certainement servi de ce titre pour composer son tube, mais je préfère largement son travail, bien que le titre en lui-même ne soit pas désagréable.
J'allais oublier le très joli "Life Without You" dans le lot des réussites.

Sympathique!





Stevie Ray VAUGHAN
COULDN'T STAND THE WEATHER


Le 19 Janvier 2019 par CLANSMAN57


Il est tout aussi excellent que le premier opus.
L'entrée en matière envoie avec la courte instrumentale "Scuttle Buttin", le morceau titre est mythique, "The Things (That) I Used To Do" incarne le Blues lent de la plus belle des manières, idem pour "Tin Pan Alley" qui s'étend sur 9 min (on peut utiliser le terme spirituel), etc...
Je n'aime pas Hendrix, "Voodo Child" me devient plus qu'agréable entre les doigts de Vaughan.

La très grande classe.





Stevie Ray VAUGHAN
TEXAS FLOOD


Le 19 Janvier 2019 par CLANSMAN57


Je ne suis pas un dingo de Blues, mais Stevie Ray Vaughan, j'adore.
Guitariste exceptionnel bourré de feeling, jamais je n'entends une note superflue ou mal placée.
Cet homme incarnait le Blues dans toute sa splendeur.
La section rythmique assurée par Shannon et Layton groove impeccablement, impossible de ne pas se laisser entraîner.
Ils sont toujours justes et n'ont pas besoin d'en faire des tonnes...

"Texas Flood" compte pas mal de grandes chansons, même si elles ne sont pas toutes de sa composition: "Pride And Joy" et "Mary Had A Little Lamb" font partie des chansons qui me hantent depuis une quinzaine d'années.
L'éponyme est grandiose, "Love Struck Baby" est l'ouverture parfaite, tandis que "Lenny" referme le livre avec brio.








Michel SARDOU
LE PRIVILèGE


Le 19 Janvier 2019 par MARCO STIVELL

Oui, vive "Marie-Jeanne" !!
Premier titre que j'ai entendu de Michel SARDOU à l'époque, et dont je garde le souvenir.
Les paroles sont excellentes, et puis cette voix, dans la montée du refrain, pfiou...
Ma préférée avec "Chanteur de Jazz" !







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