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MIDNIGHT OIL
CAPRICORNIA


Le 26 Juillet 2016 par JOHN MACCARTNEY


Dernier album studio en date, "Capricornia" s'est contenté du strict minimum. D'ailleurs, le groupe l'avoue lui-même sur la vidéo accompagnant le cd. Les compos sont très fluides mais sans prise de risque. D'ailleurs, on y retrouve "Say Your Prayers", version identique à celle déjà présente sur "The Real Thing" (2000). Du coup, ça ne prend jamais complètement. C'est propre, mélodique, péchu et bien joué. Mais sans éclat. Le chant de Garrett devient trop parodique pour sonner naturel. Il y avait des signes annonciateurs du split. Un best of (1997) + le 3/4 unplugged "The Real Thing" + Hirst et Moginie se lançant dans d'autres projets musicaux + Garrett de plus en plus investi dans la politique... . Pas le meilleur album, mais ça se laisse écouter facilement. 2,5/5

Pour information, Midnight Oil va se reformer pour une tournée mondiale en 2017. Une intégrale remastérisée est aussi prévue. Aucun nouvel album en préparation pour l'instant. Parallèlement Peter Garrett a sorti, mi-juillet 2016, un album solo intitulé "A Version of Now".





GLENMOR
LA COUPE ET LA MéMOIRE


Le 25 Juillet 2016 par JOVIAL


Ha ! Amañ zo ur brezoneger ! Mat ! Ya, bihan-sod ar bed 'giz lâres ... Klevet Grall ha Glenmor 'kojeal nije plijet din ... Siwazh on re yowank ! ;)

Merci pour tes encouragements ! Quand la disco de Glenmor sera achevée, celle de Youenn Gwernig viendra sûrement ensuite !





MIDNIGHT OIL
REDNECK WONDERLAND


Le 24 Juillet 2016 par JOHN MACCARTNEY


En moins de 2 ans, Midnight Oil passe d'un extrême à l'autre. Après la pause méditative de "Breathe", le groupe sort à nouveau ses griffes acérées avec "Redneck Wonderland". Retour à l'électricité. En la combinant avec des samples et des rythmes électroniques, les Oils se renouvellent. Une partie des fans se détourneront du groupe, ne comprenant pas un tel virage musical. Pourtant, il n'est pas si mal que ça. Bon, il est un peu surproduit mais la puissance des riffs 'overdrivés' de Rotsey et Moginie, le retour d'un Garrett tantôt enragé tantôt ombrageux, les rythmiques apocalyptiques de Hirst associées aux beats indus et un Hillman retrouvé font plaisir à entendre. Le titre éponyme est une réussite complète, "Safety Chain Blues" un dépaysement, "Return to Sender" inclassable, "Blot" (démo des 70's de Jim remise au goût du jour) lorgne vers la fusion, "The Great Gibber Plain" apaise, "Seeing is Believing" aurait mérité d'être une B.O d'un James Bond et on peut considérer "Drop in the Ocean" comme un hommage aux Beatles sous le soleil australien. Les titres restants sont aussi de très bonne facture, avec "Cemetery in my Mind" se posant comme une réminiscence de "My Country". "Redneck Wonderland" aurait mérité plus que d'être grandement ignoré des charts. Surtout que, textuellement, les Oils avaient à nouveau la hargne, critiquant vivement l'intolérance, le racisme tout comme le capitalisme de la droite qui avait pris les commandes du pays à l'époque. Album sous-estimé dans la carrière du groupe. 3,75/5





MIDNIGHT OIL
BREATHE


Le 24 Juillet 2016 par JOHN MACCARTNEY


En voulant prendre un virage musical folk-rock tout en revenant sur les bases d'origine, Midnight Oil s'est fourvoyé. La production est en cause. Comme par le passé (époque "Place Without a Postcard"), les Oils ne sont pas du genre à se laisser faire si quelque chose ne leur plait pas. Rob Hirst, le coeur du groupe, ne s'est clairement pas entendu avec Malcolm Burn. A côté de très bons morceaux ("Underwater" aux allures légèrement psychédéliques, le morceau folk "One Too Many Times", la pop song aux magnifiques choeurs de "Barest Degree" et "Gravelrash" debout sur son longboard), il y a des expérimentations mal développées ("Sins of Omission", "In The Rain" et "Home"), et le restant est une sorte de copié-collé pas désagréable (mais parodique) de ce qu'ils ont pu faire à leurs débuts. A noter le duo improbable Garrett-Emmylou Harris sur "Home". Même textuellement, le groupe ne s'est pas foulé. Les sujets habituels sont là mais sont plus effleurés que développés. Le fait de retrouver les membres du groupe à échanger leurs instruments selon les chansons donne l'impression d'un groupe en roue libre, sans réelle motivation. Aussi bons que soient ces musiciens, les compos manquent de l'énergie brute, de l'esprit contestataire et de ce style si singulier qui ont mené le groupe au sommet du rock de 1987 à 1993. Les quelques versions live existantes sur le net sont bien plus fluides et rock que celles de l'album. Même si on ne peut refaire l'histoire, il est probable que le groupe n'aurait pas disparu 'commercialement' s'il avait sorti "Redneck Wonderland" avant "Breathe". En 1996, le grunge était mort et l'électronique envahissait le rock.





NINE INCH NAILS
THE FRAGILE


Le 23 Juillet 2016 par CLANSMAN57


Nouvelle mue effectuée, NIN donne dévoile différentes facettes cette fois ci.
C'est personnellement celui que je préfère, le voyage est d'une sacrée richesse...

Certains y verront un manque de cohérence, d'autres se délecteront de cette diversité extrêmement généreuse.

Le sommet du génie Reznor, à mon sens, on pourrait écrire des pages et des pages pour chaque pièce de ce "Fragile".





NINE INCH NAILS
THE DOWNWARD SPIRAL


Le 23 Juillet 2016 par CLANSMAN57


C'est beau la mise à nue d'un artiste.
Reznor nous propose de sonder son âme torturée, le suiveur fera un voyage
des plus glauques, le courage sera un allié de premier choix.

Trent assène l'auditeur à grands coups de souffrance, de haine et de tristesse.
La douleur est palpable... âmes sensibles s'abstenir.

Cette oeuvre est bruitiste, violente, déformée, froide, abyssale et surtout très effrayante.

Les programmations sont les reines sur "The Downward Spiral" et leur règne
en impose en matière d'ambiance déshumanisée... cependant, des émotions fortes passent au travers, des émotions humaines.

Par ailleurs, "Closer" devrait passer dans les boîtes de nuit jusqu'à la fin des temps.
Elle est parfaite pour danser.









OMD
ORCHESTRAL MANOEUVRES IN THE DARK


Le 23 Juillet 2016 par BUKO


Je me lance dans la disco d'OMD. Je trouve que pour un premier album il est plutôt sympa. C'est un peu dur de dire que la moitié du disque est "limite desespérant voire presque nul". Hormis "Almost" et "Dancing" qui ne sont pas très bons (sans être nul), le reste m'emballe bien. Après ma deuxième écoute je dirais tout de même que le meilleur est pour moi le bloc "mistereality" jusqu'à "julia's Song".
Si le meilleur est à venir, j'en salive donc déjà. Bon par contre, je viens tout juste de découvrir que "Enola Gay" était d'OMD. Est ce que je l'ai trop entendu sur la FM? Parce que ce qui me vient à l'esprit c'est "Aie aie aie". J'espère que le reste sera d'un autre niveau. Merci pour vos chroniques.





NINE INCH NAILS
BROKEN


Le 23 Juillet 2016 par CLANSMAN57


Le premier opus réellement intéressant de Reznor, à mon sens.

On retrouvera cette rage électrique sur un certain "Antichrist Superstar".
Lorsqu'on écoute "Suck", on ne doute même plus des points communs entre ces deux oeuvres.

Intemporel et essentiel (pour qui s'intéresse à NIN), l'âge d'or de Reznor commence ici.







GLENMOR
LA COUPE ET LA MéMOIRE


Le 23 Juillet 2016 par MAPIHAN GRALL

N'on ket 'vat !
Va mamm-gozh a-berzh mamm an hini eo 'oa ur « C'hrallez » anezhi, hag hi kar-pell da Xavier, evit doare, 'welez ket ! Bihan-sod ar bed, neketa ?
'Pezh a vank d'ar re yaouank hiriv-an-deiz ? Ar goustiañs politikel, sed ahe !
Complètement d'accord avec toi sur le constat. Mais des exceptions, il y en a aussi (te, na pa ve ken !!!)... Dre chañs ! N'eo ket achu an abadenn c'hoazh !
Merci pour tes chroniques documentées, éclairées, engagées, passionnées et courageuses.
A galon.





GLENMOR
LA COUPE ET LA MéMOIRE


Le 22 Juillet 2016 par JOVIAL


Merci pour ton commentaire MAPIHAN GRALL !

Je suis on ne peut plus d'accord avec toi. Même si le discours des deux compères ne plaisait pas à l'époque, je l'entends de plus en plus revenir dans la bouche des bretonnants âgés désormais, qui se rendent compte que le monde que tentait de défendre Glenmor et Grall est parti du mauvais côté.

Je suis d'ailleurs actuellement aux Fêtes de Cornouaille pour le boulot et je ne peux m'empêcher de penser ce qu'en aurait penser Glenmor aujourd'hui. Tout ça pue le fric, le folkore ... ça n'a plus rien de breton. Je suis jeune et je n'ai guère connu les traditions rurales non plus, mais tout cela va trop loin et perd de son essence !

Bref, je m'arrête là, ça va gueuler !

(Mapihan ? Serais-tu le petit fils de Xavier Grall donc ?)





GLENMOR
LA COUPE ET LA MéMOIRE


Le 21 Juillet 2016 par MAPIHAN GRALL


Grall-le Scanff, quel contraste, c'est tellement vrai...
Mais quel résultat, aussi, quelle synergie, quelle coopération créative !
Deux êtres habités par une flamme vive et ardente, il faut les avoir vus et entendus discourir sur la Bretagne, le Léonard et le Cornouaillais, tellement différents, mais aussi semblables, au final, portés par la même passion !
Sans vouloir jouer au vieux c.., c'est un peu ce qui manque à la Bretagne aujourd'hui, où, à de rares exceptions notables (Clarisse Lavanant...), les teneurs de la culture locale se contentent, pour beaucoup de gérer tièdement une rente de situation provenant d'un patrimoine pour la survie duquel des GLENMOR et des GRALL se sont, eux, véritablement mouillés.
A époque exceptionnelle, personnages exceptionnels, il est vrai... et la comparaison avec ces deux géants doit être dure à porter aujourd'hui, quand tout semble acquis. Pour l'anecdote, en 1979, année de la sortie de l'album, le fait de prénommer ses enfants en breton était pénalement répréhensible.







GRAVEYARD
HISINGEN BLUES


Le 21 Juillet 2016 par CLANSMAN57


Un opus de revival Hard 70's qui mérite la note maximale, ça n'arrive pas si souvent.
Ce "Hisingen Blues" n'a pas volé sa sélection du site.

Tout le long, on retrouve une très bonne alternance entre des chansons énervées et d'autres plus planantes.

La superbe voix est située quelque part entre Robert Plant et Chris Cornell, les musiciens sont bourrés de feeling et ils n'en font pas de trop.
Quel bonheur!

Pas une mauvaise chanson est gravée ici, l'ensemble s'écoute d'une traite sans ennui.
Et ça ne dure pas des plombes inutilement.

Même la chanson bonus, "Cooking Brew" est top.
On ajoute à tout ce joyeux monde une pochette loin d'être moche et on est heureux.

What else?







The GATHERING
NIGHTTIME BIRDS


Le 19 Juillet 2016 par DIEU


Chères créations,
ce petit message d'amour pour vous dire que je vous ai envoyé un ange pour vous chanter les louanges de ma création et que vous auriez pu transcender par millions à l'écoute de cette oeuvre divine.
Mais voilà, comme d'hab, vous êtes passé complètement à côté ! Vous êtes les plus grands trouduc de l'univers ! Ah ça pour acheter des âneries, y a du monde au carrouf ...
Bref, je vous pardonne et je vous laisse mon ange pour que vous puissiez un jour trouver la grâce.


Par Forces Parallèles

Note d'une des créations :

vous avez oublié le "s" à "trouduc", Seigneur. C'est qu'on est nombreux ici !

PS : Bien le bonjour à Djizeus !





Ibrahim MAALOUF
RED & BLACK LIGHT


Le 17 Juillet 2016 par DR JACK'ILL


J'ai découvert Ibrahim Maalouf au hasard d'un festival de Jazz, un soir dans le Parc Longchamp de Marseille, le soleil se couchait, le ciel rose donnait le ton, et puis les premières notes de Beirut retentirent, l'assemblée fut lentement transportée de l'autre côté de la Méditerranée, le souffle du public suspendu au souffle profond et émouvant de la trompette. Moment inoubliable d'une étonnante fusion entre l'artiste et son public, la musique et le cœur... On appelle ça une rencontre... Red et Black Light reproduit cette magie et mérite toutes ces étoiles, cinq n'y suffisent pas ! C'est un ciel étoilé qu'il faudrait pour décrire la myriade d'émotions que ces notes et ce son peuvent faire éclore. Magnifique, fragile, léger et profond, cet album comme un poème, qui parlerait des femmes, nous parle surtout d'humanité dans des ambiances modernes, vintages et orientalisantes, d'une étonnante originalité. Un grand merci Marco d'avoir fait une place sur FP à cet excellent artiste !





The LORDS OF THE NEW CHURCH
IS NOTHING SACRED ?


Le 17 Juillet 2016 par LATIMUS


Oh que j'ai adoré ce disque ! Moins urgent et apocalyptique que le premier album, plus travaillé et plus varié, avec sa production assez léchée (signée Todd Rundgren) qui fait que je l'écoutais souvent au casque (c'était la vogue du walkman, bien avant les mp3) pour en saisir tous les effets. J'aime tous les titres, et le fait qu'on entende bien la basse (c'est aussi du au fait que Brian James jouait sur Telecaster, qui envoie moins de graves qu'une grosse Les Paul). Quant au regretté Bators, sa voix était véritablement envoûtante...





CHRISTOPHE
CHRISTOPHE


Le 15 Juillet 2016 par DEJAVU

Honte à moi, je n'ai pas dit BRAVO et MERCI à WALTERSMOKE pour cette brillante chronique, voilà qui est fait !





MARILLION
SCRIPT FOR A JESTER'S TEAR


Le 15 Juillet 2016 par GOLGOTH 68


Premier album, premier coup de maitre...





MARILLION
FUGAZI


Le 15 Juillet 2016 par GOLGOTH 68


Un album qui nécessite beaucoup d'écoutes pour être assimilé. C'est surement le moins bon de la période Fish mais ne vaut clairement pas moins de 4 étoiles. Mention spéciale à "Incubus" dont j'adore le final.





ANNIHILATOR
FEAST


Le 14 Juillet 2016 par MR TINKERTRAIN


Autant j'ai aimé le précédent, autant celui-ci me laisse sur ma faim...trop bourrin, pas assez de mélodies, et surtout trop rapide du début à la fin. Comme le Deconstruction de Devin Townsend, là ça fout mal au crâne...





CHRISTOPHE
CHRISTOPHE


Le 14 Juillet 2016 par WALTER SMOKE

Merci pour vos commentaires !

@Dejavu : au moins toute la disco jusqu'à Pas vu pas pris (1980) est écrite, tout n'est plus question que de temps pour la parution.







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