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SLAYER
SOUTH OF HEAVEN


Le 05 Mai 2016 par RIKKIT


Je connais pas grand chose d'eux. Reign in Blood en fait qui me fatigue vraiment.
Mais putain, South of Heaven est sublime, je jure par Slayer par moment, simplement sur cet album parce que rarement j'ai pu entendre un truc pareil. Violent, insidieux, puissant, finement ciselé. Sublime, tout simplement sublime.





SLAYER
SOUTH OF HEAVEN


Le 05 Mai 2016 par FRED


Pour moi leur meilleur.
Bien plus travaillé que le précédent.
Je trouve que la reprise de JUDAS est excellente : elle dépoussière ce morceau pour en faire du vrai SLAYER, tout en respectant l'originale. Le plus bel hommage qui soit !





MIDNIGHT OIL
DIESEL AND DUST


Le 04 Mai 2016 par JOHN MCCARTNEY


L'album de référence de Midnight Oil, celui qui a révélé le groupe au monde entier. Il faut dire qu'avec des singles imparables comme "Beds Are Burning" et "Dead Heart", ça en jetait un max. L'inspiration est plus que jamais là. Elle vient d'ailleurs en grand partie du bush et de ces territoires Aborigènes que les Oils ont traversé durant quelques semaines de l'année 1986. Périple éprouvant qui aura eu raison de la santé de Peter Gifford. Mais il sera très vite remplacé par un 'kiwi', Bones Hillman. Anecdote : c'est Neil Finn, leader de Crowded House, qui l'a proposé au groupe.

Outre l'inspiration, les grandes qualités de D&D viennent de sa simplicité et de sa sincérité. Pas de plans psychédéliques comme sur "Red Sails in the Sunset", mais plutôt la volonté d'évoquer musicalement l'atmosphère de leur road-trip. Déjà en commençant par le son particulier de la batterie, très feutré. Les arrangements sont tout en retenue, enrichissant juste comme il faut les mélodies : percussions diverses, effets planants, bullroarer (instrument Aborigène qui a donné son nom à la chanson), violons, cuivres, nappes de claviers, etc. La plupart des morceaux ont été élaborés sur la route, au beau milieu de nulle part. Sur le remaster de 2007, la vidéo "Blackfella/Whitefella" retrace ce Tour dépaysant au contact des tribus, en compagnie du Warumpi Band. Celui-ci a la particularité d'avoir été le 1er groupe de rock Aborigène.

Les textes sont aussi simples que les compos, mais ils se suffisent à eux-mêmes en présentant crument la dure réalité de la vie quotidienne (et passée) des Aborigènes. Le groupe s'attaque aussi à d'autres sujets, comme les armes nucléaires ("Put Down that Weapon"), les promoteurs immobiliers sans scrupules ("Dreamworld"), la pollution de l'Arctique ("Arctic World"), un hymne à l'optimisme ("Sometimes") et enfin la "Gunbarrel Highway", route mythique du bush.

"Diesel & Dust" n'est pas le meilleur album de l'histoire du rock, c'est certain. Pas non plus le meilleur de la discographie du groupe. Mais il a eu le mérite d'avoir pointé du doigt l'impressionnant décalage entre le monde 'civilisé' des Blancs et celui des communautés Aborigènes laissées pour compte. C'est aussi l'un de ces albums qui sonnent typiquement 'australien', l'accent de Peter Garrett en 1er lieu, les lieux exotiques ensuite.





DEPECHE MODE
VIOLATOR


Le 01 Mai 2016 par NONO


"Halo" et "Waiting for the night" sont mes deux préférées du disque.





DEPECHE MODE
SONGS OF FAITH AND DEVOTION


Le 01 Mai 2016 par KID66


Peut être pas le meilleur DEPECHE MODE, mais leur sommet artistique à mes yeux. Il marque une vraie cassure avec les précédents, montre une variété admirable (chose rare pour DM), et surtout un groupe au sommet de son inspiration en terme d'ambiances, de mélodies, de composition.

Alors pourquoi pas le meilleur ? Il est vrai qu'il est facile et très courant de pointer du doigt "Condemnation", "Judas" et "Get Right With Me". Elles sont ou citées par les détracteurs du disque, ou passées sous silence par ses adorateurs. J'ai personnellement eu du mal à rentrer dans ce disque à cause de ces 3 titres qui à mes yeux rompaient son homogénéité en terme de style comme de qualité. Pourtant, ce sont de très belles chansons pourvu qu'on accepte de leur donner une chance, qui n'ont comme défaut que d'être moins éclatantes que les autres compositions du disque. Dave Gahan y est impérial.

Et puisqu'on en parle des autres, et bien mes amis... C'est du grand art. "Mercy In You" et les fabuleuses "I Feel You", "One Caress", "Rush" et "Walking In My Shoes" sont de véritables joyaux, parmi les meilleurs titres jamais écrits par le groupe.

Réservons un petit paragraphe pour parler de "In Your Room", meilleure chanson de DEPECHE MODE et dans mon top 10 ever de la mort. C'est simple, à chaque fois je suis sur le cul tellement cette compo est exceptionnelle. Le groupe devait être en état de grâce ou je ne sais pas... Un truc qui arrive une fois dans un vie.
"Higher Love" est une autre merveille absolue, une micro-étoile en dessous (de 6/5 donc).

Un disque qui demande du temps c'est sûr, mais le zénith du groupe en terme d'inspiration.





SLAYER
REPENTLESS


Le 30 Avril 2016 par LATIMUS


Un album moyen, dans le bon sens du terme, c'est-à-dire ni mauvais ni excellent. A part les titres 9, 10 et 11, qui constituent à mon avis le ventre mou de l'album, le reste est potable voire bon voire très bon. L'intro "DOS" est magnifique (Slayer a rarement raté un début d'album), suivie par le très bon "Repentless", qui résume bien la philosophie du groupe. "Take Control " et "Vices" ont un petit côté Groove Metal bien sympathique, "Stillness" est OK mais aurait pu peut-être être encore meilleure avec des solos et une durée plus longue, "Chasing Death" très bonne, avec un Araya déchaîné.
Un album qui aurait pu être encore meilleur avec davantage de solos (et de compositions) de Holt. Slayer n'est pas encore mort !





Alannah MYLES
ALANNAH MYLES


Le 30 Avril 2016 par CLANSMAN57


Il prend de sacrées rides celui-là avec sa production "pour plaire" de l'époque.
De la Pop mariée au Hard dit "FM", avec une jolie voix rocailleuse, accompagnée d'un sens du Groove, ces chansons s'écoutent de tout seul.
Mais cette odeur de vieux me dérange... additionné à ce côté "on va faire sonner un peu couillu parce que ça marche en ce moment" aussi...

"Rockinghorse" sera moins "couillu", plus intéressant, moins ridé, mais pas beaucoup plus indispensable que ce premier jet.

Une artiste dont presque plus personne ne se souvient aujourd'hui.
"Black Velvet" fera pousser des "ah oui, je connais!"... mais c'est tout.

2,5/5 quand même.








DEPECHE MODE
VIOLATOR


Le 30 Avril 2016 par KID66


C'est marrant parce que personnellement j'adore "Sweetest Perfection", c'est peut être un de mes titres favoris du disque.

Je lui préfère Black Celebration, mais ce Violator est quand même l'une des oeuvres majeures de DEPECHE MODE. Bien qu'il soit rempli de tubes facilement mémorisables, je le trouve très profond (bien plus que Music For The Masses). On sent d'ailleurs dans le tempo que le groupe souhaite se poser au peaufiner son esthétique : le disque est très calme et très lent. "Personal Jesus" est l'exception, et c'est d'ailleurs peut être le morceau que j'aime le moins (bien qu'il s'agisse d'un tube interplanétaire tout à fait délicieux).
Pour le reste, on nage donc dans une pop raffinée, mature, immersive et splendide.

"World In My Eyes", "Enjoy The Silence", "Policy Of Truth", "Clean"... Des merveilles !





The CURE
DISINTEGRATION


Le 30 Avril 2016 par KID66


Un énorme classique, avec des qualités fort bien résumées dans la chronique. L'ensemble est extrêmement homogène, et au niveau de l'ambiance féerique et lumineuse la réussite est totale. Les perles s'enchainent les unes après les autres...

Malgré tout, l'album accuse quelques longueurs. 74 minutes (de mémoire) ce n'est quand même pas rien, et les chansons ont tendance à s'étirer - pas inutilement cependant car la composition est très rigoureuse et maitrisée - donc mises bout à bout ça fait un peu longuet. Et puis je n'ai jamais trouvé "The Same Deep Water As You" très intéressante (mais rien de honteux).

Pour le reste, on notera une introduction solaire ("Plainsong"), des tubes mélancoliques dont seul ce groupe possède la recette ("Pictures Of You", Lovesong", "Lullaby"), des éclairs de génie ("Fascination Street" et la pièce titre (ma chouchoute)), et une conclusion idéale sans titre.
Un must-have assurément !





SCORPIONS
LOVE AT FIRST STING


Le 29 Avril 2016 par SLAKER


Bon. Je suis pas là pour critiquer les critiques et les commentaires (vous inquiétez pas, mon avis est après) et je sais que plusieurs désaccords ont déjà fleuri sur cet album, mais il y a deux choses qui me tracassent :
-Dans la Kro-express de MR. AMEFORGEE, les deux premières lignes (et demi) insinuent assez clairement que l'auteur n'aime pas le groupe en général. Donc sans surprise, le niveau d'objectivité de cette chronique est proche du néant (surtout pour Still Loving You, et j'ose espérer qu'il y a une part d'humour dans la comparaison avec le Nazisme).
-Un certain commentaire à une étoile indique que le groupe aurait presque inventé le politiquement correct. Pour reprendre la chronique principale, « ma chatte ronronne et m'écorche la peau, qu'y-a-t'il de mal à commettre un nouveau péché ? » (dans Rock You Like a Hurricane). Je crois que je n'ai pas besoin d'en dire plus à ce propos.

Bien, désolé pour cet interlude, penchons-nous sur l'album, on est là pour ça. "Love at First Sting", ce n'est peut-être pas ce genre d'album ou on doit chercher le génie dans l'originalité des compositions, mais plutôt dans leur efficacité. Et là ou "Blackout" balançait du riff direct et mordant, "Love at First Sting" fait plus dans la simplicité. Et il réussit le tour de force de nous proposer des mélodies à la fois travaillées et accrocheuses.

Ainsi, "Bad Boys Running Wild", "Big City Nights" et "Rock You Like a Hurricane" ne nous proposent certes pas un tempo à la speed-Metal, mais prennent le grand soin d'inventer des refrains convaincants et des riffs plus complexes que d'habitude. Et je suis presque sûr qu'il est aussi difficile de composer des refrains accrocheurs (commerciaux, voire marketting diraient certains) que de nous pondre des solos longs, tortueux, techniques mais qui ressemblent à de l'impro.
"Coming Home" nous propose une intro toute douce avant un riff déjà plus déchaîné et rapide, mais toujours mélodique. Une belle petite perle.
On notera aussi l'originalité de "Crossfire", ce chant anti-guerre au rythme militaire.
Certaines chansons sont toutefois moins marquantes. "I'm Living You" est ainsi un peu trop répétitive, "As Soon as the Good Times Roll" est un peu hésitant et "The Same Thrill" casse un peu (oui, toujours "un peu") l'homogénéité globale de l'album.

Car, malgré une relative diversité dans les compositions, ce qui me marque le plus dans cet album, c'est son homogénéité globale, grâce à la production très axée eighties (et pourtant sans le moindre synthé !) et à ses chansons qui se suivent bien. La face A (chansons 1 à 5) est un enchaînement de tubes se concluant par le plus excessif des morceaux de l'album. Puis la face B semble vouloir continuer dans cet optique mais se trouve être une descente progressive du rythme de l'album. "As Soon as the Good Times Roll" est ainsi la chanson parfaite pour commencer cette descente, tandis que "Crossfire" donne une impression de suspens, avant la ballade finale.

"Still Loving You". Cet enchaînement de 4 accords banal, classique, et qui pourtant est tellement bien arrangé et mis en place qu'on se laisse porter sans s'apercevoir de la simplicité de la chose. Tout est parfait dans cette chanson. Cette progression de l'émotion et de l'intensité, c'est génial. C'est simple, et pourtant c'est difficile tant l'interprétation est grandiose. Je sais, j'ai un peu de mal à m'exprimer sur celle-ci.

Au final, "Love at First Sting" est tellement homogène que ça se ressent dans l'interprétation des musiciens. Aucun n'est au-dessus d'un autre, tout le monde est présent. Même Mathias Jabs ne rayonne pas seul, ses solos sont techniques, placés là ou il le faut, mais modérés, ni discrets, ni trop présents. Le tout est sublimé par un Klaus Meine parfait et au top de l'interprétation et de l'émotion. Si le Hard Rock à tendance commerciale vous horripile, alors en effet, passez votre chemin, sinon, sautez sur cette merveille.





SLAYER
REIGN IN BLOOD


Le 28 Avril 2016 par DINICED


Reign In Blood ! La quintessence de la rapidité, de l’agressivité et de la malsanité ! C’est l’Abomination incarnée ! L’Antéchrist et le Jugement Dernier, c’est Lui !
Je l’écoute rarement. C’est trop violent, trop rapide (10 morceaux pour moins d’1/2 heure !) trop hurlé, trop sanglant. Et à chaque fois que je l’écoute, je repense à l’expression d’un chroniqueur de NIME « Ça sent le soufre quand on sort la galette… ». Car Slayer c’est bien ça : la sueur, le sang, le souffre. Bien des groupes ô combien plus violents n’ont pas réussi à représenter avec une telle exactitude la véritable « violence ».
Je comprends que ça soit une légende et une référence.
Respect.






The CURE
DISINTEGRATION


Le 28 Avril 2016 par EL PACHENKA

C'était mon premier album des Cure que j'avais acheté. Je ne connaissais alors que les singles colorés issus des deux albums précédents. Depuis, j'ai donné cet album à un proche vraiment fan du groupe. Rien qu'à l'idée de replonger dans Disintegration me donne des sueurs froides. Il fallait comprendre la grosse déception du profane que j'étais à l'époque.





The CURE
DISINTEGRATION


Le 28 Avril 2016 par NONO


"Disintegration" est un peu un mix du style sombre des premiers albums avec la sophistication des albums plus récents.
Parmi mes albums favoris du groupe, mais pas mon préféré pour autant.
Et puis.... qu'est ce que le clip de "Lullaby" me faisait flipper à l'époque !





The CURE
DISINTEGRATION


Le 27 Avril 2016 par LEO


Si l'hétéroclite et moyen Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me partait vraiment dans tous les sens musicalement, Disintegration est lui totalement homogène et cohérent.
Le revers de la médaille, c'est que cette trop forte homogénéité a tendance à alourdir l'album et à rendre l'ensemble des compos très similaires les unes aux autres.
De plus, j'ai un peu de mal avec l'aspect solennel très pesant et les synthés assez proéminents sur des titres comme "Plainsong", "Closedown", "Prayers For Rain" et "The Same Deep Water As You".
D'autre part, la majorité des morceaux sont de mon point de vue beaucoup trop longs et linéaires et avec 12 titres, on frôle un peu l'overdose par instant!
J'ai l'air de faire la fine bouche mais au final je reconnais que cet album est plutôt réussi car très hamonieux et consistant. simplement, son austérité ne me touche pas vraiment et ne me pousse pas à une écoute régulière comme je peux je le faire avec Seventeen Seconds (qui est pourtant un album assez austère lui aussi, mais d'une austérité somme toute, moins écrasante).
Je retiens avant tout: "Lovesong", "Last Dance", "Lullaby", "Fascination Street", et les 2 plus longs "The Same Deep Water As You" et "Disintegration".
Un bon 3,5 voire 4.





CAMEL
MIRAGE


Le 27 Avril 2016 par KID66


Un disque absolument merveilleux, un des sommets du rock prog, sorti pendant l'une des meilleures années du genre mais souvent oublié.

Chaque chanson apporte quelque chose d'unique, l'intensité de retombe jamais, et on ne relève absolument aucune fausse note. Les mélodies sont inoubliables, les surprises nombreuses et délicieuses, l'inspiration de ce groupe exceptionnel à son apogée.
Bref, de la musique maitrisée et vibrante.

Un dromadaire sur l'île déserte ? Et bah pourquoi pas !





CAMEL
NUDE


Le 27 Avril 2016 par KID66


Je l'avoue, après le quatuor magique des 70's j'ai zappé Rain et les deux suivants pour m'intéresser directement à ce Nude, et j'avais à l'époque été un peu refroidi dans ma découverte de ce groupe pourtant fantastique.

Pourtant, on tiens là un album très réussi, à n'en point douter. Les premières chansons et "Lie" sont de véritables joyaux de pop progressive. Le style est léché, les mélodies splendides, l'émotion évidente. Notons aussi quelques instrumentaux de toute beauté, toujours sur la première face.

Ce qui me gêne, c'est le long passage allant de "Landscapes" à "The Homecoming". Si le travail d'ambiance est particulièrement bon (je rêvasse gentiment sur les premières plages, et puis cette flûte !), on sent que ça s'essouffle un peu sur la fin. Le côté "enchainement d'interludes" me gêne aussi un petit peu. L'arrivé de "Lie" est presque un soulagement.

Le concept est intéressant et émouvant, et dans l'ensemble Nude est un disque homogène, riche et bien sûr, beau. Je me montre sévère, mais qui aime bien... Enfin vous savez.
3,5/5





Erik MARCHAND
CHANTS DU CENTRE-BRETAGNE - AN HEñCHOù TREUZ


Le 26 Avril 2016 par FRED


"Kar parrez Poullaouen, james 'vezo 'met ru' !"
Le Kreiz-Breizh rouge et le Léon gwenn, douar ar veleien !
Lutte des classes en Basse-Bretagne, biskoazh kement all ! Toute une époque !
Que de souvenirs, ce disque !
Merci, malgré le constat très sombre sur la culture bretonne, "à l'aide Breizh" ?












RENAUD
RENAUD


Le 25 Avril 2016 par SLAKER


Je pense que pour un album de Renaud, il y a 3 choses à analyser : texte, musique, voix.
Les textes ne sont presque pas engagés, très personnels, moins complexes qu'auparavant, plus simples. "J'ai embrassé un flic" est sympa mais aurait pu être plus marrante. Après, pour le "Je fais plus les télés, j'ai même pas internet"... C'était bien le cas au moment ou il a écrit ça. A de rares exceptions près, le tout sent la rime facile mais, après tout, on comprend pourquoi il n'a eu besoin que de 2 semaines pour les écrire. Et pour un mec dont l'inspiration était proche du zéro, c'est pas si mal.
La musique, bah, on prend les mêmes et on recommence. Du bien typé pop-rock, avec accordéon, piano, parfois cuivres... Mais tout ça ne respire pas la grande inspiration. Bon, tant que ça ne part pas dans la musique pop-marketting actuelle, ça ira.
Mais à propos d'actuel, tiens... Ne serais-ce pas un auto-tune ? Présent sur toutes les chansons (à part la dernière vu qu'il chante pas) ? Pour un mec qui dit "chanter ni juste ni faux, mais vrai", ça la fout carrément mal ! Le chant de cet album est le seul de toute sa discographie qui n'est pas "vrai", justement ! Des chansons calmes comme "Les Mots" se voient amputées de toute émotion dans la voix, alors qu'elles avaient du potentiel ! J'aurais 100 fois préféré entendre Renaud chanter aux 3/4 faux plutôt que ça... Désolé Renaud, tu te rattraperas avec ta tournée ou là tu pourras vraiment chanter vrai, mais cet auto-tune vaut bien une ou deux étoiles en moins sur mon jugement de l'album.





RENAUD
RENAUD


Le 25 Avril 2016 par JERRY


Un disque un peu inégal en somme ..Je suis content de voir Renaud de retour sur le devant de la scène et que cet album remporte un énorme succès actuellement . Je passe mon tour concernant son acquisition, je me contenterai d’entendre « Toujours debout » et « J’ai embrassé un flic » sur les radios .. Joli billet en tout cas !





TANGERINE DREAM
PHAEDRA


Le 25 Avril 2016 par AIGLE BLANC


Phaedra est effectivement un album charnière de Tangerine Dream, mais il n'est du niveau ni d'Atem ni de Rubycon. C'est sa face B qui déçoit le plus où le groupe s'égare dans des improvisations ou des semi improvisations sans réelle inspiration. Le titre signé par Edgar Froese est à ce titre vite gonflant. Le leader de Tangerine Dream tombe dans l'excès de naïveté dans son utilisation du Mellotron, instrument qui le fascine au point de se laisser aller à d'indignes facilités. Ce titre a fort mal vieilli et plombe irrévocablement cette 2°face du disque.
La face A éponyme reste quant à elle un modèle du genre.







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