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CHROMA KEY
THIS IS A RECORDING


Le 03 Octobre 2018 par LEO


Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il y a vraiment à boire et à manger sur ce CD de demos de Kevin Moore/Chroma Key.
ça débute par "Squelch" qui n'est rien d'autre qu'une série de bruitages synthétiques inintéressants.
"Hay Day. May Day. Help" aurait pu être sympa si le son n'était pas autant saturé tout du long, hélas personnellement cela me rend l'écoute difficilement supportable.
Heureusement, "Wednesday The Sky" en est le contre-pied. Cependant, ce titre a quand même un gros air de déjà entendu puisque je lui trouve quelques similitudes avec "S.O.S" (présent sur Dead Air For Radios et également ici en l'état de démo).
"Roll Away The Stone" et le plus calme "Nora" sont franchement pas mal et retravaillées, ces deux compos auraient pu trouver facilement leur place sur l'un des deux premiers albums de Chroma Key.
Les 2 versions de "On The Page", "S.O.S" et "The Fucking Mouse" en l'état de démos sont assez proches des originaux bien que ces premières esquisses n'égalent pas les versions finales du premier Chroma Key. Autant s'en tenir aux versions définitives !
Le relax "Blusong" traîne un peu la patte par son côté linéaire, mais la compo n'est pas désagréable pour autant.
L'étrange "Because The Plane Crashed" a un aspect solennel avec sa partie jouée à l'harmonium. Dranchement anecdotique.
En revanche, j'aime beaucoup les deux titres qui suivent: "Shallow" avec son aspect un peu plus pop qui sied très bien au chant de Kevin et carrément aux antipodes, l'atypique "Hollow" avec ses guitares grungy et la voix de Moore tour à tour grave ou au bord de la rupture.
Egalement parmi mes favoris, "Watercolor" et "Chromakey", titres qui auraient mérité d'être présents sur le premier album à la place des deux instrumentaux bruitistes qui y figurent (seul "Chromakey" trouvera sa place en bonus sur le pressage Japonais de Dead Air For Radios).





Nikki MATHESON
INVISIBLE ANGEL


Le 03 Octobre 2018 par LE KINGBEE

Un bon disque, l'intonation canadienne est évidente sur quelques titres et apporte un cachet, mais il ne faut pas que ça dure. On retrouve ici pas mal de musiciens ayant oeuvré au sein de Malicorne et Charlelie Couture. A noter la présence de Viktor Kraussn, grand frère d'Alison et de l'harmoniciste Mathieu Fromont alias Bo Weavil.





PREFAB SPROUT
STEVE MCQUEEN


Le 02 Octobre 2018 par RICHARD


Le très pop Victor Hugo disait que "la mélancolie, c'est le bonheur d'être triste".
Concernant cet album, je n'ai pas trouvé meilleure définition. Pas un spleen nauséeux, plutôt une douce mélancolie qui vous colle à la peau et qui vous fait du bien.
" When Love Breaks Down " et " Goodbye Lucille #1 " sont des morceaux pour moi magiques.
Paddy a réussi à enrober par des sonorités parfois guimauves des sentiments (avec une bonne dose d'humour parfois) universels. C'est la chaire de poule assurée.
S'il existe une justice dans le monde de la musique, elle se doit de ressortir du quasi anonymat ce groupe superbe.





Kip WINGER
THISCCONVERSATIONSEEMSLIKEADREAM


Le 02 Octobre 2018 par HANNIBAL LECTEUR


Presque rien à jeter sur ce skeud ! De la pop de très haute volée.





TONES ON TAIL
POP


Le 02 Octobre 2018 par LEO


Ah TONES ON TAIL, tout un programme !
À l'instar de Dalis Car, voilà un projet éphémère qui m'a toujours paru fort intéressant au point que je reviens bien plus souvent vers la brève discographie de TOT que vers celle de BAUHAUS ou des futurs Love & Rockets (qui pourtant comportent d'excellentes choses !), sans parler des carrières solo de Peter Murphy et Daniel Ash qui ne m'ont jamais remué (contrairement à celle de David J bien plus à mon goût).

Remontons le temps: Mai 1982, Daniel Ash et Glenn Campling font paraître un premier E.P. éponyme quatre titres, suivi d'un maxi ("There's Only One!") en Septembre de la même année.
D'emblée, le ton est donné ! TONES ON TAIL sera un projet musical protéiforme, passant de pièces expérimentales (parfois instrumentales) avec bruitages à la clé, à des morceaux mêlant post-punk, dub, pop, rock, electronica, humeurs jazzy ou choses plus ou moins psychédéliques, à des compos brumeuses ou lumineuses selon l'humeur. Bref, un vrai kaléidoscope surréaliste !
En 1983, juste avant la séparation de BAUHAUS, le duo est rejoint par Kevin Haskins et le trio sort en Mai le E.P. quatre titres Burning Skies.
En Décembre '83, le trio entame l'enregistrement de son unique 33-tours 'Pop' dont le single "Performance" donne un avant-goût en Mars 1984.

L'album démarre par le délicat et cotonneux "Lions" à l'atmosphère très singulière. Tout simplement superbe.
"War" est plus post-punk dans l'esprit mais la basse claquante de Glenn Campling apporte presque une touche funky inattendue.
Le jazzy "Happiness" à l'inverse de ERWIN ne m'évoque pas du tout du ska mais plutôt le single de THE CURE "The Lovecats"/"Speak My Language" paru à l'Automne 83.
Retour au post-punk avec "The Never Never (Is Forever)" mais avec l'aspect dub en plus dû à la rythmique réverbérée et la basse bien mise en avant.
Les séquenceurs mènent la danse dans l'électronique et dansant "Performance". Cependant, le trio n'a pas tout misé sur les synthés car on retrouve la basse claquante de Campling et la guitare torturée de Daniel Ash est bien présente en arrière-plan.
"Slender Fungus" est un délire truculent entièrement a- cappella qui anticipe totalement l'album du même nom que Todd Rundgren fait paraître en 1985.
Le dépouillé "Movement Of Fear" aurait presque pu se trouver sur la face B de l'album The Sky's Gone Out de BAUHAUS vu son aspect austère et expérimental.
En revanche? le plus acoustique et irradiant "Real Life" nous ramène au temps pas si éloigné de "Slice of Life" sur l'album Burning From The Inside.
'Pop' se referme sur "Rain", la plus longue pièce de l'album (de plus de 8 minutes) qui débute un peu comme un instrumental ambient de Bowie-Eno période Low/"Heroes" avec ses synthés et guitares passées à l'envers pour se transformer en sublime ballade nébuleuse et véritable ode à la pluie. Magique !

Lorsque paraît l'album en Avril '84, TONES ON TAIL n'a plus que sept à huit mois d'existence. Entre-temps, le groupe a sorti un second single extrait de 'Pop' ("Lions" couplé avec l'inédit "Go!" sur la face B) puis entamé une mini tournée de 15 dates au Royaume-Uni mi-Mai/début-Juin, puis 12 concerts aux States en Octobre. A leur retour, Daniel Ash révèle à Glenn Campling qu'il ne souhaite pas poursuivre l'aventure, sans plus d'explications. (Ce dernier interviewé il y a tout juste dix ans n'en connaît toujours pas la raison aujourd'hui).
En Novembre '84, sort un dernier single, le menaçant "Christian Says" (avec le nonchalant "Twist" en face B) mais TONES ON TAIL a déjà tiré sa révérence.
En 2017, Daniel Ash, Kevin Haskins et Diva Dompé (la fille de ce dernier) forment Poptone qui reprend en concert essentiellement des compos de TONES ON TAIL et Love & Rockets (et une petite incartade BAUHAUS avec "Slice Of Life"). Glenn Campling n'est hélas pas convié à cette formation. Dommage car il apportait énormément à TOT avec ses influences venues de la musique électronique et du Krautrock.
À noter que l'on peut retrouver l'album 'Pop' dans le premier CD de l'intégrale de TONES ON TAIL justement intitulée Everything! (parue chez Beggars Banquet en 1998). Le second CD est lui consacré aux singles et E.P's du groupe. Un achat particulièrement recommandé !





Les VRP
REMORDS ET TRISTES PETS


Le 01 Octobre 2018 par IEN


Chouette ! Les VRP sur FP !

Effectivement les musiciens sont sacrément balèzes ! Sur l'album suivant les solos de "Tabernacle" et "Ramon Perez" sont absolument géniaux.

Sur celui-ci, j'aime un peu moins ... euh non en fait j'aime tout :-)
Que de soirées entre amis à chanter "Le nain" et "le viet", et puis arriver à rendre une chanson de Claude François écoutable c'est très fort.






MINISTRY
AMERIKKKANT


Le 01 Octobre 2018 par RICHARD


A l'image des pochettes, les morceaux de " Relapse " et " From Beer To Eternity " étaient pour moi...comment dire...laids... "Amerikkant" est un cru plus que correct. Pas vraiment difficile en même temps...





Les VRP
REMORDS ET TRISTES PETS


Le 01 Octobre 2018 par THIE

Waouh, les VRP sur FP. Chouette.
Je n'ai plus leur album depuis 25 ans, mais je me souviens que j'aimais bien.
J'ai eu la chance de les voir à Cergy-Pontoise en 92, en 1ère partie de la Mano Negra, et juste après IAM. Les VRP étaient incroyables. Le guitariste a sorti un solo à la Van Halen sur une petite guitare d'enfant. Le bassiste jouait avec une corde tendue sur un balais accroché sur un sceau. Etonnant.
Le concert était rock et drôle.
Faut que j'rtrouve cet album.





Al STEWART
YEAR OF THE CAT


Le 01 Octobre 2018 par FOLLOW THE TORTOISE


Très bel album le son très épique aéré et pur. ça m'étonne de le voir seulement maintenant sur ce site, un tel classique.





Happy RHODES
BUILDING THE COLOSSUS


Le 29 Septembre 2018 par BAKER

Merci Marco pour cette jolie découverte !
Je n'avais jamais croisé ce nom auparavant mais ça m'a donné très envie d'en savoir plus !





INDOCHINE
HANOï (DVD)


Le 29 Septembre 2018 par BAKER

Mais de rien, bien au contraire cela me remplit de joie, ça signifie que la chronique avait déjà marqué à l'époque ! :)





Etienne DAHO
LA NOTTE, LA NOTTE


Le 29 Septembre 2018 par RICHARD


Il est des albums dont on ne se lasse jamais. Pour moi, de la pochette de Pierre et Gilles aux mélodies à la fausse insouciance du bonheur perdu, tout est parfait.
Comment ne pas être sensible à la mélancolie de " Signé Kiko " ou la reprise du titre de Françoise Hardy ?
Daho vaut certainement plus que sa caricature de frêle jeune homme sans voix...Il reste pour moi l'une des plus belles incarnations de la Pop hexagonale !





ARENA
IMMORTAL ?


Le 29 Septembre 2018 par CLANSMAN57


Je n'y arrive plus avec celui-ci.
Il me faisait son petit effet pourtant, mais les dernières réécoutes furent assez pénibles.
Je n'aime pas trop Rob Sowden, je trouve son chant assez lambda, voire plat.

"Moviedrome" et ses presque 20 minutes ne m'emmène nulle part.
"The Butterfly Man" est celle que je préfère, bien qu'elle me rappelle trop "She Chameleon" de Marillion.
"Climbing The Net" me rappelle aussi ce groupe, en mode jovial, je ne l'aime pas des masses cependant, elle est effectivement très kitsch.
L'influence de ces derniers est moins présente que sur "The Visitor" en tout cas.

Pour les autres chansons, elles s'écoutent, bien que je m'ennuie un poil.









SOKO
MY DREAMS DICTATE MY REALITY


Le 27 Septembre 2018 par RICHARD


Trois ans après sa sortie, je suis toujours aussi partagé au sujet de cet album.
Ersatz de Smith et Siouxsie sans âme ou démarche sincère et réussie ?
J'attends encore trois ans...





FLEETWOOD MAC
TUSK


Le 27 Septembre 2018 par KID66


Je suis toujours un peu partagé au sujet de Tusk. L'album est très courageux pour un groupe qui vient de sortir Rumours (déjà calqué sur l'éponyme) et qui aurait pu simplement surfer sur la vague en sortant ce que le public attendait de lui. Au lieu de ça on se retrouve avec un double LP un peu bancal et bizarroïde, ce dernier adjectif collant bien sûr principalement aux compos de Lindsay.

Plus que sa longueur, c'est son inégalité qui me dérange un peu. Buckingham était en pleine folie créatrice et son travail est énorme mais surprend par son côté parfois très sec. Il nous gratifie de bons titres c'est certains (dont l'énorme classique "Tusk", qui reste assez atypique), mais aussi de surprises au goût plus amer ("Not That Funny" par exemple). En tout cas pas de traces de gros tubes immédiats à la "Don't Stop" ou "Go Your Own Way".
Même McVie, si elle nous émerveille encore avec des "Over & Over", "Think About Me" ou "Brown Eyes", se plante un peu parfois avec les insipides "Never Make Me Cry" et "Honey Hi".

Finalement, seule Stevie Nicks est irréprochable. Tous ses titres sont magnifiques avec bien sûr tout en haut "Sara", la perle cachée "Beautiful Child" et l'une des meilleures chansons de FM : "Sisters Of The Moon" (merci à Lindsay aussi d'ailleurs sur ce coup là).

Bilan donc un poil mitigé pour ce Tusk tout de même très chouette, ce qui fait que je n'y reviens pas très souvent. J'arrondis donc mon 3,5 à 3/5 mais c'est sévère je l'admets.





The FIXX
SHUTTERED ROOM


Le 27 Septembre 2018 par FOLLOW THE TORTOISE


Fixx est le genre de groupe moins connus que certains autres mais tout aussi intéressant, à l'instar de Gang of Four ou Heaven 17 etc.





TAMARYN
CRANEKISS


Le 27 Septembre 2018 par RICHARD


Oui, cet album est d'autant plus recommandable que juste après sa sortie, la Néo-Zélandaise et New-yorkaise d'adoption avait dit qu'elle ferait une pause...pause qui semble plus que durer. Tamaryn, au boulot !!!
Je l'aime bien "Cranekiss", car même si elle abandonne le doux shoegaze (?...c'est possible) de ses deux premiers albums, sa touche même dans une veine pop froide mélancolique et rêveuse est des plus plaisantes.
J'y entends parfois des réminiscences de Slowdive (" I Wont't Be Found "), voire même de Kate Bush comme sur "Sugar Fix".
Le fameux concept du rêve éveillé propre à cette scène fonctionne pleinement et ce n'est vraiment pas fait pour me déplaire.





KILLING JOKE
REVELATIONS


Le 26 Septembre 2018 par MAGNU


Je me souviendrai toujours du choc reçu la première fois que j'ai écouté 'Revelations' et Killing Joke par la même occasion: C'était en 1982, une cassette dans l'auto-radio d'une vieille DS, en pleine nuit dans les bois avec des potes, la musique à fond et les carreaux fermés, en train de fumer des cigarettes qui font rire;). Le son désaccordé de la guitare de Geordie, le rythme tribal de la batterie, la basse rampante de Youth, ces notes sourdes de claviers et cette voix...et l'impression que la banquette de la voiture s'enfonçait dans le sol... Moment unique de ma vie !

IL y a des chocs musicaux dans la vie, ceci en fut un, et j'ai depuis toujours adoré ce groupe et ce "Revelations" bien nommé !







Laura BRANIGAN
SELF CONTROL


Le 24 Septembre 2018 par NONO

@Fred: D'ailleurs la Laura "tout petit corbeau" irait bien avec Roland Orzabal (Orzabal signifiant "petit arbre" en basque !!!! LOL)


Par Forces Parallèles

Hey !
Bien que récemment veuf, il me semble que Roland va bien. On ne peut dire autant de Laura, qui nous a quitté en 2004 victime d'une rupture d'anévrisme.
Bien à vous
Erwin





Laura BRANIGAN
SELF CONTROL


Le 24 Septembre 2018 par FRED

@ Nono.
Ces temps derniers, néanmoins, elle a fort mauvaise mine.
C'est vrai que ça sonne très rital, cette affaire… bizarre pour une Laure "tout petit corbeau" (la traduction de son nom en irlandais/breton) !
Belle voix, mais production vraiment trop 80's.







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