Le 13 Mars 2016 par HEART OF STEELE

Chef d'oeuvre de Dream Pop qui prend aux tripes sur certains titres. Rien à ajouter si ce n'est qu'il faut l'avoir écouté au moins une fois dans sa vie. Je mets donc 5 pour être en accord avec la notation de l'auteur, et avec mon opinion qui a évolué au fil des écoutes.

Le 13 Mars 2016 par CéDRIC

un album vraiment génial surtout la pièce tarkus Keith Emerson était vraiment un virtuose des claviers paix à son âme

Le 13 Mars 2016 par CéDRIC

très bon album de judas priest magnifiquement produit très costaud les guitares sont agressives scott travis le nouveau venu cogne vraiment fort sur sa batterie et sans oublier la voix puissante de rob halford

Le 12 Mars 2016 par LEO

R.I.P. Keith Emerson.
Le Hendrix des claviers comme beaucoup l'ont surnommé à juste titre !
Tous les 2 partageaient un jeu scénique flamboyant à l'excès.
Dans le cas d'Emerson, ça se traduisait souvent par une surrenchère d'effets inutiles et de complexité gratuite. sous son meilleur jour, il mettait son incroyable technique et tout son savoir faire au service des compositions.
Sur ce Brain Salad Surgery, il y a vraiment à boire et à manger !
Contrairement à WALTER SMOKE je ne trouve pas "Jerusalem" fade. pour une fois, sa pomposité sert bien le morceau et il convient bien en ouverture (de plus, la compo est très courte), tout à l'inverse du trop grandiloquent "Toccata" qui se dilue sur la longueur.
"Still... You Turn Me On" est une ballade convaincante (ce qui n'a pas toujours été le cas chez Greg Lake!).
"Benny The Bouncer" est tout bonnement horrible! (à choisir, je préfère encore "Are You Ready Eddy?" sur Tarkus, qui avait au moins l'avantage de refermer l'album!).
J'ai toujours été partagé sur le monstre "Karn Evil 9". je reconnais que "Karn Evil 9 - 1st Impression (Part 1 & 2)" est plutôt réussie, et même si ça part un peu dans tous les sens, l'énergie reste assez canalisée et ça fonctionne bien.
En revanche "Karn Evil 9 - 2nd Impression", est trop focalisé sur la virtuosité de Keith Emerson au détriment de la cohésion de groupe.
"Karn Evil 9 - 3rd Impression" est pour moi mi-figue mi-raisin selon les passages et je ne suis pas totalement conquis.
Le truc qui me pose problème également avec cet album, c'est sa sonorité que j'ai toujours trouvé bizarre et pas bien définie: comme un peu lointaine et réverbérée de temps à autre.
Au final, l'album que je préfère de ELP reste Tarkus. il reste de mon point de vue, le plus cohérent et fait la part belle à la performance du groupe, sans trop s'attarder sur les individualités.

Le 12 Mars 2016 par GURTU

La faucheuse dégomme sec de la légende en ce début d'année.

Keith Emerson était un monstre aux claviers,RIP monsieur.

Le 11 Mars 2016 par LONG JOHN SILVER

R.I.P

Le 11 Mars 2016 par GURTU

un peu d'histoire ....

Reed devait encore un disque par contrat à sa maison de disque, il a pondu cette daube après il était quitte.

De l'art cette chiasse?

Non mais sérieux....

Le 10 Mars 2016 par JASPER LEE POP

Mais non, monsieur le chroniqueur! Vous êtes comme beaucoup passé à côté du mal aimé Powerage. Cet album-là, c'est l'aboutissement d'un groupe encore maître de son destin. D'un groupe de morveux jouant un blues crasseux et survolté qu'est venu rejoindre pour la première fois Cliff Williams, un bassiste plus âgé qu'eux et qui leur apporte une assise et une rondeur bienvenues. C'est un disque qui sent encore la transpiration et la pisse des chiottes des petites salles de concert (dans lesquelles ils ne jouaient déjà plus depuis longtemps, je sais). Après ce disque, ils passeraient dans les mains de Mutt Lang qui les transformerait en deux albums (remarquables, la question n'est pas là) en groupe de stade. Et moi, je n'ai jamais raffolé des stades pour écouter de la musique. Allez, je concède volontiers que "Kicked in the the Teeth" est un calque un peu flemmard de "Let There Be Rock" mais sinon, c'est un sans faute. L'innocence débonnaire de cet album-là, ils ne l'ont jamais retrouvée. Allez quoi, rendez-vous service et ré-écoutez-le!

Le 10 Mars 2016 par JASPER LEE POP

Budget au ras des pâquerettes oblige, le groupe expliquait avoir dû enregistrer le premier album en onze jours, soit autant de jours que de titres. C'est évidemment bien peu, même pour les vieux briscards qui constituent cette équipe. Ils auraient bénéficié de quelques jours supplémentaires pour celui-ci. Qu'importe, c'est trop peu et le défaut du premier est à nouveau présent: trop de morceaux moyens vite pondus (les "fillers" comme disent les ricains). Dommage, le groupe a une expérience et un talent indéniables et qui prendra le temps de concocter une compilation des deux opus obtiendra un album bien satisfaisant.

Et je suis d'accord avec le commentaire précédent: Si le talent du batteur (Jimmy DeGrasso) n'est pas contestable (son CV est éloquent), son jeu trop binaire manque trop de ce qui faisait le charme de l'immense frappeur historique de Lizzy (Brian Downey): Le swing. Eh oui, mes aïeuls, les batteurs des années 60 avaient souvent une culture rythmique plus encyclopédique. Repassez-vous "The Boys are back in Town" qu'on n'écoute plus trop tellement on croit le connaître par cœur et concentrez-vous sur la batterie. Quel swing pour un morceau rock! Rien de semblable chez Black Star Riders hélas.

Le 10 Mars 2016 par BAAZBAAZ

Un trio tellement doué que c'est à en pleurer. Il faut regarder les vidéos de concert de l'époque pour comprendre ce qu'est le hard rock sous sa forme originelle. Bruce et Clapton étaient merveilleux. Mais alors Ginger Baker... Un extra-terrestre. Il laisse la concurrence très loin derrière.

La tension entre Blues et Psyché rend ce disque fascinant bien qu'un peu hétérogène. En fait je ne sais pas si l'on peut vraiment aimer les deux styles à la fois, au même moment. C'est peut-être un disque pour plusieurs époques dans une vie.

Le vrai chef d'oeuvre sera Disraeli Gears, indétrônable, intouchable. Mais alors le Psyché aura pris le dessus.

Le 10 Mars 2016 par KIRIKOU

Le mec qui a comparé Wagner et Van Gogh à Lou Reed, puis à la chanson et Gainsbourg, en avançant que le rock était "l'art sur trois accords de guitare mal accordée", puis en donnant une petite liste d'artistes qu'il a validés, en y mettant AC/DC ! Mais c'est le meilleur commentaire de FP ça, mes respects.

Le 09 Mars 2016 par ADRI

@ Angel D : "Pourquoi a-t-on tant adulé cet album et cet artiste? Mis à part pour ses textes?"
Tu tiens là la réponse je pense, il est connu que 2Pac composait les paroles les plus profondes, quand un Biggie Smalls était quant à lui plus réputé pour son flow. Je pense que c'est le côté très mainstream de ce disque qui te dérange, c'est très accessible, très soul et groovy sur une bonne partie du disque ("All About You", "How Do You Want It", "Run Tha Streetz"), un genre de "Slippery When Wet", ou "Hysteria" du Hip-Hop en quelque sorte si tu veux.

En ce qui me concerne ça ne me dérange pas, je suis conquis par ce disque, qui souffre juste de sa durée (les doubles albums, c'est chiant), la fin à rallonge de "What'z Ya Phone Number" et de ce remix insipide de "California Love", qui pour moi n'est géant que dans sa version single. Enfin à notre époque, on peut tricher et remplacer le remix par l'original, ni vu ni connu allez hop, mais bon... Certains titres pur rap West Coast sont remarquables ("Ambitionz Az A Ridah", "Skandalouz", "2 Of Amerikaz Most Wanted", "All Eyez On Me" pour ne citer qu'eux).

Un grand classique à écouter au moins une fois, qu'on aime ou pas.

Le 09 Mars 2016 par LONG JOHN SILVER

C'est avec tristesse qu'on vient d'apprendre la disparition de George Martin, le "5e" Beatles c'était peut-être bien lui. George nous a quitté à l'âge de 90 ans après avoir vécu une vie bien remplie.

Le 08 Mars 2016 par NOORS

Merci pour la Chro. On pouvait peut être rajouter des choses sur «In My Darkest Hour » qui expliquent le tragique de ce morceau. La faucheuse étant passée par là, Megadave se sentit bien seul et tout petit...

Le 08 Mars 2016 par YM

Oui, le manque de cohésion du groupe se ressent, mais la touche magique de Mega Dave fait que cela mérite tout de même l'oreille, voire, quelquefois, beaucoup plus.
Malgré tout, le poids sur la musique des problèmes inhérents au groupe est parfois trop palpable.

Le 08 Mars 2016 par MODRIGUE

Étant un grand fan des années 1970-1985 du groupe, j'étais assez curieux d'aborder cet opus tant décrié. Après écoute, je dirai que ce n'était pas aussi catastrophique qu'annoncé. Bien que la 2ème partie du disque soit bien fade, la 1ère partie contient quelques morceaux sympathiques.

Au moins le groupe a-t-il voulu évoluer du new-age sans saveur de la fin des années 80, en adoptant une orientation plus rock avec guitare et (un peu de) saxo. Donc pas le pire TD pour moi. Pas le meilleur non plus, non, à l'époque la nouvelle scène électro était en pleine ébullition. Mais je trouve Rockoon moins ennuyeux que Melrose et plus vivant que Turn of the Tides.

Si vous aimez les guitares rock planantes, tendez une petite oreille pour vous faire votre propre avis.

Le 07 Mars 2016 par ADRI

Hum... Public Enemy... Comme, De La Soul, Mos Def ou Outkast, voila un groupe rap qui ne "dérange" pas les hardos, qui y voient des points communs sur le plan de la rage.

Si je dois reconnaitre que j'apprécie cet album ("911 is a Joke", "Welcome To The Terrordome", "War At 33 1/3", ou le très bon titre éponyme), ce n'est pas vraiment le genre de rap qui me plait.

Je le préfère plus soul, funky, rock. Moins directement agressif, en quelque sorte.

Le 07 Mars 2016 par IROGN MESDENTS

lorsqu'on ecoute un tel disque, on apprécie cette belle voix féminine, cette folk un peu celtique tres bien faite... et lorsqu'on ré-écoute ce disque, on découvre que la prod est claire, que les compos se tiennent carrément, et puis que les soli sont dantesques...et ajoutent une plus values immense en terme de plaisir... merci Steve.

Le 07 Mars 2016 par GURTU

Je viens de voir sa "prestation" aux victoires de la musique sur le tube.

Dancing like Michael Jackson mais il aurait fallu lui expliquer qu'il ne faut pas dire merci dans le micro à la fin quand on a chanté en playback,il n'est pas branché!

Ridicule...

Le 07 Mars 2016 par MODRIGUE

Première faute de goût de la part du groupe allemand pour moi. Ils ont voulu tenter autre chose et se "moderniser", mais le résultat est mitigé. Certains morceaux, comme "Pilots of Purple Twilight" et "Network 23" sont assez plats et ne leur ressemblent pas, les autres se laissent écouter. Mention spécial au joli "Remote Viewing" qui conclut l'album.

Cet Exit est d'autant plus curieux qu'ils proposaient en concert une musique plus inspirée. A ce sujet, je vous conseille le live Paris 1981. Pourquoi ne pas avoir mis le planant "Calymba Caly" et le punchy "Horns of Doom" à la place des 2 morceaux cités en début de commentaire ? Là j'aurai facilement mis 4/5.

Heureusement nos rêveurs remonteront très rapidement la pente.