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The SMITHS
STRANGEWAYS, HERE WE COME


Le 14 Octobre 2018 par RICHARD


L'évident problème avec cet album, c'est d'être sorti dans la foulée de " The Queen is dead "
Avec des si, on referait le monde, mais j'aime à penser que le futur son de The Smiths était ici et que c'est celui-ci qui aurait été développé plus tard...sans cette maudite séparation.
Une musique toujours à haute teneur mélancolique mais plus audacieuse, plus aventureuse. On retrouve la touche Marr mais il y a un petit quelque chose en plus. Difficilement explicable mais facilement ressenti.
La plume du Mozz est toujours aussi précise et réussit à rendre le particulier universel.
Puis se séparer sur le définitif et splendide " I Won't Share You ", comme cadeau d'adieu et chant du cygne, c'est beau.





Calvin RUSSELL
DREAM OF THE DOG


Le 13 Octobre 2018 par HANNIBAL LECTEUR


Un excellent bluesman que je ne connaissais que de nom... Une erreur désormais réparée !





The SMITHS
STRANGEWAYS, HERE WE COME


Le 13 Octobre 2018 par KID66


Celui ci par contre est fabuleux, à tel point que je trouve parfaitement injuste qu'il reste constamment dans l'ombre de son précédesseur ; heureusement que deux mélomanes de FP ont tenté avant moi de rétablir la vérité.

Avec Strangeways les SMITHS n'empruntent pas vraiment une "strange way", l'album ayant très peu de différence de style avec The Queen Is Dead. Tout au plus peut on trouver quelques expérimentations comme sur "Death Of A Disco Dancer" (grandiose par ailleurs) mais c'est à peut près tout.
Ce qui frappe plutôt c'est la qualité de l'opus : du génial "A Rush And A Push" à la sublime "Last Night I Dreamt" le groupe nous offre un enchainement de six titres qui est le meilleur de sa courte carrière. Les rock "I Started Somethig" et sutout "Stop Me If You Think" sont de véritables bijoux, et "Girlfriend In A Coma" est une délicieuse boutade SMITHesque. Tout cela est largement du niveau de The Queen Is Dead.

On admettra bien sûr que la fin du disque est légèrement en dessous mais aucun mauvais titre n'est à déplorer. "Unhappy Birthday" est charmante, "I Won't Share You" belle comme tout et "Paint A Vuglar Picture" s'avère un poil longuette, mais Johnny Marr est étincellant dessus.

Je pensais mettre un gros 4 mais je viens tout juste de le réecouter et j'opte finalement pour un petit 5, comme pour son prédécesseur.





KITCHENS OF DISTINCTION
LOVE IS HELL


Le 13 Octobre 2018 par RICHARD


Cette alliance Stipe / The Chameleons restera pour moi à jamais unique.
Difficile de rester insensible à la tension sourde qui explose comme sur les superbes " Prize " et surtout " Hammer ". Air guitare obligatoire !
C'est certain, le trio a du souffrir d'être à la croisée des deux sphères musicales évoquées. Dommage...Il reste aux amoureux des tensions électriques un monde à part.
Un peu à l'image des oubliés A. R.Kane qui restent pour moi le duo qui a lancé à la face du monde ces sonorités vaporeuses. Suffit de se pencher sur " Haunting " qui date de 1986 pour constater qu'il fallait simplement allumer la mèche...





PREFAB SPROUT
FROM LANGLEY PARK TO MEMPHIS


Le 13 Octobre 2018 par SGT JAKKU

Je m'excuse vis-à-vis de Jesters d'avoir écrit un peu vite ("qui ne serait pas un auditeur tombé en amour pour Prefab...") et vis-à-vis de FP car j'ai conscience que ce n'est pas un forum ici, en tout cas, ce n'est pas censé l'être.
Mais je tenais à répondre que je peux comprendre son point de vue mais je ne suis pas d'accord qu'on puisse attribuer une note aussi sévère à un disque qui comporte autant de fulgurances.
Par exemple, je trouvais "Nightingales" trop longue et trop sucrée jusqu'à ce que je réalise bien plus tard la complexité et l'ingéniosité des accords et aujourd'hui ce morceau fait partie de mes préférés du disque.. La forme est peut-être critiquable et je dois l'admettre, je préfère l'album suivant "Jordan the Comeback" car plus personnel encore.





PREFAB SPROUT
FROM LANGLEY PARK TO MEMPHIS


Le 12 Octobre 2018 par JESTERS TEAR

Pour répondre à SGT JAKKU, j'adore ce groupe et je suis très admiratif de Paddy Mcaloon, qui a en effet un style bien particulier et très plaisant. Il me navre de mettre des notes peu élevés à des albums d'un groupe que j'aime tant, mais si la plupart des titres de Prefab Sprout sont très agréables à écouter dans leur coin, l'écoute d'un album en entier génère souvent l'ennui, justement à cause de ce style, trop homogène quelque part. Après bien sûr, c'est affaire de goût, mais j'essaye d'être le plus objectif possible.





OINGO BOINGO
DEAD MAN'S PARTY


Le 12 Octobre 2018 par BAKER

Je dois confesser, cher Leo, être d'accord avec le caractère très répétitif voire tape-nerfs de No One Lives Forever.

A vrai dire c'est justement cette répétition implacable, le bambou sous l'ongle, le clou dans l'hypophyse, qui lui donne sa force si l'on s'y adonne complètement. Mais je comprends qu'elle puisse avoir l'effet inverse.

Je pense avoir été tant traumatisé par Massacre à la Tronçonneuse 2 que la redécouverte de cette chanson, via l'achat de Boingo Alive au hasard, a dû sérieusement me griller quelques neurones (qui a dit : y'avait pas besoin ?!? ^^)





OINGO BOINGO
DEAD MAN'S PARTY


Le 12 Octobre 2018 par LEO


Après le gros coup de mou de So-Lo, il y avait de quoi avoir des doutes quant à la suite des aventures discographiques d'OINGO BOINGO !
Heureusement, le très bon "Just Another Day" qui ouvre ce cinquième album rassure en partie l'auditeur.
Certes, tout comme sur le 33t précédent, l'orientation musicale est ici bien plus léchée et "grand public" que par le passé mais au moins cette fois-ci le groupe n'a pas oublié de composer des morceaux qui tiennent la route, et n'oubliant pas la vitalité au passage !
"Dead Man's Party" est une bonne compo, cependant je la trouve bien plus taillée pour la scène que dans le contexte du studio (où ses plus de 6 minutes me semblent un peu exagérées). En live, son tempo sera accéléré et son énergie s'en trouvera décuplée.
"Heard Somebody Cry" ne m'emballe pas plus que ça. La musique et la voix de Danny Elfman m'évoquent Mark Mothersbaugh de DEVO (celui de l'après Freedom Of Choice).
"No One Lives Forever" est un peu un salmigondis de ce que sait faire la formation, à savoir ska avec cuivres à l'appui, gros son de guitares et rythmique de plomb, plus synthés colorés et chant tribal à la clé. Bref, un condensé de OINGO BOINGO quoi, sauf que la compo me paraît horriblement répétitive et monolithique. Contrairement à BAKER, elle a du mal à agir sur moi et je m'ennuie vite à son écoute.
"Stay" me plaît bien plus. Le titre est très radiophonique sans pour autant se faire putassier.
"Fool's Paradise" balance vraiment bien avec ses guitares mordantes, sa section de cuivres claquante et sa partie de basse bien en avant (le nouvel arrivant, John Avila donne du peps au son du groupe et avec son jeu de scène sautillant en concert, il sera autant une attraction que son leader Danny Elfman !).
L'enjoué "Help Me" est franchement pas mal, pas exceptionnel mais il fonctionne plutôt bien au sein de l'album.
En revanche, le très synthétique "Same Man I Was Before" ne m'emballe pas. Un morceau très générique en somme.
L'album se referme sur le funky "Weird Science", qui avec ses faux airs d'INXS pourrait presque paraître une parodie mais s'avère pourtant sacrément accrocheur et addictif. J'aime !
Au final, ce Dead Man's Party relève largement le niveau de la déception précédente et il est globalement agréable à écouter et contient de bons moments, cependant il me semble un cran inférieur à Only A Lad et Good For Your Soul, qui eux-mêmes n'atteignaient pas la perfection du merveilleux Nothing To Fear. C'est pourquoi je lui attribue une note de 3 à 3,5/5.





SUPERTRAMP
SOME THINGS NEVER CHANGE


Le 12 Octobre 2018 par RENNS


2e meilleur album de la periode post-roger hogdson, si pas le premier avec Brother Where You Bound





PREFAB SPROUT
FROM LANGLEY PARK TO MEMPHIS


Le 12 Octobre 2018 par SGT JAKKU


Un petit commentaire pour rétablir la balance ne fait pas de mal.
Evidemment, je trouve la critique trop dure et à des années lumières de mon ressenti.
C'est le point de vue personnel du critique et pas celui d'un auditeur tombé en amour pour ce groupe et pour cet album.
Prefab Sprout n'a jamais fait l'unanimité.
Trop bizarre et énervant pour certains, génialissime et brillant pour d'autres.
Inutile de préciser dans quel groupe je me trouve...
On peut reprocher à "Langley" d'être trop produit et préférer l'album précédent.
Pour ma part, je trouve que "Langley..." est le résultat de la maturation ovocytaire d'un groupe qui, après avoir pas mal expérimenté sur les albums antérieures, trouve la formule idéale.
Seuls "I Remember that", "The Golden Calf" et "The soup Kitchen" représentent les numéros un peu faibles du disque (mais ce n'est que mon avis). Quant au reste, c'est une véritable leçon de composition, d'arrangements et de production et surtout, cela ne ressemble à rien d'autre.
Paddy MCaloon est un génie et un des plus grands créateurs de sa génération, hélas pas assez reconnu. "Langley..." fait partie des œuvres incontournables de Prefab. Je conseille hautement ce disque.





PREFAB SPROUT
FROM LANGLEY PARK TO MEMPHIS


Le 12 Octobre 2018 par RICHARD


A la première lecture, je me suis dit...sévère quand même la chronique...c'est Prefab Sprout...il y a dans cet album " King Of Rock'n'roll " et "Cars and Girls " et...puis en y réfléchissant bien, même si cet album me suit depuis plus de vingt ans, ce n'est pas celui vers lequel je reviens le plus.
La chronique tape juste. L'album est porté par ses singles. C'est un peu long, linéaire et le côté sucré que j'apprécie dans le groupe de Durham devient sur ce disque un peu lourd, voire indigeste.





DELGRES
MO JODI


Le 12 Octobre 2018 par HANNIBAL LECTEUR


Juste excellent. Au début on se dit qu'on l'écoutera deux-trois fois avant de passer à autre chose, mais rien à faire on y revient, encore et encore.
Seul (petit) bémol, ça manque d'un bon solo de gratte ou d'harmonica !





ANTHRAX
FISTFUL OF METAL


Le 12 Octobre 2018 par FREDJ


Mouais bof, un album « early thrash » qui a bien du mal à s’imposer face aux classiques du genre sortis au même moment (kill’em all, show no mercy et bonded by blood au hasard !). Je n’ai pas connu cette grande époque mais je pense que ce premier opus a dû quand même avoir son petit effet à sa sortie. Quelques morceaux sortent du lot : "Metal Thrashing Mad", "Deathrider", "Anthrax" (riff d’intro bien heavy!) et c’est tout pour ma part. La suite sera beaucoup plus intéressante.





ANGE
AU-DELA DU DELIRE


Le 12 Octobre 2018 par E+


Si fait, voilà de bien belles ritournelles de ces menestrels de notre bon pays de France.





The SMITHS
MEAT IS MURDER


Le 12 Octobre 2018 par KID66


Les années passent et mon avis sur Meat Is Murder reste mitigé... Je ne peux pas dire qu'il soit mauvais, il contient même d'excellentes choses comme "The Headmaster Ritual", ouverture de grande classe, "Nowhere Fast", la belle "Well I Wonder" et le dansant "Barbarism Begins At Home" (quelle basse !).

Le reste n'est pas honteux (quoique "Rusholmes Ruffians" est assez linéaire et chiante) mais tout simplement un très net cran au-dessous de ce que le groupe proposera par la suite. "I Want The One" est anecdotique, "That Joke" jolie sans plus, "Meat Is Murder" prenante mais longuette. Tout cela est assez peu marquant. Le cas "What She Said" est pour moi un vrai casse-tête, la chanson étant furieusement inspirée mais aussi - je trouve - inaboutie.

En fait, ce disque est frustrant pour moi car j'ai l'intime conviction de ne pas l'apprécier autant que je le devrais.





SUPERTRAMP
CRISIS ? WHAT CRISIS ?


Le 12 Octobre 2018 par NONO

Un commentaire un peu à part, pas forcément sur CET album particulier.... J'ai toujours trouvé que Bob Siebenberg est un excellent batteur, et cela on ne le mentionne pas assez hélas !
Souvent, dans un groupe, ce qu'on retient est la dynamique globale du groupe, et pas assez les talents individuels (surtout quand deux égos prennent la part du lion... suivez mon regard).
Concernant notre batteur, donc, son jeu est absolument unique, mettant l'accent sur les "flas" et les "ghost notes" (pour ceux qui s'y connaissent en batterie), avec une dynamique très spécifique, et très personnelle.





ADELE
21


Le 11 Octobre 2018 par CLANSMAN57


C'est impeccable, je trouve également qu'il n'y a pas un seul titre à jeter.
"Rolling In The Deep" a tout du tube en puissance, j'adore les choeurs derrière, ils apportent beaucoup à un matériau de base déjà très séduisant.

"Rumour Has It" me ferait presque penser à de l'Indus bluesy, le Depeche Mode de "Personal Jesus" n'est pas loin, c'est une chanson très surprenante avec son break qui ne l'est pas moins.
La batterie sonne de manière assez froide.
C'est l'ovni de ce disque.

Gros coup de coeur pour "Set Fire To The Rain", la chanson Pop parfaite, avec un rythme de batterie particulier et des cordes de toute beauté qui apportent une touche de lyrisme supplémentaire.
La petite mélodie au piano, toute simple, est parfaite.

La chaloupée "He Won't Go" rempli largement son contrat, ainsi que la bluesy "I'll Be Waiting", pas si éloignée de ce que peuvent composer les excellents Black Crowes.

"One And Only", un Blues plus feutré que la précédente, est certainement le morceau le plus ambitieux du disque.
Doté d'un rythme parfait sur lequel vient se greffer un orgue, la voix d'Adèle fait des merveilles, elle est divine dans ce registre.
Le très beau break, doté d'un contrechant et de choeurs jouissifs qui succèdent, se prend bien le temps pour déboucher sur un résultat qui ne déborde pas du tout.

Superbe rendu pour la reprise du "Lovesong" des Cure passé à la sauce Folk.
Elle a su en faire une version bien personnelle, là ou d'autres se seraient contenté(e)s de décalquer platement l'originale.

"Turning Tables", "Don't You Remember", "Take It All" et "Someone Like You" sont de très jolies ballades qui savent toucher.
La première et la dernière rappelleront brièvement le Coldplay des débuts, mais avec la voix d'Adèle, c'est plus chouette.

Très belle voix qui fait ce qu'il faut et comme il faut + instruments authentiques + inspiration présente tout le long = jolie petite perle.







THIN LIZZY
CHINATOWN


Le 11 Octobre 2018 par FINISHERFRANKY


Je ne peux pas me faire aux notes inférieures à 5 données ici ou là. Quand l'album s'ouvre avec We Will Be Strong je suis au bord des larmes tellement c'est beau, fin, enlevé; les guitares d'ouverture sont tout Thin Lizzy. Le refrain est splendide de feeling, La mise sur orbite du solo par le petit arrangement en décroché, ses harmonies finales, les couplets soutenus par les guitares en duo sont magiques, le dernier solo derrière les voix et le final qui reprend l'intro pour finir en un cut qui me laisse hébété.... c'en est presque trop de plaisir musical. J'écoute ce titre et cet album depuis sa sortie et, à la moitié de ma cinquantaine, je ne m'en suis jamais lassé et je sais que je ne le serai jamais.





SHADOWS
THE SHADOWS TO THE FORE


Le 11 Octobre 2018 par MANITOBA


je suis toujours étonné de voir la qualité sonore des enregistrements des shadows, tout est clair, net, si on connait pas on ne devinerait jamais que ça date du début des années 60.





The SMITHS
MEAT IS MURDER


Le 10 Octobre 2018 par LEO


Complètement d'accord avec le commentaire de RICHARD.
Meat Is Murder est sans doute l'album que je préfère de THE SMITHS bien que je place The Queen Is Dead sur un même pied d'égalité au niveau des compos et du son (chose que je ne ressens pas sur les autres 33t du groupe, pour moi bien deçà).
"How Soon Is Now?" (si bon soit-il) ne doit pas vraiment être pris en compte car il ne faisait pas partie de l'album originel (il figurait en face B du single "William, It Was Really Nothing" paru à l'été '84 ainsi que sur l'album compilation Hatful Of Hollow sorti en Novembre de la même année). celà dit, il ne fait pas vraiment tache et s'intégre plutôt bien entre ce qui étaient les faces A et B à l'origine du vinyl.
Musicalement on peut dire que l'éventail est assez large sans s'éparpiller pour autant. et ce n'était pas gagné d'avance car passer de titres influencés par le rockabilly ("Rusholme Ruffians" et "Nowhere Fast") à un truc vaguement funk comme "Barbarism Begins At Home", en passant par des ballades mélancoliques ("That Joke Isn't Funny Anymore", "Well I Wonder" et "Meat Is Murder") à du rock fiévreux sous tension ("What She Said"), il y avait de quoi s'y perdre mais au final je trouve qu'il y a une réelle unité de ton et une vraie cohésion tout du long. juste que j'aime beaucoup moins "I Want The One I Can't Have" dans lequel le chant de Morrisey est franchement limite !
Les titres que je préfère sont "The Headmaster Ritual" (avec effectivement une couleur très new-wave), les 3 ballades "That Joke Isn't Funny Anymore", et tout particulièrement le désabusé "Well I Wonder" et le sombre "Meat Is Murder", plus le funky "Barbarism Begins At Home", mais le tout se doit d'être écouté dans son intégralité pour en apprécier toute la saveur et les subtilités.
Meat Is Murder et The Queen Is Dead sont le haut du panier dans la discographie de THE SMITHS.











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