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FREDERICKS / GOLDMAN / JONES
FREDERICKS/GOLDMAN/JONES


Le 25 Avril 2011 par PORCUPINE 3


Pour moi le 2e chef-d'œuvre de Goldman après l'excellent, mais moins dense, "Entre gris clair et Gris foncé". Le talent de songwriting mais aussi (et surtout) la voix de C. Fredericks en font un indispensable de l'artiste. Un des plus grand disques de chanson française.





FLEETWOOD MAC
THEN PLAY ON


Le 25 Avril 2011 par BOB LA TAUPE


Je trouve cet album, schizophrène. Il a à la fois les caractéristiques d'un style super accrochant, et complètement emmerdant. Il peut très bien passer de bons moments comme Oh Well, Coming Your Way, la tuerie Closing Your Eyes, mais d'autres comme Searching For Madge, ou Like Criyng, complètement énervants à écouter ...

Il est aussi fort décousu... je comprends toujours pas Oh Well... ça commence à fond, un blues assez emballant, vif, puis une fois qu'on est dedans, la suite (les 3/4) est un truc instrumental, à la façon Ennio Morricone, comme un genre de Western... mais à rallonge. C'est bien oui, mais je ne vois complètement pas le rapport avec le début. Si au moins il y avait une reprise de la partie rapide ça aurait été plus ou moins logique (un peu comme Fool de Deep Purple), mais là que neni, on passe à une autre qui n'est pas fameuse du tout.

Ca devient agaçant et ça force malheureusement à remettre la qualité de ce merveilleux album en question. Aussitôt qu'on remarque un bon passage, paf, on retourne tout de suite dans les parties lentes et traînantes, répétitives. J'aurais pensé à une expérience rock progressif mais vu le style brut du blues rock typique de l'époque... j'en doute... en tout cas pour l'époque ils étaient fort innovateurs.

Dans l'ensemble, le style et les compo sont très intéressants, mais beaucoup de négligences pour la construction.

Cela dit c'est quand même la meilleur période, en pleine époque des débuts de Santana, en plus ce sont eux qui ont composé Black Magic Woman (un peu moins bon, mais dans le même style rock brut que cet album ce qui lui donne également son charme).





Elvis PRESLEY
HOW GREAT THOU ART


Le 24 Avril 2011 par ROLLAND HELL AWAITS

SLAYER est grand, mais s'est perdu comme moi sur les chemins de la décadence et de l'agressivité, ceux qu'avaient également emprunté les rockers des 50-60's... avant, pour certains, de retrouver l'esprit sain. Cash n'a-t-il pas fini sa vie comme pasteur ? Il a retrouvé la foi, cette béquille qui lui a servi à se révéler, à éloigner de lui les démons de la drogue, ce fameux "Ring of fire" !
Ceci dit, oui, je suis fan du King, et j'ai réagi en fan... en fanatique ! En cela j'ai oublié l'essentiel : te bénir, Erwin, pour t'être tapé toute la discographie d'Elvis, même les albums les plus redoutablement mauvais, les pestiférés de cette féconde mais terriblement inégale discographie. Ah, "Girl Happy"! Effectivement tu es le seul, et je me suis montré injuste envers toi. Car ne sommes nous pas tous les deux fans du King. Accepte mon pardon, reçois mes hommages avant que les flammes de l'enfer m'engloutissent.





U2
THE JOSHUA TREE


Le 24 Avril 2011 par ROLLAND


Quel album ! Quelle claque ! Du premier au dernier titre, tous les titres sonnent comme des classiques ! Indispensable.





SCORPIONS
LOVE AT FIRST STING


Le 24 Avril 2011 par POWERBEAUF


Les goûts et les couleurs ne se discutent pas, mais la mauvaise foi, si. On peut très bien détester cet album, mais balancer que les compos sont "molles du genou" et "se ressemblent toutes", faut quand même pas charrier... Je ne sache pas que "The Same Thrill" reprenne le même thème et le même tempo que "Still Loving You"... Et les 6 premiers titres, ce sont des bluettes dignes de figurer sur un album de Richard CLAYDERMAN ?

Les sonorités sont "datées" ? Je possède cet album en vinyle, en cassette et en CD remasterisé, et je cherche encore le Bontempi et les basses synthétisées... Sincèrement, à moins de décréter que tout ce qui est sorti après 1979 sonne commercial, je ne vois pas ce qu'on peut reprocher au son de ce disque.

Quant à parler d'absence de feeling, je me bidonne. Si "Still Loving You" a autant cartonné, il y a sans doute une (ou plusieurs) raison(s)... Après, si certains se sont pris des râteaux sur ce titre, le groupe n'y est pour rien...

Plus sérieusement, cet album est exactement dans la continuité de "Blackout", dont il reprend la structure : 5 titres en face A (4 "tubes"+ 1 titre-remplissage rentre-dedans pour la clore) et 4 en face B (un "tube", puis 2 titres assez anecdotiques et enfin, le slow qui tue). L'ensemble regorge d'hymnes aussi efficaces qu'indémodables, bien servi en cela par une production parfaitement adaptée. Comme chacun sait, un immense succès critique et commercial va récompenser le groupe, et le moins que l'on puisse dire, c'est que les SCORPS ne l'ont pas volé.

Cependant, je ne mettrai que 4 étoiles, car "The Same Thrill" sent trop le remplissage, et "As Soon As the Good Times Roll" ainsi que "Crossfire" ne m'accrochent pas plus que cela. Pour le reste, que du très bon, voire de l'excellent hard rock.





Elvis PRESLEY
HOW GREAT THOU ART


Le 24 Avril 2011 par JéSUS SAVES


Erwin, malgré ton pseudo anglo-saxon, ta vision de la société américaine traditionnelle est typique de celle du français moyen déculturé de ce début de XXIème siècle. Des types comme Elvis, Jerry Lee Lewis ou Johnny CASH ont appris à chanter dans les livres de cantiques de leurs mères et pas en écoutant la Star' Ac'. A mon avis, c'est pour cela qu'ils sonnaient si "vrai" et pas comme des clones de RYANNA à l'image de tant de nos apprenties chanteuses de ce côté de l'Atlantique.

Un album de Gospel représentait pour ces artistes américains un hommage à leurs racines, et cela on doit le respecter, croyant ou pas croyant. Evite donc les commentaires méprisants du style :"« Where Could I go but to the Lord » malgré des paroles à la limite de la débilité profonde pour nos oreilles européennes". Cela n'est que TON avis. Tout aussi européen que toi, je ne le partage pas, loin de là. J'aime la simplicité de ses paroles qui touchent en moi une corde sensible. Alors ne gâche pas mon plaisir.

Une dernière chose : pour comprendre et chroniquer un disque, il faut connaître l'environnement culturel de l'artiste, s'en imprégner : tes propos, marqués par un sentiment de supériorité certain, me laissent penser que tu n'es pas le meilleur chroniqueur pour Elvis. Un peu plus d'humilité, garçon, et tout n'est pas perdu ! Joyeuses Pâques quand même.


Par Forces Parallèles

Mon cher jésus saves.

Je suis en grande partie d’accord avec ton commentaire, et je te remercie de l’intérêt que tu portes à notre King.

Cependant, quelques petites précisions s’imposent :

- Erwin n’est pas un pseudo, mais mon vrai prénom, il n’a en outre rien d’anglo-saxon, puisqu’il est totalement germanique.

- Certes, Cash, Lewis et Presley - ainsi que d’autres hein, tu aurais pu citer le petit Richard, aujourd’hui pasteur de son état - ont chanté dans les chorales d’églises, mais ils n’en ont que peu suivi les enseignements - finalement -, à moins que la surconsommation de psychotropes en fasse partie et que le dépucelage de groupies en masse soit un commandement divin !

- Charmé que tu cites « Ryanna », qui a, elle aussi, appris à chanter dans les chorales gospels, nous n‘en doutons pas.

- « Croyant ou pas »… Je reste interloqué, tu me considères comme non croyant ? Considérer les paroles des cantiques comme une vérité, c’est du même acabit que croire en Adam et Eve, si cela te convient, Hallellujah ! Mais n’oblige pas tout le monde à faire de même. J’assume donc que les paroles de « Where I go but to the lord » sont d’une navrante stupidité. Mais chacun ses gouts, ainsi moi j’apprécie tout particulièrement « la marche des machos » de Karen Cheryl. En revanche, permets-moi de me répandre en excuses pour avoir gâché ton plaisir. Tel n’est pas mon but.
IL n’y a aucun caractère méprisant dans mes chroniques d’Elvis, juste un peu de moquerie parfois, je le concède. Elvis est ma plus grade idole.

- Quant à l’environnement culturel et mon « sentiment de supériorité » « l‘humilité« , je m’excuse platement de ne pas être à la hauteur. Je fais de mon mieux je t’assure, mais je suis beaucoup trop vieux pour changer.

- Et puis bien sur tu as raison je ne suis pas le meilleur chroniqueur pour Elvis… Mais je suis le seul…



Enfin je tiens à te féliciter pour ce joli pseudo directement tiré des œuvres complètes de SLAYER, quand la culture et l’intelligence vont de pair…
Joyeuses Pâques.





The ROLLING STONES
GET YER YA-YA'S OUT


Le 23 Avril 2011 par FEELGOOD


Il fallait effectivement que les Stones soient sûrs d'eux et de leur démarche pour oser un tel titre et une telle pochette, qui a au moins le mérite de mettre en valeur l'immense Charlie Watts, le pilier essentiel du groupe.
Lui et Bill Wyman constituaient alors une section rythmique idéale. Le jeu de Keith Richards, tout de riffs imparables, prenait l'auditeur aux tripes. Le brillant jeune couteau qu'était alors Mick Taylor apportait technique et musicalité. Et le maître de cérémonie, Mick Jagger, n'avait plus qu'à poser sa voix sur ce fond musical inspiré.
Certes, tout n'est pas parfait sur Get Yer..., mais le charme des Stones réside justement dans cette imperfection, dans ce joyeux bordel générateur de folie qui ne s'adresse pas vraiment à la raison.

Le Jumpin'Jack Flash introductif, aussi bon soit-il, se révèle comme d'habitude inférieur à la définitive version studio de 1968, les reprises de Berry, certes rafraîchissantes, peuvent sembler trop systématiques mais elles contribuent à rappeler d'où viennent les Stones, Keith en particulier, qui demeure le fan ultime de Chuck Berry...
Et Honky Tonk Women constitue un beau témoignage de l'apport décisif du sous-estimé Mick Taylor, celui-ci ayant contribué à transformer ce qui était à l'origine un banal morceau country en rock altier et mémorable.

Les chefs-d'oeuvre Beggar's Banquet et Let It Bleed sont évidemment copieusement représentés.
Si la version ralentie de Stray Cat Blues peut effectivement décevoir, le cinglant Street Fighting Man, mis en valeur par le tricotage des guitares, vaut vraiment le détour.
Sympathy For The Devil, dépouillée de ses percussions vaudous, perd certes sa mythique ambiance de samba maléfique, ce qui n'empêche pas cette version rongée jusqu'à l'os de fasciner justement par son côté squelettique et minimaliste.
Les pépites de Let It Bleed ne sont pas en reste. On redécouvre carrément Live With Me, emmené par une guitare tranchante et jubilatoire, on s'agenouille devant le sublime Love In Vain, vieux blues de Robert Johnson, transcendé par l'émotion générée par le chant de Jagger et les sublimes solos d'un Taylor en état de grâce. Quant aux neuf minutes de Midnight Rambler, elles nous infligent, elles, le coup de grâce. Urgence, violence, malaise, tout concourt à transformer ce titre en machine à laminer le pauvre auditeur consentant.

Plus que le simple témoignage d'une époque fascinante, Get Yer Ya Ya's Out ! demeure un disque indispensable à tout fan du groupe qui se respecte.





SCORPIONS
LOVE AT FIRST STING


Le 23 Avril 2011 par STING


Jamais je ne comprendrai le snobisme qui consiste à préférer le médiocre "Fly to the rainbow" à ce superbe album de Heavy Metal bourré d'hymnes jusqu'à la gueule. S'il vous plaît : comparez "Rock you like a hurricane" au ridicule "Speedy's coming", la messe est dite, d'entrée.





U2
THE JOSHUA TREE


Le 22 Avril 2011 par 8080


C'est clair... je comprends tout à fait le 3/5.
Peut-être pas pour les mêmes raisons mais j'aurais mis aussi 3/5 pour un album à mon grand étonnement très surestimé.

C'est d'ailleurs le défaut que je reproche aux albums de U2, c'est qu'on sait trop facilement distinguer les hits des autres chansons de l'album.
Ici dans le contexte de Jushua Three, passé le très intéressant Bullet In The Blue Sky, je peux déjà remettre le CD dans la pochette et le laisse dormir jusqu'à la prochaine... sinon c'est zapping sur zapping.
Idem pour Unforgetable Fire, après Wire et la chanson titre, plus rien d'intéressant... même Bad est trop lancinant.

Peut-être à l'exception de War, que j'ai trouvé intéressant du début à la fin... après c'est parti avec ces ballades sans aucun intéret, les guitares et ces éternelles plages lassantes tellement on les a écoutées dans son fameux best of 1980-1990. Non franchement U2, c'est le groupe typique de la machine à hits (pire que Genesis 2.0), parce que si on retire tout leur tube... il y a plus rien. Alors qu'habituellement ce n'est pas le cas. Dans la plupart des groupes il y a encore de très bonnes choses (parfois même plus intéressantes) à découvrir que les hits...





ACCESS TO ARASAKA
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Le 22 Avril 2011 par 8080


system.out.println(" C'est un bon album auquel j'attribue une côte de " + Parfait +);





BECK BOGERT APPICE
BECK BOGERT APPICE


Le 22 Avril 2011 par DKLKDLZK


Excellent album, rien à dire...
Par contre, on a dit souvent beaucoup de bien sur Carmine Appice. Je suis resté assez bien sur ma faim. Le solo qu'il fait vers la fin de Lady est complètement nul. A moins qu'ils soient camés pendant l'enregistrement.
Enfin vu l'époque, le style, et les mentalités, les situations, etc, ça m'étonnerait pas.





PINK FLOYD
HITS OF PINK FLOYD


Le 22 Avril 2011 par N'ENFAITPASTROP


Bonne idée ça ! Prendre un album de merde pour se défouler à le descendre complètement.
Allez, je vais de ce pas descendre un des plus beau chef d'oeuvre de Chantal Goya, Le Soulier Qui Vole, ainsi que les reprises de Led Zeppelin et Deep Purple par André Rieu version polka à forte influence Strauss, qualité sonore MFSL de SACD, remasterisé aussi par Seve Hoffman et Alan Parson.





SCORPIONS
LOVE AT FIRST STING


Le 22 Avril 2011 par GLIMMER TWIN


Idem que Leo, ici c'est la fin, ce son c'est trop horrible.





SCORPIONS
LOVE AT FIRST STING


Le 22 Avril 2011 par LEO


En 1974 SCORPIONS nous sortait son convainquant deuxième album "Fly To The Rainbow" (qui avec le recul, peut être considéré comme son véritable premier album tant le groupe s'y affirmait avec brio).
Dix ans plus tard, le groupe nous livre ce "Love At First Sting" aux compos molles du genou et aux sonorités estampillées années 80 (c'est à dire, vraiment très daté !).
Aucun feeling ne passe, le jeu des musiciens est hyper rigide et sans âme. On savait le lourdeau Herman Rarebell pas très finaud sur son instrument, mais là c'est le pompon ! La batterie sonne comme une boîte à rythmes (s'en est peut-être une, du reste !).
Tous les morceaux défilent et se ressemblent. Bref, ce SCORPIONS là me gonfle !
Cet album est peut-être une référence pour le quidam qui ne connaîtrait rien au hard rock, mais à part ça je ne vois pas bien ce qu'il peut y avoir de hard ou tout simplement de palpitant et créatif là dedans !
C'est avec ce disque (et le piètre live qui suivra) que je tire un trait définitif sur SCORPIONS.





The ROLLING STONES
GET YER YA-YA'S OUT


Le 22 Avril 2011 par LEO


Je suis du même avis que A.T.N. sur ce live des STONES soit disant ‘mythique’.
Seuls 4 titres relèvent le niveau de cet enregistrement plutôt brouillon : Jumpin’ Jack Flash, Sympathy For The Devil, Live With Me et surtout l'excellent Midnight Rambler tirent leur épingle du jeu.
Le reste laisse plutôt à désirer et ne m'emballe pas, déjà que je ne suis pas habituellement client du groupe et de certains morceaux présents ici (Stray Cat Blues ou Honky Tonk Women par exemple), les entendre partir dans des reprises de Chuck Berry me gonfle prodigieusement !
Il va sans dire que je préfère largement un "Live At Leeds", un "Made In Japan" ou un "Tokyo Tapes" avec tous leurs défauts qui vont avec, que ce très surévalué "Get Yer Ya-ya's Out" !





The ROLLING STONES
GET YER YA-YA'S OUT


Le 21 Avril 2011 par JF LE COAD


Dans la série des grands lives "historiques" GYYYO est un des monuments.
La remastérisation CACD est peut-être ratée (les bandes d'origine ne sont peut-être plus en très bon état) mais elle a le mérite de bien mettre en évidence les guitares qui sont remarquables (tiens ! on ne parle pas souvent du solo de TAYLOR sur "Love in Vain").
Si vous voulez retrouver le bon son, procurez-vous la version vinyle !
Le son CD est en outre plus "froid", et l'excès de détails ne fait que révéler les défauts d'enregistrement, les saturations (d'ailleurs je préfère l'écouter en voiture).





TEN YEARS AFTER
LIVE AT THE FILLMORE EAST


Le 21 Avril 2011 par JF LE COAD


Pas facile de trouver des CD de TYA chez les disquaires ! Aussi trouver ce live est une heureuse surprise. 2 heures de musique pour 10 roros, c'est à ne pas laisser passer. Ne serait-ce pour les superbes versions de "I can't keep from crying sometimes" et "Spoonfull" sans oublier "Help me" (hum ! le Alvin en fait quand même un peu trop sur ce morceau). Dommage que "Working on the Road" soit lancé sur un tempo un peu trop rapide, la rythmique a du mal à s'accorder. Il n'y a que le solo de batterie ("The Hobbit") qui m'ennuie profondément.
Donc excellent live, surtout pour amateurs de longs développements musicaux à l'instar de morceaux d'Hendrix ou de Zappa , voire de Cream (Cream live).





TEN YEARS AFTER
STONEDHENGE


Le 21 Avril 2011 par YAN LE COADOU


Cet album de blues expérimental contient une vraie pépite avec "Hear me Calling" qui reste pour moi un des des plus grands témoignages du genre et auquel on peut trouver une certaine proximité avec le "On the Road Again" des Canned Heat dont l'influence est manifeste sur des titres comme "Boogie On " ou "Spider in my Web" sur le live "Undead". Dans une vidéo disponible sur Youtube datant de 1988 on y entend Alvin enchaîner les deux titres en hommage à ces géants du blues. Dans les années soixante-dix on écoutait ce blues sur les jukebox des cafés couplé sur le 45 tours avec la version courte de "Going Home" du live "Undead" au son encore très bluesy.





TEN YEARS AFTER
TEN YEARS AFTER


Le 20 Avril 2011 par YAN LE COADOU


album qui a gardé toute la fraîcheur des enregistrements des années soixante.Si vous avez l'occasion d'écouter les versions de "help me" et de "spoonfull" du live au filmore de 1970 vous serez surpris de l'incroyable évolution du groupe en trois années.On peut cependant rester nostalgique après l'écoute d'un titre comme "i c'ant keep crying sometimes" et sa superbe partition de guitare au style très épuré qu'alvin aura souvent tendance à oublier par la suite.





PINK FLOYD
HITS OF PINK FLOYD


Le 20 Avril 2011 par GUY LIGUILI

Le Live in Concert with the Edmonton Symphony Orchestra de PROCOL HARUM est un excellent album.







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