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TANGERINE DREAM
LILY ON THE BEACH


Le 29 Mars 2014 par ARP2600

Il aurait fallu, il aurait fallu... et je ne suis pas neutre en prime, allons donc. Comme je l'ai dit dans mon texte, j'apprécie certains morceaux. Alors oui, évidemment, il y a quelques traits de guitare qui ne sont pas générés par ordinateur (quant à considérer Froese comme un génie de la guitare, bof, écoutez Göttsching pour voir) mais l'essentiel des parties électroniques souffre objectivement d'un creux dans la musique électronique : Lily est situé entre la période où on était obligé de gérer les appareils et d'interpréter une bonne partie des choses, et la période où le contrôle par ordinateur avait fait des progrès. Je suis le premier à apprécier certains types de musique entièrement artificielle (j'ai été un fan de trance en mon temps) mais ici, ça ne colle pas, désolé, 1989 c'était trop tôt.
Certes, la composition est une chose, mais quand les sonorités sont moyennes et que la musique manque de vie, on est en droit du juger durement, si. Enfin, je précise que je juge par rapport aux nombreuses grandes œuvres du groupe dans le passé, et je juge également l'album dans son ensemble, qui me semble avant tout lassant plutôt que désagréable.





TANGERINE DREAM
LILY ON THE BEACH


Le 28 Mars 2014 par CPS


Pas d'accord du tout avec cette chronique, qui est tout sauf neutre (malheureusement) (ndc: c'est le propre d'une chronique...). Ce disque recèle des perles et le premier titre en est un. Si les ordinateurs pouvaient faire des solos de guitare électrique comme dans "Too Hot For My Chinchilla", on aurait un bon de géant dans la connaissance de l'humanité.

Les autres mélodies sont plutôt inspirées et construites autour de thèmes précis (Lili on the Beach, Mount Shasta, Geckp). Pour les sonorités, elles sont révélatrices de la technique de l'époque. On le sent bien sur les sons de la batterie électronique. S'il fallait jeter à la poubelle les vieux disques de Jazz parce que les enregistrements sonnent vieux et que le son des guitares est mauvais, on perdrait une part importante de la culture du siècle dernier.

Dommage, il aurait mieux fallu préférer le fond à la forme dans cette chronique. Un peu de recul aurait permis d'apprécier la vraie richesse de cet album, et de privilégier la musique plutôt que les sonorités.

Sans rancune :)





VENOM
THE WASTE LANDS


Le 28 Mars 2014 par TONIO

Après avoir découvert Venom via le très bon Temple Of Ice, j'avais acheté celui ci. Comme il m'avait paru fade en comparaison ! Je l'avais très vite revendu...

Mais je parle de ça, c'était en 1994 ou 1995, de l'eau a coulé sous les ponts, les goûts et les avis évoluent et je serais très curieux aujourd'hui de me le procurer à nouveau. La chronique (très bonne comme d'hab' avec Red One) me donne vraiment envie de retenter l'aventure.

Par ailleurs, je n'ai jamais posé une oreille sur "Prime Evil", je n'en connais absolument aucun morceau. C'est une lacune à combler impérativement apparemment. Et comme je déteste découvrir un album via Youtube, je vais gentiment attendre de croiser sa route.





VENOM
TEMPLES OF ICE


Le 28 Mars 2014 par TONIO


Perso j'ai découvert Venom avec cet album il y a une vingtaine d'années, et j'ai tout de suite adoré. Ca m'a ensuite fait bizarre lorsque j'ai écouté leurs premières œuvres ! Les compos cradingues limite bordeliques, assez jouissives pour certaines, n'avaient pas grand chose à voir avec ce Temple Of Ice, et vraiment je préfère le Venom periode T Dolan.

Il y a vraiment un bon boulot côté guitare, Mantas nous prouve qu'il est un soliste tout à fait respectable. Et les quelques parties acoustiques sont de toute beauté. A la basse, Dolan n'est pas en reste non plus et ses parties groovent méchamment, un morceau comme "Even In Heaven" (excellent au passage) se voit relever de 2 crans tant son jeu est bien senti.

Vraiment, malgré un milieu d'album un peu lourdingue (fearie, Playtime, Acid), il y a de très très bonnes choses sur ce disque à la fois entrainant, mélodique et inspiré. Dommage que la prod' soit tellement maigrichonne, surtout pour la guitare rythmique qui n'a aucune puissance.
A découvrir sans préjugés.





WISHBONE ASH
ARGUS


Le 28 Mars 2014 par DARK SCHNEIDER


Je n'irai pas à contre-courant car pour moi cet album est incontestablement le meilleur du ASH. D'une maîtrise parfaite du début à la fin, WISHBONE ASH distille son rock tantôt bluesy, tantôt mélodico-épique avec grande classe du début à la fin. Le groupe n'est jamais pris à défaut et brille du début à la fin.

Cependant, certains titres se détachent du lot, dont l'excellent "The King Will Come " (aux paroles très chrétiennes si j'en ai bien saisi le sens), moment de toute beauté, à la fois épique et planant, qui non seulement propose de superbes harmonies de guitares, mais aussi de superbes harmonies de chant : si pris individuellement Powell et Turner ne sont pas les plus grand chanteurs qui soient, quand leurs chants font alliance comme ici, c'est grandiose !

Un mot sur "Throw Down the Sword" : ce titre inspiré de la musique renaissance a dû profondément marquer un certain Steve Harris (toute la partie acoustique de "Dance Of Death" en est quand même on ne peut plus inspirée...).

WISHBONE ASH ne fera jamais aussi bien qu'ici, ce qui ne les empêchera pas de continuer à sortir de bons disques. Le tout dernier opus, "Blue Horizon", lorgne d'ailleurs pas mal vers cet "Argus".





The MARS VOLTA
AMPUTECHTURE


Le 28 Mars 2014 par KIRIKOU


Tu l'as dit Keraz, pas facile de se surpasser au fil des albums ─ surtout quand le premier LP sorti s'appelle De-Loused in the Comatorium.
Tu l'as souligné :Amputechture comme les deux précédents nécessitent un certain nombre d'écoutes pour se révéler (ce qui est en soi totalement génial). De A à Z et sans interruption bien sûr.
Critique sympathique d'un groupe majeur et bien trop méconnu. Quand je pense que sur FP maintenant, on critique Lady Gaga et Kaaris...





BLONDIE
EAT TO THE BEAT


Le 26 Mars 2014 par KIT


Pour moi, c'est 5 boules, jamais Blondie n'a été aussi puissant sur disque, aussi consistant, combien de titres monumentaux ?...7/12 ah... si ils avaient ajouté
"suzie & jeffrey"... c'est peut-être la seule bourde...
mais en dehors de la qualité d'écriture,c'est vraiment la production qui ici fait la différence, que dire...géante! quel son maman! atomique! aussi il faut souligner les qualités de vocaliste de Debbie, cette fille est vraiment une grande chanteuse, elle module quoi, et envoie grave, mais avec style (traduction = sans ego trop audible).
Cet album est à mon humble avis un des plus grands disque pop de l'histoire.





KING CRIMSON
THRAK


Le 26 Mars 2014 par YANN 77


Album que j'adore, que je place volontiers dans le haut du panier, aux côtés des "Red", "In the court of the crimson king", "Islands"....





Chris REA
TENNIS


Le 25 Mars 2014 par ILôNIL


Tennis : le titre est prometteur. Années 80 oblige, on entend déjà le bruit percutant de la balle, la rage de la course pour une montée au filet légendaire, les applaudissements, les cris, les essoufflements, la sueur. Mais là on a tout faux ! Le tennis de Chris, ce n'est pas ça !
Le tennis de Chris c'est un tennis romantique, qui sent bon les dimanches après-midi, où on joue en double entre amis et où les jupettes volent au vent ! Les échanges, sont longs, profonds, on n'est pas dans la gagne, on est dans le plaisir ! A l'image de la pochette, la petite balle jaune nous parle de soleil et l'étendue verte des courts laisse présager des vagues bleues qui feront sont succès. "Friends across the water" reste mon titre préféré dans ce jeu ! Alors, certes, sur cet album vous ne transpirerez pas en tournant frénétiquement la tête de droite à gauche pour suivre la balle pêchue, mais pencherez juste la tête d'un côté et de l'autre bercés par la chaude voix de Chris qui vous balade le soleil d'un bout à l'autre du court... Et ça... C'est quand même pas mal !





OMD
JUNK CULTURE


Le 25 Mars 2014 par NONO


Je suis 100% du même avis que l'auteur.
Je n'ai pas hésité à mettre un commentaire positif sur mes albums préférés du groupe, en revanche je me dois aussi d'être honnête, et dire quand ça ne va pas.
Pour moi, "Junk Culture" est une vraie déception. C'est un album qui ne tient clairement que grâce à ses 3 hits: l'ultra-kitsch "Tesla Girls" (qu'on aime au départ mais dont on se lasse très vite), "Locomotion" et "Talking loud & Clear".
Pour trouver d'autres bonnes chansons là-dedans, hé ben il faut se lever tôt !
J'aime bien "All wrapped up", que beaucoup détestent. Pourquoi? Ca reste un mystère. Oui, ça sonne pas du tout comme le reste de l'album, OK... Mais au moins la mélodie est mémorable, et c'est très bien foutu globalement.
J'aime bien également "Never Turn Away".
Mais à part ça, le reste... très peu pour moi !
"Love and Violence" aurait pu être une tuerie si la production n'était pas aussi pourrave (surtout le son de batterie: la caisse claire sonne comme si on tapait sur une casserole).
White Trash et Hard Day sont très médiocres.
Quant à la chanson-titre ainsi que "Apollo": du vrai foutage de g.....
Alors, devenir pop, oui... mais à condition de rester imaginatif.
Un des moins bons albums du groupe.






OMD
CRUSH


Le 24 Mars 2014 par NONO


Ah...Crush...
Cet album qui a égaré pas mal de fans, et en a aussi amené d'autres...
A mon avis, ce disque a souvent été considéré trop sévèrement.
Oui, ça devient pop. Mais une pop chaleureuse, entraînante.
Tout le contraire de "Junk Culture" qui, bien que présentant une certaine originalité, m'a laissé de marbre sur au moins les deux tiers du skeud...
Ici par contre, tout semble couler d'évidence. Crush est un disque très agréable à écouter.
Les quatre premiers titre d'affilée: "So In Love" , "Secret" , "Bloc bloc bloc" et "Women III" sont une véritable tuerie. Jamais une telle succession de titres comme ceux-ci n'auront aussi bien démarré un album d'OMD. Du pur bonheur, et je pèse mes mots.
La face B est un peu moins accessible mais présente quand même nombre de moments intéressants: Les deux titres enchaînés "88 seconds in Greensboro" et "The native daughters of the golden west" sont pas mal du tout, "La Femme accident" est franchement sympathique (ici c'est la version originale. Ne pas écouter le remix sur le Best-Of qui est atroce), "Hold you" est assez bon quoique trop mièvre, et "The lights are going out" plutôt anecdotique mais pas franchement mauvais, juste potable, quoi.
Le seul point noir est pour moi la chanson-titre: une atrocité, qui en plus est placée au beau-milieu du disque, sur laquelle McCluskey chante très mal des paroles très connes (genre "Pluie, pluie, va-t-en. Je ne pouvais pas te supporter un jour de plus...") Bref, le thème de cette chanson est d'essayer de chanter quand on a la crève. Passionnant.
Mis-à-part ça, "Crush" est un de mes albums préférés d'OMD. Comme quoi, les goûts et les couleurs...






OMD
ARCHITECTURE AND MORALITY


Le 24 Mars 2014 par NONO


Très bon album, c'est vrai. Cependant, si les hit-singles sont supers (ainsi que quelques autres titres), il y a quand même 2 ou 3 titres qui tirent sérieusement l'album vers le bas. C'est ce qui m'empêche de qualifier cet album de "meilleur d'OMD".
En-dehors des 3 titres les plus connus (Souvenir, et les 2 parties de Joan of Arc), j'aime beaucoup "She's leaving", "Georgia" et "The beginning and the end".
Par contre, pour moi, "Sealand" (monstrueusement long et ennuyeux), ainsi que la chanson-titre (trop décalée) et "The new stone age" (bonne idée au départ, mais gâchée par un son foireux), sont vraiment rhédibitoires.
Donc je trouve que ce disque est de bonne qualité globalement, mais pas parfait non plus. Je préfère à la limite "Organisation" qui, même s'il ne contient pas autant de hits remarquables, a l'avantage de ne pas avoir de titres bancals.

Note réelle: 3.5/5





Francis CABREL
SARBACANE


Le 24 Mars 2014 par NONO


La période allant de l'automne 1989 à l'été 1990 a été baignée par cet album.
"C'est écrit", "Animal" puis enfin "Sarbacane" ont connu un véritable matraquage radiophonique, mais pour notre plus grand plaisir (en tout cas le mien !).
J'ai de très bons souvenirs de cette période donc ça contribue certainement à aimer cet album. Les souvenirs jouent un grand rôle. Mais pas uniquement bien sur, puisque ce disque est de haut niveau de toutes façons.
La plupart des gens préfèrent "Samedi soir sur la Terre". Mais moi je préfère celui-ci. C'est instinctif. C'est "animal"... comme dirait Le "chanteur dans la cabââneeuu au fond du jardaing pleineuu de cailloux".





SKIP THE USE
LITTLE ARMAGEDDON


Le 24 Mars 2014 par MAYOU


Il y avait de quoi s'y attendre... Après la bombe "Can Be Late", les indices ont finis par s'accumuler, et je commençais à avoir sincèrement très peur pour le futur album du groupe. Une volonté complètement assumée de vouloir conquérir le monde, associée à une comparaison de leur premier album éponyme et de leur deuxième album, on se rend vite compte que SKIP THE USE aime lisser ses compos pour le plaisir du plus grand nombre. Jusque là, pas de soucis, c'est même ce qui avait fait le succès de "CBL". Et puis débarque "Nameless World", le premier single. Un couplet anecdotique, malgré l'influence reggae sympathique, suivi d'un refrain pop aseptisé, et tout bonnement insupportable passé quelques écoutes.
Tout le reste de l'album est de cette trempe. Des couplets sans intérêts, et des refrains ultra accrocheurs, mais tellement accrocheurs qu'ils finissent par ne jamais vous laisser, jusqu'à vous rendre fou.
Je ne pensais pas que ça arriverait, mais SKIP THE USE l'a fait, ils m'ont rendu vieux con. SKIP THE USE c'était mieux avant.





SHAKA PONK
THE GEEKS AND THE JERKIN SOCKS


Le 23 Mars 2014 par LOUVOIR


Ah SHAKA PONK. J'ai toujours été incapable de résister à la musique de ce groupe. Qu'est-ce que c'est entraînant, qu'est-ce que ça fait bouger, qu'est-ce que ça rentre bien dans la tête!

Alors oui, clairement, si les SKIP THE USE viennent du punk, SHAKA PONK lui vient tout droit du metal. Et ça s'entend parfois, dans certains riffs de guitare bien sentis, trop peu nombreux malheureusement.
C'est aussi très pop dans l'âme, le chant typé de Sam, les mélodies sucrées et tout le tintouin.

De très belles réussites sur cet album, même si je lui préfère le précédent. On peu noter "Let's Bang", "I'm Picky", "Shiza Radio", "Old School Rocka", et "Palabra Mi Amor" qui sortent un peu du lot. Pas vraiment de titre faible, tous ont ce petit truc qui fait qu'on prend plaisir à entendre leur intro et qui donne envie d'y revenir.

En conclusion, j'ajouterais qu'il est vrai que ce groupe ne prend toute sa dimension qu'en live. C'est une véritable machine menée de main de fou par Frah.





MOTÖRHEAD
OVERKILL


Le 23 Mars 2014 par RAMON


Ami des mélodies Pop soignées, des arrangements léchés, des Patterns de batteries lorgnant sur les styles Jazz ou Cabaret, des harmonies vocales et des contre points musicaux, cet album est pour toi.

Lemmy, fan hardcore des BEATLES mais pas des ROLLING STONES, homme délicat et attentionné , esthète dans l'âme a su s'entourer de joyeux larrons qui manient qui la mandoline, qui le violon, qui la guimbarde mais n'abusent pas non plus de la cornemuse afin de nous célébrer le charme bucolique de la campagne anglaise le dimanche un soir de printemps, juste après les vêpres.
C'est bien connu, le bouseux briton quoi rude, sait rester poli et courtois et peut se motter extrêmement chaleureux pour peu qu'on ne lui siphonne pas son hydromel une fois qu'il a tourné le dos…attention non plus de ne pas reluquer ses filles ni même sa soeur de trop près, car l'homme est insulaire, pareil qu'un Corse.

Bon mon oreillette grésille salement depuis un moment faut que j'vérifie….
Hein ?
Tu me dis que MOTÖRHEAD, c'est l'union de trois gros dégueulasses tout ce qu'il y a de plus citadins qui pètent, qui rotent, s'enfilent chacun une bouteille de Jack au p'tit dèj et se tapent toutes les gonzesses pas farouches qui croisent leur chemin tout en ayant un budget drogues (dures ou non) équivalent au PNB du Swaziland ?
Oui, mais la musique douce ?
Ah, c'était le groupe le plus sauvage et bruyant de la planète…
Du coup, je passe vraiment pour un c… avec mon com'
Et un fan d'Angelo Branduardi peut aimer ça ?
Apparemment oui.

Bon à part le fait que, oui Lemmy est un fan absolu des BEATLES, qu'il a trainé dans un excellent groupe de Space Rock, vendu de la dope à HENDRIX et donné les poignards à EMERSON d'ELP pour qu'il martyrise son orgue Hammond, qu'il a fait ce qu'il a pu pour apprendre à jouer de la basse à Sid mais n'y est pas parvenu (bah,la pédagogie n'est probablement pas son truc non plus), le monsieur a formé le combo le plus dévastateur des 70's et s'y est tenu depuis.

Cet album est une tuerie barbare, même si un Metropolis ou un Capricorn ne sont pas sans rappeler les ambiances psychés chères au passé du bonhomme à la casquette de l'armée Allemande en mode World War II. Fast Eddie Clark est un sacré grateux doté d'une vraie personnalité et d'un touché à la fois bluesy et incisif qui contribue pour beaucoup à la musicalité (si,si !) de l'ensemble, quand Philty Animal Taylor va aider à pousser la sauvagerie du propos quelques crans plus loin.
Le son de basse joué la plupart du temps en accords de puissance avec saturation à l'appui est énorme, déjà l'intro du disque sur le morceau éponyme porté pat la double grosse caisse ne laisse aucune place à la pitié, et puis il y a également le solo de Stay Clean carrément jouissif et bien distinct depuis la Rickenbaker du maître des lieux.
Enfin il y a la voix, parfumée au Bourbon et au goudron, affinée par les nuits blanches de luxure et les trajets sur les autoroutes entre deux dates.
No Class ? Des hordes de huns post apocalyptiques dévastent tout et font subir les pires outrages à une population condamnée à la vie "métro/boulot/dodo".
Et si justement, c'était CA la grande classe ?
Grosse Baffe, ça par contre, c'est certain.
Indémodable.


Par Forces Parallèles

Petit post pour te remercier de ta fidélité et de ce comment qui m'a fait m'étrangler de rire !
Bien à toi





MOTÖRHEAD
ACE OF SPADES


Le 22 Mars 2014 par NORTHMATHR


Une bombe ! Dont les déflagrations n'ont pas encore fini, 34 ans après, de souffler sur le monde du rock et du métal. Motörhead a atteint le sommet, il trône sur le monde et sur l'Univers. Quel album ! Leur meilleur assurément (avec Overkill pas très loin), le plus fédérateur et le plus enivrant. Indispensable!





OMD
ORGANISATION


Le 22 Mars 2014 par NONO


J'ignore pourquoi mais ce disque a très souvent été sous-estimé, voire carrément ignoré. Est-ce le (trop) grand succès de son titre d'ouverture, Enola Gay, qui a caché le reste du disque? J'ignore. Toujours est-il que cet album, arrivé 9 mois à peine après le premier, est un véritable miracle. Car oui, il faut se rendre à l'évidence, il y a une amélioration considérable entre les 2 disques. Et je n'hésite pas à placer "Organisation " parmi les 2 meilleurs albums du groupe, côte-à-côte avec Architecture & Morality.
Pas un seul mauvais titre ici, pas un moment de répit.
J'ajouterais aussi que les titres "The Misunderstanding", "Statues" et surtout "Stanlow" représentent ce que OMD a fait de mieux dans toute leur carrière.





OMD
ORCHESTRAL MANOEUVRES IN THE DARK


Le 22 Mars 2014 par NONO


Assez d'accord avec "Waltersmoke" dans sa chronique. Le démarrage d'OMD est prometteur, mais pas vraiment concluant. Il faudra attendre le 2ème album ("Organisation"), pour être vraiment satisfait... à mon avis.
Cependant, en-dehors d'ELECTRICITY, il y a 3 ou 4 autres titres que j'aime bien, voire même: beaucoup.
Et ces titres sont: "Bunker Soldiers", "The Messerschmitt Twins", "Messages", et dans une certaine mesure "Pretending to see the future".
Comme quoi, pour moi ce disque n'est pas le disque d'un seul succès.
Mais il est également clair qu'une bonne moitié de cet album ne fait pas l'affaire.
Patience.. ils n'ont que 19 ans à l'époque, et toute les années à venir pour s'améliorer.





Elton JOHN
21 AT 33


Le 21 Mars 2014 par NONO


Personnellement j'ai toujours bien aimé ce disque.
Beaucoup de spontanéite, de fraîcheur, d'inventivité.
Cet album, je crois qu' il faut le prendre tel qu'il est, le problème étant que beaucoup de gens font constamment la comparaison avec la gloire passée...
Beaucoup de très bonnes choses ici: l'excellent "Chasing the crown" (d'autant que le style rock pur et dur n'est habituellement pas ce qu'Elton fait de mieux), "Little Jeannie": une bien belle ballade qui sonne comme une sorte de "Nikita" avant l'heure, "Sartorial Eloquence" est magnifique, "White powder/White lady" est un rock bien entrainant à la saveur west-coast... La face B est légèrement moins convaincante mais pas mauvaise du tout, oh que non!
Je retiens spécialement "Never gonna fall in love again" , et le formidable duo avec Judie Tzuke "Give me the love". Le seul morceau que j'aime moins est "Two rooms at the end of the world", un peu trop expérimental et répétitif à mon goût.
J'ajouterais que, contrairement à la croyance générale, les années allant de 1980 à 1982 (soit: les albums "21 at 33", "The Fox" et "Jum Up") sont de belles années artistiquement pour Sir Elton. Pas de grande réussite commerciale, certes, mais 3 albums de très bonnes factures, assurément !







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