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JJ CALE
NATURALLY


Le 28 Juillet 2013 par RAMON


JJ Cale vient de partir...pour de bon.
JJ Cale était un apôtre du farniente et de la contemplation, un orfèvre du laid back mais surtout un musicien doublé d'un songwriter inspiré, qui n'avait pas besoin de disposer de productions extravagantes pour nous transporter ailleurs et nous faire rêver.

Ce grand monsieur cultivait l'art de sculpter de divines mélodies autour du silence avec une économie de notes arrangées avec une classe folle, qui en disaient bien plus long que de grands discours.
De trois fois rien, jaillissait l'intensité.
JJ Cale dont les apparitions devenaient de plus en plus éparses avec le temps, préférait regarder pousser les plantes depuis un hamac installé sur le seuil de son ranch au tapage entourant les tournées et le rock'n'roll way of life.
Son oeuvre est une apologie à la lenteur, à la beauté de l'instant qui s'étire ainsi qu'à la douce nonchalence.

Cet artiste unique va nous manquer... d'ailleurs, il nous manque déjà.
Adieu l'artiste et merci pour tout.
R.I.P





The ROLLING STONES
OUT OF OUR HEADS


Le 27 Juillet 2013 par BABAR

Bon, je suis pas un immense fan de cet album (que j'ai en version UK), encore trop brouillon pour moi, mais je trouve ça vraiment bête de ne pas avoir mis "She Said Yeah" sur la version US, l'album aurait quand même bénéficié d'un titre énorme, en plus de "The Last Time" et "Satisfaction", ça aurait eu de la gueule !





Jean-michel JARRE
RENDEZ-VOUS


Le 27 Juillet 2013 par RAMON


Assister à un spectacle pyrotechnique avec Oxygène comme musique d'accompagnement, c'est impressionnant ...On a l'impression que les extraterrestres vont débarquer d'un moment à l'autre et à la limite, ça collerait presque les jetons (et oui c'est comme ça,c'est sans doute stupide mais la peur de l'inconnu: Alien, E.T, toussa toussa...)
Mais chez soi, sans les zzzzzzzziiiiiiiii...ratatatatatat...BANG, oh! la belle bleue !!!, c'est déjà nettement moins palpitant, car autant l'annoncer d'emblée: cette musique quoique n'étant pas forcément antipathique, peine carrément à se suffire à elle même.

Avec ce Rendez-Vous Jean Michel Jarre enfile pour de bon, sa combinaison d'astronaute ( parce que cosmonaute c'est Russe, Soviétique même à l'époque ), et nous la joue "Terre vue de l'Espace", vu qu'ici nous sommes confrontés à l'écoute d'une symphonie cosmique (il y a un "s" en trop dans ce mot mais c'est totalement involontaire), pour laquelle sont utilisés tout un tas de chouettes jouets électroniques à la pointe de la technologie du moment et pour l'occasion, notre compositeur national s'est même entouré de collaborateurs musiciens, mais chacun d'eux (ou presque) ne disposera que d'un seul jouet, notre homme orchestre s'appropriant tout le reste du magasin (faut quand même pas déconner).

Laissons là, toutes formes de circonvolutions et allons droit à l'essentiel: l'emploi des Fairlights, matrisequencers, Prophets, Emulator et autre Harpe Laser, ne fait que souligner la vacuité de l'ensemble, l'absence totale d'inspiration du bonhomme et l'inintêrêt absolu des mélodies et autres harmonies composées par ses soins. Si on ajoute à cela une production risible, tant elle supporte mal l'épreuve du temps (ce qui pour un truc "futuriste" la fout vraiment mal), on a fait le tour du sujet.
Deux exemples afin d'illustrer ce propos: après avoir baillé sur les trois premiers Rendez-vous (L'espace infini, c'est comme l'éternité, c'est long...), Jean Michel Jarre réussit l'exploit avec les moyens pharaoniques dont il disposait, de recréer le son l'orgue Bontempi sur le quatrième...Question cosmique, ça fait franchement cheap, oublions vite 2001 et Kubrick, passons plutôt voir les Power Rangers.
Prenons ensuite Last Rendez-Vous: des notes éparses de synthé saupoudrées par des volutes de saxophone (ambiance tamisée, musique douce quoi ),et là on pourrait se dire :" Tiens ? enfin quelque chose de convainquant", à condition toutefois de ne pas avoir flashé sur le "Love theme" de la B.O de Blade Runner quatre ans auparavant, laquelle fut signée par Vangelis...soit un concurrent direct de notre "héraut synthétique national"...résultat des courses: Greece twelve points, France rien du tout.

Heureusement, les Américains (et les Lyonnais) ont su rattraper l'affaire: ZZZZZZIIIII......ratatatatatatata........BLAAAMMGG, WONDERFULL BLUE !!!!
PIIIM, PIMPIM PIMPIM PIMPIM PIMPIIIIIM PIMPIM PIMPIM PIM
ZZZZZZ!!!!!!





The BLACK KEYS
BROTHERS


Le 26 Juillet 2013 par BABAR


L'album de la révélation (il était temps !!!) pour ce groupe génial grâce aux tubes "Tighten Up" et "Next Girl" entre autres.
Néanmoins, l'album est loin d'être (seulement) pop et garde un son blues surpuissant. Et ça, on le comprends dès le premier titre.

"Everlasting Light" est en effet surpuissant : guitare saturée à l'extrême et voix aiguë au possible (presque stridente) qui, loin de rendre la musique apaisante, la trouble encore davantage.
On embraye ensuite avec l'énorme "Next Girl" un blues-rock incomparable, vendu grâce à un clip inoubliable.
Le titre suivant, "Tighten Up" est sans aucun doute LE tube absolu du groupe. Plus encore que "Lonely Boy". On peut ne pas le connaître, mais le jour où on l'écoute, même pour la toute première fois, on a l'impression de l'avoir déjà écouté une centaine de fois. L'évidence absolue, ce que le rock fait de mieux.
Bien plus blues "Howlin' For You"est elle aussi servie par un clip absolument gigantesque : une fausse bande annonce d'un film qu'on imagine facilement réalisé et scénarisé par Tarantino.
Décidé à ne pas nous laisser le moindre répis, le groupe enchaîne avec "She's Long Gone" et son solo final avec une distorsion immense.
L'instrumentale "Black Mud" permet un retour au calme avant "The Only One", plus pop, avec moins de distorsion mais loin d'être moins bonne que les musiques précédentes.
"Too Afraid To Love You" est dans le même genre mais un peu plus anecdotique. Heureusement, "Ten Cent Pistols" débarque juste après et remets les choses à leur place. A nouveau une musique imparable.
"Sinister Kid" et "The Go Getter" nous ramènent un peu aux premiers titres du disque mais sans parvenir à insuffler la même énergie.
Heureusement, "I'm Not The One" est un petit bijou qui remet bien les choses en place. Superbe composition, le morceau aurait pu être un pur chef d'oeuvre avec un autre chanteur (non pas que je n'aime pas la voix de Dan Auerbach, mais je pense juste qu'elle ne colle pas parfaitement au morceau).
"Unknow Brother" est du même acabit. Un peu moins bon peut-être mais pas de grand chose.
"Never Gonna Give You Up" fera sourire tout accro d'internet de part son titre dans un premier temps. Mais la chanson n'en est pas moins excellente, le mélange de style entre la balade façon "The Only One" et le titre blues rock en puissance comme "Everlasting Light" est fantastique et permet d'aboutir à l'un des meilleurs morceaux de l'album.
Enfin "These Days" est une ultime balade, bien chanté et bien dirigé par une lead guitare efficace. Encore un superbe morceau et un final en apothéose.

Bref, Brothers c'est trois parties : Les hits (de "Everlasting Light" à She's Long Gone"), le retour au calme (entre "Black Mud" et "The Go Better") et un final merveilleux, comme une apothéose en toute tranquilité d'un album gigantesque.
Des albums meilleurs que celui-ci ça existe ? Oui, mais c'est pas courant...





CHEVEU
CHEVEU


Le 25 Juillet 2013 par GG


J'avais pas encore écouté le premier et quelle claque finalement ! Au même niveau que 1000 pour moi. Un côté plus "artisanal" pas détestable du tout.





LED ZEPPELIN
PHYSICAL GRAFFITI


Le 24 Juillet 2013 par BAYOU


Chutes de studio Kashmir?
Chutes de studio In My Time OF Dying?
Chutes de studio Trampled Underfoot?

Je ne savais pas qu'avec ces chutes de studio, on pouvait construite l'ossature d'un show qui propulsera les tournées du dirigeable de 1975 et de 1977.

On peut considérer que quelques titres sont du remplissage, mais c'est un défaut mineur si on compare à la puissance des morceaux cités sans parler de Slick Again, The Wanton Song ou encore Black Country Woman.

Et des millions de gens, ont écouté Kashmir sans s'ennuyer une seconde.

A l'époque LZ cherchait un second souffle c'est évident, il voulait renouveler une partie de son répertoire live pour continuer à régner sur la scène et continuer/amplifier les tournés aux USA.

Et c'est plutôt réussi !






The BEATLES
SGT. PEPPER'S LONELY HEARTS CLUB BAND


Le 24 Juillet 2013 par BOBO_BOY


Petite remarque concernant les critiques de WALTER SMOKE. Alors loin de moi l'envie de relancer un débat ou une polémique. Je ne serais pas le dernier à laisser a chacun son appréciation personnelle, les goûts et les couleurs ne se discutent vraiment pas. Après, il y a la forme. Même quand on apprécie pas Mozart ou Bach, on évite de passer pour une nouille en disant que les mecs n'y connaissaient rien en musique. Peut être qu'ici on a moins peur de lancer de telles abominations car il s'agit du language "populaire" de la musique, qui se prend moins au sérieux et qui donne l'illusion d'être plus acessible.
Il ne reste pas moins que si WALTER SMOKE avait conscience de ce que la musique moderne doit aux beatles, il serait peut être un chouia plus respectueux, j'oserais même reverencieux. Reverence probablement partagé par la majorité des artistes qu'il aime. (sur les 10 chançons les plus reprises de l'histoire de la musique, 4 sont des beatles et une est de John Lennon). La reprise la plus rapide de l'histoire est justement sergent pepper par jimmy hendrix, avant que l'album soit sorti. Par ailleurs, la musicologie moderne reconnait la place des beatles parmi les tres grands compositeurs de l'humanité (c'est marant d'ailleurs, car walter avance leur bonne téchnicité comme point fort alors qu'ils n'ont jamais été vraiment reconnus comme bons techniquement, a part peut etre George, par contre leurs talents de compositeurs sont quasi indiscutables, en terme de musicologie pure, les gouts mis a part)

Un petit cadeau en passant, cela peut etre très instructif, et montre bien comment de l'aveu du propre Fripp, King Crimson à été "pondu" par les Beatles (et en particulier Sergent Pepper, comme le hasard fait bien les choses) : http://www.youtube.com/watch?v=skBJ4UazDaw

Enjoy, et surtout, dorénavant : respect et humilité.





Ozzy OSBOURNE
BARK AT THE MOON


Le 24 Juillet 2013 par RED ONE

Merci pour ton commentaire Ramon, je suis content de voir que tu lis mes chroniques en détails !

Concernant Seventh Star (ainsi que la plupart des autres albums du Sabb' sortis après), j'envisage éventuellement (d'ici quelques temps, pas tout de suite mais bientôt) de descendre "certaines" notes d'une étoile afin de rééquilibrer le tout avec la disco d'Ozzy et les autres albums phares du heavy sortis à cette époque.

Discographie d'Ozzy dont je compte également peut être revoir les notes prochainement, sans pour autant changer fondamentalement ma chronique dans chaque cas.
Blizzard Of Ozz, Diary Of A Madman et No More Tears devraient normalement voir leur note augmentée afin de tenir plus compte de l'importance historique de ces albums. En revanche, je ne reviendrais pas sur ma note de Bark At The Moon, et donc je suis heureux de voir que tu lui donnes la même note malgré ton avis divergent !

Au plaisir de lire plein d'autres de tes (longs) commentaires !





Ozzy OSBOURNE
BARK AT THE MOON


Le 21 Juillet 2013 par RAMON


Sacré RED ONE, capable de s'enflammer pour un Seventh Star du SABB (enfin de ce qu'il en restait) et n'accordant la moyenne à ce Bark at the Moon que du bout des touches de son clavier.
Toutefois, il me faut quand même dire, et cela pour être tout à fait précis (et honnête) que nous ne parlons pas tout à fait du même album, puisque celui auquel je me réfère est le format paru en vinyle en 1983 en France qui débute par l'ébouriffant Rock'n'roll Rebel, suivi dans l'ordre par les trois titres qui ouvrent l'album chroniqué ici, ce qui mine de rien fait une différence, la première ballade ne pointant le bout de son nez qu'après le passage de deux rouleaux compresseurs, mais ce n'est pas tout.
Le titre qui ouvre la seconde partie de l'album se nomme Forever...En fait, il s'agit bien de Centre of Eternity, suivi par So Tired puis par Waiting for Darkness puis l'album se conclut avec un morceau intitulé Spiders non mentionné ici. Point de Slow Down (dommage si l'on en croit RED ONE, ce que je suis disposé à faire) sur ma copie.
En 1983, le retentissement de l'album fut à la (dé)mesure du personnage: conséquent.
Clairement, Ozzy prenait là un net ascendant sur ses ex-camarades, coupables de s'être embrouillés avec Ronnie Dio et d'avoir sortie un album certes "succesfull", mais archi-controversé en compagnie d'un Ian Gillan que tout le monde attendait de retour chez Deep Purple.
Le titre Bark At The Moon fit une sacrée percée, et devint rapidement un incontournable, et même un classique du répertoire du Madman, donc en cela il s'agit bien d'un morceau culte.
En fait c'est toute la première face de l'album qui est excellente.
J'ai déjà évoqué les deux torpilles qui initie l'album et qui mettent en valeur la guitare de Jake E Lee,aussi quand résonne l'intro de Your no different to me, une ballade propice à placer les synthés en avant, on se crispe...puis on se détend, car en fait c'est réussi, on tient le coup sans problème avant que ce diable de Jake ne revienne lustrer son manche sur le final. Now you see it (now you don't) qui clôt la face est une autre réussite notamment grâce à sa mélodie et également à ces choeurs qui illuminent le pont, apportant une belle résolution à la tension portée par l'ensemble du morceau, ce titre qui sonne très Black Sabbath période Technical Ecstasy, nous rappelle combien Ozzy était toujours en train de régler quelques comptes ça et là.
Je serai nettement moins enthousiaste à propos du verso de la chose, malgré son premier morceau qui s'intitule Forever ou Centre of Eternity, selon les éditions, qui n'est d'après moi ni progressif ni ennuyeux mais carrément rentre dedans et doté d'un pont instrumental propre à faire briller (dans le bon sens du terme) Un Jake E.Lee décidément à la fête sur cet album.
Passé cela, il faut bien admettre qu'on redescend de plusieurs crans.
Effectivement, So Tired donne envie de sortir le bazooka dès son entame, juste avant qu'on ne se ravise car une petite voix ne nous rappelle qu'Ozzy est un pitre et qu'on est en droit de prendre cela au douze millième degré, mais comme on dit par chez moi :"les plus courtes sont aussi et surtout les moins longues!".
Ensuite Waiting for Darkness ne restera pas dans les anales, c'est certain et là-dessus, je plussoie RED ONE, c'est limite prog ET ennuyeux.
Spiders vient conclure le tout et relève l'impression laissée par les deux précédents titres sans toutefois atteindre le niveau des morceaux les plus enthousiasmants de ce disque autrefois adulé par de nombreux Metal Kids, probablement surestimé à cette époque, mais néanmoins sympathique.
Un 3/5 totalement assumé.





LED ZEPPELIN
PHYSICAL GRAFFITI


Le 19 Juillet 2013 par THIERRY


Pour une fois je suis plutôt d'accord avec le très très exigeant WALTERSMOKE, disque très surestimé, l'inspiration semble décliner dès cet album. Etant donné le culte qu'il y a autour de LED ZEP, peu de personnes ont le courage de dire deux, trois vérités sur ce double disque. Je dois dire que malgré mon admiration pour l'ensemble de leur carrière, un certain snobisme nauséabond s'est développé autour d'eux et qui m'a toujours dérangé , on a pu en avoir un aperçu avec leur dernier show à Londres.

"Physical graffiti" n'est en aucun cas le zénith de la carrière du dirigeable, certes les qualités du groupe n'ont pas disparu, elles sont toujours là mais l'écoute est plutôt chaotique alternant moments plaisants avec des moments de... perplexité contrairement aux cinq premiers albums où tout était parfait ou presque.
Certains titres sont rallongés inutilement "house of the holy", "trampled under foot", "in the light" et même le classique "kashmir". Tous ces titres ont des qualités mais ne sont pas assez variés, pas de changement de rythme ou de riff, Page nous a habitué à mieux, je fais le même constat que WALTERSMOKE, on s'ennuie...Des titres assez quelconques parsèment le second disque, si bien qu'il est difficile de les mémoriser...
Reste un petit paquet de titres très réussis (quand même):
"the rover", "in my time of dying" (trop long aussi), "down by the seaside", "ten years gone" et "the wanton song".

Comme beaucoup de double album, il n'est pas parfait, loin de là par contre c'est le seul double où j'ai l'impression que le groupe a utilisé des chutes qu'ils ont rafistolés comme ils ont pu. Heureusement pour eux, les critiques n'ont pas voulu voir la vérité en face et aujourd'hui cet album fait parti des 500 meilleurs albums de rock d'après Rolling stones. Ce n'est pas mérité bien entendu...





Nobuo UEMATSU
FINAL FANTASY VI PIANO COLLECTIONS


Le 18 Juillet 2013 par LE POIS MASQUé


Excellent arrangement ! j'ai découvert ce cd par hasard par un ami fan des musiques de FF.

J'ai été surpris par la qualité de l'écriture et la richesse harmonique de ces arrangements. Même si je connais très peu les musiques du VI, j'ai vraiment eu plaisir à les écouter, cela donne envie de jouer au jeu tiens.

Mention spéciale à Mystery train, avec une écriture polytonale intéressante faisant penser à du Milhaud/Debussy.





LUSH
SPLIT


Le 18 Juillet 2013 par KORAMA


Effectivement, un grand album finalement peu connu.





BON JOVI
NEW JERSEY


Le 18 Juillet 2013 par MR TINKERTRAIN


Entièrement d'accord avec Djinn. Il s'agit là d'un de mes premiers Bon Jovi et que ce soit la prod qui tue ou certains riffs et mélodies dantesques, on ne peut passer à coté de ce grand album de Hard US - Hard FM. Sur les 12 titres, il n'y en a qu'un qui m'insupporte totalement, c'est Bad Medicine, d'où ma note.





BON JOVI
NEW JERSEY


Le 18 Juillet 2013 par JEF DE LA LUNE


Bon Jovi...Groupe découvert et écouté au début de mon adolescence puis rejeté, pour passer à des choses plus extrêmes, avant que (par nostalgie) je me décide un jour à racheter ce New Jersey. Je ne suis pas un fan du beau Jon et de son band mais s'il n'y a qu'un seul album à sauver (avec le premier et Slippery) c'est bien ce très bon disque de Hard FM à l'atmosphère springsteeniene (le superbe "Blood On Blood" ou "Love For Sale") qui comporte une sacrée flopée de hits ("Lay Your Hands on Me", "Born To Be My Baby", "Living In Sin" ou la très bonne, avec son intro orientale, "I'll Be There For You") mais aussi des trucs plus lourdingues ("Bad Medicine"...). Un guide touristique musical convaincant pour découvrir le New Jersey.





LUSH
SPLIT


Le 17 Juillet 2013 par HSUL


Une chronique qui rend justice à ce superbe album assez méconnu ! Merci beaucoup.





BON JOVI
NEW JERSEY


Le 17 Juillet 2013 par DJINN


Le premier BON JOVI que j'ai écouté. C'était il y a plus de vingt ans et j'ai vraiment adoré.

Je ne vois vraiment pas comment on peut le trouver bâclé. Pour moi les compositions, tout en restant dans le style big rock, sont plus complexes, et toujours la bonne note est jouée au bon moment.
Pour un vrai fan de big rock US adapté aux stades et aux radios, cet album est du tout bon, un peu comparable à ce qu'a pu proposer DEF LEPPARD avec Hysteria.

Les puristes rock qui normalement n'aiment pas BON JOVI surnotent toujours un peu Slippery when wet pour suggérer que ce n'est pas une critique de principe. En mettant un truc du genre "c'est nul mais ça fonctionne". Ils valorisent toujours Keep the Faith, l'album de 92, qui justement n'est plus vraiment du big rock (et que je n'arrive toujours pas à écouter).
New Jersey est donc l'album qui va s'en prendre plein la gueule, parce que le hair metal c'est quand même la honte quand on y pense...





The ROLLING STONES
GOT LIVE IF YOU WANT IT!


Le 16 Juillet 2013 par RAMON


Quelle idée, je vous le demande, d'aller enregistrer en plein jour un disque au bout de la piste de décollage de l'aéroport d' Heathrow ?
Résultat des courses, on y entend parfois bien mieux les Boeings qui s'envolent que les musiciens !
Bon trêve de plaisanterie, voilà un album live maquillé comme une voiture volée, tant il a été refait post production, sauf qu'on peut légitimement se demander pourquoi on a laissé en l'état la partie vocale de Mick Jagger sur Time is on my side, tant il chante atrocement faux sur ce titre, peut-être s'agit-il d'une farce de l'ami Keith qui se sera arrangé pour glisser cette chanson juste avant le départ du disque au pressage ?
Entre bons copains, ce genre de chose arrive, isn't it ?
En 1966, il n'est pas rare que les concerts des Pierres n'aillent pas à leur terme, surtout en Europe, tant les fans garçons et filles confondus, agglutinés en une foule compacte se muent en une horde hystérique prête à tout saccager sur son passage pour approcher et même toucher leurs idoles au point de non seulement détruire les salles et le matériel mais également de mettre en péril la vie de ces mêmes idoles !
Déjà que dans les 60's, un concert normal n'excède pas les vingt minutes, une prestation des Stones se voit souvent interrompue dès le deuxième ou troisième titre et après, sauve qui peut ! Qui a parlé d'écouter de la musique ?
Voir les musiciens, oui, les approcher, leur hurler son amour, mieux sa dévotion, son idolâtrie même jusqu'à en pisser sur un siège qu'on ne va pas tarder à déchiqueter, atteindre l'orgasme, arriver au septième ciel en les touchant voilà le but non avoué mais suffisamment explicite de ces rendez-vous en public !
Sauf que tout cela alimente la petite histoire, remplit les gazettes,fait s'affronter les générations, mais ne fait pas un disque.
Sans compter qu'à l'extérieur, c'est encore l'émeute pour ceux qui n'ont pas obtenu leur ticket d'entrée et qui livrent une bataille rangée contre les forces de l'ordre.A chaque étape d'une tournée, son nombre de blessés, d'arrestations et sa facture liée au vandalisme, ce dernier point ayant pour (seul) avantage de faire grimper en flèche le PIB.
Pourtant et malgré tous ces défauts, ce Live (enfin, Live...) est attachant, tellement ancré dans les sixties qu'il possède un charme qui va bien au delà du best-of qu'il est censé être, et finalement il s'avère que l'on tient là un bon témoignage de la folie qui entourait les Rolling Stones, façon Biopic Hollywoodien tellement il a été refait et expurgé de ce qui n'entre pas vraiment dans le domaine de la musique mais que l'on perçoit à chaque décollage (enfin dès l'entame d'un morceau...), car le trafic entre Londres et le reste du Monde était intense au moment des différentes captations de ces chansons qui font depuis partie intégrante du patrimoine de l'humanité.





DAFT PUNK
HUMAN AFTER ALL


Le 16 Juillet 2013 par MAITRE KUROSAWA

Le pire album d'electro sorti à ce jour. Si Daft Punk ne s'apellait pas Daft Punk, la maquette de ce disque aurait fini au chiottes recouverte de la gerbe de n'importe quel producteur. 0/5





UNKLE
WHERE DID THE NIGHT FALL


Le 16 Juillet 2013 par MR TINKERTRAIN


Oui alors là c'est de l'abus... avoir trouvé ce skeud d'occaz à moins de 3 euros en edition limitée 2 CD sur un site de ministre du prix, sans faire de pub, est une vraie chance pour moi! Du Trip Hop, du bjork (ah non c'est pas elle), du Rock, des mélodies mortelles, des orchestrations ultimes, un nombre de zicos impressionnant et surtout un talent de composition énorme font de ce groupe un inclassable carrément addictif. A l'instar de groupes comme Porcupine Tree, The Gathering ou Nitin Sawnhey (world electro), Unkle mérite vraiment de passer sur les ondes sans être pour autant mainstream.





DAFT PUNK
HUMAN AFTER ALL


Le 16 Juillet 2013 par AZER


Chef-d'œuvre enfin réhabilité ! Rien à dire, merci RED ONE !







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