Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 778 779 780 781 782 783 784 785 786 787 788 789 ...>...>>... 1133
Comment poster un commentaire ?


TRANSATLANTIC
KALEIDOSCOPE


Le 23 Avril 2014 par THIERRY RAOULT


L'album est bon. Comme dans la chronique, les deux longs titres dominent. Les 3 autres titres sont corrects, sans plus.
Pour ma part, avec Transatlantic, j'espère entendre du "pur" rock progressif. Sur les 2 titres majeurs, je prends du plaisir.





TOTO
ISOLATION


Le 22 Avril 2014 par NONO


Même si 99% des internautes me diront le contraire, je persiste à dire que ISOLATION est bien meilleur que "IV".
Cet album est vraiment un des tous-meilleurs du groupe, avec les 3 premiers, ainsi que "The 7th one" et "Falling in between", selon moi.





TRANSATLANTIC
KALEIDOSCOPE


Le 22 Avril 2014 par ANJE


Plutôt d'accord avec l'article, mais par trop avec la conclusion ! :) Pour moi Bridge Across Forever reste leur album de référence...





Chris REA
ESPRESSO LOGIC


Le 22 Avril 2014 par SABBBL


Bien le bonjour et merci pour toutes ces chroniques/critiques sur les oeuvres de Chris Réa,grand guitariste songwriter attachant.
Je possède toute son oeuvre et me passe régulièrement ses albums du premier au dernier.
Encore merci...c'est tellement rare qu'on écrive sur ses oeuvres...
Très cordialement

PS:j'attends la suite avec impatience...





JAPAN
GENTLEMEN TAKE POLAROIDS


Le 21 Avril 2014 par LEO


Contrairement à ARP2600, je trouve qu'aucun album de JAPAN ne peut être qualifié de chef-d'oeuvre.
Sur les 2 premiers albums en studio, le groupe se cherche et les compos ne sont pas à la hauteur et sur les 3 suivants, l'homogénéité générale fait qu'il y a trop de linéarité entre les morceaux et il y a toujours 1 ou 2 titres clairement en deçà du reste.
Pour moi, Gentlemen Take Polaroids n'échappe pas à la règle!
L'album démarre très bien avec le morceau-titre, mais 7mn pour une telle compo me paraît trop.
"Swing" est un peu bâti sur le même modèle que le précédent. la rythmique balance bien, les claviers sont rutilants, la voix est Ferryesque à souhait, bref tout ça est bien foutu mais je m'ennuie un peu durant ces 6mn.
L'atmosphérique et pesant "Burning Bridges" préfigure déjà "Ghosts" (futur compo de Tin Drum). le morceau n'est pas déplaisant mais "Some Kind Of Fool" qui devait figurer à sa place au départ aurait été un meilleur choix! (cette superbe compo verra enfin le jour 20 ans plus tard sur la compilation de David Sylvian "Everything And Nothing", hélas pas totalement dans sa version d'origine car en partie ré-enregistrée).
"My New Career" est sans conteste le titre que je préfère de ce 33t, avec sa superbe partie de basse fretless ondulante et son bref solo de saxophone (signés Mick Karn) et de violon joué par Simon House (Hawkwind).
"Methods Of Dance" avec son séquenceur et sa batterie au rythme syncopé est un excellent morceau et un des rare moment où l'on peut entendre distinctement la guitare de Rob Dean (qui sera écartée progressivement à la place des claviers de Richard Barbieri).
J'aime beaucoup aussi la reprise très originale de "Ain't That Peculiar" qui mise tout sur la rythmique et ses arrangements exotiques.
"Nightporter" est un superbe morceau mais je préfère la version avec synthés qui apparaîtra plus tard sur le double Oil On Canvas. elle est plus poignante que cette version au piano qui par comparaison, paraît curieusement plus plate et froide!
Mon 4ème morceau préféré sur ce 33t (après "My New Career", "Methods Of Dance" et "Ain't That Peculiar") est la collaboration de Ryuichi Sakamoto et David Sylvian: "Taking Islands In Africa" dont les sonorités font presque penser à ce que Sylvian fera sur son 1er album en solo: "Brilliant Trees".
Au final, je ne dirais pas que Gentlemen Take Polaroids est en dessous ou au dessus de Quiet Life ou de Tin Drum (l'album à venir). il est au même niveau, avec ses points forts et ses points faibles. cependant, d'un point de vue tout à fait personnel, je crois que je préfère légèrement Quiet Life à ses 2 succésseurs, peut-être parce qu'il y a plus de titres que j'apprécie sur l'album de 1979 et que l'on peut y entendre mieux la guitare de Rob Dean.





UFO
NO HEAVY PETTING


Le 20 Avril 2014 par TERRY


Le meilleur du groupe selon moi, avec des chansons absolument admirables ("Can You Roll Her", "I'm A Loser", "On With The Action", "Natural Thing") et deux, personnellement, dont je ne me lasserai jamais, "Belladonna" et "Martian Landscape", trop méconnues.





The BYRDS
THE NOTORIOUS BYRD BROTHERS


Le 20 Avril 2014 par TERRY


De 1968 à 1969, les Oyseaux ont sorti trois chefs d'oeuvre absolus : ce disque, "Sweetheart Of The Rodeo" et "Dr. Byrds & Mr. Hyde".
Celui-ci,avec sa sublime et sarcastique photo de pochette (le canasson remplace David Crosby, viré du groupe pour divergences musicales entre temps) et ses 11 grandes chansons, dont les immenssémissimement immenses "Goin' Back", "Tribal Gathering", "Wasn't Born To Follow", "Artificial Energy" et "Get To You", est clairement leur sommet absolu. Mais c'est, comme toujours chez eux, trop court : 28 minutes...

Essentiel.





The BYRDS
THE NOTORIOUS BYRD BROTHERS


Le 19 Avril 2014 par BAYOU

"’un des groupes les plus importants des années 60 se disloque en léguant à la postérité un dernier grand disque avant de s’enfoncer dans la médiocrité"
Un peu sévère, d'autant que l'album suivant "Sweetheart of the Rodeo " avec l'arrivée de Gram Parsons est avec le recul particulièrement marquant, lançant les bases du country-rock.

L'album chroniqué ferme surtout une période, avec Crosby et l'influence de Dylan et ne me semble pas être le plus marquant du groupe.

Et les Byrds sont surtout le groupe de Roger Mc Guinn qui a toujours su imposer ses choix, en s'alliant avec les différents musiciens.






MUSE
ORIGIN OF SYMMETRY


Le 19 Avril 2014 par AZER


Plus j'y pense, plus je me dis que MUSE est un grand groupe...
Cet "Origin Of Symmetry" m'avait assez plus lors de ma MUSE-mania, plus jeune, mais n'avait pas soulevé en moi autant de ferveur que "The Resistance", que j'ai découvert en premier. C'est d'ailleurs en réécoutant aujourd'hui les trois premiers albums que je me dis que je n'y avait strictement rien compris, même si j'en avais apprécié les tubes, et le reste de l'album suivait tant bien que mal.
Après avoir largement élargi mon spectre musical, je me rends compte à quel point je suis passé à coté de quelque chose.
Premièrement : le son. Dissonant au possible, clair au piano et saturé au possible quand Bellamy triture sa guitare, le son de cet album me plait du tout au tout. Sérieusement, toute la dimension adolescente et rageuse m'anime d'une incommensurable énergie. Couplez cela avec des compositions directes, efficaces en diable tout en restant techniques (Hyper Music, Feeling Good, Bliss, Plug In Baby), complexes sans renier l'immédiateté et l'énergie (New Born, Citizen Erased, Space Demantia), dissonantes (Hyper Music, Micro Cuts, Citizen Erased) ou calmes et reposantes (Screenager, Bliss, Citizen Erased, toujours), une voix exceptionnelle, calme ou déchainée mais toujours juste, sachant monter très haut dans les aigus (sur le coup, quoi qu'on dise de la qualité des albums, il est certain que Matthew Bellamy restera un excellent chanteur, quoiqu'on pense de son style de chant), une technicité exploitée sur tous les instruments (y compris la basse, que l'on a tendance à oublier), et tout simplement le talent et l'inspiration (surtout dans la littérature).
Autant je suis d'accord que les 3 albums les plus récents (ceux de 2006, 2009 et 2012) ont, malgré de bonnes compositions, un coté commercial pouvant dégouter certains, il est pour moi absolument certain que les 3 premiers MUSE ont une aura, un son et le principal : de très bonnes compositions qui leur permettent d'accéder au panthéon des excellents album du rock. Evidemment les intégristes purs et durs argueront que MUSE plagie RADIOHEAD, manque de méchanceté à la MOTORHEAD ou sont trop populaires pour faire partie intégrante du rock, mais diviser les avis TOUT en fédérant les foules n'est-il pas la marque des grands groupes ?
Je n'ai pour ma part rien à dire de cet album, si ce n'est qu'après 4 ans, depuis sa première écoute, je peux enfin lui attribuer sa vraie valeur.


And my plug in baby, crucifies my ennemies, when I'm tired of giving...





JAPAN
QUIET LIFE


Le 19 Avril 2014 par LEO


Après s'être cherché sur ses 2 premiers albums, JAPAN a définitivement trouvé son style sur Quiet Life.
Le chant de David Sylvian se fait plus naturel, Mick Karn a adopté la basse fretless pour un jeu bien plus personnel et original et les claviers de Richard Barbieri sont bien plus présents sans trop prendre le dessus pour le moment.
De nombreux points forts: "Quiet Life", "Fall In Love With Me", le magnifique et mystérieux "In Vogue", l'excellent "Halloween" (sans doute mon morceau préféré de JAPAN) dans lequel Mick Karn fait des merveilles tant à la basse qu'au saxophone et où claviers et guitares sont judicieusement mixées, ainsi que le sombre mais rythmé "Alien" qui annonce effectivement l'album à venir, plus le touchant et mélancolique "The Other Side Of Life".
Par contre, je suis moins fan de "Despair" dans lequel plane encore un peu trop l'ombre de Bryan Ferry ainsi que de la reprise du Velvet Underground "All Tomorrow's Parties" (qui ne m'accroche pas plus ici que dans sa version d'origine).
Parallèlement à Quiet Life, JAPAN va sortir quelques titres hors album dont tout d'abord "Life In Tokyo" un single produit et co-composé par Giorgio Moroder et David Sylvian qui ravive le petit côté disco (avec ici l'aspect electro en plus) qu'il pouvait y avoir dans certaines compos ou sons lors des débuts discographiques du groupe.
Le morceau "European Son" enregistré durant les séances de Quiet Life (mais écarté de l'album tout comme l'instrumental et face B de single "A Foreign Place") sortira en 1980 sur un EP 5 titres regroupant "I Second That Emotion", "Life In Tokyo", "Stateline" (face B sortie en 78) et une version ré-enregistrée de "Adolescent Sex".





JAPAN
OBSCURE ALTERNATIVES


Le 19 Avril 2014 par LEO


À 2 exceptions près, même recette sur Obscure Alternatives que sur Adolescent Sex!
En gros: David Sylvian avec son chant maniéré de chat écorché et musicalement, un salmigondis d'influences diverses mais principalement de Bowie et Roxy Music.
La plupart des morceaux ici présents auraient pu figurer sans problème sur le 1er album.
Le petit changement provient de l'absence de quelques sonorités soul/disco que l'on retrouvait sur Adolescent Sex et d'une incursion reggae dans "...Rhodesia" ainsi que d'un instrumental ambient façon 'Bowie/Eno' avec "The Tenant" (clin d'oeil au film de Roman Polanski sorti 3 ans auparavant ?).
Ce sont d'ailleurs ces 2 seuls titres que je retiens de ce second 33t et leur longueur cette fois-çi, ne me dérange pas car elle est là pour installer l'atmosphère propice à ces 2 compos que je trouve très réussie (mais la suite le sera bien plus!).





JAPAN
ADOLESCENT SEX


Le 19 Avril 2014 par LEO


Pas d'accord avec ARP2600 qui considère ce 1er album de JAPAN comme un de leurs meilleurs. pour moi c'est totalement le contraire!
Déjà, je déteste la façon de chanter de David Sylvian qui en fait des caisses avec ses maniérismes vocaux et son timbre anormalement aigu, et je trouve que tout ça manque sacrément de direction musicale. ça fait un peu fourre tout glam-rock/hard-rock/punk-rock/new-wave/disco.
Pour ce qui est de l'apparence physique, je ne vois pas bien ce qu'il y avait de culloté en 77-78 à se maquiller et porter des fringues exhubérantes ou bien des costards-cravates! les punks faisaient tout celà à la même période et quoiqu'il en soit, Bowie, T.Rex, les New York Dolls & Co. l'avaient déjà fait 5 ou 6 ans plus tôt! donc rien de nouveau de ce côté là.
Il ressort de ce 1er album du groupe, que Sylvian, son frangin et ses potes sont sous influence Bowie et Roxy Music et qu'ils ne les ont pas encore digéré! Si je devais retirer quelque chose de cet album, ce serait avant tout "Transmission" le titre d'ouverture que je trouve plutôt bien troussé et intéressant avec son mélange de guitares acérées, de choeurs aériens et de sonorités de claviers presque progressives.
La rythmique syncopée de "The Unconventional" est pas mal mais on est quand même bien plus proche du disco que du funk avec ce style hyper rigide et pas franchement groovy!
Le morceau-titre est sympa également malgré le chant désagréable et forcé de Sylvian.
"Suburban Love" et "Television" sont inutilement étirées en longueur.
Bref, dans l'ensemble je ne suis pas fan et le groupe poursuivra principalement dans cette voie là sur leur second 33t Obscure Alternatives avant qu'il ne change de direction musicale à partir de l'excellent Quiet Life!







JAPAN
QUIET LIFE


Le 18 Avril 2014 par KOBAN


Le son de Japan est effectivement presque là.
Si le mélange ne prend pas encore tout à fait, je mettrais ça sur le compte de la guitare de Rob Dean qui n'a pas la texture feutrée caractéristique des nappes synthétiques de Barbieri et de la basse fretless de Karn et qui tend du coup à percer dans le mix. Esthétiquement, cela sera mieux réussi lorsqu'il passera à l'e-bow ou lorsque Sylvian prendra la succession de Dean à la guitare.

Barbieri, parlons-en, tiens. Déjà maître es textures sonores, influencé par Eno et Edgar Froese, il apporte à cet album une touche de classe qu'on retrouve aussi dans sa manière de jouer du piano : légère, coloriste, atmosphérique. Ce son velouté contribue pour beaucoup à certains des titres orientés piano que j'adore chez JAPAN : "Despair", "The Other Side of Life" et (plus tard) "Nightporter".

Avec "Quiet Life", on entend certes les origines de DURAN DURAN (que je n'apprécie pas plus que ça, en dehors du projet ARCADIA), mais aussi la continuation d'un héritage ROXY MUSIC. C'est sans doute l'inspiration du texte français de "Despair", qui rappelle "A Song for Europe" (mais JAPAN nous épargne le latin) et c'est de plus en plus sensible dans le chant de Sylvian.
Sur cet album, Mick Karn et Richard Barbieri ont déjà trouvé leurs marques sonores, David Sylvian en est proche (ce sera à mon sens pour le suivant) et on attend encore que la personnalité de Steve Jansen s'affirme (là ce sera pour "Tin Drum").





DIRE STRAITS
COMMUNIQUé


Le 18 Avril 2014 par TOFFOL


Dire Straits a grandi depuis 1978 ...
J'ai toujours apprécié le final de "News", le rythme seul à la batterie a quelque chose d'assez subtil.
"Communique" est mou, "Lady Writer" ne m'emballe pas du tout, ça sonne trop fm et aucune chose remarquable comme dans "Sultan Of Swing".
Le reste est loin d'être ce qu'il y a de mieux, puis la dernière est pas inintéressant pour l'ambiance qu'elle dégage.
En gros je suis loin d'être un grand fan de Dire Straits, certaines chose sont intéressantes sur cet album par moments mais en gros c'est du mou, et sans intérêt.





Chris REA
WIRED TO THE MOON


Le 17 Avril 2014 par FRANCK


Je mets 4/5 pour les 4 incontournables de cet album selon moi à savoir" Bombollini" , "wired to the moon" , "winning" et "reasons"





Chris REA
WATER SIGN


Le 17 Avril 2014 par FRANCK

Je tiens a préciser que le son si particulier de l'album vient du fait que c'est la maquette qui est sortie dans le commerce. En effet devant le peu de succès des précédents la maison de disques ne voulait pas investir dans le REA. Que serait-il advenu de cet album si tout avait été fait pour qu'il soit enregistré normalement? Meilleur ou pire ? moins ou plus de succès ? On ne le saura pas toujours est il que c'est un très bon album. "Nothing's happening by the sea" est en effet au dessus du lot mais tout est bon dans cet album à part "Hey you" que je ne supporte pas.





The BYRDS
FIFTH DIMENSION


Le 17 Avril 2014 par QUELQUUN

Bof ... à part Eight Mile Heigh, cette superbe envolée psychédélique vraiment trop courte, le reste c'est du sous Bob Dylan , rien de super emballant.





GENESIS
ABACAB


Le 16 Avril 2014 par NONO


J'en ai mis du temps à comprendre cet album ! Mais maintenant j'avoue beaucoup l'aimer. C'est marrant comme souvent un disque qui nous touche dès le début, est souvent celui dont on se lasse très vite. Et inversement, les œuvres qu'on aime durablement sont celles qui nécessitent plusieurs écoutes.
Dans ce disque, j'aime absolument tout, à divers degrés.
En première ligne des réussites je mets : la chanson-titre ainsi que "No reply at all", "Me & Sarah Jane" (typiquement le genre de chanson qu'il faut écouter plusieurs fois), "Keep it dark", "Dodo/Lurker" et "Man on the corner".
Il n'y a qu'un seul titre que je déteste, c'est "Who Dunnit (faut-il le préciser ?) Quoiqu'il y en a même qui aiment cette "chanson" (pour la partie batterie peut-être, mais le reste...) Quant au dernier titre (Another record), il est un peu décevant après une superbe intro au piano. Mais ce n'est pas la bérésina non plus.
Donc en bref j'aime beaucoup Abacab, que je préfère même largement à l'album suivant de 1983. Mais je comprends tout à fait ceux qui ne comprennent pas cet album, qui est un tournant majeur dans le style du groupe, et qui nécessite pas mal de temps à être apprivoisé.





PRINCE
CONTROVERSY


Le 16 Avril 2014 par RAMON


L'éclosion de PRINCE, part IV, où le Kid de Minneapolis continue de montrer qu'il n'est pas un gentil garçon mais n'a pas encore décidé de pondre LE grand album qui lui permettrait d'allier la gloire à la réussite artistique, sans aucunement perdre sa crédibilité.
Ses disques se vendent bien et lui passe son temps en studio avec un ingé son et peut-être bien un autre arpète , lesquels avaient intérêt à être au taquet pendant les séances. Son altesse peste volontiers quand les bandes ne se rembobinent pas assez rapidement à son goût et fait surtout confiance à sa Linn Drum dans le rôle de l'intervenant extérieur mais comme elle sait se montrer magnanime, elle met le nom des musiciens de son groupe de scène sur la pochette mais écrits en moins gros que "produced, arranged and performed by PRINCE".
Tout de même.

Alors cet album n'est pas le plus captivant des quatre disques qui précèdent le premier acte majeur de sa majesté, c'est même peut être le moins intéressant, on attendait mieux d'une "controverse", PRINCE n'est pas un type qu'on appelle buddy, cousin, brother ou man, le chef c'est lui et là il n'apporte rien de nouveau à l'édifice de son œuvre.
Pourtant tout avait bien commencé à l'apéro sur "Controversy" et pendant l'entrée sur "Sexuality", c'est simple, ça sonne cheap, limite Bontempi version 2.0, c'est entraînant, malin, mais la ballade qui suit Do me Baby est tout sauf passionnante, ça ne dégouline pas encore le sirop (PRINCE est souvent lubrique) comme cela arrivera bien top souvent par la suite mais tout de même, on s'emmerde.
Et après ce long pensum, on reconnait la recette soul/funk teintée pop qui prévaut depuis le commencement, mais en moins bon.
La sortie rattrape l'affaire au moment du fromage, Annie Christian commence à réveiller le rocker qui jusque là sommeillait bien et le dessert qui sorti par la cuisse de Jack U Off se révèle être une petite merveille.

Mais voilà, l'entre deux extrémités est loin d'être consistant, celui qui ne se fait pas encore appeler "The Artist", même pas encore Kid de Minneapolis,qui se la pète déjà bien grave, ne prend pas (assez) de risques, pas encore.
Un album mineur avec ses perles, pour les joyaux, il faudra attendre.
Pas bien longtemps.





The BYRDS
FIFTH DIMENSION


Le 16 Avril 2014 par ENENRA


Cet album c'est un bon pote qui te fout la main sur l'épaule et part boire un coup avec toi au bar. Je ne connais que celui-ci des BYRDS mais il m'aura accompagné assez souvent lors de mes ballades européennes l'été dernier. Vraiment excellent.







Commentaires :  1 ...<<...<... 778 779 780 781 782 783 784 785 786 787 788 789 ...>...>>... 1133






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod