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DEEP PURPLE
MADE IN JAPAN


Le 25 Juin 2011 par CH'TI LEMMY


"Musique totalement périmée"... Alors que dire de la musique actuelle, que dire de ces groupes des années 1980 et 1990 ayant connu un incroyable succès à l'époque et qui sont aujourd'hui complétement oubliés, leur musique étant très à la mode à leur époque mais n'ayant malheureusement pas une portée lui permettant de transcender les années ! Deep Purple, ce sont de grands musiciens et de grands compositeurs ; et cet album live enregistré au tout début des années 1970 reflète et donner à voir - à écouter - une période où le groupe était au sommet de son Art ! Alors, maintenant, on aime la musique de Deep Purple ou on ne l'aime pas, on n'y accroche pas. C'est une question de goût. De là à dire qu'il s'agit d'une "musique totalement périmée" ! Il ne s'agit plus seulement ici d'une question de goût, mais d'un jugement de valeur hâtif se fondant sur une culture musicale probablement limitée. En effet, à titre de comparaison, qui songerait à dire que la musique d'Edith Piaf ou celle de Robert Jonhson sont périmées ? Pourtant, là aussi, dans un cas comme dans l'autre, ça sonne "vieux" à la première écoute...
Le "Live In Japan" de Deep Purple est un excellent album live. A posséder par ceux qui apprécient le groupe ; à écouter par curiosité par ceux qui veulent le découvrir ; quant aux autres, ils n'ont qu'à passer leur chemin...





The ROLLING STONES
BLACK & BLUE


Le 25 Juin 2011 par FEELGOOD


Ah ! Black and Blue ! Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il s'agit d'une cuvée qui ne laisse personne indifférent...
Chef-d'oeuvre absolu pour les uns, abomination ultime pour les autres...
Le dernier grand Stones, vibrant hommage à la musique noire, avec ses incursions dans le funk, le reggae et le jazz, clament ses adorateurs.
Un simple prétexte à l'audition de guitaristes ( Wayne Perkins, Harvey Mandel, Ron Wood, et quelques autres dont les prestations ne finiront pas sur le disque) assènent ses détracteurs.
Plus de trente-cinq ans après sa sortie, Black and Blue continue de susciter de houleuses discussions et la polémique n'est pas près de s'éteindre.

Le mystère Black and Blue...
Les Stones, censés être le plus grand groupe de rock de l'histoire de l'univers, nous proposent cette fois un album qui ne contient que peu de rock. Seuls deux titres, Hand of Fate et Crazy Mama, relèvent véritablement de ce style. Le premier, basé sur un excellent riff, tient bien la route, magnifié il est vrai par les interventions inspirées de Wayne Perkins dont le jeu peut rappeler celui du regretté Mick Taylor.
Le second n'est qu'un énième morceau à la Berry, comme le fut déjà en son temps Star Star. Sympathique et bordélique mais loin d'être indispensable.
Black and Blue souffre surtout de son aspect par trop décousu, le groupe s'essayant avec plus ou moins de bonheur à différents genres et semblant de surcroît être en proie à un cruel manque d'inspiration.
Huit chansons seulement, cas unique dans la longue carrière du groupe ! Sur ces huit compositions, on note la présence d'une reprise. En outre, deux titres, même s'ils sont signés Jagger/Richards, portent la marque d'une inspiration extérieure, ce qui en dit long. Mentionnons aussi la longueur inhabituelle des chansons qui semblent parfois avoir été laborieusement étirées.
Peu de rock stonien, donc. Le groupe donne dans le funk avec le groovy Hot Stuff, titre essentiellement basé sur un riff obsédant et n'affichant d'autre ambition que de faire danser. Mention spéciale à la prestation inspirée du guitariste Harvey Mandel (ex-Canned Heat) qui se lance dans un délire à la Wah-wah délicieusement seventies. En revanche, Hey Negrita ( inspiré par l'inénarrable Ron Wood ) tourne très vite en rond, le groove de départ n'étant pas suffisamment exaltant pour être étiré sur près de cinq minutes...
Le reggae, très en vogue à l'époque, n'est pas oublié, avec cette reprise du Cherry Oh Baby de Eric Donaldson, clinquante et sans grand intérêt.

L'inspiration de l'envahissant Billy Preston se fait plus que sentir tout au long du bizarre et jazzy Melody, morceau dont l'intérêt est rehaussé par les arrangements d'Arif Mardin, l'homme qui relança la carrière des Bee Gees (référence propre à faire fuir les puristes).
Restent deux ballades, Memory Motel, superbe chanson quelque peu handicapée par sa longueur. Sept minutes, c'est franchement trop long. Lors de la tournée Bridges to Babylon, les Stones ressusciteront ce morceau dont ils proposeront une version moins ample (sur l'album live No Security, elle est ramenée à six minutes, ce qui est nettement plus raisonnable).
Quant au tube Fool to Cry, il s'agit d'une ballade soul, typique de ce qui se faisait alors et mettant en avant le fameux falsetto de Jagger.
Inégal, surprenant, décousu et controversé, Black and Blue a au moins eu le mérite de sortir le groupe de la routine dans laquelle il tendait à s'enliser. Il est aussi particulièrement représentatif de l'air du temps, tout comme l'était Their Satanic Majesties Request neuf ans plus tôt. Cela ( et l'absence de véritable "classique") l'empêche évidemment d'accéder au statut de "grand disque". C'est la troisième fois consécutive que les Stones sortent un disque fort inférieur à leurs réussites d'antan.
Par la suite, et malgré d'indéniables fulgurances ici et là, aucun album du groupe n'accèderait plus au statut de chef-d'oeuvre, à l'exception peut-être de Some Girls, mais même celui-ci ne fait pas l'unanimité.
En 1976, l'âge d'or des Rolling Stones (1968-1972) appartient bel et bien au passé.







DEEP PURPLE
MADE IN JAPAN


Le 25 Juin 2011 par OUTRAZ


Je n'aime pas. Je trouve cette musique totalement périmée. Désolé, mais c'est "too much" pour moi ces solos à ralonge, ce chanteur "hurleur", cette espèce de prétention "pseudo-classisante". DEEP PURPLE, ce sera sans moi.





Avril LAVIGNE
GOODBYE LULLABY


Le 25 Juin 2011 par POOR BOY


"Je pourrais éventuellement le faire, mais je doute que les autres chroniqueurs soient d'accord vu qu'on ne donne pas priorité aux stars MTV". Heu... 'Faudrais pas virer franchouillard, là : j'ai rien contre Yannick Noah ou Elsa (quoique je n'adhère pas du tout aux choix de ces chroniques), mais je ne vois pas en quoi la petite Avril serait moins valable. Alors, FR pratiquerait-il le protectionnisme et l'exception "culturelle" ? Serait-il "bleu-blanc-rouge jusqu'au slip" (dixit Coluche) ? En plus, si ça peut rassurer, le père LAVIGNE est français. Voilà. NO BORDERS ! Cet album est plus que moyen, c'est vrai.







PINK FLOYD
THE DARK SIDE OF THE MOON


Le 25 Juin 2011 par FEANOR


Le problème avec ces albums cultes, c'est qu'on essaie de leur trouver des défauts pour les faire tomber de leur piédestal. Mais, avec Dark Side (prière de ne pas abréger DSOTM, c'est laid comme la mort), c'est impossible.

Fruit d'un travail monstrueux, cet album est l'apogée du rock progressif, voir l'apogée musicale des années 70. L'écouter de loin tel une vulgaire musique d'ambiance est un affront terrible fait à la musique toute entière : Dark Side doit s'écouter dans le plus grand calme, pour être apprécié dans ses plus grands détails. Car, même après des centaines d'écoutes, on redécouvre toujours quelque chose, un petit son perdu dans le lointain, qui donne à l'oeuvre toute sa poésie. La citation de Waters "Once we've cracked it, it's over" est à prendre dans le sens où, après Dark Side, il était impossible de faire un album qui trouverait une aussi grande puissance artistique, un tel génie.
Album à concept, Dark Side cherche à raconter la journée d'un individu normal, entre travail et rêves, et tout le processus qui va l'amener à la folie, seule fuite possible dans notre monde vicié par la "Money".

Tout d'abord, nous sommes déconcertés par "Speak to me", introduction en battements de coeurs, début de la vie, puis présentation des sons marquants de l'album, sons qui, lorsque nous les entendrons, nous feront revenir au début, dans une sorte de boucle infinie. Ensuite, "Breathe" commence tout en douceur sur les angoisses matinales, la fuite des rêves que l'on tente de se remémorer. Arrive "On the run", chanson dont les bruits d'aéroport nous ramènent à l'angoisse des voyages, plus particulièrement en avion, symbole de notre monde moderne. "Time", morceau sur le temps qui passe, est un des piliers de l'album, au paroxysme de la première partie, avec son solo de guitare, qui, dès le premier accord, nous emmène dans les distorsions de nos angoisses, ici l'angoisse de laisser le temps filer sans en profiter ; le texte écrit par Waters est encore une fois à couper le souffle, merveilleux. "The Great Gig in the Sky" clot la première partie (la face A du vinyle à l'époque) sur une effusion lyrique sublime et innatendue, avec la terrible voix de Clare Torry.

La seconde partie commence avec des bruits de machines à sous, de billets qu'on déchire, de pièces qui tombent dans un son strident, puis la basse de Waters introduit la chanson qui restera 20 ans dans les Chartes, qui rendit le groupe mondialement célèbre, qui sera considéré comme l'un des grands chefs-d'oeuvre musicaux du siècle ; c'est "Money", un titre dont on a parlé longuement et longuement, parfois avec ironie, histoire de dire que "ces gars sont devenus millionaires avec une chanson qui critique l'argent", mais toujours avec un profond respect, car c'est cela, on ne peut que respecter cette merveille : son solo de saxophone, son solo de guitare, la voix parfaitement dosée de Gilmour, le texte qui synthétise bien l'attrait et le repoussoir qu'est l'argent. Ensuite, nous continuons avec "Us and Them", morceau calme basé sur les claviers de Richard Wright, mais qui sait prendre de la hauteur lors de refrain, tout en contenance. "Any Colour you Like" est un pont entre "Us and Them" et les deux dernièrs morceaux, c'est pourquoi on ne le cite pas beaucoup, ce qui est injuste, car le dialogue entre les deux guitares ici présentes est sans doute le meilleur exemple du génie de David Gilmour (avec "Comfortably Numb" quelques années plus tard). Puis, finalement, la folie prend le dessus, notre individu subit le "Brain Damage", dans un morceau toujours aussi bien mené par Gilmour, qui nous invite à la retrouver sur la face cachée de la Lune, et ponctué par les éclats de rire de Barry St John. Finalement, l'album se termine sur une seconde effusion lyrique, avec "Eclispe", morceau construit autour d'une anaphore qui tente de globaliser tous les actes d'un être pendant une journée ("All that you love / All that you hate etc .."), et se termine par la victoire de la Lune sur le Soleil. Puis, pour ceux qui ont l'oreille et la patience pour entendre, on trouve un message caché dans les dernières secondes de l'album "There is no dark side of the moon, really. Matter of facts it's all dark" (Il n'y a pas de face cachée de la Lune. En réalité, c'est l'ensemble de l'univers qui est sombre), conclusion plutôt pessimiste et nihiliste.

Loin d'être de la vulgaire pop, cet album est un morceau d'Art, une question posée au monde. C'était l'époque où la musique était un peu plus que de la "Money" ...





LED ZEPPELIN
HOUSES OF THE HOLY


Le 24 Juin 2011 par TALABARDER


Un album magique qui mérite une exploration attentive, tant les climats et influences foisonnent. A la fois Prog', Hard, Rock, Funk, Reggae... un voyage. Et ce superbe "The rain song" ! Et "Over the hills and far away" ! J'y reviens régulièrement, bien plus que vers les 4 premiers, pour tout dire. Le jeu de Page est riche, matiné, parfois, d'influences Country. Je m'en rend compte seulement aujourd'hui. Mais ce type était vraiment très doué et éclectique. Bon, au final, il faut vraiment connaitre cet album.





YELLOWCARD
OCEAN AVENUE


Le 24 Juin 2011 par DIEMALIBU


J'accroche pas. Je sais, le pop punk c'est un peu toujours la même chose, mais certains groupes s'en sortent bien voire très bien (Set Your Goals, Sum 41). Mais là on dirait vraiment qu'ils ont fait la même chanson dans une tonalité différente pour chaque piste. Evidemment, ce n'est pas désagréable à écouter, mais c'est mauvais





DEEP PURPLE
MADE IN JAPAN


Le 24 Juin 2011 par MACAREUX


1972. Pas une ride (ou tout comme) 30 ans après.
Un des plus grands albums live de l'histoire du rock, si ce n'est LE plus grand.
Ma porte d'entrée dans le monstrueux univers du Deep Purple.
Moments d'apesanteur : le public qui ne se rend pas compte à la fin des morceaux que l'orage est passé et qu'il faut applaudir. Quelques secondes de doute et hop c'est bon. Frissons à chaque fois.
Une version tout simplement magique de "Child in time" que Gillian ne peut, hélas, plus chanter actuellement.
Pour les amateurs, je ne saurais que trop recommander "Powerhouse", compilation du Purple qui comporte une version live de "Child in time" plus proche de celle de "Machine head". Pour ceux qui sont déroutés par les cris (hurlements) de Gillian qui ternissent un peu la prestation (histoire de trouver quelque chose à critiquer)....

Made in Japan, c'est Deep Purple au sommet, la preuve éclatante de la suprématie de ce groupe magistral. Et, à l'époque, on ne savait pas encore qu'ils allaient rester au top pendant pas mal de temps.





DEEP PURPLE
MADE IN JAPAN


Le 24 Juin 2011 par TERRY


Un très grand live !
Intro de chronique hilarante, bravo !





LED ZEPPELIN
HOUSES OF THE HOLY


Le 24 Juin 2011 par TERRY


Immense ! Même si le précédent est largement supérieur !





CAMEL
MIRAGE


Le 24 Juin 2011 par 123LOL


Mouais ... bof ... c'est un album beaucoup trop surestimé. On enleve la premiere et la derniere plage de cet album, il reste un morceau bouche trou sans interet, une longue plage mélancolique et pessimiste, et une seconde bétise instrumentale bien loin de ce qui allait venir par la suite ... donc à part Freefal et Lady Fantasy le reste est ultra décevant.





CAMEL
CAMEL


Le 24 Juin 2011 par NAME += COMENTAR


C'est rare de dire ça mais j'aime cet album surtout pour le live de 20 minutes en bonus (titre inédit Honor For The God Of Lights) montrant déja leur talent pour ce qui est de l'instrumental.





CAMEL
MUSIC INSPIRED BY THE SNOW GOOSE


Le 24 Juin 2011 par BOB LA TAUPE


Incroyable album !
Rares sont les groupes de l'époque pouvant se vanter de réussir si bien un album totalement instrumental. A vrai dire à part les Shadows (un tout autre monde/epoque musicale) j'ai jamais tant aprécié un disque entier instrumental (si on reste dans le domaine du rock évidemment).
Soyons honnetes la voix du chanteur de Camel n'a jamais laissé de trace impérissable dans le monde du rock, par contre leurs passages instrumentaux, tout est là.





SAXON
CALL TO ARMS


Le 23 Juin 2011 par MS666


Moi qui me demandais pourquoi Nightfall n'avait pas sorti de chronique sur le dernier Saxon ! Et bien après 2 jours de recherche je le trouve sur FP. Un peu bizarre non ? Pour une meilleure logique (saxon reste metal) il faudrait mieux le mettre sur la partie metal non ?

Sinon un grand album pas révolutionnaire mais où les orchestrations donnent très bien d'ailleurs moi j'aime bien la version orchestrale de Call.





WHO CARES
OUT OF MY MIND / HOLY WATER


Le 22 Juin 2011 par EL CHUPA NIBRE


C'est pas être mauvaise langue c'est vraiment le minimum syndical qu'ils ont fait sur les 2 chansons...

C'est cool mais vraiment pas un truc majeur dans leur carrière... :(





FLEET FOXES
HELPLESSNESS BLUES


Le 21 Juin 2011 par FLORENT


Aussi bon que le premier album, le groupe évolue sans perdre ses racines. On ne peut que saluer Robin Pecknold pour ce magnifique travail.
Sans oublier que chaque morceau prend une nouvelle dimension en live où le groupe est tout simplement exceptionnel. Toutes les personnes présentes le 30 Mai 2011 au Bataclan pourront en témoigner !





Elvis PRESLEY
WELCOME TO MY WORLD


Le 21 Juin 2011 par FOXTROT

Erwin continue son travail de fond sur le King. Bravo. Même les albums les plus dispensables sont évoqués: quel courage !


Par Forces Parallèles

Merci de tes mots d’encouragement mon cher Foxtrot. En l’occurrence c’est plus de la passion que du courage. Incompréhensible de se dire que la disco complète du king n’existe pas en français…

Le « Christmas album » et « Flaming star » sont en attente de parution, il restera encore 11 albums…

6 Live dont les mythiques « Aloha » et « Madison square garden », ainsi que l’émission spéciale du « 68 Come back ».
Il reste deux gospels, le 2eme album de Noel, le « separate ways », et j’en terminerai avec le commencement sur les « Suns sessions » ressorties en 76. Je ne laisse pour le moment de coté que les deux best of sortis de son vivant.





Iggy POP
LUST FOR LIFE


Le 20 Juin 2011 par TONTON CLEM


Hey ! Ça fait un bail que j'attendais la chro' de cet album, l'un des plus cools que j'ai jamais écoutés. 1977 : année du punk, de la Guerre des Etoiles, du "Taken By Force" de SCORPIONS... et IGGY POP qui nous sort deux disques enregistrés à Berlin qui seront signe de rédemption pour lui. J'ai pas encore écouté "The Idiot", mais "Lust For Life" a tout pour décoincer les zygomatiques, à l'image de sa pochette super-culte !

Ce serait presque impossible que de dissocier Iggy de Bowie, tellement leur talent de composition est manifeste sur ce disque. Rien que pour le morceau-titre avec sa rythmique délirante et ses choeurs vraiment rétro... LA chanson-référence de l'Iguane. "The Passenger", l'autre joyau de cet album, est jubilatoire tant par son enchaînement d'accords ultra-basique que par ses "lalalalalalalala..." que j'adore. L'une de mes chansons préférées, d'ailleurs... "Tonight" et "Fall In Love With Me" sont deux chansons très réussies également, l'une qui a tout pour réjouir une âme en peine, et l'autre vachement pêchue. Et le reste vaut son pesant d'or : "Sixteen" est aussi sympatoche qu'un programme de campagne made in Chirac, "Some Weird Sin" fait la part belle à une session guitaristique excellente, et "Neighborhood Threat" détend vraiment l'atmosphère après un "Turn Blue" renversant. Ce titre-là nous montre un Iggy absolument pathétique, au bord de la crise et qui pousse des cris d'agonie à n'en plus finir... Édifiant. Y a juste "Success" que je trouve un peu en-deçà du reste, c'est tout.

Voilà encore un album qui devrait être remboursé par la Sécu, tellement il fait du bien aux cages à miel ! La remontée de l'Iguane grâce au Ziggy Stardust a été vraiment prolifique à l'enregistrement de ce chef-d'oeuvre rock 'n' roll. Cherchez pas plus loin, "Lust For Life" mérite le maximum.

Morceaux favoris : "Lust For Life", "The Passenger", "Tonight", "Turn Blue", "Fall In Love With Me".





Iggy POP
LUST FOR LIFE


Le 20 Juin 2011 par TERRY


Un chef d'oeuvre, le meilleur d'Iggy (en solo) avec "The Idiot". Et "Kill City", même si fait avec James Williamson !





Iggy POP
LUST FOR LIFE


Le 20 Juin 2011 par MARCO

La référence n'est en effet pas très glorieuse, mais je vais préciser ici ce que je n'ai pas pu faire dans la chronique : je suis dans une école de musique où, pour les reconnaissances de parcours d'accords, on nous donne des mémo techniques simples, et désolé de le dire, mais quand on commence la formation, pour ce parcours-là, comme tout le monde ne connait pas "The Passenger" de Iggy POP, c'est "Femme Libérée" qui passe avant (on nous dit aussi "Frère Jacques" pour un parcours majeur et "Comme un Ouragan" pour un mineur, c'est peut-être une insulte au bon goût pour vous, mais en tout cas, ça marche).

Ca n'enlève rien au fait que Iggy a fait sa chanson avant Cookie Dingler et ça c'est vrai que j'aurais pu le préciser.







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