Le 20 Juin 2011 par MACAREUX

Comment commenter ce nouvel opus des éternels routards du Quo ?
Que dire, que faire, quel titre recommander ?

Au diable tout commentaire, au diable toute analyse.
Une fois de plus, le Quo nous offre un album qui sent bon le Quo. C'est con à dire, mais cette musique, il faut la mettre à fond, s'envoyer un bon godet d'une bière légère et ... se mettre à secouer la tête et à sauter partout.
Status Quo, à l'instar d'AC/DC, c'est une musique qui n'invente pas grand chose mais qui ferait danser le rock en quelques secondes à une armée entière de séminaristes.
Depuis 1962, soit 50 ans de carrière (on leur offre la 50ième bien généreusement), Status Quo nous offre des perles de "simplicité" et d'efficacité. Pas ultra-technique, pas hyper complexe, leur musique c'est amplis à fond, guitare vissée au ventre, manche à 90° (celui de l'instrument) et on massacre les cordes en secouant tout ce qu'on peut !
Après quelques disques plus pop, le Quo nous offre avec "Quid pro quo" un disque qui se veut plus affilié aux grands classiques des années 70 glorieuses qu'aux disques (comme "In search of ..") récents. Les cinq compères s'en donnent à coeur joie pour le plus grand bonheur de nos cages à miel.

Que la Route sans fin du Quo soit encore longue tant ils offrent de bonheur rock'n'rollesque. Et s'ils passent près de chez vous, foncez les voir, c'est à voir tout simplement !

Let's rock !

Le 20 Juin 2011 par EAZYRDR

Avec tout le respect dû au chroniqueur, je me dois de faire part de mon état de furiosité avancée lorsqu'il se permet de dire que "The Passenger" est à tendance COOKIE DINGLER, non mais sérieusement ? "The Passenger" est sorti plus de 6 ans avant "Femme Libérée", yo !

En plus, je trouve que c'est légèrement offensant de faire référence à un groupe objectivement aussi insignifiant lorsque l'on parle d'une chanson mythique (et d'un mythe vivant en ce qui concerne l'artiste), dont les accords ont été maintes et maintes fois repris (dernière en date "Dans ma Rue" de FEFE).

J'en profite également pour apporter ma pierre à l'édifice. La chanson est en fait construite sur cette suite d'accords en spirale composée par le guitariste de studio de BOWIE (fameux, mais dont j'ai oublié le nom) et les paroles sont inspirées des U-Bahn de Berlin d'une part et des poèmes de Jim MORRISON de l'autre (il me semble d'ailleurs que c'est une sorte d'hommage au Roi Lézard, puisque POP en est un fervent fan).

En ce qui concerne l'album en entier, c'est de l'or.

Le 19 Juin 2011 par TARTE

Petit détail : on retrouve la batterie de John Bonham (Led Zeppelin) samplée au début du titre "Magellan". Le riff de batterie est tiré de "When The Levee Breaks" du quatrième album du Dirigeable, il fut repris par de nombreux groupe comme les Beastie Boys sur leur titre "Rhymin & Stealin".

Le 19 Juin 2011 par WALTER SMOKE

Il n'y a pas à dire, Guitars est vraiment un chef-d’œuvre absolu de Mike Oldfield, qui nous prouve ici que oui, en 1999, il peut encore faire des albums magnifiques et splendides (à contrario de l'inutile Millenium Bells); les grattes sont exploitées à leur summum, et nous livrent des sonorités exemplaires. C'est surtout Muse et Cochise, les deux premiers morceaux qui sont extras. Ah ! si seulement l'homme de Reading avait continué dans cette voie ! Mais bon, après, c'est son choix.

Le 18 Juin 2011 par F.

J'ai découvert Panic Room avec Satellite... et je pensais que c'était le top. Eh bien non, Visionary Position est encore un meilleur album ! Quelle voix, quelles mélodies, quels arrangements, quelles ambiances.

Le 18 Juin 2011 par TERRY

Le sommet de Costello, son disque punk, franchement grandiose !!

Le 18 Juin 2011 par ALBITOR

La canadienne acnéique a sans doute, elle ou son (ou ses) compositeurs, entendu le morceau des RUBINOOS. Mais à part le refrain, la ressemblance n'est pas ultra-frappante et le morceau de la boutonneuse me fait plutôt penser aux RAMONES, de part un traitement tout de même plus saturé et "Punky" que la Pop des RUBINOOS. Va t'elle nous pondre un album hommage à GBH la prochaine foi ? Il y a fort peu de chance, quand même.

Le 17 Juin 2011 par EAZYRDR

Pour répondre à "ALBITOR" (hein?), je serais plus tenté de dire que c'est un hommage aux RUBINOOS ("I wanna be your boyfriend"), en fait, c'est quasi du plagiarisme pour le refrain, hommage/vol ? Qui sait ?

Le 17 Juin 2011 par MASTER CAPELLO

A l'instar de la Bande Orginal du film "Into the Wild" Eddie Vedder nous ressort ici son ukulele.
Malheureusement, cette fois ci, le résultat n'est pas au rendez vous. Si la qualité d'interprétation et les compositions sont loin d'être mauvaises, le tout est d'une platitude presque alarmante.
C'est un album agréable mais sans surprises, et qui s'avère au final assez décevant.

Le 16 Juin 2011 par MAIDENJU

Un album in-dis-pen-sable, années 80 quand tu nous tiens... "Les enfants du rock" en avaient fait une spéciale de ce WWL, inoubliable. Rien est a jeter. Un son un peu vieillissant, et alors ! Un cru comme cela c'est du "L'Angelus" au bas mot.

Le 16 Juin 2011 par ALBITOR

Pas trop d'accord concernant "Girlfriend". Ce premier morceau du disque, le seul que je connaisse, est un petit bijou-hommage Pop-Rock aux RAMONES. C'est frais comme un bouton de rose et une petite chatte bien propre et bien taillée, ça me plait bien. Je ne mets pas de note, je ne connais pas le reste de l'album.

Le 16 Juin 2011 par ATOMDOOM

Bien que je posséde encore ce disque, je l'ai écouté une ou deux fois. La production et les arrangements montrent le pire des années 80 et je n'ai pas pu me concentrer sur les titres tellement que c'est agaçant (enfin pour moi !) et pouvoir dire si ils seraient au moins bons sans cet habillage electro/new wave de pacotille ...

Le 16 Juin 2011 par POWERBEAUF

Le résumé d'une période que tout musicien rêve de vivre, en sachant que les élus sont très très peu nombreux. Ce live est le témoignage du couronnement du groupe au sommet des charts et probablement de son art.

Et quand on l'écoute, on comprend aisément les raisons de ce succès :il ne renferme que des tubes capables de faire chanter aussi bien les metalleux que la ménagère moyenne. En outre, les SCORPS ont eu la bonne idée de proposer une set-list complètement différente de celle du Tokyo Tapes, afin de proposer quelque chose de neuf et d'éviter les comparaisons stériles.

Le résultat tient la majorité de ses promesses : des tubes, des tubes, des tubes, un groupe affuté comme jamais, et un public hystérique. Le son me chagrine peu, car un peu trop étouffé (mais bon, l'acoustique dans les stades et les grandes salles est rarement optimale), et puis, Holiday n'est pas jouée en entier. Mais ces reproches n'entachent vraiment pas la qualité de l'album.

Le 14 Juin 2011 par SHIRIU

Je crois bien que si j'écoute du Jazz aujourd'hui, c'est bien grâce à ce disque. Truffaz nous pond un des plus grand disque de Fusion de tous les temps. Ce qui me fascine(ra) toujours, c'est ce feeling allié à ces rythmes jungle, et ce son infernal qui me donne des frissons... Comme dirait Ozzy Osbourne, "Putain mais c'est quoi ce putain de Groove?"

Le 13 Juin 2011 par OPOTITI

J'ai été déçu, mais je m'y attendais avant d'écouter l'album. Déjà le ukulélé, j'ai jamais vraiment aimé cet instrument. Pourquoi donc le sieur Vedder échangerai-t-il sa guitare (le plus bel instrument de la terre du monde) contre un ukulélé minuscule et insignifiant? Pour combattre les maisons de disques -au moment où Izraël Kamabératchique fait un buzz énorme avec sa guitare miniature-?
Du coup le résultat est ennuyeux. C'est pas désagréable, mais on se fait chier, c'est répétitif, les morceaux durent deux minutes en moyenne, et on dirait que Vedder lui-même s'ennuie!
C'est bien gentil de donner quelque chose de nouveau aux fans mais on aurait bien pû s'en passer.

Le 11 Juin 2011 par FEELGOOD

On pourra certes reprocher à l'artiste d'avoir perdu le feu sacré qui le caractérisait autrefois et de donner dorénavant dans le plus strict professionnalisme. Inner Secrets ne dégage pas la fièvre et l'intensité des premiers albums. Il est aussi aux antipodes du mysticisme d'un Caravanserail.
La prise de risques s'avère ici minimale. Nous sommes en 1978. Les vétérans du rock américain ne prétendent plus révolutionner quoi que ce soit. Á la même période, le Jefferson Starship donnait dans un style californien pépère.
Inner Secrets n'en demeure pas moins un cocktail réussi de rythmes latins - certains parleront même de disco - et de rock musclé. L'ensemble, belle mécanique parfaitement huilée, fonctionne à la perfection dans la mesure où ces éléments ont toujours été présents dans la musique de Santana, qu'il s'agisse des grosses guitares ou des rythmes endiablés. Le meilleur des deux mondes, en somme.
Album extrêmement plaisant, un peu paresseux bien sûr, peut-être un peu trop lisse parfois (sentiment renforcé par le chant quelque peu impersonnel de Greg Walker) mais idéal à la belle saison. Parfait pour exalter l'hédoniste qui sommeille en nous.

Le 11 Juin 2011 par FEELGOOD

L'album débute par le piano de Tiny Dancer, superbe ballade débordant de sensibilité, l'une de ses plus touchantes, à défaut d'être la plus connue. Le prenant Levon, plus rythmé et au refrain irrésistible ("And he shall be Levon, and he shall be a good man..."), composition magnifiée par les envoûtants arrangements de Paul Buckmaster, suit et enfonce le clou. Á cette époque, Elton était constamment en état de grâce. Levon est, paraît-il, la chanson préférée de Jon Bon Jovi... Autre grand moment, le "péplumesque" morceau-titre, chef-d'oeuvre de grandiloquence et emblématique du Elton première période. Le reste se révèle certes moins mémorable mais demeure savoureux.
Peut-être pas son meilleur album mais l'un de ceux auxquels je suis le plus attaché, because les trois perles citées plus haut.

Le 09 Juin 2011 par BENNETT

Je confirme que c'est vraiment une belle bouse, je l'ai écouté par esprit de contradiction dans l'espoir de le reconsidérer et j'ai jamais autant rigolé de ma vie !

La prod est absolument lamentable, les compos j'en parle même pas, non c'est pas possible, Young avait décidé cette année de se foutre de la gueule du monde pour pondre un truc aussi inepte. Bon fallait dire que Trans avait déjà bien des allures de calvaire auditif je ne saurais vous dire lequel m'a le plus horripilé mais je peux vous affirmer que Landing représente le niveau zéro de la musique toutes époques confondues.

Le 09 Juin 2011 par LILASO

Ce monsieur a une classe internationale. Sa musique est une des plus originales qui soit. C'est l'artiste français le plus important des années 90 à mon sens, car il a su transcender plusieurs courants musicaux et traditions pour en faire un art véritablement universel. Cet album a été reconnu sur toute la planète et c'est normal. Dommage que ce soit en France qu'il soit resté le plus confidentiel.

Le 09 Juin 2011 par BEHEMOTH

Je dit merci beaucoup pour la découverte. Après achat et multiples écoutes cet album finit dans mon top 5 !