Le 18 Novembre 2010 par FRANCK

Un magnifique album bourré de charme !
Andy Latimer est un grand musicien entre autres. Je le réécoute sans me lasser..
Merci Camel.

Le 15 Novembre 2010 par BALDASSARI

Superbes analyses musicales concernant les différentes participations de jean philippe Baldassari dont nous vous remercions.

Merci de renvoyer sur le lignes web et sites qui révèlent les créations et pratiques musicales nombreuses de jean philippe Baldassari déjà à l'epoque où il rejoignit pour ces deux Albums les IMuvrini.

Tout d'abord dès 1976/1977, jean philippe Baldassari réalise en corse une série de reportages ethnomusicologiques auprès de nombreuses voix de l'ile de corse. C'est dans ce cadre qu'li enregistre Ghjiuliu Benardini avec Ours Antone Giovanoni et Alanu Bernardini dans le coeur même de la maison famiilale en Castagniccia.

Il s'agit là de documents qui ( jamais ne seront) ne sont toujours pas à l'heure actuelle diffusés car pris dans un contexte privé et à caractère universitaire.

D'autre part il s'agit d'une collaboration sur les deux albums fondée sur l'amitié réciproque et le désir de travailler ensemble.

Enfin le travail de jean philippe Baldassari sur Rundinella est un travail non pas seulement de musicien mais véritablement qui peut être considéré comme un travail d'arrangeur en multipiste avec differents instruments dont des synthétiseurs et ce sur plusieurs titres.

Sur "E Campa qui " " Paladini' le thème de piano est libre il s'agit d'une création et même d'une harmonisation personnel de jean philippe Baldassari (qui à l'epoque a dejà composé plusieurs pieces musicales pour musique électronique ou dans le cadre de la musique pop ou répétitive) acceptée par IMuvrini (voir en ligne les liens pour sites).

Il faut enfin noter la très grande ouverture d'esprit des I Muvrini qui donnaient une grande liberté en 1979/1981 aux divers musiciens qu'ils appelaient aux fins de s'exprimer et de composer sur leurs propres bases harmoniques ou sur les mélodies chantées référentes et les paroles de leurs belles chansons.

Le 15 Novembre 2010 par MONSIEUR P.

Un album presque génial.

Les moins:
-Dommage que les trois premières chanson se ressemblent et semblent faire partie d'un seul et même morceau.
-Dommage que suite aux trois premier morceaux l'album semble décoller, mais qu'il fini par stagner assez rapidement pour se finir sans aucune surprise.

Les plus:
-Le son et le mixage de l'album; sombre et grungy, tout en restant clean. C'est sans doute l'un des meilleurs enregistrement de Neil Young en terme de production.
-La qualité d'interprétation de Neil Young. Malgré le manque de surprises, et d'entrain de l'album, le loner assure toujours.

Le 12 Novembre 2010 par H.M.

Stanislas a sorti un nouvel album (Les carnets de la vigie) fin 2009. Excellent de bout en bout. Pas de coup de génie du style "Le manège" mais c'était prévu. Les deux singles ( "Fou d'elle" et "Tu verras en France" ), très différents l'un de l'autre donnent une bonne idée du disque dans son ensemble : tonalité pop, mais plutôt savante, d'où la nécessité de réécouter plusieurs fois chaque morceau avant de pouvoir commencer à l'apprécier.
Impossible de sélectionner les meilleurs titres : pour moi tout est au niveau de "Fou d'elle".
Le meilleur album de pop française de l'année 2010. Il est pourtant, sauf erreur de ma part, plutôt passé sous les radars des amateurs de pop. Tant pis pour eux.

Le 11 Novembre 2010 par 1M75

Je craignais le pire quand j'ai vu le nom de John Mc Laughlin sur l'album : Que ce soit casse bonbon et ce fut le cas pour moi ...
Pourquoi ? Tout simplement parce que j'aime le Mahavishnu Orchestera c'est pas ça la question mais je n'aime pas ses impros, et ici ce n'était que ça, des genres de jam (peut être un peu revus) en veux tu en voilà, et c'est toujours la même rengaine, j'adore le jazz surtout le jazz rock, fusion, mais cet album est énervant, des cris et des cris de guitare une fois l'un, une fois l'autre à sa façon, j'adore Santana mais les deux ensemble c'est pas fameux. Si seulement ils avaient fait des trucs un peu plus sérieux, ici c'est impro sur impro, par exemple The Lord Divine commence super bien, puis 3 minutes après c'est repartit pour les mêmes délires, ok ce sont de très bon guitaristes de jazz tout les deux mais c'est trop bourrin ...

Le 10 Novembre 2010 par DEVIN TOWNSEND

De l'Ultime (prononcer ultaaîîme) Trip Hop. Entendre par là un croisement parfait entre Rock Progressif et Trip Hop avec une chanteuse à la voix sublime. Pour moi, le groupe le plus intéressant de cette mouvance avec Unkle (merci Dark Panda!) et Massive Attack (les 3 derniers LP). En attendant la suite qui peine à arriver... D'ailleurs, si quelqu'un a des news?!?

Le 10 Novembre 2010 par KORAMA

De loin son meilleur album depuis "But Seriously" !
A posséder en version "deluxe" qui, bizarrerie, est plus fluide que la version simple.

Le 06 Novembre 2010 par POPOL VUH

C'est toujours la même claque quand on sort deux albums en une année, à chaque fois il y en a un peut être très bon et un autre vraiment plus mauvais, même les Beatles s'y faisaient avoir, même si c'était à une autre échelle pour les chiffres de ventes ...

Le 06 Novembre 2010 par ENVIDéCRIR

Pour moi je pense que de "Carnaval" à "Let The Music Set Your Free" tout est super bien. Le reste on peut s'en passer.
Je dirais même plus que l'album va en décrescendo, la suite des 3 premieres plages est très encourageante, ensuite, on a affaire à des chansons un peu moyennes mais qui restent agréable à écouter, puis apres les dernières plages de l'album sont un désastre.

Mouais tout compte fait si on fait la moyenne on tomberait peut être sur 2 étoiles ... on donne tout au début et plus rien vers la fin ... dommage, on peut pas être à son maximum tout le temps.

Si je ne m'abuse toutes les chroniques sont écrites album par album pour Santana, il faut pas demander ce qu'il y aura comme cotation pour Inner Secrets (je m'attends au pire).

Le 06 Novembre 2010 par BENNETT

A Funk Odyssey ou comment perdre ses fans les plus ardents ? Je vais être franc et direct, ce disque s'il n'est pas mauvais reste quand même le cancer de la discographie du groupe anglais par son aspect "Jamiroquai pour les nuls". Quand il est sorti, j'avais 11 ans mais je connaissais très bien ses précédents albums et j'étais déprimé de voir que tout le monde aimait Jamiroquai comme s'il s'agissait d'un groupe pour les night clubs et autres Top 50. Dès que je parlais de Space Cowboy ou de Emergency on Planet Earth, c'était fini plus personne ne s'y intéressait. Involontairement, j'en voulais à Jay d'avoir vendu son âme au dieu dollar...

S'il y a bien le son Jamiroquai dans cet album, il est enfoui derrière une tonne de bidouillages qui tuent l'aspect organique de leurs précédents albums. Plus la moindre envie d'expérimenter, seulement l'envie d'être efficace. Est-ce un mal ? Non bien sur, mais il est difficile d'apprécier autant cet album surtout après s'être pris claque sur claque durant les années 90. Une passade qui entérina leur popularité médiatique mais qui leur permit de se remettre sur les rails avec le correct Dynamite en 2005 (à quand une review sur le site ? Curieux de savoir ce que les chroniqueurs ont en pensé) et surtout le retour au funk de Travelling Without Moving avec le réussi Rock Dust light Star malgré deux singles assez mauvais cachant le vrai potentiel de ce disque.

Jay Kay avait promis que l'on ne l'y reprendrait plus et refaire de la musique comme il le faisait à ses débuts, bon c'est pas encore ça, mais il a viré une bonne partie des sons électro pour revenir à des sonorités old school et ça c'est bien.

Note réelle : 2,5/5

Le 06 Novembre 2010 par BENNETT

Après deux albums classés acid jazz mais sous forte influence du funk, Jay décide de faire un album hommage a ce style musical toujours aussi apprécié mais qui était considéré comme enterré depuis le milieu des années 80 remplacé par la house et le rap. Travelling Without Moving possède cette grande force de rallier fans de la première heure et néophytes avec des tubes interplanétaires comme Virtual Insanity ou l'énormissime Cosmic Girl, sans parler des titres plus instrumentaux pour combler les amoureux des deux premiers albums. Je pense que l'orientation funky se suffisait à elle-même pour éviter de refaire ce qui avait déjà fait en moins bien. Il y a un petit morceau reggae pas top pour le coup, il retentera le coup sur le récent Rock Dust Light Star avec plus de réussite sur la chanson "Hey Floyd".

Très bon album dans l'esprit, même si les titres n'ont pas le même peps pour s'enchaîner naturellement. De plus, certains pourront être surpris par l'orientation plus frimeuse du groupe, fini le mec sapé avec un sac à patates criant son amour pour la nature, place au fêtard qui se la pète en Ferrari, c'est un détail pour le néophyte mais qui est très important par la suite et expliquera son orientation trop grand public qui lui fera perdre de sa superbe.

Le 06 Novembre 2010 par BENNETT

S'il ne devait qu'un seul album dans la courte mais dense discographie de Jamiroquai, je n'hésiterais pas une seule seconde pour choisir Return of The Space Cowboy, l'album qui me fit découvrir ce groupe aux influences si particulières et à l'origine de mon amour immodéré pour la musique funk.

S'il reste dans la mouvance acid-jazz, Jay et sa bande se montrent ultra-ambitieux en variant les influences et les tempos. De plus, leur maturité musicale atteint leur apogée très tôt, ce qui se confirmera par la suite avec des albums aux interêts divers mais n'atteignant jamais selon moi le niveau d'excellence des compositions de cet album, qui n'hésitent pas à prendre des risques. Si je devais le comparer à un autre album, ce serait Breakfast in America de Supertramp, car ils ont tout deux cette qualité de nous offrir une quantité incroyable de pépites sur un seul album ! Pas un seul faux pas, pas le moindre titre qui sert de remplissage, que du bonheur, j'appelle ça un chef d'oeuvre.

Le 06 Novembre 2010 par BENNETT

Pour un premier album, quel album ! Jay Kay et sa bande envahissent la planète Acid-Jazz et autant vous dire que ça fait très mal. Sorti à une époque où la musique commençait à se formater, Emergency on Planet Earth est une bouffée d'air frais par ses thèmes originaux (l'écologie principalement) et ses influences superbement digérées.

Si le disque accuse quelques pertes de régime sur la durée (Didgin' Out, Whatever It Is, I Just Can't Stop), il a cette qualité de supporter la dure épreuve du temps avec ses tubes funky qui fonctionnent toujours aussi bien, en particulier When You Gonna Learn, LA chanson du groupe selon moi celle qui synthétise tout leur talent.

Le 06 Novembre 2010 par JEF DE LA LUNE

Pas écouté cet album, que j'ai en vynil, depuis un bon bout de temps.Revelations est un superbe instrumental, le reste effectivement me laisse un souvenir plus mitigé...

Le 05 Novembre 2010 par ATOMDOOM

Si il faut avoir un seul the FLAMIN' GROOVIES dans sa discothéque c'est bien celui-ci ... et aprés ne pas hésiter à se procurer les autres albums (période 70) même si musicalement c'est une approche différente. C'est un trés bon groupe qui n'a pas eu la chance d'avoir ce coup de pouce du destin qui donne la popularité méritée - et la vente de disques équivalent à cette notoriété.

Le 05 Novembre 2010 par EL PACHENKA

"La banane", c'était marrant pendant l'été. Maintenant, cet album... Je ne connais pas tout Philippe Katerine, mais là, il a craqué non? Agaga areuh areuh! En plus, il a un timbre de voix insupportable!

Je me retourne ressortir mes albums des VRP!

Le 04 Novembre 2010 par EL PACHENKA

Evidemment, j'ai choisi cet album il y a un an car je ne connaissais déjà "Running Up That Hill". Cette chanson a 25 ans mais procure toujours une certaine beauté émotionnelle. Comme "Hello Earth" et "The Morning Fog" vers la fin du disque (que je découvre au fur et à mesure). J'aime aussi "The Big Sky", avec la même cadence que la chanson d'ouverture.

Le 04 Novembre 2010 par BEN75

Je découvre Pauline avec ce deuxième opus qui, je dois dire, m'épate !
Je ne suis pourtant pas un féru de chanson française, mais là, je suis bluffé!

Le 02 Novembre 2010 par MASTCARD

SANTANA se permet tout y compris massacrer "Smoke On The Water". Je me suis surpris à parfois mal supporter son son guitare, parfois strident. De plus Maniac Blues a tout à fait raison quand il dit que le changement permanent de chanteur ne nous fait jamais rentrer dans l'album. Une démonstration de prétention et d'égocentrisme.

Le 02 Novembre 2010 par ALAN KOZH STIVELLOù

Tel Bran, Alan fait voguer sa barque vers l'inconnu, vers de nouvelles contrées inexplorées: celtique, profondément celtique, bien sûr que ce voyage, mais ouvert sur le monde, la diversité, à l'image des climats variés qui naissent sous les doigts du musicien. Un disque New Age (remember "Harpes du nouvel -âge"), Progressive folk, propice à faire naitre les rêveries aux tréfonds de l'auditeur alors que des spectres menacants viennent parfois fugacement hanter nos songes. Plus prosaïquement, STIVELL fait ici montre de son immense talent. Ce disque me fait planer, beaucoup plus que, par exemple, le Hergest Ridge de MIKE OLFIELD qui tournait tout à l'heure sur ma platine: c'est dire le niveau ! Et le parrallèle entre les deux musiques est loin d'être incongru. En plus, les notes sur la pochette intérieure du vynile (et oui !) sont intéressantes: une musique intelligente, sensible... Certains passages à la harpe sur la seconde face me font penser à "Au delà des mots -En tu all d'ar gerioù". Un album très peu connu de l'artiste et à découvrir sous peine de passer à côté d'un merveilleux moment.