Le 11 Octobre 2006 par NOXOS

Après une compilation qui réunissait les meilleur titres faits pour les Radio Fm et qui faisait l'impasse (malheureusement !) sur la période progressive du groupe, Virgin nous refait le coup du Greatest hits. Et, OH Bonheur ! Toutes les période sont là ! Comble de tout, les titres sont remixés ! On regrettera juste quelques oublis comme « Dancing With the Moonlit Knight », « Watcher of the Skies » ou autres morceaux de « Nursery Cryme » comme « The Return of the Giant Hogweed » et « The Fountain of Salmacis ». Enfin... Une compilation digne de ce nom.

Question à LUDO :

D'après vous, quels sont les morceaux à ajouter dans cette compilation?

Le 11 Octobre 2006 par ONCLE VIANDE

Tout à fait. L’embryon de Soft Machine est même antérieur aux Wilde Flowers puisque Wyatt, Ratledge et Hopper se connaissent depuis 1961. Bien plus qu’une « école » ou qu’un style (aux critères souvent subjectifs), Canterbury est avant tout une nébuleuse de groupes…et une famille.
Pour ce qui est de la généalogie « pure et dure », je la réservais pour « Jet propelled photographs », vrai-faux premier album, au contenu plutôt redondant, mais qui présente l’intérêt de compter encore la présence de Daevid Allen.
Pour « volume one », je mets davantage l’accent sur le parallèle Soft/Floyd, et rappelle que les deux groupes firent les beaux jours (ou plutôt les belles nuits) de l’UFO.

Le 11 Octobre 2006 par LE STO

Suite à cette chronique, je me suis ré-écouté le disque hier et je trouve vraiment que cet album est le moins bon du Floyd. Batterie infâme, manque d'inspiration, claviers à la Jean-Michel Jarre (p.ex: Signs of Life). Certes Turning Away et Sorrow sauvent un peu du naufrage ce disque, heureusement car ce n'est pas le putassier Dogs of War qui s'en chargera.

Reste une bien jolie pochette tout de même...

Le 11 Octobre 2006 par JIM

Pour faire l'historien de service, je rappelle quand même la base: un groupe dans les 60s, The Wilde Flowers; qui se divise en deux à la fin de la décennie pour former Soft Machine (pour Robert Wyatt et Kevin Ayers) d'un côté et Caravan (Pye Hastings et les frères Sinclair) de l'autre. Leurs premiers albums respectifs sortent à peu près en même temps en 68 et c'est la naissance de la scène dite de Canterbury. Le lien entre les groupes pionniers du style étant que grosso modo, tous les principaux musiciens ont été membres des Wilde Flowers, Soft Machine ou Caravan dans les 60s (cf Gong avec David Aellen, Hatfield and the North ou Matching Mole).

Le 10 Octobre 2006 par MUGEN

C'est vrai, cette musique est vraiment époustouflante je ne saurais pas quoi dire d'autre, et c’est vrai tu peux le dire UDUFRU que cela a bouleversé ton univers j'ai vécu sans aucun doute la même chose que toi!!!.
A ne pas oublier les FORCE NATURE; M. Fat Jon. Qui ont accompagné cette superbe série à montées en puissance...
A savoir que d’autres de leurs albums sont de vrais bijoux comme "Nujabes [modal soul]" et bien d autres je ne vous en dit pas plus... A vous de les découvrir car quel bonheur...
A bientôt, et que la "miousic" soit avec vous...

Le 09 Octobre 2006 par MACCA

Une daube absolue. Je crois que jamais un groupe aussi grand et influent comme Pink Floyd n'a tombé aussi bas.
De la musique synthétique, sans aucune saveur. Absolument rien à retenir. Désolé de le dire mais Pink Floyd sans Waters, c'est vraiment pas grand chose... (voir rien). Et The Division Bell nous le confirmera.

Le 09 Octobre 2006 par ZARDOZ

Pas le meilleur (trop linéaire, pas mal de titres se ressemblent) mais un sacré bon disque. Je n'aime pas "Dogs of war", mais chaque autre morceau est splendide, surtout "One slip", "Learning to fly" et "On the turning away".

Le 09 Octobre 2006 par ZARDOZ

Pas excellent, mais la chronique est quand même vache. Un bon petit disque, j'adore "peau aime", "Ma gonzesse" et "Chanson pour Pierrot".

Le 09 Octobre 2006 par ZARDOZ

Un de mes préférés de Renaud, même si il est un peu inégal. Par exemple, "La blanche" et le morceau-titre sont assez moyens...

Le 09 Octobre 2006 par ZARDOZ

Bien, mais inégal : la face B ('face nord') est moins réussie, malgré "It is not because you are".
Un bon disque, cependant, très virulent ("Ou c'est qu'j'ai mis mon flingue ?").

Le 09 Octobre 2006 par POSSOPO

un disque très déprécié des snobs en tout genre (et donc fort loué par les masses). rien que pour ça, je dirais bien que c'est une bombe, bébé, mais non, jusqu'à présent, c'est proprement ennuyeux, on dirait de la lessive.
j'éviterai la note parce que je dois avouer que je n'arrive même pas à l'écouter jusqu'au bout et à me plonger dans quoi que ce soit qui le compose.
et puis, PINK FLOYD a perdu le son.

Le 09 Octobre 2006 par POSSOPO

en voilà un disque qu'il est bon.
mais je dirai pas pourquoi. et na !

Le 09 Octobre 2006 par TYROTH

J'aime, J'adore, J'explose de joie en écoutant cette galette!

Le 09 Octobre 2006 par TYROTH

Encore une merveille de plus à consommer sans modération!

Le 09 Octobre 2006 par ONCLE VIANDE

Force est de constater que Chipstouille et moi avons jusque là des avis diamétralement opposés, mais je ne désespère pas de trouver un jour avec lui un point d’accord sur un disque (et « en bien » si possible).
Si le Pink Floyd d’après Meddle m’ennuie un peu, je considère « a momentary lapse of reason » comme l’apogée d’une décrépitude artistique.
De même que les deux derniers sont des disques de Waters, celui-ci est un disque de Gilmour, maquillé en Pink Floyd. L’album s’apparente pour moi à une liste de petites recettes éculées destinées à justifier le tampon qu’il exhibe : bruitages, énième version de « shine on », pseudo tube, instrumentaux inconsistants et chansons interminables…
Si l’on a souvent pointé du doigt sa production « high tech » comme cause de tous les maux (la batterie est calamiteuse), la principale faiblesse du disque est à mon avis plus profonde et provient des compositions elles-mêmes, et pour lesquelles le mot « médiocre » me paraît le plus approprié.
Certains mettent un point d’honneur à affirmer que Pink Floyd n’a jamais fait de « variété ». A l’écoute de cette « perte momentanée de la raison », je ne peux m’empêcher de penser qu’ils auraient dû essayer au moins une fois…juste pour voir.

Le 08 Octobre 2006 par ZARDOZ

Je ne savais pas, maintenant, oui ! Merci de l'info !
Au fait, le film est bon, mais quand même pas excellent. Pas forcément le film à voir en priorité...
Par contre, "More" (le film) est incontournable !

Le 08 Octobre 2006 par DAVID

Quand on classe une chronique dans la catégorie BO de films, cette mention apparait automatique en haut en rouge :)
Mais je n'ai jamais vu le film non.

Le 08 Octobre 2006 par DAVID

Celui que je préfère après Disco Volante, California restant bon dernier. J'aurais plutôt vu la chronique sur Nightfall mais bon...

Mike Patton avait sa voix de canard à l'époque, comme dans FNM, et ne nous la jouait pas crooner à toutes les sauces comme sur le très bon, mais trop sérieux California.
Moins violent, moins sombre et plus fun que Disco Volante.
Les passages ska et funk sont effectivement assez accessibles pour le commun des mortels, les passages heavy et musclés devraient plaire aussi aux fans de FNM.

Le 08 Octobre 2006 par MACCA

Cet album est totalement mou. Rien ne ressort, il n'y aucun fond. A retenir: "On An Island" et... c'est tout. Tout les autres sont des instrumentaux dignes de The Division Bell, c'est-à-dire indigne des grands albums du Floyd...

Je rajouterai une chose:
à réserver aux amateurs de Steve Vai et autres Satriani, autrement dit aux gens qui sont juste impressionnés par la qualité technique des musicos, alors que celle-ci ne reposent sur aucun fond...

Le 08 Octobre 2006 par ZARDOZ

Quitte à choisir un disque de Cream, je propose "Wheels of fire", tellement plus réussi..."Disraeli gears", sous sa pochette psychédélique, et malgré ses tubes "SWLABR", "Strange brew" et "Sunshine of your love" (et aussi le grandiose "Outside woman blues") ne vole pas aussi haut que "Wheels of fire".
Citons quatre titres absolument atroces : "Mother's lament", "Blue condition", "World of pain" et "Take it back". 33 minutes, c'est court, mais parfois, ça peut être looong...