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Alvin LEE
IN FLIGHT


Le 29 Mars 2009 par YAN LE COADOU


Alvin Lee, accompagné d'excellents musiciens, aurait pu facilement publier un "In Flight" Volume 1 et 2. Un superbe bootleg "One More Chance" qui aurait repris pour partie certains titres de "In Flight" et de "Pump Iron", plus quelques inédits, aurait complèté à merveille ce disque majeur d'Alvin.
Au lieu de cela, et assez bizarrement, sur un CD déjà bien fourni, on nous propose deux bonus à mon goût peu intéressants qui annoncent déjà les dérives du "Ten Years Later".





The CHEMICAL BROTHERS
COME WITH US


Le 29 Mars 2009 par SEIJITSU


Après l'excellent Surrender, les Chemical sont de retour et l'intro de Come With Us nous le rappelle.

Même si malheureusement les réjouissances ne sont que de courte durée.
L'album est certes bon, mais comme le dit CHIPSTOUILLE, cela manque cruellement de surprise et de renouvellement.
Le duo reste sur ses acquis quitte à décevoir.

Seule différence : l'album est plus électro que le précédent même si certaines chansons électro-pop sont toujours présentes comme The State We're In (qui m'insupportait à mes premières écoutes du disque mais qui est finalement pas mal) et The Test qui est sans doute une des meilleures chansons du groupe.

Autre point où je rejoins l'avis de CHIPSTOUILLE, c'est l'impression d'entendre Daft Punk sur certains titres comme Galaxy Bounce (qui est d'ailleurs une de mes pistes favorites du disque), Star Guitar et Denmark.
Alors ce sont bien sûr de bonnes chansons mais c'est tout de même frustrant de voir les frères chimiques lorgner sur nos deux compères Versaillais.

Malgré ça l'album est tout de même sympathique à défaut d'être aussi bon que les 3 précédents.

Note: 3.5/5





The CHEMICAL BROTHERS
SURRENDER


Le 29 Mars 2009 par SEIJITSU


C'est avec ce disque que j'ai découvert les deux faux frères anglais, et il m'a fallu beaucoup de temps pour l'apprécier, car je le trouvais trop pop et pas assez électro. Puis le temps passe je me suis décidé d'écouter autre chose que Out Of Control, Let Forever Be et Hey Boy Hey Girl.

Asleep From Day ressemble beaucoup à du trip-hop par bien des aspects, avec cette voix féminine très douce et son côté apaisant.
The Sunshine Underground est lui un morceau épique qui me fait beaucoup penser à The Private Psychedelic Reel, mais est légèrement inférieur tout de même.

Mais le morceau le plus inventif est sans doute Dream On. Une sorte d'électro rock-folk acoustique. Un bien beau morceau pour clôturer cet album au poil.
En revanche, je trouve contrairement à CHIPSTOUILLE que Got Glint? et Surrender font partis des meilleurs morceaux du disque. Seul Orange Wedge est vraiment anecdotique même si elle reste sympathique.

En tout cas, c'est sûrement un des meilleurs albums du duo (le second plus précisément).

Note: 4.25/5





The CHEMICAL BROTHERS
EXIT PLANET DUST


Le 29 Mars 2009 par SEIJITSU


Exit Planet Dust ou les début du Big Beat. Et pour un premier album, les Chemical Brothers nous montrent leur savoir faire !

La première partie du disque est brutale et efficace avec les hymnes Leave Home, In Dust We Trust et Three Little Birdies Down Beat et sa fameuse sirène techno (j'en trépigne rien que d'y penser) !
Quant à la deuxième partie, elle nous montre un groupe hypnotique qui aime nous faire planer avec des morceaux électro-pop de toute beauté comme Alive Alone et l'incroyable Life Is Sweet.

Je suis donc du même avis que SABELTANZ. Si j'étais dubitatif à la première écoute de ce disque, j'ai été conquis après m'être mieux immergé dedans pour saisir ses subtilités.

Seul défaut : un aspect "patchwork" de samples sur certains morceaux pas toujours agréable et un Song To The Siren assez éprouvant.

Note: 4.25/5





PINK FLOYD
THE FINAL CUT


Le 29 Mars 2009 par MARQUIS


On aurait pu croire à sa parution que "The Final Cut" était un faire part de la maison de disque du Floyd adressé à ses fans: "EMI et toute son équipe ont le regret de vous annoncer la disparition de Pink Floyd dans sa 17ème année".
La premiere fois que j'ai écouté ce disque j'ai été envahi par un sentiment d'opression dû au cocktail mélancolie/colère qui plane tout au long de l'opus.

Je ne suis pas d'accord avec ceux qui disent que "The Final Cut" est la suite de "The Wall", souvenez-vous, le mur a été abattu, Rick Wright est parti et Mason est en intérim, ici Waters ne nous emmènera pas dans un délire de Rock Star immergé dans son trip made in the chambre d'hotel. Il nous parlera plutôt une derniere fois de son père disparu, sujet déja évoqué dans "The Wall", ainsi que la guerre des Malouines qui sévissait à l'époque. Il crachera sur la gueule de Madame Thatcher, laissera chanter Guilmour sur Not Now John puis vocifèrera dans toutes les langues : "S'il vous plaît, où est le bar ?"

Attention, l'album se termine sur un message nous mettant en garde sur les dangers du nucléaire. Aaaaargh ! quelle cuite mais quel album ! "The Final Cut" aurait pu être le meilleur dernier disque du groupe.





INXS
LISTEN LIKE THIEVES


Le 29 Mars 2009 par EL PACHENKA

"Shabooh Shoobah" et "The Swing" sonnent peut-être plus New-Wave. Ceci écrit, dans le doute après me les avoir remis récemment dans le lecteur de cassettes, je dois avouer que ce ne sont pas de si mauvais albums. Ils sont sympas à (re)écouter. Par contre, "Kick" et au-delà, je ne peux pas (plus).





The ROLLING STONES
LET IT BLEED


Le 29 Mars 2009 par CHUCKY

Bonjour,

Bien évidemment que cet album reflète l'état d'esprit des Rolling Stones, Brian Jones partant en sucette, sur fond de dope, l'album dégage une atmosphère glauque. Néanmoins j'ai souvent vu le mot "Altamont" rattaché avec les diverses chroniques de l'album "Let It Bleed". On peut comprendre qu'a posteriori les critiques ont mélangé le mot "Altamont" avec l'album "Let It Bleed" puisque c'était à la même époque.
Mais bien évidemment si tout jugement d'un fait doit être effectué a posteriori, il doit être aussi effectué dans le contexte de l'époque. Un jugement effectué seulement a posteriori n'a aucune valeur. Il peut être aussi totalement faux.

C'est le cas de l'album "Let It Bleed" et du mot "Altamont". Il n'y a aucune trace d'"Altamont" dans l'album "Let It Bleed" pour une raison évidente : l'album "Let It Bleed" est paru le 28 novembre 1969 et Altamont s'est déroulé 8 jours après, le 06 décembre 1969.

Quant à l'album "Let It Bleed" est-il réellement une réponse à l'album "Let It Be" des Beatles, quand on sait que l'album "Let It Bleed" est paru 6 mois avant l'album "Let It Be" des Beatles ?

Quant à mon opinion sur "Let It Bleed" : il n'y a aucun album du "Greatest Rock'Roll Band In The World" que j'aime davantage que "Let It Bleed". Ce sont mes Stones à moi et rien qu'à moi. Au coeur de la fournaise... Tourmentés... Mais aussi sensibles... Mélangez tous les albums des Stones, en extraire le suc le plus Stonien qui soit et vous obtenez : Let It Bleed !





The RAMONES
TOO TOUGH TO DIE


Le 29 Mars 2009 par LEO


Une note bien sévère pour un album que je considère parmi les plus réussis des Ramones (en tous cas, un de ceux que je préfère dans leur vaste discographie).
Je n'ai aucun problème avec 'Wart Hog' de Dee Dee, en revanche 'Endless Vacation' est un peu too much dans le même style !
'Chasing The Night' et 'Howling At The Moon' sont effectivement les titres les plus pop du disque, mais on peut citer d'autres exemples sur divers albums du groupe. Par contre, il eût été plus judicieux si les synthés avaient été laissés de côté sur ces 2 morceaux car ils ne leur rendent pas vraiment justice !
Tout le reste du 33t original est vraiment bon. La réédition de l'album par Rhino est intéressante car on peut y entendre la demo de 'Howling At The Moon', qui passe bien mieux que la version finale avec ses synthés en trop.





The CHEMICAL BROTHERS
DIG YOUR OWN HOLE


Le 27 Mars 2009 par SEIJITSU


Pour moi, c'est bel et bien le meilleur album du groupe.
Un Big Beat puissant et rock n'roll au même titre que le Fat of the Land des Prodigy.

Autant dans les albums du duo chimique il y a toujours une ou plusieurs chansons en trop, mais là ce n'est absolument pas le cas.

Et puis The Private Psychedelic Reel, quel conclusion magnifique ! Une des meilleures chansons du groupe, absolument !

Note: 4.75/5





Alain BASHUNG
PIZZA


Le 15 Mars 2009 par TERRY

Alain Bashung est mort, 61 ans, d'un cancer...R.I.P., grand mec !!





MUSE
ORIGIN OF SYMMETRY


Le 13 Mars 2009 par DREAMER_DECEIVER


Bonsoir,

D’entrée « New Born » annonce la couleur, lente montée introductive en pente douce mélangeant mélodie et électronique avant que de gros riffs bien rock hyper massifs viennent cueillir l’auditeur comme une fleur et le catapulter violemment dans une ambiance sonore riche et puissante.

Le titre se déroule sur plus de six longues minutes épiques sur un rythme rapide, des riffs en acier et un chanteur jouant à l’extrême de sa voix aiguë sur le registre quelques fois répétitif des émotions à fleur de peau.

Les mélodies de clavier, futuristes, froides et entêtantes apportent un joli coté spatial et aérien à « Bliss » , la plus belle réussite de cet album pour moi.

Muse c’est en effet cela de superbes effets mélodiques électroniques soutenant une massive charpente de riffs de rock lourd quasi métalliques.

Et puis point faible ou fort selon les sensibilités, ce chanteur, qui en fait beaucoup il est vrai, qu’on peut quelques fois trouver fantastiquement émouvant ou terriblement irritant par son coté vaporeux quasi permanent.

« Plug me baby » sent le tube à plein nez avec son petit format, son refrain irrésistible et ses grandes montées emphatiques.

« Micro Cuts » est un titre hors norme, presque monstrueux, avec ses lignes de chant à la fois très hautes, très puissantes et très mélodiques.

Je connais peu de chanteur de rock capable de telles prouesses.

« Feeling Good » lui aussi ahurissant , surfe sur une ambiance retro apportant un groove particulièrement efficace avec encore une fois un chant de très haute tenue.

Le principal reproche de cet album ? Peut être une certaine linéarité … Le groupe a trouvé une formule certes magique et l’applique sans coup férir sur 12 titres avec quelques légères variations.

Beaucoup d’effets, beaucoup d’emphase (surtout vocalement) même si il faut bien reconnaître en toute objectivité que la voix de Matthew Bellamy est exceptionnelle, peut être devrait il plus varier son style de chant pour quelques fois surprendre et donner plus de relief à l’ensemble.

Malgré ses légers reproches, le résultat est globalement impressionnant de densité et de maîtrise, ne présentant aucune faille.

A mes yeux la formule très enrichie proposée par le groupe fonctionne et apporte véritablement du sang neuf à une scène rock qui peine à se trouver de grands leaders.

Ampleur, ambition, efficacité, sensibilité, Muse a tout ça et a su se forger son propre style au milieu de la meute habituelle de médiocres suiveurs.

Leur immense succès est tout à fait mérité pour moi.

Dreamer_Deceiver





Albert KING & S.R. VAUGHAN
IN SESSION


Le 12 Mars 2009 par TIPO


Diapason d'or...et contrairement à certains pseudo labels de qualité, cela veut dire quelque chose...
l'enregistrement est d'une rare qualité...
sinon, la reunion de ces deux grands ne pouvait que donner un disque absolument magnifique, les intermèdes entre les chansons durant lesquels les artistes plaisantent sont là pour nous faire apprécier d'autant plus l'écoute!!
superbe!!!!!!!!





John COLTRANE
A LOVE SUPREME


Le 12 Mars 2009 par EFFREET


A love suprême est sans conteste le meilleur album du grand Coltrane (mais pas mon préféré).
D'une beauté incommensurable, on vit la musique de Coltrane (à l'instar de Miles Davis) et il nous emmène dans des contrées nuageuses suintant la liberté.
Ce disque est lumineux, ce disque est brillant, ce disque est Coltrane!





Les COWBOYS FRINGANTS
SUR UN AIR DE DÉJÀ VU


Le 09 Mars 2009 par CHTITE_MOON


Cet album c'est un merveilleux cadeau. C'est du J-F Pauzé comme on l'aime. Quand on est fan on ne peut que l'aimer comme on a aimé les précédents.
Je dirai tout de même que je trouve la chronique très bien écrite.





The STOOGES
THE STOOGES


Le 08 Mars 2009 par DREAMER_DECEIVER


Bonsoir,

Chronique en réécriture ? Alors autant faire le boulot d'intérimaire.

Commencer par parler de musique avec le premier album des Stooges est un bonheur inestimable. En effet « The Stooges » est pour moi un véritable album culte, de ceux qui changent la vie de millions de gens et laisse une empreinte indélébile dans le monde de la musique.

L’objet date pourtant d’un âge reculé que je n’ai pas connu, 1969, à l’orée des années 70, époque où la musique rock comme beaucoup d’autres courants artistiques bénéficiait de l’incroyable élan de liberté et d’ouverture culturelle qui soufflait sur les sociétés occidentales.
Malgré cela cet album est souvent considéré comme le père géniteur du punk et du garage rock.

Le ton n’est donc pas celui d’hippie perdu dans ses rêves enfumés et utopiques de sociétés nouvelles mais plutôt de jeunes voyous d’une ville industrielle (Détroit), exprimant leur mal-être social avec rage et désespoir sur fond de chômage, violence et défonce.

D’ordinaire je n’aime pas trop la musique des années 60, je la trouve aseptisée et vieillie.
Certes le son ici sonne daté et la production n’est pas surpuissante mais la qualité de la musique tout bonnement phénoménale compense largement ces quelques défauts technologiques.

D’entrée on est capté par l’intensité de la musique, séduit par le rythme saccadé, sourd , martelé et en même temps très entraînant de « 1969 ».
Deux frères, Ron et Scott Asheton, viennent d’inventer un nouveau son rock puissant, menaçant et lourd sur lequel un jeune chanteur excentrique du nom d’Iggy Pop chante son mal-être d’une voix traînante et nasillarde.

Vient ensuite « I wanna be your dog » , sans doute la meilleure chanson de punk-rock jamais écrite. Un riff infernal, vicieux, hypnotique, irrésistible, répété cycliquement comme les assauts de vagues déferlant sur les falaises d’une raison vacillante, des paroles complètement destroy, flirtant avec le sado-masochisme, le sexe et la démence assénées avec rage, ce bruit de clochette permanent rajoutant cet infime supplément de groove faisant basculer les derniers vestiges de raison du coté tellement tentant de la folie pure…
Comment s’étonner ensuite que ce titre demeure l’un des plus repris de l’histoire de la musique ?
Les Stooges alors gamins, ont tout simplement réussi le tour de force d’écrire le morceau parfait, le morceau intemporel qu’on oubliera jamais et que des générations entière de jeunes groupes reprendront au fil des années.

Le titre suivant « We will fall » casse complètement le rythme, révélant une autre facette moins évidente du groupe en plongeant l’auditeur dans une sorte de rêverie morbide et glaçante de plus dix minutes, véritable chant mortuaire invitant à la méditation, au recueillement et à une plongée dans les tréfonds de l’âme humaine…
Impossible de ne pas sortir ébranlé de ce long et terrible voyage dans l’au delà.

« No fun » renoue avec une dynamique rock plus rapide, là encore ce morceau contient un rythme irrésistible, presque guilleret et sautillant malgré des textes négatifs et volontairement à contre-pied de la musique. La deuxième partie de la chanson fait la part belle à de féroces rugissements de guitare auxquels répond la voix d’Iggy par de violentes harangues.
On est à la moitié de l’album et déjà on a écrit une nouvelle page de l’histoire de la musique avec une pluie de titres cultes.

L’album continue ensuite de dérouler sa formule ravageuse basée sur le son crade et rugueux de la guitare d’Asheton et la voix animale d’Iggy.
Dernière entorse à cette formule magique, le groupe sort une deuxième ballade particulièrement éthérée et glauque « Ann » où l’auditeur se retrouve une nouvelle fois enlisé dans un univers aussi poisseux que vénéneux. A cette occasion Iggy Pop révèle toutes les palettes de son organe vocal.

Alors on peut toujours faire la fine bouche, chercher des faiblesses à ce disque, cela reviendrait pour moi à traquer avec acharnement des bourrelets de graisse sur le corps-liane d’Iggy Pop. Cet album est parfait pour moi, extrêmement inspiré, sans une once de superflu, terriblement court et efficace comme un crochet à la mâchoire ou un uppercut au foie. Un album à écouter en boucle pendant des années sans se lasser en se demandant quelques fois avec envie comment « Ils » ont fait pour composer cela.

Assez ironiquement à l’époque les ventes furent ridicules, la critique peu habituée à ce type de personnages descendit le groupe, le trouvant ingérable et outrancier. Pourtant il plane assurément sur le premier album des Stooges le souffle invincible de l’Histoire.
Ron Asheton mort en 2009, aura accompli beaucoup plus dans sa vie que la presque quasi totalité des mortels et laissera avec ce disque sa marque enflammée dans le Hall of Fame des légendes du rock.





Albert KING & S.R. VAUGHAN
IN SESSION


Le 06 Mars 2009 par SISCO


Voilà un album que tout fan de blues se doit de posséder. Il y a beaucoup de live pirate de Stevie Ray Vaughan depuis son décès mais ce live avec Albert King surpasse quasiment tout. Ne serait-ce que pour Blues at sunrise et ses 15 minutes de folles guitares, de jam fiévreuse, de feeling extraterrestre... avec un son parfait. Mais les 11 morceaux de cette session justifient l'achat du disque. Comme l'écrit si bien Maniac Blues, le Pride and joy prend une belle tournure avec le phrasé d'Albert King, voire une certaine énergie, si cela était encore possible sur ce classique déjà assez pêchu. Rencontre magnifique que les mecs aux manettes ont eu l'intelligence de livrer brute avec ses petites conversations entre morceaux. Un petit bonheur.





PINK FLOYD
THE DARK SIDE OF THE MOON


Le 06 Mars 2009 par DONCHA


Alors cet album, c'est toute une histoire !
C'est le deuxième album de Pink Floyd que je me suis acheté (le premier étant THE WALL). Je connaissais sa réputation, notamment sa place dans le podium des plus grandes ventes, néanmoins le succès ne fait pas la qualité, c'est bien connu ^^.
Mon appréciation face a cet album a 3 étapes.
Lorsque je l'ai découvert, je l'ai vraiment adoré, puisque The Wall m'avait plu, mais pas conquis. Des chansons « Rock », des intrumentaux, bref génial.
Puis, comme Juan, je l'ai moins écouté, au profit des autres que je venais d'acquérir, les instrumentaux ne m'intéressait plus, « Money » & « Brain Damage + Eclipse » trop écoutées, etc..
Puis, j'ai eu TOUS les PF (sauf « The Final Cut» & « The Division Bell »), et puis je l'ai mieux réécouté, et ! En une seule traite, dans mon lit "peinard" quoi.. Et TDSOTM m'a reconquis ! « Speak To Me » qui nous envoie « Breathe » totalement planante, agréable, magique. « Time », les paroles, le solo, l'intro, la voix, la reprise de Breathe, TOUT est splendide ici, enfin bref, je ne vais pas tout décrire, je ne suis pas un chroniqueur 8)

Donc je lui mets sa place mérité de 5/5 =D





YES
YESSONGS


Le 06 Mars 2009 par TORPOEPFOOOOOOOO


Un triple Live pour l'époque il fallait le faire.
Seulement le son est fort bourbeux, on est loin du Made In Japan de Deep Purple ou du Live ad Leeds des Who.
D'accord c'est jamais possible de reproduire le même son qu'en studio, mais là c'est exagéré, en plus les interprétations sont loin d'être du même niveau, à peine si on reconnait la voix de Anderson.
Sinon j'adore Yes surtout entre 71 et 77 (la vraie époque).





HAWKWIND
DOREMI FASOL LATIDO


Le 06 Mars 2009 par KOV666


Très bon album, très planant mais très rock aussi. C'est particulier comme style mais si on accroche c'est une magnifique expérience en dehors du temps.





Rory GALLAGHER
IRISH TOUR


Le 06 Mars 2009 par JF LE COADOU


Rory gallagher parvient dans cet album à éviter l'écueil de nombreux disques de blues , à savoir un côté un peu ennuyeux et répétitif;
Sans doute grâce à son style pourtant assez "traditionnel" mais rugueux et fougueux .
Très bonne qualité d'enregistrement.







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