Après les places de cinquième pour Rubber Soul puis de troisième pour Revolver, je vous laisse deviner quelle place occupe Sergent Poivre dans le classement Rolling Stone des 500 plus grands albums de tous les temps… Vous avez deviné ? Parfait ! Un petit récapitulatif des titres mythiques contenus dans le skeud et je laisse ceux qui ne l’auraient pas encore acheté sortir leur revolver à eau pour aller braquer la première échoppe de disques qui passe par là.

Rien que la pochette est une œuvre d’art, honteusement plagiée par des cohortes d’artistes fielleux. On y trouve des détails passionnants, corrosifs ou incompréhensibles. Il y en a pour tous les goûts !
Nous entrons là de plein pied dans l’ère du rock psychédélique auquel les BEATLES vont donner un sérieux coup de pied au cul pour un départ en… fanfare, comme il se doit !
Mais non, je ne me perds aucunement dans les détails, y a pêle-mêle « Lucy in the sky with dianmonds», ouais ouais la chanson-titre, « When I’m sixty four », « With a little help from my friends » chantée par Ringo. Heu… « A day in the life »… Vous en voulez encore ?

Bin nan, je m’arrête là, faire une énumération des titres d’un album aussi monumental est juste stupide. Je refuse de me faire plus bête que je ne le suis déjà… Ce skeud tout coloré est juste considéré comme le plus grand album de tous les temps. Si vous ne l’avez pas encore, bin c’est foutu, vous êtes juste perdus pour la cause…