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Michel SARDOU
JE NE SUIS PAS MORT JE DORS


Le 09 Mai 2022 par NONO

@Bradfloyd : Tu parlais de cette super époque (1979), et j'abonde dans ton sens !
J'étais petit à l'époque, mais la période (musicale, et en général) allant de grosso-modo 1978 à 1985, je l'ai adorée. Souvent d'ailleurs l'art colle à une époque : cette époque-là était géniale donc la musique allait de pair. Puis la société à commencer à se gâter vers la fin des années 80, la musique était aussi (comme par hasard) moins intéressante, moins "vibrante", tout commençait à se standardiser, à se commercialiser un peu trop.





Joe SATRIANI
THE ELEPHANTS OF MARS


Le 09 Mai 2022 par MAGNU


Tout comme le commentaire de Nestor, belle redécouverte alors que je n'avais plus écouté le guitariste depuis The extremist. Bonne compos, jamais chiantes, presque pas de démonstration et toujours le petit truc pour rester accroché à l'écoute. A la limite, juste un peu long ses 14 titres.





Joe SATRIANI
THE ELEPHANTS OF MARS


Le 09 Mai 2022 par NESTOR


Cela faisait bien longtemps que je ne m'étais pas intéressé à ce que proposait Satriani, et je dois reconnaitre que cet album me fait regretter cette mise à l'écart du guitariste. Je suis assez impressionné par le fait qu'il est à même de se montrer toujours aussi intéressant après une si longue carrière, et ce dans un genre (instrumental) qui peut vite devenir redondant et barbant.
Au-delà des deux fantastiques single (Sahara et Faceless), l'album regorge de morceaux envoûtants et truffés de petites trouvailles. Ma seule déception est la seconde balade ("Memory Lane") un peu "facile". Pour le reste, c'est une excellente redécouverte.





George THOROGOOD AND THE DESTROYERS
Maverick


Le 09 Mai 2022 par CSAMSA


George Thorogood est une sorte de fils spirituel de Chuck Berry comme Robin Trower ou Frank Marino peuvent l’être de Jimi Hendrix. Marqué à vie. En vertu de cette lourde (mais irréprochable) influence, il trace sa route imperturbablement, sans être en rien influencé par tous les courants à la mode qui sont venus le côtoyer dans sa désormais longue carrière. Chez lui, aucune trace de rap, de techno, de haïr metal, de dance, que sais-je encore. Non, la recette est immuable : rock’n roll, boogie, blues et rock’n’roll, version des origines. Interprété avec fougue, sincérité et hommage toujours respectueux. Ce Maverick est le premier album que j’ai découvert de lui, à sa sortie, et ça faisait drôlement du bien en 1985 d’entendre un titre comme "Gear Jammer" quand des "Material Girl" nous polluaient un peu trop les esgourdes. Le raffinement ici est assez sommaire, c’est du brut. Mais réjouissant. Car, avec Thorogood (comme avec des Status Quo ou des Rose Tattoo), on sait qu’on est au ras des pâquerettes. On n’est pas candidat au Nobel de la subtilité, mais qu’importe. Ce qui compte, c’est le fun. Et Georgio et ses fidèles Destroyers savent y faire (sauf qu’étrangement il a réussi à rater tous ses live, enfin ceux que je connais, pas mauvais mais bizarrement insipides). Bon, à force, la recette a fini par s’épuiser faute de nouveaux ingrédients plus relevés, mais ce Maverick est dans le genre une totale réussite. Dans le même esprit (mais moins directement proche de Chuck Berry), les Georgia Satellites sortiront l’année suivante (en 1986) un très bon premier album (suivi de deux autres, aussi épatants).





CARPENTER BRUT
BLOOD MACHINES


Le 09 Mai 2022 par CHIPSTOUILLE

@AZERTHERION: désolé de ne pas avoir répondu plus tôt.
Le fait qu'une BO soit tirée d'un album et non l'inverse est typiquement le genre d'argument propre à me faire changer d'avis. Donc merci pour ton intervention.
D'autant que si je peux m'en servir de prétexte pour parler de ce chef-d'oeuvre sur le site, je ne vais pas me géner :) (et le bouquin qui va avec...)

Ceci dit, du piano tout seul un peu Jazzy qui déborde légèrement des harmonies... Je ne m'interdis plus ce genre de choses, mais je ne suis PAS DU TOUT dans ce genre de trip en ce moment.

Donc je le mets de côté pour plus tard, mais promis j'y repenserais à l'occasion.





David BOWIE
THE MAN WHO SOLD THE WORLD


Le 08 Mai 2022 par ESKAPEESKAPE


La pochette (hors USA) interpelle tant elle est belle et osée (surtout pour l'époque) avec David Bowie défiant l'objectif, en robe victorienne lançant des cartes (ou des invitations galantes qu'il a refusé) au sol.

C'est le plus Black Sabbathien des albums de Bowie qui au cours de sa riche carrière a pu adopter toutes les postures, des plus trash au plus classes.
Ainsi il a pu faire se côtoyer la folk, le stoner, le hard rock, le free jazz, la funk, la techno et la pop sans jamais se renier (ou presque) tout au long de sa discographie.

Dans cet album, il passe au gré des morceaux de la folk de son premier album au stoner sabbathien et au hard rock, "She shook me cold" étant particulièrement violente (je dirai proche de Led Zeppelin), "The width of a circle" emblématique des albums et chansons à tiroir qu'il écrira plus tard (comme Station to Station par exemple) et heavy progressive
dans le titre "Saviour machine".

La chanson-titre 'The man who sold the world", avec ses percussions et crécelles, reprise par Nirvana (fausse balade acide sur la santé mentale) démontre à elle seule la complexité du style 'bowesque' qui se dessine.

Cet entre-deux folk rock-hard rock qui est finalement plutôt fréquent à l'époque, à ce titre le rapprochement avec des albums de Queen ou Alice Cooper de 1970 n'en fait pas pour autant un album anecdotique.

En effet, loin d'être un album mainstream des 70', cet album déconcerte par un son très métal, des guitares stridentes (trop parfois) et une basse extrêmement ronde; Bowie a encore la voix claire et aigue qu'il perdra bientôt au profit d'une voix rauque avec du vibrato.

On peut être découragé à mi album par l'étonnant grand écart entre le folk (la chanson "The man who sold the world" ou "After All") et le heavy metal foutraque (attention, faussement foutraque) de "The width of a Circle"; mais cela deviendra la signature de David Bowie.

Cet album est à mon sens une esquisse du futur 'Diamond Dogs' (sorti 4 ans plus tard) dans structure .

Note: 3.5 (arrondi à 4/5 pour la pochette)





Michel SARDOU
JE NE SUIS PAS MORT JE DORS


Le 08 Mai 2022 par BRADFLOYD


C’est bête, mais c’est l’album que je préfère de Michel Sardou. Peut-être parce que j’étais pleinement conscient, à l’époque de sa sortie, quand je l’ai écouté dans sa totalité. Ça me rappelle de tellement bons souvenirs, cette période. Ce que je n’aime pas ? Peut-être « quand je serai vieux », et « qui est Dieu ». Pour le reste, que du tout bon, En particulier « l’Anatole », « Carcassonne » et, surtout, « ils ont le pétrole mais c’est tout ». À l’époque, cette chanson tournait en boucle à la radio. C’est pour cela que 4 est une note qui me semble la plus appropriée pour cet album.





MANFRED MANN'S EARTH BAND
NIGHTINGALES AND BOMBERS


Le 08 Mai 2022 par CSAMSA


Voilà tout ce que j’aime dans cette musique des années 70. Un son frais, naturel, puissant et équilibré qui traverse le temps sans souci. Une musique en liberté, sans carcan commercial, créative, bien foutue, mélodique et énergique. Des musiciens en parfaite osmose, qui se complètent naturellement. Des morceaux rock, aux saveurs parfois pop, prog ou jazz-rock ("Crossfade"). Et reconnaissons à Manfred Mann au moins deux grands talents. Une inventivité aux claviers toujours prenante. Au Moog, il m’a toujours semblé plus inventif qu’un Jan Hammer par exemple. Et un talent d’arrangeur pour transfigurer des titres créés par d’autres (et pas des moindres, Dylan, Springsteen, etc), se les approprier pour en faire quelque chose de nouveau, tellement différent qu’il ne sert à rien de comparer avec l’original, si ce n’est pour dire que c’est toujours très réussi. On peut avoir des préférences sur les versions de Layla par Clapton lui-même ou sur "With a Little Help From My Friends" vu par Joe Cocker par rapport à la création des Beatles mais pourquoi choisir. Ici, le "Spirits in the night" du Boss (comme "Blinded by the light" dans l’album suivant) est sacrément bien revu et corrigé (même si ma version favorite reste celle du live à Budapest, divinement chanté par Chris Thompson, meilleur vocaliste que Mick Rogers). Notons enfin que l’album a bénéficié d’une excellente remasterisation (en 2009 me semble-t-il). Et s’il y a un âge d'or pour cette formation, je l’étends de "Solar Fire" jusqu’à "Angel Station" où rien n’est à jeter. Pour la suite, ne pas négliger le "Somewhere in Afrika" en 1982, très intéressant dans son approche "world-music" avant l'heure.





AUTECHRE
ELSEQ 1–5


Le 07 Mai 2022 par OUIENT


Je ne suis pas d'accord avec la note mais je la comprends, et j'ajouterai même que je rejoins l'avis général de Seijitsu concernant Elseq et plus spécialement la durée de cet album.

CEPENDANT. (ndc: hommage caché à Humbledumbledore ?)
Venant du monde de l'art contemporain et ayant donc un regard probablement différent de bon nombre d'auditeurs ayant eu le courage de se farcir les cinq galettes qui composent cet album, je perçois cette oeuvre comme une sorte de musique contemporaine inclassable, voire futuriste me rappelant certaines compositions de musique concrète que l'on considérait comme quelque chose de novateur pour l'époque.

AUTECHRE ne fait que poursuivre sa lancée en contiuant d'explorer les territoires robotiques et profondément mécaniques voire binaires de sa "musique" et je respecte sa démarche radicale de ne s'affranchir d'aucune étiquette.





CARPENTER BRUT
LEATHER TEETH


Le 06 Mai 2022 par CHIPSTOUILLE


Les 3 E.P et le live avaient placé la barre bien haut. Trop haut ? Cela paraît indéniable.
Je vous trouve tout de même un peu sévères avec ce premier album. Surtout que c'est un premier album, donc l'accuser de tourner en rond ? Est-ce que le propre des E.P n'est pas normalement de pouvoir se faire quelques tours de chauffe avant, justement ?

Me concernant, les titres les moins convaincants sont "Cheerleader Effect" (et malheureusement ULVER est revenu sur Leather Terror...), "Sunday Lunch" et en effet "End Titles" avec son côté générique de fin, ce que confirme d'ailleurs l'excellente série de clips.
Je serai moins en réserve que Baker sur "Beware the Beast" qui n'a certes rien de très originale, mais reste assez entraînante et ne vient pas me casser le trip sur cette série de 4 titres (de "Monday Hunt" à "Hairspray Hurricane" donc) que je trouve très bonne, en plus de l'introduction.

Ce n'est très certainement pas l'album du siècle, c'est clairement une douche froide après les E.P, mais je le préfère largement à certains albums soi-disant référentiels de PERTURBATOR. Si un jour la série de clip sort sur un support vidéo digne de ce nom (vu la tendance, ils sont fichus de nous le sortir en Betamax), pour moi c'est achat direct, pas de soucis là-dessus.





BOSTON
BOSTON


Le 06 Mai 2022 par THIERRY RAOULT

Forces Parallèles, grâce à votre site et vos chroniques, j'ai été motivé pour écouter cet album. Je connaissais "More than a feeling" mais aucun autre titre.
C'est un album très agréable. J'élargis ma culture musicale. Merci.

J'avais déjà remarqué cette pochette sans jamais l'observer réellement. Jusqu'à aujourd'hui, je voyais des méduses. Maintenant, je reconnais des vaisseaux-guitares avec la ville de Boston sous coupole et une Terre qui explose.





MIDNIGHT OIL
RESIST


Le 05 Mai 2022 par LE VIEUNE


Un album que j’écoute bien mais avec moins d’envie que ceux des lointaines années 1980. Quelques bons morceaux comme ”Rising Seas”, ”The Barka-Darling River” divisé en deux mouvements et le mélancolique ”We Resist”.

Certains pourraient juger l’album un brin mollasson. Mais dans le fond, c’est assez bon.





BOSTON
WALK ON


Le 04 Mai 2022 par PILGRIMWEN

Le déluge de soli guitares, mais quel plaisir ! Et ce jusqueboutisme "notre son reste ancré années 70", à la fois ce qui horripile et distingue leur musique ! Tom Scholz et son amour du son analogique, ahhhhh ! Ici Fran Cosmo au chant, le si discret Fran Cosmo ! Un chouette album ! Pas le meilleur, cependant produit avec amour !





Steve HACKETT
SURRENDER OF SILENCE


Le 03 Mai 2022 par MAGNU


Exactement comme l'écrit Realmean, Autant j'ai vraiment apprécié "Wolflight" ou"At The Edge Of Light" autant celui-là ne passe pas : Trop décousu, trop fourre tout et rien à retenir.

2.5 étoiles





TEARS FOR FEARS
THE TIPPING POINT


Le 01 Mai 2022 par MAGNU

Quelle beauté ce "Rivers of Mercy"... Une de leurs meilleures compositions.





BOSTON
DON'T LOOK BACK


Le 01 Mai 2022 par BRADFLOYD


Ahhh Boston… ses trois premiers albums à posséder absolument. Merci à toi Erwin pour ces chroniques indispensables pour tout amateur de musique un tant soit peu mélodique 😁





BOSTON
DON'T LOOK BACK


Le 01 Mai 2022 par BAKER


Un super disque qui a la tâche ardue de succéder à un classique, mais il lui rend la monnaie de la pièce. La méticulosité de Tom mènera plus ou moins le groupe à sa perte ensuite, mais en 78 Boston est sur le toit du monde.

J'ai tellement adoré A Man I'll Never Be (et on dirait qu'un peu partout cette chanson est un mini-classique) que je n'ai pas résisté à l'envie d'en faire une cover. Googlez donc "soundcloud regis pierre boston" et si ça vous donne envie de réécouter l'original - et surtout le LP complet - alors ça n'aura pas été fait en vain.





Pat MARTINO
NEXUS


Le 01 Mai 2022 par LE MERLE MOQUEUR

J'y pense... en attendant.

Une bonne écoute en ces temps où tous rêvent d'être armés jusqu'aux dents, histoire de gonfler les conflits. Heureusement ce guitariste et moi n'avons rien de guerrier

Pat MARTINO à écouter, regarder et savourer dans Bielska Zadymka Jazzowa 2014...

Laissez vous griser par son jeu et non griller par des ardeurs guerrières.





Franz SCHUBERT
SYMPHONIE N°8 INACHEVéE


Le 30 Avril 2022 par LE MERLE MOQUEUR


Inachevée...

Pour ceux qui aiment les chiffres le 8 n'est pas dépourvu d'intérêt. Je ne cours pas après la symbologie ou symbolistique mais avec cette symphonie cela s’impose… ou presque.
Dans la symbolique chrétienne moyenâgeuse le 8 peut-être interprété comme le chiffre « du nouveau commencement ».
Dans celle du judaïsme il est le chiffre de la temporalité à l’intemporalité, du monde éphémère à celui qui nous ouvre les portes de l’immortalité.
Chez les adpetes du bouddhisme « l’octuple chemin mène du Samsara à la libération »…
En extrapolant un peu, pourquoi pas, nous pouvons admettre que ces symboliques sont en accord avec les interprétations des critiques musicales actuelles qui considèrent cette symphonie comme une des toutes premières symphonies romantiques…

Mais ce n’est pas de cette symphonie dont je veux parler directement mais d’une interprétation dont Claude DEBUSSY semble avoir été le témoin auditif et qu’il nous
narre avec humour dans

« Monsieur Croche »

« Pendant l’exécution de la symphonie inachevée de SCHUBERT, un vol de moineaux s’était abattu aux fenêtres du Cirque et s’est livré à un pépiage qui n’était pas sans agrément. M. NIKISCH a eu le bon goût de ne pas demander que l’on fît sortir ces irrespectueux mélomanes, ivres d’azur probablement ; peut-être n’étaient-ils qu’une innocente critique contre cette symphonie qui ne peut se décider, une fois pour toutes, à être inachevée… »

Nous oublions souvent de dire pourquoi nous choisissons pour une œuvre musicale
tel interprètre à tel autre.

Arthur NIKISCH était un esthète du son, il dirigeait avec des gestes mesurés et calmes contrairement à ceux extravagants de Hans von BÜLOW qui, en 1887, avait été le tout premier chef de l’Orchestre Philharmonique de Berlin.
Nikisch choisissait, dit-on, une coloration romantique qui pouvait provoquer, chez le public, le sentiment de l’improvisation par sa « nonchalance » sensuelle. Ce chef élégant sera considéré comme « l’archétype du chef d’orchestre moderne ». Ave lui la sonorité de l’orchestre sera chaleureuse malgré une baguette à « la battue simple ». Mais son regard courait sur tous les musiciens. Hongrois par son père et autrichien par sa mère il dirigera avec succès, BERLIOZ, LISZT, STRAUSS, MAHLER et aura une affection toute particulière pour les œuvres de BRUCKNER que BRAHMS avait souvent injustement dédaignées.

Son charme et sa direction de l’orchestre vont conquérir le public parisien lors de sa tournée en 1897, public qui oubliera son ressentiment envers les allemands et les berlinois après cette guerre franco-prussienne perdue et c’est peut-être lors de cette tournée
qu’il laissa les moineaux parisiens égayer, comme nous le dit Monsieur croche,
la partition de la symphonie

inachevée…





GHOST
IMPERA


Le 30 Avril 2022 par LONG JOHN SILVER

@CREEPING MESSIAH
Je profite d'un ordi accessible pour répondre à ton commentaire qui m'a bien fait marrer (car je suis sur la route toute la pas vraiment sainte journée).
Qu'ai je pris comme "médecine" pour rédiger ma chronique ?
La médecine est un art et non (comme le veut une sottise bien répandue) une science. Donc MA "médecine" pour cette chronique est d'avoir écouté l'album Impera en boucle, comme je le dis dans un des paragraphes du texte. Du coup cette "médecine" me convient ici mais elle peut ne pas fonctionner sur tout le monde, comme cela semble être le cas pour toi. Avant de rédiger n'importe laquelle de mes chroniques c'est ce que je fais or je ne suis pas pas toujours aussi enthousiaste. Donc l'écoute en boucle n'est facteur de bons avis, ça dépend. Chacun ses (mauvais) goûts !
Bien à toi.







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