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The RAMONES
IT'S ALIVE


Le 21 Avril 2025 par BLUEMASK


Est ce un live ou un best of ? Concentré large des 4 premiers disques essentiels du groupe, on se retrouve donc avec un live essentiel. On peut peut être regretter l’absence de toute variation des chansons par rapport aux versions studio, c’est ainsi, les Ramones n’étaitent pas le Grateful Dead, et tant mieux! Quel pied quand même!





NIRVANA
IN UTERO


Le 20 Avril 2025 par CLANSMAN57


Je préfère le "Nevermind" et plus encore le "MTV Unplugged In New York" sur lequel les titres de "In Utero" passent beaucoup mieux, à mes oreilles du moins.
C'est trop bruitiste pour moi. Ils auront au moins tenté autre chose, au lieu de faire un "Nevermind 2".






PEARL JAM
VS.


Le 20 Avril 2025 par BLUEMASK


Plus direct et moins psychédélique que son prédécesseur, ce ´VS’ est tout aussi excellent. Et plus direct ne veut pas dire plus bas du front. Car sous ses atours plus bruts, le groupe sait émouvoir et sortir par exemple un ´WMA’ tribal mené par une basse d’anthologie, juste avant la décharge punk ´Blood’. Cet enchaînement est formidable, à l’image du disque.





ARCADE FIRE
WE


Le 20 Avril 2025 par BLUEMASK


J’ai eu un premier commentaire vachement sévère. Je ne sais pas pourquoi, pas assez d’écoutes dans de mauvais moments j’imagine.
Finalement, j’y reviens à ce disque, et je le trouve bon, même si loin du niveau habituel.
La production est trop lisse, trop propre. Le groupe se perd à vouloir trop intellectualiser sa musique: pourquoi ces enchaînements de I, II, III, IV, avec des sous titres entre parenthèses, comme un con groupe de prog. Les 2 premiers titres sont décevants, mettant la moitié du temps à décoller, pour un faible emballement
Malgré tout, la patte Arcade Fire est là avec sa capacité hors norme à émouvoir. Il y a des grandes chansons aussi, comme ´End of The Empire’ ou ‘Look out kids’.
Bref, un album frustrant et qui laisse un petit goût d’inabouti et de trop réfléchi.





SCORPIONS
IN TRANCE : ANATOMIE VENIMEUSE D’UN CULTE


Le 19 Avril 2025 par ENZO

Reçu aujourd'hui, bien avant la sortie officielle, agréable surprise. Si le format est tout petit la couv. est magnifique, c'est une sorte de papier soft touch et la pochette de l'album donne l'impression d'une photo collée, le quatrième de couv. n'est pas en reste avec son petit dard gaufré argenté. Je ne l'ai pas encore commencé mais je pense que je vais me régaler en espérant ne pas retrouver trop d'infos déjà présentent dans les ouvrages de Gegers.





TRI YANN
AN HEOL A ZO GLAZ


Le 19 Avril 2025 par MADELEINE


Voilà le meilleur album des Tri Yann pour moi. Je pourrais battre par cœur chaque mesure du chef-d'œuvre qu'il contient : cette symphonie qu'est "An heol a zo glaz" !

Je me souviens d'un copain très amoureux qui m'avait invitée à un concert des Tri Yann dans un théâtre très "comme il faut" avec des gradins et tout et tout. Il s'était fendu de deux places très chères et j'avais patiemment joué le jeu de la nana bien éduquée qui reste sagement assise sur son fauteuil de velours doré. Et puis, patatras : voilà que les Tri Yann entament ce morceau anthologique ! Au début, ce fut mon pied qui battait la mesure, discrètement. Puis mes doigts se mirent à remuer, ensuite mes bras ont commencé à m'échapper pour accompagner la batterie, puis je me suis levée d'un bond et je suis descendue là tout en bas avec la plèbe, laissant mon amoureux paralysé d'effroi devant cette furie sauvage qui lui échappait pour aller danser en transes sous les gigantesques drapeaux bretons qui virevoltaient comme des goélands au-dessus de nos têtes. Ah quel souvenir ! Bevet Breizh, ma bro !





TRI YANN
URBA


Le 19 Avril 2025 par MADELEINE


Pour ma part, je ne dirais pas que c’est le meilleur disque des Tri Yann. Je lui mets tout de même 5 étoiles, notamment pour la claque, toujours renouvelée depuis des années, à l’écoute de "Le soleil est noir" et du poignant "An distro euz a Vro-Zaoz" quand les mouettes accompagnent le retour silencieux de ce bateau rempli de morts...





Joe HISAISHI
PRINCESSE MONONOKé


Le 19 Avril 2025 par PSYCHODIVER

@MR TINKERTRAIN : (En espérant que Nightfall valide ce commentaire, qui, j'en ai bien conscience, n'a pas grand lien avec la musique. Je me devais toutefois d'éclaircir mon propos).

Il me semble avoir précisé qu'à sa sortie (tardive) en France, "Princesse Mononoke" fut présenté par la presse comme une sorte de Disney Pixar. Ça a dû leur faire drôle aux géniteurs + bambins de la république lorsque Moro montrait les crocs ou que les protagonistes y laissaient leurs bras ou leur tête ...

Quant à "Cowboy Bebop", oui, c'est un canada dry. Ça ressemble à un anime, ça à la prétention d'être un anime ... mais ce n'est pas un anime. C'est un cartoon type Fox qui se donne des allures de japanime. Si ça a marché en France et aux US : c'est bien parce que l'aura de ce truc n'est pas à chercher du côté de Kyoto mais bien de Hollywood. Fondamentalement : c'est du Tarantino / Rodriguez (je ne peux en blairer aucun) qui se la joue Toei / Madhouse / Gainax, avec toutes les tares insupportables qui vont de paire avec la démarche ricaine. Fan service vulgaire (ce n'est pas parce que la musique des STRANGLERS compte pour moi que je vais m'extasier devant un personnage portant le nom de Jet Black), références indigestes et épuisantes à foison (les titres des épisodes calqués sur ceux de morceaux classic rock éculés et pour la plupart devenus inécoutables), archétypes jamais transcendés (Spike Spiegel, caricature de Lupin III à la nonchalance horripilante et stérile, est une négation du charisme). La suite logique du machin, c'était que ses personnages finissent en skins téléchargeables dans une purge vidéo-ludique à la "overwatch" ... et c'est exactement ce qu'il s'est passé. De manière générale : l'œuvre de Shinichiro Watanabe est celle d'un vendu à la déchetterie yankee (on en parle de "Samurai Champloo" avec sa B.O rap Def Jam compatible ? Une horreur). C'est d'autant plus inexcusable que la dite œuvre est 100% japonaise. À l'instar d'un immonde "Black Lagoon", complètement pourri par le pire de l'actioner débile US à la "John Wick". C'est un fait, une fois passé l'an 2000, la créativité stagne, la production d'anime devient sur-industrielle et la qualité décline salement (il y'a désormais plus à jeter qu'à prendre).

Et si je dézingue régulièrement la pop culture US comme les geeks / otakus : je ne serai pas tendre non plus avec mes congénères. Ils ne valent pas mieux que les autres. Parce que les productions des 80's dessinées (de manière impersonnelle pour ne pas déconcerter le franchouillard) par des nippons mais pensées et scénarisées par des français : c'est pareil. Des sous produits bâtards. Avec par-dessus le marché cet état d'esprit prétentieux, niais, moralisateur, "lourd et épais, adversaire du moindre lyrisme" comme disait Céline, "atonique, servile, fade, vaguement philosophant et insignifiant" comme disait Marcel Aymé, inhérent au bon citoyen tricolore et que j'abhorre en tout point.

Dans les deux cas : aucune comparaison à faire avec le Leijiverse, les Oshii, les Satoshi Kon, "Hunter X Hunter", "Cat's Eye", le "Sherlock Holmes" d'un Ghibli naissant + le Ghibli officiel ou toute la première vie de Madhouse (les premiers Kawajiri + Rintaro, Otomo, Masaki) et de la Gainax ("Gunbuster", "Nadia" et bien entendu "Neon Genesis Evangelion").

- Commentaire de puriste. Mais est-il nécessaire de le préciser ? -





A-HA
HUNTING HIGH AND LOW


Le 19 Avril 2025 par NONO

@"Le Vieune" : "Living A Boy Adventure Tale" est mon titre préféré en-dehors des tubes. J'aime beaucoup "Here I Stand And Face The Rain" aussi.





GRAND CORPS MALADE
FUNAMBULE


Le 19 Avril 2025 par RICHARD

J'ai toujours eu une faiblesse pour Bohringer, je ne peux me l'expliquer. Ce n'est pas le superbe 'Course contre la Honte' qui me fera changer d'avis. Il y a évidemment quelques facilités qui frisent parfois la pure démagogie mais quel titre ! Un concentré d'émotions lucides et pourtant empli d'espoir. Il fera meilleur demain, peut-être.





Joe HISAISHI
PRINCESSE MONONOKé


Le 18 Avril 2025 par MR TINKERTRAIN


Chef d'œuvre absolu de la BOF. Le film est un chef d'œuvre absolu aussi. Je suis heureux de voir cette chronique ici, qui rend justice à cette œuvre gigantesque. A Psychodiver : je te rejoins globalement sur ton commentaire sauf sur Canada Dry bebop. D'une part, je vois pas le rapport avec cette boisson, et ensuite la BO est très bonne et a contribué fortement au succès mérité de l'anime. Par rapport au blockbuster Mononoke, c'est effectivement un blockbuster au Japon et c'est normal de l'avoir présenté comme tel en France. D'autre part, ce qui est inaccessible au commun des français en termes de message, peut être source d'échanges entre génération. Bref, merci au chroniqueur pour cette mise en lumière de l'immense Joe hisaishi, et de cette galette que j'écoute assez régulièrement au final.





Les INCONNUS
ZE INCONNUS STORY - ZE CHANSONS


Le 18 Avril 2025 par SEB


Un seul mot pour résumer cette compil' que je possède en cd dans les versions précitées (Bouleversifiant-Les Étonnifiants) : MYTHIQUE !

Le célèbre groupe porte désormais mal son nom, on connaît tous maintenant Les Inconnus ! Et leurs chansons, leurs sketchs et leurs spectacles, sont passés à la posterité ! Les répliques devenues cultes, les parodies devenues plus connues que les originaux, le fameux "Télé-magouilles" qui résonne encore dans bien des têtes... Inutile de s'étendre sur les énormes barres de rires prises avec cette sacré bande de rigolos. Mais ce qui est encore plus fort pour ces génies du détournement c'est qu'ils aient réussi aussi à percer en musique et a y traduire l'étendue de leur talent de parodistes. Et même si c'était pour déconner... Chapeau !

Allez si je m'étends un peu, ce sont des humoristes après tout. Perso ils m'ont toujours bien fait rire et parfois aux larmes (Citronault pipo, Les pétasses, La Zup, La bourse etc etc). Je n'arrivais plus à respirer tellement je rigolais la première fois que j'ai vu Biouman (Salut bande de tarés, c'est super l'après-midi...). Et à l'époque je faisais partie, comme beaucoup, de cette bande de tarés. D'ailleurs la victime directement visée par cette imitation, Bernard Minet, a même fini par reprendre lui-même cette chanson plus tard sur scène ! Belle preuve d'autodérision...

Comment noter ces "Monstrueux" souvenirs inoubliables ? Un vachement beaucoup 5 et un grand merci à @MARCO STIVELL pour sa chronique !





PINK FLOYD
WISH YOU WERE HERE


Le 18 Avril 2025 par PSYCHODIVER


"Wish You" ... Quel album problématique que celui-là.

Ce qui est sûr, c'est que lorsque du haut de ses seize ans, gavé de metal du matin au soir, on reçoit comme une mandale invisible (pour ne pas dire existentielle) les premières notes de "Shine On You Crazy Diamond" : le monde vous apparaît subitement comme différent. L'opus aux deux hommes à la poigne incendiaire a servi de porte d'entrée à votre serviteur vers l'univers du FLOYD. En ce sens, je ne peux pas être assassin envers lui. C'est un bel album. Hipgnosis est déchaîné. L'ensemble respire le professionnalisme ...

Mais une fois l'effet de surprise envolé, l'essence maladive et mélancolique atténuée par des écoutes soutenues et une production qui se révèle bien trop transparente (on regrette Alan Parson) : l'ennui se manifeste. Une première dans la discographie du quatuor ("Obscured By Clouds" n'était pas avant-gardiste, loin de là, mais jouissait au moins d'une production vivante). Ici, il est clair que le traumatisme induit par le come-back surprise d'un Syd irrécupérable fut digne d'un deuil. "Wish You Were Here" est une œuvre distante, presque robotique et distillant un spleen qui oscille entre le tire larmes et le superficiel. Le FLOYD perd pied. Bien des idées présentes ici ne sont que des copies désincarnées de ses exploits passés. Après tout, Roger avait déclaré le groupe moribond à l'issue de "Dark Side". Et si David aime tant ce cru 75, ce n'est pas un hasard. "Wish You" est la matrice de sa période à la tête du processus créatif. Des nappes de synthétiseurs soignées mais prévisibles et vouées à occuper tout l'espace via un onirisme facile, une guitare qui décoche ses notes telles des gouttes de pluie que l'on voit arriver à des kilomètres, une approche qui met de côté le cérébral au profit de pseudo concepts accessibles ou sans prétention. Tout "A Momentary Lapse Of Reason", "The Division Bell" et "The Endless River" répond déjà présent.

Je retiens finalement la première partie de "Shine On", le morceau éponyme (bien qu'en termes de sensibilité folkisante il soit très inférieur à "A Pillow Of Winds") ainsi que la toute dernière phase de "Shine On partie 2" qui aurait très bien pu s'intégrer à sa grande sœur une fois le saxophone de Dick Parry évaporé. "Welcome To The Machine" est insupportable. "Have A Cigar" est une mauvaise blague. J'ajoute que je n'aime pas particulièrement le son global des claviers sur cet opus, peu planants, limites poisseux. À se demander si Richard n'a pas été remplacé par un Vangelis déjà noyé dans le magma synthétique imbuvable de "Blade Runner". Ce sera donc la moyenne pour cet opus "culte". Le préféré des vrais fans à en croire certains scribouillards ...

Pour un FLOYD cold mais bien plus satisfaisant à défaut d'être impeccable : direction 1977.





NAGASHIMA/MIYAKE/KANNO
MEMORIES


Le 18 Avril 2025 par PSYCHODIVER


Chapeau K-ZEN pour avoir mis la main sur cette B.O, en effet, quasi introuvable.

Pas grand chose à redire sur l'ensemble. S'il ne s'agit pas de ma bande originale de référence, ça reste plutôt solide. Quand bien même ça ait tendance à partir dans tous les sens (dark ambient, space heavenly, reggae parodique, musique contemporaine assez bateau).

Bien vu la comparaison entre la bande son de "Magnetic Rose" et "Meddle". À se demander si les paroles de "Echoes", traitant d'un insondable sentiment de solitude dans le vide de l'univers jusque dans la rue / chez soi, n'ont pas eu une influence sur l'écriture de ce premier segment. Au passage : le meilleur des trois. Et de très loin. Graphiquement et thématiquement (Satoshi Kon tout simplement).

Dans la lignée de "Memories", toutes considérations mélomanes écartées : "Manie Manie - Les Histoires Du Labyrinthe", son aîné de 1987 (plus équilibré et varié tout en demeurant aussi mature) est hautement recommandable. Otomo était à l'époque au paroxysme de son art (juste avant "Akira"), Rintaro assurait (comme à son habitude) et Kawajiri n'a jamais été aussi bon que durant cette période charnière (pre- "Ghost In The Shell" / "Neon Genesis Evangelion") fin 80's / début 90's.





Joe HISAISHI
PRINCESSE MONONOKé


Le 18 Avril 2025 par PSYCHODIVER


Une perfection dans son genre (classique / musique traditionnelle) que cette partition au service d'un chef-d'œuvre incomparable dont je questionne encore la raison du succès, tant sa densité, sa complexité, son rejet de tout manichéisme / moralisation scolaire et sa rage saignante n'ont à priori aucune chance de fédérer dans les salles obscures (revoir les archives Ina relatives à la sortie du film en France en 2000, avec cette presse à la ramasse qui le présentait comme un blockbuster tout public ...).

33 morceaux pour la version la plus répandue (quoique pas simple à acquérir, comme à peu près toutes bandes originales d'anime qui ne soient pas celle de l'insupportable canada dry qu'est "Cowboy Bebop") pour un peu plus d'une heure placée sous le signe du grandiose, de la fragilité d'une harmonie menacée (paradis perdu à jamais ?), d'un espoir en un avenir incertain. Du lyrisme à revendre où les cordes, flûtes, harpes et quelques incursions au Roland D50 (le synthétiseur préféré des compositeurs de B.O d'anime) se complètent à merveille. Le thème principal, avec et sans voix, prend aux tripes. "The Legend Of Ashitaka" est un parfait exemple de poésie épique faite musique. Cependant, ma préférence ira toujours, ce depuis ma rencontre avec le film, vers "Ashitaka And San". Soit le morceau qui recèle l'essence même de Ghibli (à égalité avec "A Town With An Ocean View" de "Kiki - La Petite Sorcière"), conciliation à fleur de peau de l'innocence, de l'onirisme et du terre à terre. Par ailleurs la composition qui matérialise le mieux la citation emblématique du film : "Je dois porter sur le monde un regard sans haine" ... En voilà un bien noble mais périlleux exercice.

Une œuvre d'art bien placée dans ma vingtaine d'albums précieux (vous savez, la fameuse île déserte ...) ainsi que dans mon trio suprême de la B.O de film avec "Ghost In The Shell" pour l'électronique / ambient / musique sacrée et "Dune" (1984) pour l'association de l'orchestre symphonique et du rock.





PORCUPINE TREE
IN ABSENTIA


Le 18 Avril 2025 par FOUDROCK


Avec "Deadwing" et "Fear Of A Blank Planet", le sommet du groupe. Et mon préféré d'eux, clairement. Un chef d'oeuvre. J'adore cette alternance entre calme et gros accès de brutalité.





Bruce SPRINGSTEEN
BORN TO RUN


Le 18 Avril 2025 par NONO


@BlueMask : Oui je vois tout à fait ce que tu veux dire, concernant le côté agaçant du Boss : exactement comme Lennon plein aux as, qui chantait "working-class hero", cette condescendance transparait aussi chez Springsteen : "Oublie ton confort, ta maison, ton argent, les héros-sont-ceux-qui-partent-de-rien", etc. Ce côté "Rêve Américain accessible à tous" alors qu'on a mesuré depuis l'envergure du mensonge... (ou alors c'était vrai jusque dans les années 70...) Bon bref, l'album est quand même bon, mais un peu "big party" : c'est du gros rock klaxonnant, gras et festif, entraînant, mais manquant un peu de subtilité.
3.5/5.





Les INCONNUS
ZE INCONNUS STORY - ZE CHANSONS


Le 18 Avril 2025 par RICHARD


Que dire, que dire....Il faut sans doute avoir été collégien au début des années 90 pour se rendre compte à ce point de l'impact du trio auprès des ados. L'émission la Télé des Inconnus à peine passée le soir, qu'elle était déjà décortiquée scientifiquement le lendemain matin même. Et de suite les leitmotiv évoqués par Marco étaient expressément balancés en cours, de quoi rendre fou les enseignants (sauf ceux qui avaient regardé l'émission avec leurs enfants et qui avaient la rėf'). Je retiens surtout dans ces chansons le charisme de Bourdon qui emporte tout, la précision des détails, des petits travers, un véritable travail d'horloger suisse. Mes deux titres préférés demeurent 'Chanson Hard-Rock' (comment ne pas rire avec le sérieux de cet accent) et 'Vice Versa' où j'y vois les Charts et Eicher pour les roulades romantiques dans l'herbe. Ce terme est souvent galvaudé, mais je crois que ce trio est tout bonnement générationnellement culte. Une preuve ? Je ris à 48 ans comme à 13 ans. Dans leur genre, imbattable !





Claude DEBUSSY
PRELUDES LIVRE 1 - L125


Le 18 Avril 2025 par CLANSMAN57


J'ai une version jouée par Francesco Piemontesi qui regroupe les deux "Livres" de ces "Préludes".
Je comptais justement les repasser prochainement, c'est très bon.
Une sorte d'écho moderne aux "Préludes" de Chopin.

La note concerne les deux volets.





Les INCONNUS
ZE INCONNUS STORY - ZE CHANSONS


Le 18 Avril 2025 par CLANSMAN57


Note maximale pour moi, tout est excellent!
C'était idéal dans la voiture avec les potes, en prenant la direction des sorties du week-end:D

Génial!










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