Le 23 Août 2021 par NESTOR

J'étais totalement passé à côté de ce groupe que je découvre depuis quelques semaine et je me régale. Les vocaux ultra agressifs et véhéments qui font penser à PIL, les textes bruts de décoffrage, l'accent à couper au couteau, l'attitude "low profile" et "je m'en foutiste", et surtout, des clips hilarants...
Un vent de fraicheur à mi chemin entre le Punk, le Slam, et l'Electro.
Assez unique.

Le 22 Août 2021 par FRANçOIS

En compilant les meilleurs titres de ses deux premiers disques, Garbage aurait pu sortir une sorte d'album "best of" quasi parfait... Bien plus séduisant, dans le genre "mélasse" électro-rock, que U2 et Depeche Mode de la même époque. Un petit 2,5/5 pour moi.

Le 22 Août 2021 par RICHARD

Le temps m'a fait apprécier les deux premiers albums de ce super groupe limite en mode mercenaire. Je trouvais leur univers un peu trop lisse, sans faille apparente et même si ceci a été dit des centaines de fois, le quatuor doit tellement aux loosers de Curve que ceci en reste à jamais gênant. Heureusement, il reste le charisme évident de Shirley et des titres façon " I'm Think I'm Paranoid" pour faire la différence et susciter un véritable intérêt.

Le 22 Août 2021 par ZOMBIEMAN

Maintenant, j'ai le recul nécessaire. Et pour moi, cet album reste une référence. Rien de moins. On pourra dire ce qu'on voudra des "défauts', pour ma part, il y en a peut-être, mais je ne les entends pas. J'écoute toujours avec plaisir cet album, même s'il est sorti depuis... pfffiu... ok, ça ne me rajeunit pas !
En tout cas, très grand album, point barre.

Le 20 Août 2021 par RICHARD

Heureux de te voir ici cher Stankey. Je ne peux qu’acquiescer à tes mots concernant l'exigence permanente de Gregg Anthe que ce soit avec MVA, In Broken English ou HNN. Vivement donc la sortie des deux prochains albums de MVA en octobre :) Pour ce qui est de la part congrue attribuée depuis des années à la voix Emmanuell D. , pour être honnête, ceci ne me dérange pas trop. Son timbre hanté collait parfaitement aux ambiances death-rock et symphoniques des débuts. La voix de Gregg se prête quant à elle parfaitement à cette électronique de plus en plus épurée. La belle surprise serait pourquoi pas de retrouver le duo sur un pied d’égalité vocale comme ce fut le cas jusqu'à "Organic But Not Mental". Croisons les doigts !

Le 20 Août 2021 par PILGRIMWEN

Je possède l'édition Sony BMG Music de 2006 sur laquelle figurent quatre bonus dont la démo de "Working For The Weekend". Ce que j'en retiens, c'est que le passage en studio professionnel a permis à LOVERBOY de gagner en dynamisme.

Au-delà de ce comparatif chanson, je considère l'opus "Get Lucky" inégal. L'excellent côtoie le médiocre. Pour ma part, ils signeront de bien meilleurs disques par la suite.

Le 20 Août 2021 par STANKEY

Sans aucunement remettre en cause le talent artistique de Gregg, on pourra néanmoins déplorer l'absence d'Emanuell.D au chant depuis quelques albums, qui pour ma part était un élément essentiel de ce groupe, les deux se complétant parfaitement. La démonstration n'est plus à faire, il suffit d'écouter.
Gregg Anthe est pour moi le parfait défenseur d'une New Wave talentueuse et immortelle, son
exigence sans cesse renouvelée est une réponse à notre passion.

Le 19 Août 2021 par RICHARD

Passionné par la scène shoegaze depuis mon adolescence, je n'ai jamais accroché à la déflagration sonore de My Bloody Valentine non plus, même si d'autres murs de son me sont plus agréables. Ride, c'est le versant "pop" de ce courant. Ce sont des mélodies parfaites transpercées par des zébrures électriques. Un must dans le genre.

Le 19 Août 2021 par IEN

De ce film, je retiens essentiellement la poursuite entre la moto de JB et la magnifique Renault 5 turbo.
Il y a quelques répliques sympas de James Bond, mais il est vrai qu’avec le recul le film est un peu poussif. De plus, je trouve Kim Basinger assez insipide, comparée à Claudine Auger de Thunderball.

J’aime assez la chanson-titre, mais le reste ne me plaît pas vraiment, c’est trop jazzy pour un James Bond, rien à voir avec la B.O de Thunderball encore une fois.

Le 19 Août 2021 par FRANçOIS

Bien mieux que My Bloody Valentine ! Plus mélodique et "intelligible".

Le 19 Août 2021 par FEELGOOD

La première fois que j'ai entendu du Journey, c'était sur la B.O du dessin-animé Métal Hurlant. Pas de bol, "Open Arms" ne me plaisait pas. C'était même la seule chanson du double-album que je n'aimais pas.
Suite à ce malencontreux premier contact, je me suis longtemps tenu à l'écart de ce groupe dont on ne trouvait pas facilement les albums en France et que les journalistes détestaient.
Près de quarante ans plus tard, j'ai un peu revu mon jugement sur "Open Arms" que j'ai fini par trouver écoutable.
L'opinion communément répandue sur Journey est que le groupe était bon à ses débuts, mais que l'arrivée de Steve Perry a tout fichu en l'air.
Cela mérite d'être nuancé. Sans le succès de la période Perry, les premiers albums, très datés, seraient totalement oubliés. Journey et Next sont des disques sympathiques, mais en aucun cas des chefs-d’œuvre. Cela fait des années que je n'ai pas réécouté Next et j'avoue n'en avoir rien retenu. En revanche, j'apprécie "Mystery Mountain", l'un des meilleurs titres du premier.
Concernant les années Steve Perry, je ne connais que les disques sortis entre 78 et 83. Evolution et Departure me laissent froid. Je les trouve trop lisses et aseptisés, dépourvus d'âme. Et pour le coup, je rejoins le critique Thierry Chatain qui qualifiait dans Rock & Folk la musique du groupe de 'hard-rock dévitalisé, souligné de mélodies niaises'. Quant à Frontiers, il démarre correctement, la première partie du disque tient bien la route, mais l'ensemble finit par s'effondrer en face B (cf. l'affreux "Back Talk").
Restent deux exceptions à cette règle : Infinity et Escape. Le second est un mastodonte sur lequel je reviendrai peut-être si j'en ai le temps, le premier est le premier album du groupe que j'ai écouté intégralement.
On a beaucoup glosé sur le choix du groupe (ou de Roy Thomas Baker) de démarrer par une ballade. Il n'empêche que "Lights" nous plonge dans une ambiance particulière. Lorsque j'écoute cette excellente chanson, j'imagine le soleil couchant illuminer le Golden Gate. Oui, je sais, c'est kitsch. Les mélodies de "Feeling That Way" et "Anytime" sont mémorables. Le reste alterne rock plus entraînants, toujours très mélodiques ("La Do Da", "Can Do") et ballades ("Somethin'To Hide", "Opened The Door") non dépourvues d'émotion, le tout embelli par la guitare magique de Neal Schon, musicien inspiré s'il en est. Citons aussi la grande réussite de l'album, le majestueux "Winds of March", parfaite synthèse des ambitions passées et de la nouvelle démarche du groupe.
Pour toutes ces raisons, Infinity demeure mon album préféré de Journey.

Le 19 Août 2021 par ALBIRéO

Je ne parviens pas à trouver un fil conducteur au premier titre "Close To The Edge". Des thèmes abscons plus ou moins bien assortis s'enchainent sans grande cohérence. Je ne l'écoute jamais.
La deuxième face du disque est à l'opposé : un "And you and I" pourtant construit selon le même principe d'assemblages de thèmes mais ils sont nettement plus intéressants et totalement complémentaires. Un très grand moment ! J'aime beaucoup "Siberian Khatru" dont le thème principal est très intéressant.

Le 19 Août 2021 par LE VIEUNE

PS : correction : Le rock cool des Strokes ne me touche pas plus que celui des Libertines avec "Up The Brackets" paru l'année suivante.

Le 19 Août 2021 par FEELGOOD

Album écouté tardivement en raison de préjugés stupides. Pour d'obscures raisons, j'étais persuadé qu'il était mauvais. La présence d'invités prestigieux pouvait suggérer une démarche similaire à celle d'Alice Cooper période Trash, à savoir la volonté de cartonner dans les charts. Ce ne fut pas le cas dans la mesure où Brick ne dépassa pas la 90ᵉ place du Billboard. Seuls le duo avec Kate Pierson et "Livin'On The Edge Of Night" connurent un relatif succès.
Mais laissons ces considérations mercantiles de côté, Iggy n'ayant jamais été un gros vendeur de disques.
Le son, plus épuré que celui de Blah Blah Blah, est débarrassé des tics de production des années 80, encore si populaires quatre ans auparavant.
Cette fois, Iggy nous propose un rock mélodique qui décevra les amateurs de sensations fortes et autres nostalgiques des Stooges. L'ensemble n'en est pas moins énergique et de qualité. "Home", l'entraînant premier titre, s'avère suffisamment accrocheur pour que le reste s'enchaîne agréablement. "Main Street Eyes" nous montre un Iggy apaisé, plus introspectif, l'intro 'stonienne' de "The Undefeated" fait mouche, tout comme le plombé "Pussy Power" et les sept minutes de "Neon Forest" passent comme une lettre à la poste.
La frappe de l'excellent Kenny Aronoff, à la fois puissante et groovy, apporte beaucoup au disque.
Avec un enrobage sonore différent, "Starry Night" et "Livin'On The Edge Of Night" auraient pu figurer sur Blah Blah Blah, surtout la deuxième qui aurait certainement cartonné quatre ou cinq ans plus tôt.
La jolie ballade "Moonlight Lady" apporte une touche de douceur bienvenue. Enfin, le duo avec Pierson (qui annonce déjà sa future collaboration avec R.E.M.) est irrésistible, très pop (sans mauvais jeu de mots).
Un disque très plaisant.
3,5/5

Le 18 Août 2021 par SGT JAKKU

Premier album prometteur mais assez faible à cause d'un manque de bonnes chansons (sauf "Do You Really" qui est une bombe). L'album suivant réparera complètement cette erreur.

Le 18 Août 2021 par THIERRY RAOULT

J'aime bien cet album. A part "Babaji" qui passe, mais sans plus, j'aime bien tous les titres. "Give a litte bit" est très sympa, "Even in the quietest moments" et "Fool's overture" sont magnifiques. La pochette est très belle.

Le 18 Août 2021 par LE VIEUNE

Film apprécié personnellement à l'époque. Thurston Moore peut devenir fatigant avec ses délires hors scène au bout de plusieurs visionnages. Kurt Cobain était ravagé aussi, avec son "saut de l'ange" sur les enceintes. et la batterie de Dave Grohl, pas le dernier lui non plus à faire le con.

En dehors des deux groupes majeurs soulignés dans la critique, je retiens la performance brutale de Dinosaur Jr avec "Freak Scene" face à une forêt de tignasses secouées dans le public et aussi l'agressivité de "Babes In Toyland".

Le 18 Août 2021 par LE VIEUNE

The Strokes en une d'un magazine connu (je laisse deviner), histoire de fêter les vingt ans de ce "Is This It?"

J'ai fait un effort pour écouter ce premier album, alors devenu un phénomène et adulé par la majorité de la presse rock. Sachant à l'avance que je n'allais pas adhérer, je n'ai pas tenu au-delà des trois premiers morceaux. C'est sympa pour dragouiller les minettes dans des bars ambiancés par la musique du groupe new-yorkais.

Le rock cool des Strokes ne me touche pas autant que celui des Libertines avec "Up The Brackets" paru l'année suivante.

Le 18 Août 2021 par LEO

@ RéGIS :

Tout pareil ! Les trois premiers albums de JOURNEY sont ce que le groupe a fait de plus intéressant. La suite avec l'insupportable Steve Perry me rebute carrément ! Je n'ai jamais pu encadrer son chant ni la variétoche AOR complètement stérile à partir de l'album Infinity.
Il y a vraiment un avant et un après Steve Perry, tant les styles s'en démarquent, et on peut même dire qu'il s'agit de deux groupes différents !

Le 17 Août 2021 par RéGIS

Pour moi, ce 3ème album est le dernier bon disque de Journey (le premier restant le meilleur), avant leur triste conversion au rock FM qui fera d'eux d'heureux millionnaires.
Voilà, c'est juste mon avis !
Sur ce, je m'en vais réécouter "Journey", grand album de 1975.