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SAGA
BEHAVIOUR


Le 02 Février 2020 par METALPROG84


Saga a réussi l'exploit de faire un très bon album en changeant quasiment de style: du pop-rock-prog, on passe à de la pop-rock-new wave. Quasiment plus de relent progressif sur "Behaviour". Le son n'a plus grand chose à voir avec les premiers albums (beaucoup plus moderne). Les titres sont quand à eux tous bons ou très bons, il n'y a pas de titre moyen! En plus, l'album a beaucoup mieux vieilli que les précédents.
Morceaux préférés: "Take a chance", "Misbehaviour", "Out of the shadows", "Promises" (mais tous les autres valent le coup aussi).





IF
TEA BREAK OVER - BACK ON YOUR' EADS


Le 01 Février 2020 par JASPER LEE POP

Une petite explication pour mieux comprendre le titre et la pochette. C'est une référence à une histoire drôle qui se décline en de nombreuses versions. En voici une:
Un individu peu fréquentable meurt et arrive en enfer. Satan l'accueille pour lui attribuer son châtiment. Il lui montre trois portes et lui propose de choisir. Le défunt ouvre la première porte qui donne sur une pièce dans laquelle un groupe de personnes fait le poirier, la tête à l'envers sur un sol en béton. Aïe, pas très confortable. Derrière la deuxième porte, un groupe de personnes fait le poirier sur un parquet en bois. C'est mieux mais quand même raide. Il ouvre alors la troisième porte et découvre un groupe de personnes enfoncé jusqu'au cou dans un bain d'excréments qui prend le thé. Le type ne se fait pas prier et choisit la troisième porte. On l'installe et on lui sert une tasse. Deux minutes plus tard, Satan repasse son nez par la porte: "La pause thé est terminée, refaites le poirier!"





PORCUPINE TREE
LIGHTBULB SUN


Le 01 Février 2020 par PARESSEUSE


Je ne connaissais pas ce groupe. J'ai lu le commentaire de Baker, et tout de suite après la chronique de Seosamh. Curieuse quand on parle de chef d'oeuvre, surtout si c'est un album dont je n'ai jamais entendu parler, je vais spotifyer le truc (avant c'était plus compliqué, il aurait fallu que je devienne copine avec un fan, que je lui demande une cassette, et pour ça peut être que j'aurais dû l'embrasser au moins... bref un parcours avilissant. Du coup, spotify et les autres c'est pas mal quand même pour découvrir des trucs!) Bon ben vous avez raison, il est incroyablement bon ce disque. J'adore les ondes psychédéliques et le chant est parfait. Tout en retenue. Les compos sonnent 70s, mais le son pas du tout. A l'inverse de All Them Witches, qui font du Free de maintenant avec un son de dans le temps. Je suis peut-être perverse, mais c'est à ça que je pense. Enfin, en vrai j'ai pas trop le temps de penser, parce que j'aime vraiment bien! D'ailleurs je vais tout de suite l'acheter, et l'écouter encore!!! (et d'abord et plein de fois Shesmovedon et Hatesong et surtout Russia on Ice) Merci à vous!!! (je vais vite me pencher sur In Absentia, vu qu'il a 5 étoiles aussi...)





NICO
THE END...


Le 31 Janvier 2020 par BORIS LE BORGNE


Contrairement à la chronique, je trouve que "Das Lied der Deutschen" clôt parfaitement ce monument de noirceur au féminin.





PORCUPINE TREE
LIGHTBULB SUN


Le 31 Janvier 2020 par BAKER


Lightbulb Sun n'est pas, comme l'a dit Leo et ça me fait très plaisir, que l'un des chefs-d'oeuvre de PTree

C'est simplement un des tous meilleurs albums de pop rock de ces 30 dernières années.

Si une certaine presse ne pratiquait pas la fellation happy hour envers certaines maisons de disques et pas d'autres, Wilson aurait eu en 2000 le "media coverage" qu'il a enfin mérité en 2017. Ce disque est un summum absolu, à tous les niveaux.

Même techniquement, si vous voulez tester une enceinte, la seconde partie de RUSSIA ON ICE est le meilleur exemple que je puisse trouver.

In Absentia, copie conforme de cet album mais plus metal dans le son, saura leur ouvrir les bonnes portes. Mais n'oublions pas d'où ils viennent...





PORCUPINE TREE
THE INCIDENT


Le 31 Janvier 2020 par BAKER


Un album en deux parties. Le vrai CD et l'EP.

L'EP est tout à fait charmant.

Le CD marque une véritable rupture chez PTree qui ne s'en remettra jamais. Un album concept, ça se peaufine. Si on prend Subterranea, combien de mélodies "thématiques" y a-t-il ? Dix ? Douze ?

Sur The Incident, Wilson balance le riff : "paaaa paaa paaaaaaaaaaaammmmm... paaaa paaaa paaaaaaammmmm...".

Voilà, c'est le thème de la chanson de 55 minutes, démerde-toi avec ça.

Un disque pas si mauvais, avec de bons côtés, mais un vrai souci d'identité et de crédibilité.





APHEX TWIN
SELECTED AMBIENT WORKS 85-92


Le 31 Janvier 2020 par BORIS LE BORGNE


Il vieillit merveilleusement bien celui-ci. Comme son jumeau dark ambient de 94. Beau condensé de folie juvénile maîtrisée.

Early R.D. James über alles !





DURAN DURAN
THE WEDDING ALBUM


Le 30 Janvier 2020 par LE OUISTITI


J'ai découvert Duran Duran lorsque j'officiais comme chroniqueur "metal" sur Pop-rock.com dans les années 2000.
A l'époque, je fuyais tout ce qui pouvait ressembler à du FM, à de la pop, il me fallait conserver mes oreilles préservées de toutes intrusions non validées par les dieux du hard.

Mais l'avantage d'un média de critiques généralistes, c'est qu'on n'est pas hermétiques à ce qu'écoutent les collègues et parfois leurs chroniques font mouche.
Mon confrère Delvaux, Belge de surcroît et dj à ses heures perdues (mais c'est une autre histoire) était quant à lui un fanatique de DD. Ça faisait jaser, on raillait cette bizarre passion pour un groupe has-been, oublié, totalement rejeté.

Mais c'est donc en lisant ses chroniques, à une époque où je devais étendre mes écoutes de disques à d'autres genres suite au départ de contributeurs, que je finis par m'intéresser à Duran Duran.

Gros choc émotionnel, sonore, tout pleins de poils qui se dressent. La guitare mortelle, la basse vrombit, les claviers, et ce chanteur à la fois d'une folle arrogance et d'une classe dantesque... Et puis tiens, je connais ce morceau bien lourd là (Wild Boys), on danse sur un truc comme ça (Friends of mine), hé mais c'est pas James Bond ça (A View To A Kill), oh Le Saint (Out Of My Mind), et ce flûtiau là sur The Chauffeur (album Rio), et Too Much Information / Ordinary World / Come Undone (The Wedding Album) c'est pas juste magnifique ?

Et bien c'est certainement LE groupe de pop qui selon moi est capable de la plus belle passerelle entre gros son et finesse, entre fragilité pop et puissance mélodique.
A chaque album, même dans leurs pires moments, vous avez des tubes, des morceaux qui sont parfaits de maîtrise et d'efficacité. Un best of de Duran Duran, c'est un gros pavé de musique pop d'une qualité insolente, royale, inégalable. Ils sont les chouchous de tant de grands zicos, pas étonnant, à condition d'aller écouter ça.

Il en va de même sur The Wedding Album, vous pouvez reluquer les quelques miettes sur la nappe, mais putain que le gâteau était formidable !!!

DD forever





NICO
THE END...


Le 30 Janvier 2020 par DéBé


Comment ne pas parler de ce terrifiant et néanmoins superbe "Innocent And Vain", qui s'ouvre et se termine sur des effets bruitistes (d'Eno) absolument glaçant et est, pour le reste, d'une froideur de banquise en hiver ?
Les 5/5 sont pour l'album.





KANSAS
MASQUE


Le 29 Janvier 2020 par LONG JOHN SILVER

@ LE KINGBEE

"Un disque intéressant , mais le meilleur est à venir avec 2 galettes stratosphériques."

Et je dirais même mieux cher collègue : TROIS (voire 4) car je mentionnerais LE (double) LIVE Two For The Show. Un Live époustouflant !

Bien à toi (et merci pour ce teaser).





NICO
DESERTSHORE


Le 29 Janvier 2020 par RICHARD


Chronique qui pour moi tape juste. Il n'y a rien de direct dans ces trente minutes mais si on décide d'ouvrir la porte pour découvrir ces espaces beaux et tristes, l’addiction peut peut- être apparaître.





KANSAS
MASQUE


Le 29 Janvier 2020 par LE KINGBEE

Un disque intéressant , mais le meilleur est à venir avec 2 galettes stratosphériques.





NICO
DESERTSHORE


Le 29 Janvier 2020 par BAYOU


Je garde un sacré souvenir du film "La Cicatrice intérieure" dont la bande son est cet album.
Il devait être projeté dans un cinéma, Nico et Garrel étaient là, Garrel fait un long monologue complètement déjanté sans laisser parler la chanteuse, puis le film est lancé mais après une dizaine de minutes, la pellicule crame.
Garrel pique une crise, fonce dans la salle de projection, engueule tout le monde, et reprend la bobine, puis se casse en plantant tout le monde, Nico compris.
On a pas revu le gaillard de la soirée, Nico s'est consolée en s'envoyant des Pelforth brunes.





NICO
DESERTSHORE


Le 29 Janvier 2020 par JERRY


Succomber au chant envoûtant de Nico, se laisser bercer par l'atmosphère mélancolique (que d'aucuns auront tôt fait de qualifier de mortifère...) qui en émane, passer complètement à côté de "Nico 1988" (n'adhérer qu'à de rares moments au jeu "improbable" de Trine DYRHOLM dans le rôle-titre), s'en remettre en écoutant en boucle "My Only Child" sur Desertshore, enchaîner avec "Song for Nico" de Marianne FAITHFULL ("Yesterday is gone - There's just today - No tomorrow. Yesterday is gone - There's just today - No more"), goûter avec délice à cette chronique.... tout en visionnant "More" (remember, Ibiza...) de Barbet SCHROEDER. Et se dire que Nico nous a quittés bien trop tôt...





ROXY MUSIC
MANIFESTO


Le 29 Janvier 2020 par METALPROG84


Le moins bon Roxy Music de mon point de vue (déjà, le niveau avait bien baissé avec "Siren", mais là on est encore un ton en-dessous).
Pour autant, l'album n'est pas franchement mauvais, mais c'est vrai que ça manque parfois d'inspiration (c'est flagrant sur "Trash" et "Cry, cry, cry", dans une moindre mesure sur "Angel eyes" et "Spin me round"). Les deux meilleurs titres restent "Manifesto" et "Dance away", "Stronger trough the years", "Still falls the rain" et "Ain't that so" sont pas mal aussi (sans être extraordinaires). Au final, un album mi-figue mi-raisin.
Note réelle: 2.5/5.
Les albums suivants, "Flesh + blood" et "Avalon", dans la même veine, seront largement supérieurs.





The DOORS
STRANGE DAYS


Le 28 Janvier 2020 par FRED

"Maintenant ce qui est curieux c'est qu'on trouve des musiciens noirs qui jouent comme les blancs des années 70's 80's du Blues à la limite du Hard, le plus bel exemple étant Buddy Guy quand il vient en Europe."
Pas si curieux, en fait : c'est une demande des maisons de disque et une adaptation aux exigence du marché, un effet de mode.... Vieux procédé. Déjà, dans les années 20-30 (Son House, Charley Patton…), les maisons de disques exigeaient de ces songsters noirs qu'ils jouent exclusivement du Blues, alors qu'en réalité, leurs répertoires étaient bien plus variés (confère MJ Hurt ou Leadbelly chez qui les influences folks sont plus que présentes), selon le public rural auquel ils s'adressaient (blanc ou noir). D'où l'image erronée d'un cloisonnement strict des répertoires en fonction de la couleur de peau, alors que les choses, et les contacts entre communautés, furent bien plus complexes (et "métissés", en quelque sorte), dans le Sud rural et profond. Je n'aborderais pas trop ici l'influence de la musique amérindienne sur le Blues des origines, les origines partiellement amérindiennes des "Noirs" Son House, Howling Wolf, Muddy Waters, Big Joe Williams, R. Johnson ou Jimmy Hendrix, ou encore Rick Medlocke, mais il y aurait beaucoup à dire à ce sujet : écoutez Mannish Boy par Muddy Waters. Le "Yauh ho" qu'il entonne a cappella au début de la chanson signifie "Je suis le grand esprit" en langue cherokee. On s'aperçoit aussi que la façon des bluesmen de faire pleurer les cordes est une pratique que l'on entend chez les chanteurs durant les pow-wow, mais nulle part en Afrique. Comme on découvre que le rythme qui est au coeur du blues, le shuffle, est le même que celui de la stomp dance, la danse cherokee. Ou que les chansons amérindiennes et le blues partagent une structure identique - un soliste chante un thème et le choeur répond….
De toute manière, la musique dite (grandement à tort) "afro-américaine" est indubitablement une musique métissée dès ses origines: elle est chantée en anglais sur des instruments "blancs" (guitares, banjos), souvent à base de paroles issues de la liturgie protestante blanche (cf Gospel).
Ainsi, affirmer par exemple que le Jazz ou les Blues sont des musiques noires est faux. Il s'agit de musiques de contact entre plusieurs cultures, amérindienne, noire et blanche, résultat d'une Histoire et d'une sociologie complexes et uniques. C'est ce qui en fait sa richesse et son intérêt.





Popa CHUBBY
IT'S A MIGHTY HARD ROAD


Le 27 Janvier 2020 par CAROLUS

Je n'ai pas écouté cet album, mais j'ai vu la bête en concert dans un bled du fin fond de la cambrousse, sur une scène de village sans fioriture. Rien que parce qu'il peut jouer dans ces conditions je le respecte. Je lui avais pris à cette occasion un live qui s'écoute très bien. Le mec se fait plaisir en jouant, c'est tout ce qui compte dans le rock. L'image qu'il renvoie je m'en bats les noisettes, je ne comprends même pas que ça puisse être pris en compte dans l'évaluation de sa musique. En plus c'est un mec super accessible, j'ai du mal à cerner les reproches qu'on lui fait sur l'humain. Encore quelqu'un à qui on reproche de marcher un peu.





Popa CHUBBY
IT'S A MIGHTY HARD ROAD


Le 27 Janvier 2020 par REPLICANT


Est au blues ce que le bigmac est à la cuisine ! Bonne chronique, il fallait le dire !





ELOY
PLANETS


Le 27 Janvier 2020 par LEO


Si pour moi Silent Cries And Mighty Echoes et Colours représentaient ELOY à son sommet, Planets et son successeur Time To Turn sont de mon point de vue un petit cran en dessous, la faute à des compos un peu trop linéaires et similaires ou carrément moins convaincantes.
Déjà, la courte "Introduction" atmosphérique aux synthés dans laquelle il ne se passe rien est plutôt inutile. elle aurait pu être éliminée d'office ou raccourcie de moitié et intégrée au titre suivant car elle n'apporte rien en elle-même.
"On The Verge Of Darkening Light", "Point Of No Return" et le plus long "Mysterious Monolith" sont de bonnes compos qui installent un climat tout à la fois enveloppant (par ses parties de synhé) et robuste (de par sa rythmique bien appuyé et ses riffs de guitare tranchants).
Par contre je ne suis pas très emballé par "Queen Of The Night" qui met l'accent sur le côté symphonique, chose qui ne me dérange pas du tout chez Yes par exemple (albums: Time And A Word et Magnification) mais qui est pour moi bien moins probant chez ELOY à mon avis.
L'instrumental "At The Gates Of Dawn" est plus rêveur mais aussi très dispensable et fait un peu office de bouche-trou.
"Sphinx" renoue avec le côté efficace des trois premiers morceaux (je ne compte pas l'intro !), quand au final "Carried By Cosmic Winds", celui-ci me fait un peu penser à du Alan Parsons Project avec ses choeurs vocodérisés et sa section finale qui incorpore de nouveau une section de cordes (qui cette fois me semble mieux intégrée que précédemment).
À l'arrivée, je suis moins enthousiasmé par Planets que par ses deux prédécesseurs malgré de bons moments.
J'en retiens principalement "On The Verge Of Darkening Light", "Point Of No Return", "Mysterious Monolith" et "Sphinx". un bon 3,5/5 arrondi à 3/5





Popa CHUBBY
IT'S A MIGHTY HARD ROAD


Le 27 Janvier 2020 par LE KINGBEE

@ Bayou

Cher collègue tu as bien cerné le personnage. Avec son allure de rappeur, on se fait une idée du tatoué rien qu'avec son pseudo, une variante argotique de "avoir une érection".

Ah il a fait brièvement partie des Voidoids de Richard Hell qui a du le virer rapidos.







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