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SHEILA
REVIENS JE T'AIME


Le 11 Décembre 2021 par MARTIN LA BOTTE


Premier 33t des 70' pour Sheila qui n'annonce rien de bon dans la façon dont Carrère va prendre enfin au sérieux la construction d'un répertoire plus étoffé et inattendu, destiné uniquement aux acquéreurs d'albums. Ici, pas plus de 10 titres dont 2 versions italiennes bouche-trou de ses anciens tubes sixties et seulement 2 inédits... à condition de ne pas avoir acheté le dernier single paru au même moment. Frustrant.

Le titre-phare "Reviens je t'aime" sera le plus gros succès de Sheila en cette année 70 (et se vendra plus que "Julietta", Marco). Il préfigure le retour durable aux vrais tubes (la parution des "Rois Mages" est imminente) pour la chanteuse qui, tout en n'ayant pas connu les galères des copines Françoise, Sylvie et France pour se maintenir à la surface, n'engrangeait plus que des accueils (très) honorables du public à chacun de ses nouveaux 45t depuis l'hiver 68.
"Reviens je t'aime" est l'adaptation d'un morceau anglais pas inoubliable dont France Gall enregistrera une version allemande d'après la VF de Sheila ("Kommst du zu mir"). Comme le titre nous y prépare, on y retrouve une Sheila abandonnée par son jules, désespérée et plaintive. Pas forcément mauvais mais pas le morceau que je préfère. Dans le même registre de la femme pleurant sur son couple en crise, je valide davantage "Ma vie à t'aimer" avec la collaboration inspirée d'Éric Charden ("jeter au vent et au feu tous les regrets..."), à l'orchestration grave et classieuse et au refrain chanté par Sheila sur 2 tonalités. Tout aussi réussi, "Le Soleil est chez toi" où la demoiselle semble davantage avoir les cartes en main pour ramener l'infidèle au bercail ("souvent sans trop savoir pourquoi, on part pour découvrir ailleurs un bonheur qu'on a près de soi..."). Plus sensuelle en effet son interprétation sur "Na Na Na", autre adaptation d'un morceau anglosaxon, alors que paradoxalement, le monsieur à qui elle tente de remonter le moral n'est pour une fois pas le sien. J'aime bien !
2 ovnis que j'aime beaucoup et 2 originaux de surcroît : "Chéri, tu m'as fait un peu trop boire ce soir", tout est dans le titre, clairement inspiré des musicals hollywoodiens avec choeurs façon "souris animées de Disney" et "L'Agent secret" à l'enrobage très pop où Sheila joue les "Emma Peel" avec beaucoup de fantaisie. 2 titres qui gagnent énormément en saveur à la télé, la chanteuse les proposant sur des ballets très élaborés. Tout comme sur "Julietta" et "La Pluie" dont je suis moins friand sur disque.

Pochette plutôt médiocre malgré un joli portrait beaucoup utilisé à l'époque et depuis.
Note réelle : 2,5/5





OASIS
KNEBWORTH 1996


Le 11 Décembre 2021 par RICHARD

En complément de la discographie des frangins têtes à claques, on pourra s'attarder sur le petit et très intéressant livre de Benjamin Durand et Nico Prat ' Oasis ou la revanche des ploucs ' qui expose une belle analyse du succès (incompréhensible ?) du groupe mancunien.





Bennie SMITH
SHOOK UP


Le 11 Décembre 2021 par LE KINGBEE

@ Pullman

Le label Fedora mériterait une petite exploration. J'ai quelques galettes dans mon wagon.





TIFFANY POLLACK & CO
BAYOU LIBERTY


Le 10 Décembre 2021 par MARCO STIVELL

Une belle découverte, merci Kingbee !
Effectivement, petite hésitation entre le blues des marais et la country pure, mais pleine de charme dans les deux cas. Et ce sax !





SADE
LOVE DELUXE


Le 10 Décembre 2021 par IEN


Mon préféré de Sade, il se dégage une ambiance particulière de cet album, très 90'.
"No ordinary love" et "Pearls" sont bien sûr les deux très grands titres du disque mais le reste est tout autant magnifique.

En plus pour un disque des années 90 il n'est pas trop long ( 45minutes ) et évite donc les titres de remplissage.





SHEILA
KING OF THE WORLD (AVEC B. DEVOTION)


Le 09 Décembre 2021 par MARTIN LA BOTTE


Devenu sans doute l'album le plus prestigieux et le plus commenté de la dame, "King of the world" n'est pourtant pas mon préféré, sans doute parce qu'il est plus "Chic" que "Sheila" et surtout parce que toutes les chansons sont peu ou prou construites sur le même modèle (intro-refrain-couplet-refrain bissé-couplet- refrain-pont instrumental-refrain), ce qui peut rendre l'ensemble un peu répétitif et cela, malgré l'assez grande diversité des pistes.

Il n'empêche qu'on y retrouve le MUST absolu de Sheila, celui qui lui permet de se retrouver régulièrement dans les playlists des soirées des plus "popu" aux plus branchées car qui n'a pas entendu un jour "non, pas fan du répertoire de Sheila... à part "Spacer" bien sûr !".
Je citerai l'autre pièce maîtresse de l'album, "Charge Plates and Credit Cards" dont je me demande régulièrement si elle n'est pas encore plus géniale et aboutie que "Spacer" ! J'aimerais savoir parler orchestration et instruments comme Marco (dont je regrette qu'il ne se soit pas attardé sur ce titre ;) ), je sais seulement que les passages à la guitare sont à tomber et que si votre confession musicale vous interdit de vous parjurer avec Sheila, tentez au moins ce morceau en loucedé, la vraie malédiction serait de passer à côté.
Moins incontournables mais d'excellente facture aussi, "Cover Girls", "Don't Go", "King of the World", "Your Love is Good".
L'accent français de Sheila est très marqué mais est-ce si dérangeant que ça ? En tout cas, son timbre clair est plus mature, plus chaud, et la façon nouvelle qu'elle a de casser parfois sa voix sur certaines notes plus hautes assez convaincante. Elle le démontrera à nouveau sur les albums à venir.
Enfin, le visuel de la pochette est des plus réussis et assez illustratif d'une Sheila atterrissant avec un brin d'appréhension en univers musical inconnu. Elle s'adaptera parfaitement avec le "chic" qu'on lui connait.

3,5/5





VULCAIN
DESPERADOS


Le 08 Décembre 2021 par LE MOUNGEPEDOUN


Les mid-eighties ou l'âge d'or du hard rock chanté en français, ça fait du bien et c'était bien bon ! À cette époque, pas besoin de chanter en yaourt un anglais approximatif, les textes des Vulcain, Sortilège, H Bomb, High power et consorts suffisaient à notre bonheur.

Avec ce second opus, Vulcain égalait la réussite du premier album. C'était bien les années 80 avec les vinyles à qui envoyaient des riffs à gogo sur nos microsillons.





Lucinda WILLIAMS
BOB'S BACK PAGES: A NIGHT OF BOB DYLAN SONGS


Le 08 Décembre 2021 par LE KINGBEE

@ Souleymane
Bob Dylan a reçu un prix Nobel, un trophée qui doit récompenser si je vous suis bien, sa médiocre plume.
Quant au timbre éraillé de Lucinda Williams, je ne vois pas là l'ombre d'une touche négative.
Libre à vous de ne pas aimer ces 2 artistes, mais sortir de telles énormités bien outrancières n'engagent que vous.





Lucinda WILLIAMS
BOB'S BACK PAGES: A NIGHT OF BOB DYLAN SONGS


Le 08 Décembre 2021 par SOULEYMANE

Marrant comme certains chroniqueurs en font tout un plat de cette chanteuse. Voix trop éraillée et textes largement surestimés comme Dylan. C'est du moins mon avis.





TEN YEARS AFTER
RECORDED LIVE


Le 08 Décembre 2021 par EARVIN F

Un excellent Live bien représentatif des années 70. Il était temps qu'il figure en bonne place sur le site





PARABELLUM
PARABELLUM


Le 08 Décembre 2021 par NESTOR

Il est certain que la matière de ce [i]Parabellum[fi] peut légitimement être préférée à [i]Bordel Inside[fi], notamment parce que, objectivement, il comprend bien plus de classiques que ce dernier. Mais la production y est si exécrable qu'il est difficile de prendre plaisir à son écoute. Par contre, les titres de cet album joués sur scène sont effectivement imparables.





SCORPIONS
LONESOME CROW


Le 07 Décembre 2021 par CSAMSA


J'aime beaucoup ce premier effort, largement supérieur à ceux de certains collègues aux débuts plus laborieux (Thin Lizzy, UFO, Judas Priest par exemple). Le problème, c'est que si on le compare avec "Love at first sting", on a peine à imaginer que c'est le même groupe. Pourtant, il y a de bien belles qualités en germe ici. Meine montre à quel point il est déjà un grand chanteur, Schenker (Michael, oui à 17 ans comme le note justement Gegers) balance de splendides solos (que c'est bon sur le long "Lonesome Crow"). S'il manque la science du riff que développera plus tard Rudolf, il y a dans un titre comme "Action" une musicalité supérieure à la moyenne, avec un intro très jazzy, une basse bien présente (comme sur tout l'album d'ailleurs, elle me fait penser à Martin Turner de Wishbone Ash) et un passage bien boogie qui rend le titre très intéressant. La section rythmique assure bien, la batterie est puissante et rarement dans un 4/4 de base. Dernier point très positif : la production est très réussie (signée Conny Plank, ceci explique cela), passe très bien les années et la remasterisation de 2005 est exemplaire, le son est d'une clarté rarement atteinte à cette époque.





TANGERINE DREAM
ENCORE


Le 07 Décembre 2021 par VANNOORD


Un petit, même un gros chef-d'oeuvre, de musique electro, pour moi tout au moins. C'est prenant d'un bout à l'autre. Les musiciens ont fait de très gros efforts au niveau des mélodies, même si cela peut sembler paradoxal dans de la musique dite répétitive.
Mon petit chouchou du disque, c'est "Monolight", morceau un peu couplé avec "Stratosfear", d'une grande beauté.
Je n'ai pas grand-chose à dire de plus, vu le superbe commentaire d'ARP 2600, à la colossale connaissance encyclopédique du sujet. Je me sens tout petit.
Probablement le CD que j'écoute le plus de ce groupe, avec Cyclone. Merci, les gars. Que du bonheur.





Gilles SERVAT
LA BLANCHE HERMINE


Le 07 Décembre 2021 par PILGRIMWEN

Qui n'a pas appris "La Blanche Hermine" en culture bretonne, au collège ? Ah ah ah ! Cette foutue chanson est imprimée ad vitam aeternam dans ma p'tite tête !

Ah, tout y est sur cette pochette d'album : le ciré jaune, le littoral breton (parce que c'est bien connu, la Bretagne c'est le littoral et la région rennaise, le reste c'est culs-terreux et ploucs !), cette fascination (fanatisme ?) pour la culture bretonne (les anciens se marrent bien à l'écoute du breton académique pratiqué par ceux-là) et cette putain de recherche de l'ancêtre breton qui permettra à madame ou monsieur de revendiquer des racines en Armorique. Les assimilés bretons, moitié-con, moitié-breton. Ils ont besoin d'en faire des caisses au quotidien. Comme si je me levais chaque matin en gueulant "j'suis breton, j'suis breton pur beurre !".

Signé : un plouc !





SADE
DIAMOND LIFE


Le 07 Décembre 2021 par CSAMSA


Cet album, comme le suivant, continue de me réjouir plus de 35 ans après sa sortie, c'est vraiment intemporel et figure dans mon panthéon personnel. Une musique qui réchauffe, qui enveloppe dans du velours très moelleux dans une période qui pourtant se glaçait à coup de synthés et de boîte à rythme. Les albums suivants, sans être déshonorants, n'auront plus cette fraîcheur ni cette légèreté, la faute souvent à une production qui se voulait un peu trop dans l'air du temps. Et si la dame Sade a connu des débuts mitigés sur scène, son live de 2011 (Bring me home) dans sa version vidéo est splendide, la classe incarnée. Une vraie diva dans le bon sens du terme.





Nicolas PEYRAC
D'Où VENEZ-VOUS


Le 06 Décembre 2021 par IEN

Je ne connais que vaguement les titres les plus connus de Nicolas Peyrac, en revanche je rebondis sur le commentaire de Mr Larsen : oui oui oui pour du Jonasz ici !





DEEP PURPLE
TURNING TO CRIME


Le 06 Décembre 2021 par CSAMSA


Voilà plutôt une bonne surprise. Non pas que j'attendais avec impatience un album de reprises de DP, exercice rebattu et souvent décevant. Mais ces gars, toujours d'attaque quand il s'agit de bonne musique ont plutôt réussi leur coup ici, surmontant deux écueils souvent rencontrés : la setlist et l'interprétation. Pour le premier élément, mis à part 2-3 titres un peu prévisibles et trop connus (« White room », « Shapes of things »), ils ont eu le bon goût de faire là où on ne les attendait pas (« Lucifer » de Seger, « Dixie Chicken » de Little Feat ou encore « The Battle of New Orleans ») et le reste est plutôt bien vu entre le plus ou moins obscur ou surprenant. Côté interprétation, la difficulté consiste à trouver l’équilibre entre le trop fidèle et appliqué et le côté complètement revisité, trop souvent hors-jeu. Rien de ça ici, les titres ne sont pas révolutionnés et pourtant, on y sent la patte absolument unique des ces musiciens hors-pair. « 7 and 7 is » et un magistral « Oh well » en sont les plus belles réussites. Bref, malgré les limites inhérentes à ce genre d’activité criminelle, j’acquitte l’ensemble de la formation, toujours pleine d’auto-dérision, les condamme à ne pas forcément faire un second volume mais à continuer à régaler de leur talent de grands musiciens qui savent toujours et encore me réjouir. En complément, notons que Ian Gillan (s’il ne monte plus dans les aigus depuis longtemps reste un excellent chanteur) avait sorti avec ses potes d’enfance (Les Javelins) deux albums de reprises de titres des débuts du rock’n’roll. Et qu’au rayon d’albums de reprises réussis, l’album de Vanilla Fudge (tiens, rien sur le site ?) sorti en 2007 (« Out Through The In Door ») ne reprenant que du Led Zep me semble totalement recommandable.





Alan PARSONS
TRY ANYTHING ONCE


Le 06 Décembre 2021 par METALPROG84


Très bon album d'Alan Parsons dans un style beaucoup plus progressif que ses dernières productions. Pas un titre moyen, "Try anything once" est très homogène au niveau de la qualité. Un album hautement recommandable pour tout amateur de pop-rock progressive sans prise de tête.





Nicolas PEYRAC
JE T'AIMAIS, JE N'AI PAS CHANGE


Le 05 Décembre 2021 par MR LARSEN


Un album fantastique porté par deux chefs d'oeuvre (oui Marco, le mot n'est pas galvaudé ici) : "Les mots qu'on apprend à 10 ans" et "Les remparts de Gorée" qui convoquent tous deux l'Histoire (de façon différente cela dit). J'aime profondément ces deux titres, pratiquement ce qui s'est fait de mieux en variété française dans les années 1970 à mon sens. De manière générale, toute la face A est impeccable, tantôt entraînante tantôt mélancolique. La face B est plus inégale, de la savoureuse invitation au voyage de "Cherbourg" à la surprenante (et un brin raciste ^^) "La Panthère". Et puis il y a "Un mot de toi" qui traîne furieusement en longueur et dont le propos est éculé. Pour le reste, c'est du très bon. Sans doute le meilleur album de Nicolas PEYRAC que je suis bien heureux de retrouver sur FP.





Mel BROWN
CHICKEN FAT


Le 04 Décembre 2021 par LE KINGBEE

Une Chronique qui retranscrit parfaitement l'entente entre Mel Brown incroyable de fulgurances et Herb Ellis. Une Mention pour la section rythmique terriblement efficace. Bref, un disque qui s'inscrit parmi les nombreuses réjouissances du label Impulse.







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