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The BEACH BOYS
PET SOUNDS


Le 27 Juillet 2021 par DEJAVU


Fin août, les albums "Sunflower" et "Surf'up" seront réédités, c'est l'occasion de leurs consacrer une belle critique, de même pour "Smile Sessions" publié en 2011.





The ROLLING STONES
DIRTY WORK


Le 27 Juillet 2021 par FEELGOOD


Acheté le jour de son arrivée chez le disquaire de ma petite ville (mars 86, si mes souvenirs sont exacts), j'ai instantanément adoré ce disque qui fut très bien accueilli par la presse française (Best, Rock & Folk, Le Nouvel Obs', Paroles et Musique). Dirty Work figura même dans la rétrospective de l'année 86 d'Enfer Mag. Ce point est important puisque les attaques à l'encontre de cet album n'eurent lieu que plus tard (fin des années 90, début des années 2000), critiques cinglantes émanant d'une nouvelle génération de chroniqueurs sévissant sur le média alors en expansion qu'était internet.
Il est aussi crucial de rappeler que le fan lambda des Rolling Stones ignorait (au moment de la sortie du disque) que le groupe était proche de l'explosion. Les problèmes de Watts n'avaient pas encore été révélés au public. Ainsi, lors de sa parution, Dirty Work n'était rien d'autre que le « nouveau Stones », le premier depuis près de trois ans. Les chaînes de télé diffusaient le clip du 45 tours, « Harlem Shuffle ». Celui de « One Hit (To The Body) » passa en ouverture des Enfants du Rock quelques mois plus tard. « Harlem Shuffle » se classa au Top 50 et l'album resta un certain temps au Top Albums.
« Le rock policé et mou des livraisons précédentes fait place à un cocktail un poil plus agressif », déclare le chroniqueur. Aussi imparfait soit-il, le précédent disque du groupe, Undercover, n'avait rien de mou. Quant à « One Hit (To The Body) », il n'a rien d'un « single très formaté ». Je renvoie les amnésiques (ainsi que ceux qui n'étaient pas encore nés) à l'écoute des tubes qui cartonnaient à cette époque et firent les grandes heures de notre "glorieux" Top 50 pour écouter la différence : « Je Te Donne », « Papa Chanteur », « Capitaine Abandonné », « Ouragan », « Les Démons de Minuit », « The Final Countdown »...
L'explosif « One Hit (To The Body) » n'est ni formaté ni commercial. De nos jours, on aime bien insister sur la présence (hum) de Jimmy Page sur ce titre. Pourtant, en 86, aucun brillant critique ne s'extasia sur son solo dans la mesure où l'on ignorait la nature exacte de la participation de Page - certes crédité sur la pochette intérieure – à ce nouveau Stones.
Quoi qu'il en soit, Dirty Work est un très bon disque de Rock énergique. « Fight », « Hold Back » et le morceau-titre s'inscrivent dans la lignée du titre d'ouverture. Deux reprises, l'une d'un vieux tube de Rhythm and blues, « Harlem Shuffle », l'autre d'un Reggae, « Too Rude », entonné par Keith Richards, aèrent la face A.
La deuxième démarre avec « Winning Ugly » et le funky « Back To Zero », plus chantants, plus « jaggeriens » sans doute que les brûlots déjà cités.
Le rétro « Had It With You », étonnant Boogie ponctué de chouettes parties d'harmonica, sonne comme un inédit des années 60 et ça fait plaisir.
L'album se clôt sur une magnifique et émouvante ballade de Keith Richards, « Sleep Tonight », suivie d'un hommage au regretté pianiste Ian Stewart.
L'absence de tube majeur n'empêcha pas Dirty Work de bien marcher et de finir disque de platine aux États-Unis.
Dans son fort intéressant ouvrage intitulé «Rolling Stones, une biographie », l'excellent François Bon défend ardemment cet album qu'il adore au point de collectionner les nombreux bootlegs de cette période.
Note réelle : 3,5/5.





The ROLLING STONES
DIRTY WORK


Le 26 Juillet 2021 par LE MOUNGEPEDOUN


Moi j'aime bien, c'est très rock, ça swingue bien, et ça a la patate ; bref, du Stones qui s'écoute à l'aise tel du petit lait. Jamais eu de problème avec et ça j'aime. Disséqué récemment, un purée bonheur.





IAM
L'éCOLE DU MICRO D'ARGENT


Le 26 Juillet 2021 par LE FéLON MASQUé

Même le plus grand groupe du rap français n’a pas suscité le moindre intérêt cher moi. Je ne me reconnais absolument pas dans la musique urbaine. Certains esprits ont des goûts raffinés, aimant davantage les gens de culture.





JAMES BOND
MOONRAKER (JOHN BARRY)


Le 25 Juillet 2021 par MARCO STIVELL

@IEN : Non, rien sur la gondole ridicule ! Par contre et pour faire le lien avec mon autre commentaire du jour, j'avais oublié que pour StarCrash : le Choc des Etoiles, grosse série B/carton-pâte italo-américaine adaptée de la saga de George Lucas sortie en 1978 (juste avant Moonraker) et pas si mal que ça d'ailleurs avec Caroline Munro et David Hasselhoff (sans parler d'une scène phare sur une planète hivernale, deux ans avant l'Empire Contre-Attaque), c'est John Barry qui fait la musique également !
Moins inspirée que pour Moonraker à mon sens, sans chorale qui plus est (donc plus "classique") et moins diversifiée, tout de même suffisamment agréable et sans surprise, ça reste l'élément le plus haut du film en termes de beauté.





JAMES BOND
L'ESPION QUI M'AIMAIT (MARVIN HAMLISCH)


Le 25 Juillet 2021 par MARCO STIVELL

@Erwin : Clin d'oeil certes saisissant il est vrai comme, je l'avoue, la présence même de Caroline Munro qui est la seule raison pour laquelle j'ai voulu ensuite acheter et voir le DVD de StarCrash : le Choc des Etoiles, film où elle a le premier rôle sorti l'année d'après en 78.
Mais toi tu ne dis pas qu'aussitôt après cela, elle finit bien mal en se prenant quand même un missile lancé tout droit par Bond d'en dessous son siège et qui la fait exploser avec son hélicoptère ! Si c'est ça qu'on mérite pour des clins d'oeil en faisant la guerre et le fait de traîner en bikini tout le temps...
Puis moi tu sais, j'aime bien la finesse et ce qui dure donc Barbara Bach me convient ! :)





GENESIS
INVISIBLE TOUCH


Le 25 Juillet 2021 par SGT JAKKU


A ce moment de la carrière de Genesis, il était bien difficile de faire la distinction entre les productions de Phil Collins et Invisible Touch tant le style et la personnalité du batteur-chanteur s'imposent sur les singles les plus calibrés : "Into Deep, Throwing it all, Everything She Does, Land of Confusion" et bien sûr le titre éponyme. Comment aurait-il pu en être autrement quand le groupe compte un membre aussi illustre et avec un tel succès ?
Pour le reste, les Genesis nous font du Genesis avec "Domino, The Brazillian et Tonight, tonight" et le résultat est très cohérent au regard des 80's et du passé musical du groupe.
Je n'ai qu'un seul regret : le son très plastique, clinique de la production et surtout de la batterie électronique marque l'album au fer rouge comme nul autre disque des Genesis.
A part cela, "Invisible Touch" reste un très bon album de pop progressive, à condition de le juger pour ce qu'il est.





Edu FALASCHI
VERA CRUZ


Le 24 Juillet 2021 par BAKER

Edu avait sorti voilà 3 ans un "maxi-single" tout particulièrement tiède.

Cet album est-il donc une sorte de sursaut d'orgueil ? Car le comparer à Temple of Shadows, attention : dans le genre disque sous-estimé, Temple est un sacré cador :)





ABBA
SUPER TROUPER


Le 24 Juillet 2021 par LEO

@ NONO :

ABBA en 2021, c'est un peu l'Arlésienne ! Cela fait tout de même trois ans qu'ils disent qu'ils ont de nouveaux morceaux de prêts mais rien à l'horizon depuis tout ce temps, et sincèrement cela ne m'intéresse pas quarante années après leur séparation. Cela arrive bien trop tard.
ABBA, ce sont 10 années (1972-1982) bien remplies d'une riche discographie autant en albums qu'en singles et c'est déjà pas mal. Pourquoi vouloir faire revivre quelque chose qui s'est arrêté 40 ans en arrière ? Autant rester sur de bons souvenirs.

Mon avis ne se limite pas à ABBA du reste : de manière générale, je n'aime pas les reformations, tout spécialement lorsqu'elles arrivent plus de dix ans après la séparation. J'ai le plus souvent été déçu lorsque cela se produisait. La seule exception à la règle serait pour moi The Damned qui se sont séparés à trois reprises lors de leur carrière (qui dure toujours). mais chaque fois, la rupture fut de courte durée si bien que c'est presque comme s'ils ne s'étaient jamais séparés ! mais bon, c'est sans doute un cas unique dans le genre.





John MELLENCAMP
TROUBLE NO MORE


Le 23 Juillet 2021 par CSAMSA


Excellent album de reprises avec un très bon choix de titres (peu de classiques, on sort des sentiers rebattus) que Mellencamp s'approprie très bien au point que si on ne connait pas les originaux (c'était mon cas pour nombreux d'entre eux), on imaginerait sans problème que ces chansons font partie de son répertoire propre. A compléter par l'excellent live, "Performs Trouble No More: Live at Town Hall", sorti en 2014 mais enregistré lors d'un concert le 31 juillet 2003 où il reprend la quasi-intégralité de l'album plus quelques uns de ses classiques. Du tout bon.





KōJI KONDō & HAJIMA
THE LEGEND OF ZELDA: SKYWARD SWORD


Le 23 Juillet 2021 par LE FéLON MASQUé

Nintendo ne fera jamais la course à la technologie mais leurs licences ont une maturité à couper le souffle.





KōJI KONDō & HAJIMA
THE LEGEND OF ZELDA: SKYWARD SWORD


Le 23 Juillet 2021 par LE FéLON MASQUé

Les joueurs de la version Wii gardent de mauvais souvenir de ses manettes qui rendait le jeu vidéo injouable. La différence des graphismes est notable bien qu’aujourdhui elle fasse maigre figure face aux nouvelles technologies des écrans. Le Remasters est donc de qualité proposant des graphismes améliorés. La différence est bien nette bien qu’elle ne soit pas énorme. Ce Zelda est maudit car le succès n’a jamais été aux rendez-vous. Il est pourtant l’origine de toutes choses racontant dans les détails les événements antérieurs de cette licence. Nous les fans nous rêvons encore de ce jeu vidéo extraordinaire.





GENESIS
GENESIS


Le 23 Juillet 2021 par SGT JAKKU


"Genesis" est selon moi un des meilleurs albums de Pop Rock-FM des années 80, plus sophistiqué que la moyenne, qui donnera des idées d'arrangements et une esthétique à d'autres albums de la même décennie comme le "Song from The Big Chair" des TFF. Assurément, un grand disque de pop progressive à prendre comme tel, que le groupe a eu raison de produire car cela a été aussi une porte d'entrée pour un jeune public (jeune à l'époque !) vers la discographie antérieure. Je me rappellerai toujours du moment où, ado, je cherchais ce disque et je découvrais, dans le bac, une pléthore d'autres albums de Genesis, aux pochettes étonnantes (Foxtrot, Duke, Selling, The Lamb...) qui m'invitaient à les écouter. Ce n'est peut-être pas le meilleur du groupe mais c'est le meilleur dans le genre, pour les années 80. Et je suis d'accord avec LEO (son commentaire qui date de 2009 !), les trois derniers titres sont aussi mes préférés.





Jimmy BARNES
FLESH AND BLOOD


Le 23 Juillet 2021 par NESTOR


Un peu déçu pas ce disque dans lequel les limites vocales du Barnes ne sont plus compensées par sa hargne ou son feeling. Et qui de plus comporte des compositions assez convenues.
Attention tout de même ce jugement est à mettre en perspectives avec le niveau d'attente que j'ai vis-à-vis de ce grand bonhomme de la musique.
Et puis, il reste tout de même la superbe "I move slow" qui est une très belle réussite. Et, à un moindre niveau "End of the road"





ABBA
SUPER TROUPER


Le 23 Juillet 2021 par NONO

@Leo : Je reviens quelques années après mon dernier commentaire. Hé ben, (fallait-il s'y attendre ?), leurs "nouveaux morceaux" tant promis depuis 3 ans, je crains qu'on les attende encore longtemps... sauf erreur de ma part ils sont encore dans les tiroirs !
ABBA est un excellent groupe, mais son énorme défaut est de se substituer (au niveau management) à l'industrie Coca Cola, préférant la publicité, les ojets dérivés, etc. que le produit brut : en l'occurence la musique. Je laisse donc tomber mes espérances et préfère me cantonner à leur carrière 1969 - 1982...





JAMES BOND
MOONRAKER (JOHN BARRY)


Le 23 Juillet 2021 par IEN


Pas un petit mot pour la gondole ridicule à Venise son gros plan sur un pigeon ? 😆
C’est vrai que ce James Bond racole à tout les étages, j’avais été très surpris de la sobriété du livre quand je l’ai lu.
Il reste un bon divertissement avec pas mal de moments phares comme la meute de chiens, le combat à Venise, la machine centrifuge au sortir de laquelle on voit un Bond bien éprouvé.
Je ne savais pas que c’était castaldi au début du film, mais on y voit aussi Georges Beller dans la station spatiale.

La bo est superbe mais bien trop courte, avec une reprise sympa du thème  «007 », la mort de Corrine et le thème spacial.
La chanson titre est très classieuse, sa reprise disco sympathique.





ABBA
RING RING


Le 23 Juillet 2021 par FRANçOIS

C'est kitchissime, ça... Tiens, ça a réveillé un "woke" de la "cancel culture" (ça ne me plait pas ? Allez, hop, j'efface sans demander la permission aux autres, ça n'a jamais existé, na !) dans le livre d'or... :-)





JAMES BOND
MOONRAKER (JOHN BARRY)


Le 23 Juillet 2021 par IEN


Pas un petit mot pour la gondole ridicule à Venise, son gros plan sur un pigeon ? 😆
C’est vrai que ce James Bond racole à tous les étages, j’avais été très surpris de la sobriété du livre quand je l’ai lu.
Il reste un bon divertissement avec pas mal de moments phares comme la meute de chiens, le combat à Venise, la machine centrifuge au sortir de laquelle on voit un Bond bien éprouvé.
Je ne savais pas que c’était Castaldi au début du film, mais on y voit aussi Georges Beller dans la station spatiale.

La b.o est superbe mais bien trop courte, avec une reprise sympa du thème 007, la mort de Corrine et le thème spatial. La chanson-titre est très classieuse, sa reprise disco sympathique.





John MELLENCAMP
CUTTIN HEADS


Le 22 Juillet 2021 par CSAMSA


Même si Mellencamp n'a jamais retrouvé la flamboyance de Scarecrow ou The Lonesome Jubilee, il a poursuivi sa carrière avec de bons, voire très bons albums, qui sans être forcément géniaux, sont toujours honnêtes. Ce Cuttin' Heads ne fait pas partie de mes préférés mais a le mérite de voir le Little Bastard bien attaquer le nouveau siècle. Mon album favori de cette décennie 2000 sera Freedom's Road en 2007. Ici, les expériences "modernes" sur quelques titres ne sont pas franchement convaincantes. C'est bien d'essayer de sortir de sa zone de confort mais comme sur Mr Happy Go Lucky (avec Junior Vasquez à la production) cela ne lui convient que moyennement. "In my time of dying" ne fait pas partie de l'album original qui ne contient que 10 titres, il s'agit sans doute d'un bonus (mais pas vu l'édition correspondante), on en trouve une version intéressante sur Rough Harvest.





ALICE COOPER
FROM THE INSIDE


Le 22 Juillet 2021 par NESTOR


Un bien beau "commentaire" de Feelgood, qui a tout d'une très sérieuse chronique. Je vois que visiblement cet album a opéré le même charme sur nous deux. Il est dans mon coeur au même niveau que Alice Cooper Goes To Hell. Peut-être parce qu'aussi étrange, aussi personnel, aussi barré.







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