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BANDE ORIGINALE DE FILM
LES AVENTURES DE TINTIN (SéRIE TV)


Le 11 Novembre 2019 par MR LARSEN


Je vois que nous sommes peu ou prou de la même génération cher Marco et que nous avons tous deux grandi avec Les Aventures de Tintin. En effet, les épisodes étaient diffusés trop tard pour que je puisse les regarder moi aussi (j'étais très jeune à l'époque) et mes parents les enregistraient sur des cassettes (ah le bon vieux temps du magnétoscope !). J'adorais déjà l'univers du reporter du Petit Vingtième en BD et l'animation ici proposée a su rendre grâce, je trouve, à ce héros littéraire (ces voix sont parfaites !). Et forcément, la musique avait son rôle à jouer dans la trame narrative : à ce titre, j'étais particulièrement fan du thème de "Tintin au Tibet" avec la recherche de Tchang (sans doute l'extrait le plus émouvant de toute la série). D'une façon générale, les ambiances musicales asiatiques ("Lotus Bleu") et orientales ("Les Cigares du Pharaon") étaient toujours de qualité. D'autres se faisaient particulièrement effrayantes, à l'image de celles accompagnant les apparitions de Rascar Capac dans "Les 7 Boules de Cristal" (brrr, j'en ai encore la chair de poule!) Bref, la BO de ce dessin animé est un indispensable, donc merci Marco de l'avoir réhabilitée !





TÊTES RAIDES
LE BOUT DU TOIT


Le 10 Novembre 2019 par CLANSMAN57


Ces gens sont géniaux, je trouve qu'ils ont renouvelé la chanson française avec ce disque et "Fleur de yeux".
On imagine des musiciens qui jouent dans les rues d'une France d'un autre temps.
C'est ça qui est fort, le décorum et leurs références semblent ancien(nes) et la musique ne prend pas une ride.
Peut-être parce qu'il n'y a que de véritables instruments.

Chanson française, théâtre de rue et musique de cirque donnent naissance à une belle musique atypique.
Les illustrations signées Les Chats Pelés sont superbes (pochette recto verso + livret et son intérieur).

J'ai encore trouvé "Gratte poil", j'espère qu'il est bien.





Phil COLLINS
NO JACKET REQUIRED


Le 10 Novembre 2019 par CLANSMAN57


Rien à jeter, on peut effectivement tiquer quant aux sonorités so 80's.
Personnellement, ça m'a juste un peu gêné à la première écoute.
Le Filou se fait plaisir avec les percussions à la mode et pourquoi pas?

L'anecdote concernant la signification du titre de l'album est bienvenue, je me disais aussi "c'est quoi ce titre de merde?"
On comprend mieux pourquoi Phil est rouge sur la pochette, il était vénère! lolilol.






MEAT LOAF
BLIND BEFORE I STOP


Le 10 Novembre 2019 par YNGWIE-COOPER


J'adore cet album, un de mes Meat Loaf préféré, bien meilleur que Dead Ringer.





GRAND FUNK RAILROAD
LIVE ALBUM


Le 09 Novembre 2019 par JENLAIN


J'aimerais avoir assez de talent pour écrire une kro-express pour réhabiliter ce disque en particulier et la première phase de ce groupe en général.Je me souvient de ce môme, un jour d'été des 70's, trouvant cet album live (version original, import US et dans un état lamentable de rayures et gondolage) dans un bac de soldeur sur un marché de Bretagne. Je connaissais le groupe de par mes lectures de Rock'n'Folk et connaissais sa réputation peu flatteuse mais il en était de même pour le MC5 et les Stooges que j'appréciais fortement. Alors, vu le prix dérisoire demandé, je l'ai acheté. Et c'est devenu un de mes disques de chevet!
Mais il FAUT se remettre dans le contexte et je comprend parfaitement qu'un chroniqueur qui n'a pas vécu cette époque passe à côté de son essence. Il qui n'a pas connu la transition entre le Blues énervé qu'on appelait Hard Rock et les prémices d'une NWOBHM qui allait obsoliser (j'ai pas le mot donc je l'invente!) les Mountain, Cactus, Wishbone Ash... et multiples autres Grand Funk Railroad qui étaient ses références, les apports d'un Punk-Rock encore adolescent qui lui demandait de foutre au feu les quelques groupes de Prog-Rock qu'il arrivait à apprécier, la New-Wave arrivante qui nous obligera à radicaliser le discours et restreindre la curiosité d'écoute d'autres styles, et l'explosion des possibilités techniques qui allaient imposer de tout autres standards.
J'ai ainsi remarqué, depuis la fin des années 80, comme un entonnoir d’influences (c'est en tout cas l’interprétation que j'en ai) les musiciens se référant à des styles de plus en plus fermés. Tant de formations actuelles évoluent dans un style ultra-codifié qui est l'héritage d'un groupe qui avait déjà, à son époque, tiré son style dans l'héritage d'un autre qui, quelques années auparavant, était sous influence d'un mini-courant venant de l'héritage d'une vague de bands se réclamant de tel ou tel groupe de la NWOBHM, du Punk, du Prog... qui n'étaient eux-mêmes que l'évolution plus ou moins radicales de différents aspect du Rock.
Une forêt est un ensemble d'arbres. Dans cette forêt, il y a une myriade d'espèces toutes différentes par leurs caractéristiques de base (taille, forme, couleur du tronc, de l'écorce, des feuilles, du bois), chaque arbre d'une espèce, considéré individuellement, est différent d'un autre de part son âge, ses conditions de vie et de milieu. Parcourir cette forêt en essayant de trouver celui qu'on trouvera le plus beau est infiniment respectable mais je vois souvent ces petits forestiers, sur ce site, ne plus parcourir les différents sentiers qu'avec des vues d'esprit très fermés, avec des focales très courtes et ne plus arriver à considérer les autres végétaux comme faisant partie entière d'un même ensemble. C'est au pied du mur qu'on voit le mieux le mur mais on le voit trop, ne voit plus que lui, on devient aveugle à tout ce qui passe autour...
Alors oui, j'aime encore beaucoup ce disque, je l'écoute encore régulièrement. Cette musique ne s'adresse pas à l'esprit mais au bas du corps. Plus précisément au bassin. C'est même au sexe, un sexe viril, prétentieux, en pleine forme, primaire, animal, sans la moindre option de réflexion, ça pulse, ça a envie, ça bastonne, ça possède, c'est égoïste, ça réfléchit pas, ça jouit!





LYNCELIA
THE BEAUTY OF DOUBT


Le 09 Novembre 2019 par RICHARD

Merci cher confrère des catacombes pour ces quelques lignes :)
Effectivement, même si je retiens toujours les petites faiblesses redondantes pour moi (linéarité des ambiances parfois), cette galette tient vraiment et encore la route. On ne peut être que sensible à la passion qui anime ce projet. Il en faut de la volonté c'est certain pour se lancer dans cette démarche artistique, les univers sombres n'ayant jamais eu aussi peu d'échos dans l'hexagone. Lyncelia, c'est une identité tout de suite reconnaissable, un juste et subtil mélange d'ambiances froides et abrasives. C'est le souffle discret qui réactive à sa manière le faible feu des univers émotionnels. Merci à eux !





The BEATLES
LET IT BE


Le 08 Novembre 2019 par PARESSEUSE

François, je ne comprends pas trop bien en quoi la date de sortie d'un album ou le nom du groupe qui figure sur la pochette peut représenter un frein à la curiosité. Qu'on écoute les Beatles (ou Zappa, ou les Stooges, ou les Kinks ou n'importe quoi d'ailleurs) et qu'on pense que c'est naze c'est entendable. Chacun ses goûts. Mais qu'on vienne se vanter de ne pas écouter parce que c'est soit-disant culte ou trop vieux, alors c'est comme si je disais "J'aime pas les mecs qui s'appellent François", parce que porter un prénom de saint ou de roi de France c'est trop consensuel. Pourtant, j'en suis convaincue, il y a des tas de chic types qui se sont appelés François, jadis. Sinon, d'un strict point de vue musical, je ne sais pas si les Beatles sont meilleurs que machin truc, mais je suis certaine que, tout comme il est impossible d'apprécier le cinéma à sa juste valeur si on n'a pas vu un film de Chaplin, on ne peut rien capter à la musique des 50 dernières années si on ne s'est pas penché un peu sur l'oeuvre des pionniers. Après, si vraiment c'est juste un problème d'étiquette, tu peux essayer l'Album Blanc, y'a pas Beatles écrit sur la pochette. Et il est pas mal du tout comme porte d'entrée. Qui mène à tout un tas de couloirs à explorer.





Bobby HUTCHERSON
THE KICKER


Le 08 Novembre 2019 par FRANçOIS

J'ai un (excellent) album du Monsieur : "San Francisco", sorti en 1971, toujours sur Blue Note et qui fait preuve d'une plus grande originalité et variété que celui-ci car à deux morceaux de jazz "classique", s'ajoutent deux pièces funky et deux autres d'un jazz plus abstrait et aventureux.





Neil YOUNG
SILVER & GOLD


Le 08 Novembre 2019 par KIT


c'est quand même le dernier album de neil qui possède une vraie grace mélodique,"distant camera" est pour moi sa dernière grande chanson,une masterclass en terme de songwriting,depuis on a entendu beaucoup de riffs,mais zéro mélodie mémorable,dans cet album faussement léger,il y en a au moins cinq ou six.





Yves DUTEIL
L'ECRITOIRE


Le 07 Novembre 2019 par CLéMENCE K.


Virages est une superbe chanson de Duteil, bien que ce ne soit pas ma tasse de thé.





PENDRAGON
PASSION


Le 07 Novembre 2019 par METALPROG84


Assez d'accord avec la chronique dans l'ensemble, même si je la trouve un poil sévère. C'est vrai que "Feeding Frenzy" et "It's Just A Matter Of Not Getting Caught" ne procurent pas beaucoup d'émotions. Par contre, "Passion" et "Skara brae" sont quand même de bons titres, mais effectivement pas au niveau de "Empathy" et "This green and pleasant land", clairement les 2 meilleurs morceaux de l'album (et çà tombe bien, puisque c'est les 2 seuls à dépasser les 10 minutes). Enfin, la ballade "Your black heart" est sympa sans plus.
Note réelle: 3.5/5.





Yves DUTEIL
J'AI LA GUITARE QUI ME DéMANGE


Le 06 Novembre 2019 par CLANSMAN57

Lors de ma dernière virée, j'avais en main quelques albums de ce chanteur que je connaissais très vaguement.
Et j'ai bien fait d'écouter quelques chansons sur le web une fois rentré, aucun regret de les avoir remis à leur place.
Il chante et joue bien, mais ça ne passe pas...
J'ai le même problème avec Sardou ou Goldman (scénario similaire pour "En passant").

Evidemment, je m'abstiens de noter.





The BEATLES
LET IT BE


Le 05 Novembre 2019 par NONO

C'est ça qui est complètement ahurissant : la carrière des Beatles tient en moins de dix ans !! Alors que d'autres groupes ont galéré 20 ans pour pouvoir seulement commencer à être connus, et retomber dans l'anonymat après 2 albums ! LOL





QUICKSILVER MESSENGER SERVICE
HAPPY TRAILS


Le 05 Novembre 2019 par FOU

Si si, moi je l'écoute tous les jours, tout le temps, mais il faut se droguer sinon ça marche pas. Et comme j'ai pas de drogue, je l'écoute pas.





The BEATLES
LET IT BE


Le 05 Novembre 2019 par FRANçOIS

@Nono : je suis d'accord, jusqu'à la dernière phrase. Les fans de rock (et jazz, blues, soul, folk/country) de ces années-là considèrent au contraire qu'ils s'agissaient de vrais artistes au contraire de la plupart de ceux apparus dans les décennies suivantes (70's et plus encore les honnies années 80) avec la montée en puissance du marketing et l'apparition des modes musicales et je ne saurais leur donner complètement tord. Il est vrai que ces groupes et artistes furent des pionniers et ont exercé une forte influence sur les décennies suivantes. Pour aller dans leur sens, je trouve également que les musiciens (dans la musique populaire j'entend car dans les marges, je ne sais pas), depuis l'arrivée massive de l'électronique et celle du punk (fin des années 70 donc), sont beaucoup plus limités techniquement que leurs aînés (le punk vient d'ailleurs en réaction à ces "musiques pour musiciens" que sont le rock progressif ou le jazz-rock). Personnellement, j'ai plutôt du mal avec les musiques "roots" citées plus haut (qualifiées de plus "authentiques" par leurs laudateurs), je les trouve trop "simples" (je n'ai pas dit "simplistes") et, oui, "routinières". J'aime quand c'est un peu plus "luxuriant". En somme, entre un groupe guitare-basse-batterie et un autre qui leur adjoindra un clavier et/ou un cuivre, c'est vers le second que je vais d'instinct me diriger. Pour en revenir aux Beatles, peut-être parviendrai-je un jour à dépasser mes préjugés...





The ROLLING STONES
GET YER YA-YA'S OUT


Le 05 Novembre 2019 par GERALDINE


Etant surement plus âgée que beaucoup d'entre vous, l'âge des Stones +70, j'ai sans doute des avis "différents". Entre les souvenirs, le vécu, l'évolution des techniques, les comparaisons sont souvent très difficiles. Alors concernant ce "mythique " get yer yaya ", je le considère comme l'un des meilleurs justement à cause de ce vécu ! Bien sûr, il n'est pas parfait ! Mais les Stones ne sont pas Pink Floyd et encore moins les Beatles ! Mais, et c'est CA aussi la magie des lives ! Je viens justement de le réécouter ce matin en voiture ( un merco classe B) et bizarrement, j'ai redécouvert des sonorités oubliées comme ce "Can't get no" très différent. Combien de lives des annees 60 avons-nous? Très peu. Alors pour moi, c'est le best de cette époque. Chaque concert est unique ! Sa perception aussi, et ses souvenirs ? Je laisse à Freud le soin d'analyser. Et merci pour vos commentaires souvent très pro. ( J'avais demandé à mon père, musicologue à ses heures, son avis sur notre musique rock yéyé : et même s'il n'était pas contre, il trouvait cela simpliste. MOZART ou Stones, faut-il choisir ? Moi, j aime les deux.





QUICKSILVER MESSENGER SERVICE
HAPPY TRAILS


Le 05 Novembre 2019 par BAAZBAAZ


Quel disque horrible ! C'est si laid que je me demande qui écoute vraiment cela en entier (ou même à moitié, ou même les premières minutes). Bien sûr, on trouvera toujours quelqu'un pour dire "Si si, moi je l'écoute tous les jours, j'adore, etc.". Mais ce sera un mensonge.





KILLING JOKE
OUTSIDE THE GATE


Le 05 Novembre 2019 par LEO


Je me suis partiellement désintéressé de KILLING JOKE à partir de l'album Night Time (bien qu'ayant quand même assisté à un concert de la tournée correspondante). J'ai donc survolé Brighter Than A Thousand Suns à sa suite (juste entendu par l'intermédiaire d'un ami à sa sortie) et j'ai complètement zappé Outside The Gate à l'époque, ne l'ayant découvert que trois ou quatre ans après la bataille et l'ayant aussi vite oublié ! Ah si, j'avais quand même entendu à la radio l'horrible single racoleur "America" avec ses synthés tout poisseux, et puis c'est tout. Il a fallu l'excellent Extremities pour que je m'intéresse de nouveau au groupe.
Je passe sur la polémique vrai-faux album de KILLING JOKE, le principal étant de savoir si ce disque est bon, mais il ne l'est pas à mes oreilles, bien qu'avec le recul, j'y trouve tout de même quelques passages intéressants mais cela ne suffit pas à sauver l'album.
Outside The Gate souffre du même problème que son prédécesseur : il est doté de compos passe-partout baignant dans les nappes de synthés (un peu dans le genre de ce que faisait Simple Minds ou Ultravox trois ans plus tôt, ce qui n'est pas une référence en soi puisque ces deux groupes étaient déjà sacrément en panne d'inspiration depuis quelque temps), le tout servi par une prod assez laide et déjà désuète en cette année 88.
Comme pour Brighter, je retiens essentiellement le chant harmonieux de Jaz Coleman dont les mélodies sont plutôt réussies, bien que ce critère puisse paraître étrange et paradoxal pour un groupe comme KILLING JOKE, et dans mon cas lorsque l'on est friand des compos brutales et tribales des quatre premiers albums !
Mais c'est un fait, je retiens essentiellement de ce disque les mélodies de "My Love Of This Land" et "Unto The Ends Of The Earth", cela dit les trois derniers morceaux "Obsession", "Tiahuanaco" et "Outside the Gate" se laissent écouter, mais pas de quoi se relever la nuit pour autant !
Par contre, comme décrit précédemment, je n'aime pas du tout "America", pas plus que "Stay One Jump Ahead" avec son côté faussement 'mordant, ni le très décousu "The Calling" qui ne va nulle part.
Projet solo ou pas, Outside The Gate est quand même franchement dans le prolongement de l'album précédent et cela ne m'étonne qu'à moitié, car Jaz Coleman était à la fin des 80's obnubilé par la conquête du marché ricain d'où un souci d'adoucir la musique du groupe afin d'atteindre sa cible. Mais là encore, ils se planta complètement car le 33-tours ne fut même pas distribué aux States et Virgin qui s'occupait de KILLING JOKE dans certains pays, se sépara de la formation juste après la parution de l'album.
Quant au groupe, il n'en subsistait plus que Jaz Coleman et Geordie Walker à ce moment-là (suite à une brouille avec la section rythmique).
Qui plus est, le duo se vit dans l'obligation de dissoudre temporairement KILLING JOKE afin d'être dégagé de son contrat avec EG Records.





The BEATLES
LET IT BE


Le 05 Novembre 2019 par SGT JAKKU

C'est en cela que les Beatles sont intéressants car ils comptent parmi les groupes et artistes majeurs ayant fait évoluer la musique Rock et Pop. En partant d'Elvis, de Chuck Berry, de Buddy Holly, de Roy Orbison, des Everly Brothers, les Beatles ont raconté la suite de l'Histoire du Rock (en croisant Bob Dylan sur leur chemin). Etudier les Beatles est un excellent moyen de comprendre à travers eux ce moment de bascule du Rock à 3 accords vers des formes de plus en plus sophistiquées qui annoncent les décennies suivantes (les 70's et après). Evidemment, il n'y a pas que les Beatles mais ils sont parmi les plus marquants. Et il ne faut pas non plus les percevoir comme des "intouchables" mais plutôt comme une formidable référence musicale. Les Beatles, c'est seulement 7 ans de discographie et passer de Please, please me (63) à Abbey road (69) est un choc tant on dirait qu'il s'est passé plusieurs décennies entre ces 2 albums.
Pour finir, c'est à partir de l'année 1965 que la mue s'opère. Pour beaucoup de spécialistes et amateurs des musiques actuelles, la période musicale 65-75 est la plus riche et la plus passionnante.
Démarrer l'écoute des Beatles à partir de Rubber Soul permet d'entrer directement dans le vif du sujet.





The BEATLES
LET IT BE


Le 05 Novembre 2019 par NONO

@François : Je suis globalement de ton avis. Pour moi aussi j'ai du mal avec le "pré-70s". Le style rock'n'roll "be-ba-be-lula" même si c'est joyeux, dansant, innocent, guilleret, tout ce qu'on veut... je n'adhère pas vraiment.
J'ai le sentiment que la décennie entière des 60s swinguait autour des 3 éternels mêmes accords. Que ce soit Elvis, Bill Haley, Joe Jones, Johnny, Eddy Mitchell... ça sonnait un peu toujours pareil ! La musique était surtout une manière de faire la fête, de s'affranchir, mais qualitativement c'était assez routinier ! (Tant pis si je me prends des beignes pour cers propos iconoclastes, mais j'assume...)
A partir des années 70 la musique est devenue davantage un art (musical) en soi et moins juste un moyen de divertissement.







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