Le 08 Décembre 2018 par RICHARD

Comme quoi, il ne faudrait jamais sous-estimé les bandes originales.
Robert Smith de Cure a composé le hit single jazzy The Lovecats en pensant à O'Malley and Co.

Le 07 Décembre 2018 par NONO

@Baazbaz : c'est vrai que Knopfler aujourd'hui, on l'imagine plutôt : fredonnant assis sur un tabouret rouillé, l'air penaud, contre le mur défraîchi d'une ferme au milieu des plaines du Kansas, (à moins que ce ne soit dans un bar paumé, sombre, après minuit quand les derniers piliers de comptoir finissent leur bière), plutôt que sur la grande scène de l'Hammersmith Odeon ou de Wembley ! Je comprends que les artistes vieillissent comme tout le monde, mais chez lui l'âge le ramollit et le rend terriblement triste !

Le 07 Décembre 2018 par BAAZBAAZ

Il y a une chose qu'il ne faut pas oublier avec Mark Knopfler : il est né en 1949.

Autrement dit la même année de naissance que deux des BEE GEES, groupe qui connait ses 1ers succès en… 1967. C'est la même génération ou presque que Robert Plant ou Bowie...

Quand la fusée DIRE STRAITS prend son envol, il a donc déjà la trentaine. C'est un faux jeune qui a 10 ans de retard sur les autres. Et son retour à la country ou au blues vers 1990, c'est un truc de quadragénaire apaisé qui a assez de fric pour se reposer.

Pour moi c'est l'une des clés d'explication de sa décevante carrière post-DIRE STRAITS : le côté pépère, bouseux et répétitif, l'absence de toute innovation, la fin des envolées héroïques… Porté à bout de bras par les 80s, à un âge où bien des rock stars déclinent déjà, Knopfler a été immense pendant une petite dizaine d'années seulement.

Et donc ce disque, comme tous les autres, me rend un peu triste. C'était tellement plus fun, DIRE STRAITS.

Le 07 Décembre 2018 par BAYOU

Excellent album et une association qui fonctionne merveilleusement bien.

Un de mes disques de chevet.

Le 07 Décembre 2018 par LATIMUS

D'accord avec la kro, cet album est l'un (sinon le) des pires de CHEAP TRICK... On reconnaît à peine le groupe d'habitude souvent subtil et second degré... Il y a quelques titres potables ("Tonight it's You", "Standing on the Edge"...), mais aussi pas mal d'horreurs, à commencer par "Rock all Night", qui est un véritable cauchemar (on dirait le pire de DEF LEPPARD...). Mais mettre la même note à l'album One on One, largement meilleur, est injuste...

Le 06 Décembre 2018 par LONG JOHN SILVER

J'étais à Bercy au début de l'été 1984, pour voir YES et ce concert reste un grand souvenir. Un enchantement. Pourtant je suis pas fan de FM, l'ami Walter Smoke a raison de souligner le ridicule du look des zicos, durant la période cocaïnée . La drogue c'est MAL !!! (c'est pas de moi c'est de l'auteur de la kro)
Oui mais voilà : 2h30 de show suivant Bugs Bunny ( 1 épisode du dessin animé diffusé en avant concert) et puis après des lasers plein partout et du "Yours Is No Disgrace", "Long Distance Runaround", du "And You And I" et une rareté aussi, "Make It Easy". Tout ce qu'on n'a pas ici, c'est bien dommage mais le final gigantesque (avant rappel) sur "Starship Trooper", y est !
Aller chercher "Roundabout" dans les bonus est bien ballot, tout de même.
Chouette chronique l'ami, très juste !

Le 06 Décembre 2018 par NONO

Détestant habituellement Indochine, cependant "7000 danses " ainsi que "Le péril jaune" sont les 2 seuls albums d'eux que j'aime bien. On dirait que le groupe s'est "rattrapé" après le calamiteux "3", paradoxalement l'album ayant eu le plus de succès !
7000 danse est un peu plus raffiné dans les textes (qui sont surtout de meilleur goût, ce n'est plus l'infernale variante sexe / guerre / guerre / sexe...) et même la musique est plus recherchée !

Le 05 Décembre 2018 par NONO

Je viens d'écouter l'album. Pourtant habituellement grand fan de Mark Knopfler, et par extension de Dire Straits, j'avoue que je suis perplexe.
A part "Trapper Man" et 1 ou 2 autres titres, je suis effaré à quel point notre artiste s'encroûte de plus en plus vers un soft-rock "pépère", statique, à mi-chemin entre la country morne, la bluette inoffensive et le blues sans passion.
Ici on a ce que sait faire habituellement Knopfler, mais tout est "dilué", sans passion !
J'ai écouté ses albums jusqu'à "Sailing to Philadelphia", après j'ai lâché...
On est très, très loin de la période "Cal" / "Local Hero" / "Comfort & Joy", oeuvres qui représentaient le début de carrière de Knopfler solo, entre 2 albums de Dire Straits (évidemment c'était au début des années 80, notre homme a vieilli... mais on est en droit de regretter cette période !)
2.5/5

Le 05 Décembre 2018 par IT

Plus accessible que "The Devil Put the Dinosaurs Here", moins que "Black Gives Way To Blue", ce disque est très bon. Moins pesant que son prédécesseur, c'est un album mélodique, cohérent. "All I Am" s'impose comme l'un des meilleurs morceaux de la seconde ère du groupe.
"Rainier Fog" mérite trois-quatre écoutes pour se dévoiler pleinement mais il confirme un fait : Jerry Cantrell est bien l'âme d'Alice In Chains. Ce n'est pas offenser la mémoire de Lane Staley que de l'admettre. Ce dernier est irremplaçable et le groupe ne cherche pas à le remplacer.
Cela confère au passage, BAAZBAAZ, une déconcertante inutilité à ton commentaire. Sans aucune aigreur ni rancune. Disons que je préfère lire un commentaire constructif concernant ce disque. Qu'il soit positif ou négatif.

Le 05 Décembre 2018 par POSI

Oui, très sympa ce petit cocon trip-hop doux et tendre, qui a peut-être un peu vieilli mais au fond quelle importance

Le 05 Décembre 2018 par BAKER

Il se trouve qu'Ed Starink (ou sa maison de disques) l'a fait pour de vrai :)

En effet aux Pays-Bas on peut trouver un "Synthesizer plays Vangelis" totalement inutile si l'on possède les 4 premiers volets, et un "Synthesizer plays Alan Parsons Project" que j'aimerais beaucoup trouver car il contient de nombreux inédits de la collection en France - et étant énorme fan du APP...

Le 04 Décembre 2018 par LEO

À l'origine, l'album Clear Air Turbulence fut enregistré aux Rockfield studios au Pays de Galles de Juillet à Septembre 1976 mais IAN GILLAN insatisfait du mix, les pistes furent en partie réenregistrées et remixées aux studios Kingsway Recorders à Londres fin '76/début '77.
En 1997 le label Angel Air a proposé pour la première fois ces mixes originaux (sous le titre The Rockfield Mixes) qui diffèrent plus ou moins de l'album officiel paru au Printemps 1977.
Je suis autant enthousiaste de ce deuxième album du IAN GILLAN BAND que de son prédécesseur.
Les morceaux (bien plus longs dans leur ensemble) approfondissent encore un peu plus l'aspect progressif-jazz-rock-fusion que l'on pouvait entendre sur la seconde face de l'album Child In Time, cependant l'approche un peu funky est conservée, particulièrement sur le mordant "Money Lender".
Les arrangements sont enrichis d'une section de cuivres qui donne une couleur un peu soul et jazzy sur le relax "Five Moons".
Le nouveau claviériste Colin Towns amène également un p'tit côté exotique avec ses parties de flutes.
IAN GILLAN reste toujours aussi impérial (sa voix était encore intacte en cette époque lointaine).
Je suis du même avis que RED ONE, globalement l'album est une vraie réussite même s'il est sans doute moins évident que son aîné et surtout de son futur Successeur, Scarabus.

Le 04 Décembre 2018 par THIERRY RAOULT

A sa sortie, j'aimais beaucoup cet album, avec des petites réticences pour "Chevauchée", "Risque" et "Carnaval". Le reste est plutôt très bien. J'adore l'intro, très beau.
A l'époque, ça faisait bizarre d'entendre une vraie batterie sur des titres indochinois. J'aimais le rythme, l'envie, le dynamisme.
Je trouve toujours la pochette aussi triste, fade. Indochine abandonne la police de caractères de ses 3 premiers albums. Dommage!
En résume, bon album!

Le 04 Décembre 2018 par BAAZBAAZ

Il n'y a pas d'ALICE IN CHAINS sans Layne Staley. Dès lors je ne mets pas de note puisqu'on ne peux pas noter ce qui n'existe pas.

Savoir que jamais dans ma vie je n'écouterai la moindre seconde de ce disque me rend parfaitement heureux et serein.

Le 04 Décembre 2018 par JUNIOR

Excellent album en effet, Kendrick Lamar révolutionne le rap américain depuis quelques années déjà. Les pépites comme "Bitch don't kill my vibe" resteront gravées longtemps encore dans ma mémoire, vraiment.
Quand on me demande un conseil sur un album de la nouvelle génération de rappeurs, je parle immédiatement de celui ci.

Le 04 Décembre 2018 par BOLOLO

Grand défaut que je reproche à beaucoup de compilation d'artistes divers c'est que, quel que soit le nombre de disques, on reprend trop souvent les mêmes.
Ici avec toutes les éditions "synthétiseur" on peut carrément faire des compiles par artistes séparés (du moins pour certains).

Le 04 Décembre 2018 par STREETCLEANER

Pour ceux que cela intéresse, les sons cristallins et vaporeux de groupes comme COCTEAU TWINS (et ici The DAYSLEEPERS) sont obtenus essentiellement à partir d'une pédale de chorus et une pédale de delay. Sinon album particulièrement recommandable pour entrer progressivement dans les bras de Morphée.

Le 04 Décembre 2018 par RICHARD

Mais non tu n'es pas seul...Nous sommes au moins deux à connaître ce groupe :)
Par contre pour ma part que d'ennui. J'ai beaucoup de mal avec la voix, c'est subjectif évidemment et les morceaux, je les trouve plats et longs. Pas trop d'émotions donc...

Le 03 Décembre 2018 par CLANSMAN57

1984, c'était une sacrée bonne année en Metal ou en Hard.
"Powerslave", "Defenders Of The Faith", "Hail To England", "Sign Of The Hammer", "The Last In Line", le "King Of The Dead" des méconnus Cirith Ungol, "Love At First Sting", "Slide It In", "Walpurgis Night" de Stormwitch, "The Warning"...
Certains citeront "Don't Break The Oath", "Wasp", "Red Hot And Heavy" et j'en oublie sûrement.

C'est une jolie liste hein?
"Ride The Lightning" est cependant encore au dessus selon moi.
C'est quelque chose d'autre, de plus méchant encore, qui "ringardise" ces grands albums.
C'est un autre son, plus épais et les compositions sont dignes d'un Iron Maiden.
Les Américains iront encore plus loin que les légendaires Anglais, rien qu'avec l'instrumentale qu'il est inutile de citer (j'ai surtout la flemme de recopier le nom bizarre de cette créature issue de la mythologie Lovecraftienne).
Qui d'autre, dans le Metal, à l'époque ou même aujourd'hui a réussi à pondre un pavé aussi prenant, immersif et cohérent que celui-ci, et le tout sans le moindre mot?

A noter que "Ride The Lightning" est certainement l'album le plus ambiancé de Metallica: souvent morbide et pourtant tellement addictif.

Le 03 Décembre 2018 par LEO

Tant que ce concert du 21 Décembre 1973 à l'Academy Of Music de New York ne sera pas publié sous la forme d'un double album et dans l'ordre d'origine dans lequel il fut joué, Rock 'N Roll Animal et ce Live feront très bien l'affaire en attendant une hypothétique parution ultérieure...
Tout à chacun peut se recréer le concert à l'aide de ces deux albums en réinstallant les morceaux de la set-list originale, que voici:

01- Intro
02- Sweet Jane
03- How Do You Think It Feels?
04- Caroline Says I
05- I'm Waiting For The Man
06- Lady Day
07- Heroin
08- Vicious
09- Satellite Of Love
10- Walk On The Wild Side
11- Oh, Jim
12- Sad Song
13- White Light/White Heat
14- Rock And Roll (encore)