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PHILIPPINE & THéO
VINYLE


Le 15 Juin 2019 par RICHARD

Mais jusqu'à quel point une certaine industrie du disque va t'elle trouver autant d'opportunisme et de vice ?
Faire chanter à des djeuns du Groscolas ou du Peyrac ? Ce n'est pas tant la qualité des chanteurs repris que je trouve suspecte. La variété a aussi ses talents et à la différence de l'Angleterre où la chanson populaire n'est pas honteuse, notre hexagone souffre incontestablement d'une gêne certaine. C'est plus pour moi une histoire de crédibilité quant au fait de faire chanter à un duo des chansons qui doivent avoir au moins deux fois leur âge. A ce compte là, les hymnes estampillés Jean-Pierre Pernaut et feel good de Trois Cafés Gourmands vont bientôt passer pour des recherches sonores expérimentales.





The CRAMPS
SONGS THE LORD TAUGHT US


Le 15 Juin 2019 par ARTOFZAFT


Ecouter "Songs The Lord Taught Us" a toujours été pour moi une épreuve. L'album dure quoi...38 minutes à tout casser (dans sa version vinyle originelle) et j'ai toujours besoin, au minimum, de 2h30 pour arriver au bout. Impossible de faire plus rapide, tellement je suis obligé, à chaque fois, et ce depuis 30 années de tentatives avortées, de revenir plusieurs fois sur chacun des titres de cet album que je n'hésiterai pas à qualifier de plus qrande arnaque temporelle de l'histoire du rock. En plus, je suis obligé de rester là debout, juste à côté de la platine, pour pouvoir user de ma main libre (l'autre étant généralement asservie à un verre de vin lorsque j'écoute ce disque) de façon à bondir juste avant la fin du dernier microsillon de chaque titre pour le remettre au plus vite au début, et sans trembler, comme il se doit. Pire, je deviens vieux, et je dois surveiller mon poul, ce qui n'est pas toujours compatible quand on doit tour à tour imiter le tempo tribal du batteurissime Nick Knox (à jamais regretté, snif), les rhytmiques deltabruitistes du maître voodoo Bryan Gregory (à jamais regretté, snif), les riffs solodestructeurs de la Venimeuse en chef, et les vociférations éthylhallucinées du maître-es rockandfuck Lux Interior (à jamais regretté, sniff). Ma chérie me regarde un brin compatissante (elle aime beaucoup, elle aussi, sinon on serait tous les deux dans des univers parallèles et je ne la mentionnerait pas), mais l'amour est bizzarement mis en scène dans un album qui débute par ces mots : "Oh baby, I see you in my TV set / Yeah baby, I see you in my TV set / I cut your head off and put it in my TV set / I use your eyeballs for dials on my TV set / I watch TV / I watch TV / Since I put you in my TV set" Pourtant d'amour il est bien question ici. D'intégrité et de folie aussi. Trois concepts qui se marient bien je trouve. Ce "Songs The Lord Taught Us" sera le seul album auquel aura participé Bryan Gregory. On le retrouve ensuite sur certains titres d'une compilation que je trouve, sinon supérieure, au-moins égale à cet album : "Off the Bone" est sorti en 1983, avec une pochette 3D et des lunettes comme pour aller voir "The Creature of the Black Lagoon" ("Bad Music for Bad People", paru en 1982 était à peu près identique, avec en plus un TV Set, qu'on a déjà sur STLTU et Uranium Rock pas indispensable à mon sens, mais plein de titres en moins, et pas des moindres). Bref, pour ceux et celles qui ont aimé ce "Songs...", il est primordial, non, essentiel, voire vital, de se ruer sur Off the Bone, où on croise des stars comme Roy Orbison ou les Trashmen et des Ovnis comme les "Novas" ou le Très Grand Hasil Adkins. Bryan étant parti mourir sous un champignon mexicain, les trois Cramps ont piqué le Kid Congo aux Gun-Club (sous les yeux envapés mais pleins de bonheur de Jeffrey Lee Pierce) pour un "Psychedelic Jungle" et un "Smell of Female" parfaits. La suite s'avérera plus erratique je trouve. Mais je vous laisse juger. Stay Sick étant, à mon humble avis de connaisseur fanatique adorateur suprème acquis à la cause, leur dernier grand (mais vraiment vraiment grand album), avec une Poison Ivy au Top of the Rock. La suite est tritounette je trouve et je préfère ne pas en parler en l'absence de ma psychiatre... attendez, je vais la chercher dans mon Frigidaire! (Oh baby, I see you in my Frigidaire / Yeah baby, I see you in my Frigidaire / Behind the mayonnaise, way in the back / I'm gonna see you tonight for a midnight snack / But though it's cold / You won't get old / 'Cause you're well preserved in my Frigidaire... Yeah!).





PJ HARVEY
TO BRING YOU MY LOVE


Le 15 Juin 2019 par FRANçOIS


Sauf erreur, la production ici n'est pas d'Albini mais de Flood (Mark Ellis), John Parish et PJ elle-même. Albini a produit le précédent ("Rid of me"). Et effectivement, cela se ressent (non que ce soit mieux ou pire mais juste différent).
Cet album ne me semble pas si difficile d'accès que ça. Je lui préfère son "petit frère" et successeur "Dance hall at louse point" (non chroniqué sur le site pour l'instant), toujours avec Parish mais avec un côté moins "commercial".





DIRE STRAITS
ALCHEMY


Le 14 Juin 2019 par NONO


Est-ce moi, où est-ce que Terry Williams est honnêtement un des pires batteurs au monde ?
J'ai réécouté tout récemment l'album après une vingtaine d'années, et grand dieux, ce que j'ai déchanté ! Est-ce que c'est parceque je vieillis ? où que je n'avais pas d'oreille assez affutée étant ado ? J'ai l'impression, en clair, que Terry Williams gâche littéralement les trois-quarts des morceaux ici : jeu lourdingue et trop démonstratif, coups de cymbales à tout bout de champ, et même, cerise sur le gâteau : rythme décalé par rapport au reste, "pas dans les temps" du tout. Le comble !
J'ai l'impression que Williams est bon uniquement dans les rocks et les rock and rolls "carrés" (ce qu'on appelle du "pif-paf-pif-paf"), mais dès qu'il faut faire des effets de style, quelques démonstrations (breaks, etc.), il se banane complètement.
Pour moi, c'est une évidence-même quand je réécoute l'album (que j'encensais pourtant auparavant...)





KOHANN
DON


Le 14 Juin 2019 par MR TINKERTRAIN


Merci à Marco pour cette belle découverte car, à part 2 titres moyens, c'est vraiment un groupe original quand on aime l'electro et qu'on n'a rien découvert en Trip Hop depuis Mathusalem. Et pourtant je ne connais RIEN mais vraiment rien à cette belle langue bretonne! Je vais donc vite, très vite, me procurer leur précédente offrande, nom de Zeus!





Elton JOHN
ROCKETMAN (MUSIC FROM THE MOTION PICTURE)


Le 14 Juin 2019 par NONO

@Marco Stivell : Tout à fait ! C'est aussi cela qui fait la différence, par exemple, entre d'un côté les auditeurs aimant un artiste pour ce qu'il représente (son style, son apparence, son aspect célébrité et star), et d'un autre côté les auditeurs musiciens qui écoutent attentivement sa musique en tant qu'oeuvre d'art, se disant par exemple : "Ah, là pour l'album "2-low-4-0" on sent qu'Elton revient avec son groupe d'origine, le son est proche des 70's tout en étant modernisé par la nouvelle technologie 80's", etc.
Personnellement je fais partie de la seconde catégorie, et de plus, ironiquement, les méga-tubes d'Elton ne sont la plupart du temps clairement pas mes préférés ! (Je trouve par exemple Benny & The Jets, Crocodile Rock, The bitch is back ou Kiss the bride absolument affreux).
Voici, en vrac, parmi mes titres préférés (et pas forcément connus) du grand Reg Dwight :
Holiday Inn, Border song, It's me that you need, Tiny dancer, Curtains, Tower of Babel, Someone saved my life tonight, Crazy water, Tonight, Funeral for a friend/love lies bleeding, Elton's song, Chasing the crown, Too low for zero, Cold as christmas, Nikita, Shoot down the moon, Japanese hands, Stones thrown from hurting, Whispers, The north, ....





Phil COLLINS
OTHER SIDES


Le 14 Juin 2019 par RICHARD

@ Nono. Oui pour rebondir sur ton propos, je me souviens de différentes interviews de Thom Yorke de Radiohead ou Brian Molko de Placebo qui expliquaient qu'ils furent tellement traumatisés par le Phil Collins des années 80 que ce fut entre autres une des raisons qui fit qu'ils créèrent leur groupe.
Concernant cette galette, le côté purement mercantile semble évident. Il y a encore de la marge avec Mylène Farmer par exemple pour ce qui est de délester de quelques euros les fans, mais ce type de sortie peut avoir quand même un peu d’intérêt.
Je pense par exemple (pour ce que je "maîtrise" plus) aux rééditions des albums de The Cure ou Siouxsie and the Banshees où avec l'album original sont couplées les démos d'époque. C'est instructif (je concède que ceci s'adresse aux grands fans), car on est pleinement imprégné du processus créatif. Après, on peut être fans et reconnaître qu'artistiquement, ce type de disques n'est pas nécessairement primordial.





Phil COLLINS
OTHER SIDES


Le 13 Juin 2019 par NONO


Que des gens n'aient pas supporté la pop de Phil Collins dans les années 80 ça peut se comprendre, bien que moi j'aimais bien (y compris le Genesis version "80").
En revanche, du Phil Collins 30 ans plus tard, re-réchauffant la soupe déjà réchauffée pour remettre le couvert et "essayer" de se replonger dans la nostalgie.... faut pas charrier, et là franchement j'ai du mal.





Phil COLLINS
OTHER SIDES


Le 13 Juin 2019 par RICHARD

L’intérêt de ceci ?
Espérer que Patrick Bateman déclame de nouveau tout son amour pour Phil Collins.





Elton JOHN
ROCKETMAN (MUSIC FROM THE MOTION PICTURE)


Le 13 Juin 2019 par MARCO STIVELL

Nono, complètement d'accord avec toi !
Le problème est qu'il y a deux manières de revenir sur la carrière d'un artiste en audio-visuel : la rétrospective d'un côté, qui balaie l'ensemble de l'oeuvre, et de l'autre, le biopic façon Bohemian Rhapsody ou Rocketman, qui se concentre plus sur les aspects extra-musicaux de la vie/carrière de l'artiste. Et ce sont ces derniers qui plaisent au grand public.
La thématique de l'enfance, le rapport avec les parents, l'amitié, l'homosexualité, les dépendances et excès sont des thèmes "forts", "universels", et on accompagne le tout avec des chansons que tout le monde connaît (avec une ou deux raretés, histoire de). Le public de masse n'a pas besoin de plus.
En tant que fans, nous aimons les rétrospectives, mais du coup, le fait de vouloir entendre parler de chansons méconnues ou d'albums comme ceux que tu cites est sujet à frustration devant ce type d'oeuvre.

Celle-ci n'en est pas moins très bonne pour ce qu'elle est, à mon sens. Mais devant une durée limitée et face à une telle carrière, il a fallu faire des choix. "Song for Guy" par exemple, est totalement absent et cela m'a surpris. En revanche, on n'a ni "Candle in the Wind", ni de mention de Lady D !
À partir d'un certain moment, le matériau musical devient limité, la création musicale s'estompe. De mémoire, le "sol" de "Your Song" est le seul terme de composition employé pour tout le film.
Il serait intéressant d'avoir une vraie rétrospective, si possible commentée par Elton lui-même... Un jour peut-être ! Mais pas avec le même succès, très certainement.





Phil COLLINS
OTHER SIDES


Le 13 Juin 2019 par MARCO STIVELL

Le Merle Moqueur = Très heureux de voir que les personnes qui postent les avis les mieux écrits et les plus subtils savent également se contenter du strict minimum ! Pour moi qui en manque pas mal, de finesse, je n'en suis pas capable...
Et connaissant vos goûts, j'aurais été surpris si vous aviez dit apprécier !

Gurtu = Le même intérêt que tout album fait de raretés et chansons méconnues du grand public, surtout de la part d'un "grand"... :) Il est vrai que ceux qui collectionnaient les singles n'en ont pas forcément besoin (en théorie, car certains étaient enthousiastes à l'origine...).





Phil COLLINS
OTHER SIDES


Le 13 Juin 2019 par LE MERLE MOQUEUR


Variété... tout est dit...





CHIC
RISQUE


Le 12 Juin 2019 par LEO

Au fait, pour ce qui concerne les pochettes Risqué de CHIC et In Through The Out Door de Led Zep, leur seul point en commun serait pour moi leur tonalité sépia. Sinon, celle de CHIC est plus axée sur les années 30 et celle de Led Zep plus proche des années 40 à 50 dans le style des films noir de ces années là. Malgré son côté macabre (Bernard Edwards affalé contre un piano avec un poignard dans le dos), l'artwork de CHIC n'est pas dénué d'humour (on retrouve également deux autres clichés, l'un au dos de la couverture et l'autre sur ce qui servait de pochette de protection pour y glisser le 33t et sur laquelle figurait également les textes au verso).





CHIC
RISQUE


Le 12 Juin 2019 par LEO


L'album C'est Chic a bien installé CHIC dans le paysage musical de cette fin des années 70.
Fin '78, Bernard Edwards et Nile Rodgers ont produit le troisième album du quatuor Sister Sledge (paru en Janvier '79), qui a engendré quatre hits: “He's The Greatest Dancer”, le morceau-titre "We Are Family", "Lost In Music" et "Got To Love Somebody".
Pour leur propre compte ou par artistes/interprètes interposés, le son CHIC est à présent bien implanté et ce n'est qu'un début !
En plein coeur de l'été 1979 paraît Risqué, qui va définitivement consacrer le groupe comme une valeur sûre et inspirer une ribambelle de groupes d'horizons divers.
Le mega-hit "Good Times" ouvre les hosilités durant huit minutes (le single se verra réduit à trois minutes et des poussières). au même titre que "Le Freak", "Good Times" est devenu instantanément un 'classic' de la dance music, dont la ligne de basse sera samplée ou copiée à de multiples reprises. malgré l'excellence de la compo et à l'instar de "Le Freak", j'ai à présent un peu de mal à l'écouter tant elle a été diffusée et transformée à toutes les sauces (dont ce 'fameux' "Rapper's Delight" des Sugarmachinchose que je n'ai jamais pu encadrer). la version album d'une durée conséquente m'est d'autant plus dure à avaler.
La longueur et la structure linéaire des morceaux, c'est d'ailleurs ce qui ressort à l'écoute de cette première face (qui en 33t, comprenait les trois premiers titres).
En effet, "A Warm Summer Night" se traîne sur plus de six minutes, d'autant plus que sa construction est monolithique et invariable mais c'est sans doute aussi celà qui fait tout le charme et le magnétisme de cette sublime ballade langoureuse et hypnotique.
"My Feet Keep Dancing" (troisième morceau de Risqué à paraître en single et chanté en duo par Bernard Edwards et Luci Martin) a la particularité d'avoir une partie de basse véloce et bien soutenue tout du long alors qu'en son refrain on y entend des accords de piano électrique au son cristallin ainsi que des violons tout en staccato qui créent une sorte de tension, puis en milieu de morceau des danseurs font des claquettes. là aussi, sa durée de six minutes et demie (raccourcie à quatre en 45t) peut sembler quelque peu superflue, toutefois comme dans nombre de moments fleuves chez CHIC, cette répétition ne dessert aucunement la compo mais lui donne au contraire tout son sel !
Par contraste, la seconde partie de l'album (soit la seconde face du vinyl) contient des morceaux d'une durée bien plus courte.
La section de cordes sur le refrain de "My Forbidden Lover" (deuxième single extrait de l'album) donne presque quelque chose de tragique au morceau alors que les couplets semblent plus détendus par comparaison. en ce sens, je suis d'accord avec DERWIJES sur le fait que la musique et les textes de CHIC sont souvent faussement perçu comme joyeux et insouciants alors qu'ils sont souvent empli de désillusion concernant les relations hommes/femmes. celà dit, contrairement au chroniqueur je n'y trouve aucun point commun avec les Talking Heads et Public Image LTD. !!!
"Can't Stand To Love You" est un peu plus relâché avec son ambiance rythm'n blues décontractée.
La ballade douce-amère "Will You Cry (When You Hear This Song)" est par contre plus mélancolique.
"What About Me?" aurait presque pu figurer sur l'un des deux albums de Sister Sledge produit par Rodgers et Edwards tant il s'en approche dans ses arrangements et sa mélodie vocale. quand au texte plein de rancœur, c'est du CHIC tout crâché ! "When we first met, I thought we were gonna be the greatest love of all time, Oh what a fantasy ! I put faith in you and you shattered my dreams completely, Used me, abused me, Knocked down and walked all over me". c'est sur ce triste constat (mais admirablement troussé musicalement) que ce referme ce troisième 33t de CHIC.
Evidemment, après avoir marqué les esprits avec les trois premiers albums du groupe, la suite ne pouvait que passer inaperçue auprès du grand public (et de la presse musicale) même si les futurs productions annexes de la CHIC Organization (pour Diana Ross, Sister Sledge, Sheila.....) seront couronnées de succès.
Bien dommage car les deux 33t de CHIC qui suivront en 80 et 81 seront tout aussi intéressants à plus d'un titre !





Phil COLLINS
OTHER SIDES


Le 12 Juin 2019 par GURTU


J'aime bien Phil.

Mais quel intérêt cet album?

Allez 2 parce que c'est lui !





FLEETWOOD MAC
TANGO IN THE NIGHT


Le 11 Juin 2019 par METALPROG84


Malgré toutes les bonnes critiques, "Tango in the night" reste assez loin de "Rumours" ou "Tusk" (je lui préfère même "Behind the mask"). Le son est vraiment trop typé années 80 et quelques titres sont très moyens dans la 2ème partie de l'album ("Welcome to the room...Sara" ou "You and I, part II" par exemple). Un album sympa à écouter quand même dans l'ensemble.





Mike OLDFIELD
TUBULAR BELLS


Le 10 Juin 2019 par KAELKA


Un petit correctif à la phrase "repéré par Richard Branson" : Simon Draper, cousin et associé de Branson depuis ses débuts, a raconté que c'était lui qui avait reçu et écouté la maquette d'Oldfield et avait ensuite décidé de le faire venir au Manor. De l'aveu de Draper, Branson était un amateur de chansons de variétés et ne connaissait pas grand-chose à la musique d'avant-garde (ou "progressive") comme celle de Gong par exemple, dont le "Flying Teapot" sortira le même jour que "Tubular Bells".
Par ailleurs, pour comprendre cette oeuvre passablement déjantée et mégalomane (que j'aime à qualifier de "séance d'intense onanisme musical"), il convient de rappeler que Oldfield était presque en permanence sous l'influence de substances illicites (en particulier le LSD) à cette période, ce qui venait s'ajouter à l'état maniaco-dépressif qui était le sien (et dont il parut réussir à se sortir au début des années 80, au prix, diront certains, de sa créativité musicale).
"Tubular Bells", quels qu'en soit les défauts, reste un monument : comme "La Joconde" ou "Le Penseur", il est vain de vouloir en faire une critique objective. un monument, ça se visite, c'est tout.





Frank ZAPPA
THE GRAND WAZOO


Le 10 Juin 2019 par LE MERLE MOQUEUR


Comme je le disais un disque culte... mais le free jazz... écoutez du Cecil Taylor ou des "germains" comme Peter Brötzmann ou Alexander von Schlippenbach... c'est vraiment autre chose.
Un label qui vaut le détour Free Music Production... les amoureux du Free européen se lèchent déjà les babines.
PS : J'oubliais pour ce "Grand Wazoo" soyons au Zénith.





Frank ZAPPA
THE GRAND WAZOO


Le 10 Juin 2019 par LE MERLE MOQUEUR

Un des meilleurs de la planète Zappaéenne avec quelques autres bien sûr...
C'est avec cet album que j'ai découvert que Zappa était aussi un musicien savant... n'est déplaise à certains.





Bruce SPRINGSTEEN
TUNNEL OF LOVE


Le 10 Juin 2019 par CARLO


Bruce est d'humeur romantique. Ca donne quelques réussites mais aussi quelques mièvreries. "Ain't Got You" est une introduction absolument imparable. "Tougher Than the Rest", "Spare Parts" et "Brillant Disguise" me plaisent aussi. Mais à côté de ça, on a souvent l'impression d'être dans une comédie romantique des années 80. Sauf que sans images, ça tombe à plat et ça semble long. On a même droit à la scène de mariage sous l’œil ému du papa. Ceci étant, il faut lui reconnaître le talent pour écrire des histoires et pour parler des sentiments. Par contre, je ne me ferai jamais à la voix plaintive qu'il peut parfois prendre comme sur "Cautious Man".







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