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CAMEL
A NOD AND A WINK


Le 24 Avril 2016 par CLANSMAN57


Dernier chapitre du groupe, c'est une parfaite bande son pour les souvenirs de l'enfance.
C'est moins sombre que sur "Rajaz", plus coloré même et punaise que c'est beau... encore une fois!
C'est super de pouvoir se mettre dans la peau de ce gamin qui course un renard à travers les collines, à dos de son cheval ("Fox Hill").

Les durée des morceaux est plus ou moins héritée du précédent.
"Squigely Fair" laisse la flûte s'exprimer principalement, pour mon plus grand bonheur.

"For Today", plus sombre, tranche avec cette ambiance infantile, c'est un hommage aux attentats du 11 septembre, mais pas d'opportunisme là-dessous.
Je veux dire, Latimer ne s'est pas dit "tiens, on va faire une chanson à ce sujet pour que les gens s'intéressent à nous", non.
Les paroles nous rappellent simplement la chance qu'on a, nous les vivants, de pouvoir fouler chaque jour cette Terre.
Chaque jour est précieux et ne reviendra pas.
Un beau rappel d'une valeur de la vie.
Elle est superbe, Andrew balance ses soli Bluesy gilmouriens... inutile de dire que c'est foutrement prenant.

C'est carrément impossible pour moi de mettre moins de 5 étoiles, la musique de CAMEL est comme la vie: précieuse.










RENAUD
RENAUD


Le 24 Avril 2016 par BAYOU


Pour ne pas mourir idiot et avoir un avis en société j'ai écouté le nouveau RENAUD.
Bon je savais que c'était une erreur.
Les textes sont d'une pauvreté incroyable, les thèmes sont rebattus (merde Renaud embrasse un CRS, et la chanson sur Dylan frise la variété et les rimes Panzani).
Je comprends mieux qu'il chantait du Delpech Place de la République.
Le pire est le slam volontairement et inutilement grossier qui sodomise les coléoptères (ou encule les mouches pour rester dans le langage de la chanson).
Enfin on est content de savoir qu'il en est au "Xème jour sans picoler", encore que peut-être, il ferait mieux de s'y remettre pour oublier cette bouse qui bien sur caracole en tête des ventes !
Affligeant.





CAMEL
RAJAZ


Le 24 Avril 2016 par CLANSMAN57


Clairement le chapitre de CAMEL que j'ai eu le plus de mal à apprivoiser.
Car oui, il est plus mélancolique, les compositions sont souvent plus longues qu'à l'accoutumée et cette tristesse ne se laisse pas attraper aussi facilement.
A titre d'exemple, "Lawrence" paraît soporifique au départ pour ensuite finir par se révéler.
C'est un peu comme une jeune femme qu'on désire ardemment, mais qui n'a de cesse de nous fuir...
Et un beau jour, sans rien attendre, à force de persévérance, elle nous laisse entrer en elle (je parle de la chanson hein).

On retrouve les couleurs orientales désertées depuis longtemps par le groupe, celles que l'on retrouvait sur la première période du groupe. Cependant, elle est accentuée, un lien unit certains titres, on a l'impression de faire une promenade rêveuse dans un désert.
Je n'y décèle pas vraiment de concept, d'ailleurs les paroles sont un peu moins directes que d'habitude, leur sens étant plus flou.

"Shout" et "Straight To My Heart" viennent briser l'ambiance désertique.
La seconde est une très belle ôde à la Musique, Andrew nous conte son engouement pour cet Art qui l'a séduit très tôt apparemment.

Sinon, on a droit à des soli Bluesy splendides, il ne fait aucun doute que "Rajaz" est leur disque le plus "Buesy" (notez les guillemets).
D'autres sont d'un lyrisme gilmourien que beaucoup rêveraient de tisser...
Le coeur en est tiraillé!

On peut également noter qu'il n'y a que deux instrumentales, le reste est constitué de véritables chansons avec couplets et refrains, pour la plupart marquants, Andrew étant en progrès constant à chaque nouvelle livraison.
Néanmoins, les longues parties instrumentales ne sont pas omises, bien au contraire.

Bref, un opus magnifique, comme d'habitude, qui demande un peu plus de temps.

5/5, what else?








CAMEL
HARBOUR OF TEARS


Le 24 Avril 2016 par CLANSMAN57


Un très bel album, encore un, de la part de Mister Latimer.
Le concept, (ouais encore un), est effectivement assez proche de celui de "Dust And Dreams", mais c'est moins sombre, le futur incertain laisse place à la nostalgie, au souvenir, celui de son pays lorsqu'on se retrouve sur une autre contrée à trimer pour envoyer une bonne partie de son salaire à sa pauvre famille restée sur la terre natale.

Le disque est parsemé de mélodies typiquement irlandaises du plus bel effet, dès l'introduction qui reprend un air traditionnel de ce pays, chanté par une douce voix féminine.
CAMEL déroule sa recette avec maestria, l'émotion est toujours au rendez-vous, Andrew joue de mieux en mieux je trouve...

Une très belle promenade à nouveau remplie d'humanité, une nouvelle fois embellie par les mots de Susan.

L'intrus, 'The Hour Candle" est fantastique... elle donne dans le Blues instrumental et planant, un pur régal en hommage au père d'Andrew.
Le pire c'est que le défunt ne peut même pas entendre cette merveille...

Je ne sais plus quoi écrire, je m'en vais donc en allumant les 5 bougies que cette oeuvre mérite amplement.
C'est le moins que je puisse faire.











GENTLE GIANT
INTERVIEW


Le 24 Avril 2016 par THIERRY


Encore écouté aujourd'hui, j'ai plus de difficulté à l'apprécier dans sa globalité celui-là, moins inspiré, moins accrocheur, moins attachant aussi...les recettes habituelles du groupe ont du mal à prendre cette fois-ci. Le morceau alambiqué "interview" ne m'a pas tellement emballé malgré le savoir-faire. Dans le genre morceau barré aux voix multiples que le groupe a inventé, "Design" ne m'a pas vraiment convaincu non plus, c'est moins réussi que "knots","so sincere" ou "on reflection". "Timing" est un morceau qu'il vaut mieux oublié aussi. On a de bons morceaux qui relève le niveau comme le morceau à la rythmique reggae "give it back", c'est sympa mais trop classique pour du Gentle Giant. Même chose pour "another show" et "empty city" bons morceaux mais il manque quelque chose, c'est presque trop sage.
Je retrouve mon Gentle Giant, le vrai sur "I lost my head" dernier baroud d'honneur, excellent morceau avec différentes parties bien construites et prenantes.
Un album bien inférieur aux sept premiers, moyen en vérité alternant passages assez fades avec des passages séduisants, "interview" ne peut cacher le déclin artistique du groupe mais je le recommande surtout pour "I lost my head" et même "give it back".
Il parait que la suite sera indigne du gentil géant. Je préfère ne pas découvrir ces albums alors.





CAMEL
DUST AND DREAMS


Le 24 Avril 2016 par CLANSMAN57


C'est un peu triste de voir que la chronique de ce disque ne comporte aucun commentaire et si peu de vues...
D'autant plus triste lorsqu'il s'agit d'un chef d'oeuvre comme celui-ci... mais passons...

CAMEL ajoute un nouveau joyau à sa discographie, déjà bien fournie en la matière jusqu'à présent.
On devrait remettre un prix à Andrew Latimer pour son oeuvre, il fait office de bienfaiteur et le monsieur (ainsi que sa femme qui pose les mots sur sa musique) est profondément humain.
Comment en douter une fois qu'on a goûté à ce "Dust And Dreams", une nouvelle fois un concept qui ne peut que toucher, à moins d'être un gros con insensible... et il y en a certainement.

"Les raisins de la colère" sont mis en musique de manière divine, on ressent cette mélancolie que ces pauvres gens devaient endurer à cette période de dépression... les Européens de l'Est devaient tout abandonner pour aller en Amérique afin d'y trouver une vie meilleure... ou plutôt espérer trouver une vie meilleure.
Car cet album traduit bien l'incertitude du futur que personne ne peut dessiner comme il le souhaiterait, malgré certains évènements, comme par exemple la naissance prochaine d'un enfant( "Rose Of Sharon", chantée en duo avec une belle voix féminine).

De belles plages atmosphériques sont de la partie, on voyage une nouvelle fois pour une nouvelle histoire.
Le pendant symphonique, qui peut rappeler de loin celui de "Snow Goose", donne une sacrée puissance à l'ensemble, mais jamais sans en faire de trop et simplement lorsqu'il le faut.

Andrew chante bien, sans se prendre pour un ténor et son feeling à la guitare reste intact... ses notes sont magiques.

On peut noter que les 8 premières chansons forment une partie avec des titres chantés( ou non), une nouvelle fois mis en mots de manière touchante par la femme d'Andrew, et les 8 morceaux suivants donnent dans l'instrumental, entre petites plages atmos et compositions plus Progressives, les ambiances prennent différentes colorations selon le récit.

Il est toujours bon de préciser que ce type d'album s'écoute avec les paroles sous les yeux afin que l'expérience soit totale.
Immersif, cet opus le deviendra.

CAMEL fait sans doute partie des belles choses de la vie, en tout cas, en ce qui me concerne, ça ne fait aucun doute.
Et il y en a encore des bons disques de leur part!










CAMEL
NUDE


Le 24 Avril 2016 par CLANSMAN57


Qu'est ce qu'il est beau ce "Nude"... Une véritable splendeur!

CAMEL se replonge dans le concept-album et punaise que c'est réussi, merci à Susan Hoover qui s'est occupée des textes.
Contrairement à "Snow Goose", où l'album était principalement instrumental, les textes ont une importance capitale ici.

On peut diviser l'album en trois grandes parties si l'on veut.
La première serait la plus Pop/Prog, elle nous présente Nude, le personnage principal de l'histoire.
Il est chez lui tranquillement jusqu'à ce qu'il reçoive une lettre de l'armée, lui ordonnant de partir guerroyer...

La seconde partie serait la plus expérimentale/instrumentale sur laquelle la flûte s'en donne à coeur joie, ainsi que les claviers qui tissent une atmosphère planante, onirique et tropicale.
Tropicale, oui, car c'est la partie où notre héros se retrouve seul sur une île déserte, oublié par ses camarades d'armes.
C'est contemplatif, on accompagne Nude à travers cette jungle luxuriante, au final bien plus accueillante qu'on aurait pu le penser au départ.
Une renaissance de l'Homme en fin de compte.

La dernière et troisième partie, c'est le retour aux chansons Progressives avec cette sensibilité toute Camel-ienne, la mélancolie prend le dessus.
Nude est ramené à la vie urbaine, arraché à son île et il comprend que la guerre est finie depuis longtemps.
Il a passé 29 années seul sur son île...
Personnellement, j'ai les larmes aux yeux lorsque arrive "Lies" et ses soli déchirants, mais c'est surtout à cause de ses textes que l'émotion m'envahit...
Le mec est complètement perdu, il n'arrive plus à s'intégrer à cette société qui lui semble bien plus sauvage que tout ce qu'il a pu voir sur son île...
C'est d'une profondeur...

Bref, CAMEL est une véritable machine à faire voyager dans un océan d'émotions, les textes sont donc primordiaux pour le coup, même les parties instrumentales sont décrites en mots dans le livret, leur interprétation musicale n'en devient que plus claire ensuite...
On se rend compte de la faculté qu'à ce groupe de raconter une histoire avec ses instruments.

C'est totalement impossible que je puisse me passer de ce groupe un jour.
Et j'ai du mal à comprendre qu'il soit si occulté...

Un chef d'oeuvre de plus, bien évidemment.
Et il y en a encore qui suivent!!!





CAMEL
MOONMADNESS


Le 24 Avril 2016 par CLANSMAN57


CAMEL revient pour un autre chef d'oeuvre, je le préfère encore au précédent, déjà énorme.

C'est le retour aux chansons, fini les mini tableaux.
Et fichtre, le moins que l'on puisse dire, c'est que les défauts de cohérence entre les différentes parties, que l'on pouvait retrouver sur les 2 premiers, sont totalement gommés!

C'est également le retour du chant, peut-être même que c'est l'album le plus chanté de CAMEL, même si l'instrumental reste dominant.
Pas de panique, il y a du mieux aussi à ce niveau, les trois chantent beaucoup mieux, parfois avec un effet sur la voix, comme Peter Bardens sur "Spirit Of The Water" pour un rendu lunaire.
On est bercé par une lune poétique tout le long du disque, la nuit romantique, l'air et l'eau en sont le décor.

On peut considérer ce disque comme la suite directe de "Mirage", pour le côté chanson qui est retrouvé, mais ça ne serait pas complètement juste, car "Moonmadness" a hérité de la sensibilité de "Snow Goose", en témoigne "Chord Change" et sa partie centrale, mélancolique avec sa guitare bourrée de feeling... Un des plus beaux solos que j'ai pu entendre, rien que ça.
Sans doute un de mes morceaux préférés, toutes catégories confondues.

Et puis l'instrumentale "Lunar Sea", c'est quand même quelque chose...
On aura pas souvent l'occasion de se promener sur la lune afin de contempler une mer incrustée d'étoiles...

Magie musicale.







CAMEL
MUSIC INSPIRED BY THE SNOW GOOSE


Le 24 Avril 2016 par CLANSMAN57


Et voilà, on y est, CAMEL sort son premier chef d'oeuvre!
La production est nettement meilleure que précédemment, le chant approximatif n'est plus, car ce nouvel opus est essentiellement instrumental, quelques rares vocalises sans paroles seront des exceptions.

Et c'est là que réside la force et le génie de "Snow Goose": réussir à faire évader l'esprit de l'auditeur à l'aide d'une musique principalement basée sur les instruments qui racontent cette histoire de cette "Oie des Neiges".

Je pense qu'il est préférable de considérer ces morceaux comme les mouvements d'une seule composition, afin que le trip soit complet.

Des minis tableaux, ou encore des mini rêves qui créent des images dans la tête de l'intéressé.
Il ne faut pas y voir une longue composition sans interruption.
Et ça se tient!

Sans doute leur opus le plus expérimental, partagé entre cette sensibilité toute Camel-ienne, davantage développée ici, et un certain mysticisme emprunté à la rêverie.

Du grand Art... et ça ne fait que commencer, la machine est lancée!













Joseph HAYDN
SYMPHONIE N°92 OXFORD (SZELL)


Le 23 Avril 2016 par CHIPSTOUILLE

Je découvre à l'instant une superbe interprétation de cette Symphonie Oxford par René Jacobs, actuellement rééditée dans la collection Musique d'abord chez Harmonia Mundi à petit prix. Elle surclasse assurément celles de Szell ou Harnoncourt.
Très colorée, printanière dans son menuet, presque beethovenienne dans son approche des passages martiaux de l'adagio, elle me fait quelque peu revoir mon jugement. En tous cas, elle donne un éclairage nouveau sur l'oeuvre et me fait mieux comprendre pourquoi elle a eu autant de succès.





CAMEL
MIRAGE


Le 22 Avril 2016 par CLANSMAN57


Encore meilleur que le premier, la flûte fait son apparition!
J'adore cet instrument... "Supertwister" est pour moi une invitation au voyage, c'est beau, c'est sensible.. miam!
On en retrouve un peu sur "Nimrodel" aussi.

CAMEL traîne un petit défaut depuis le début, à savoir des parties qui passent un peu trop brutalement à une autre, sans réel lien.
Un défaut qu'on retrouvera plus tard sur les premiers albums d'OPETH, à croire que le leader (oui j'écris pas son nom, j'ai toujours peur de me tromper) de ce groupe a tellement écouté CAMEL qu'il a même hérité de ses points faibles.
M'enfin c'est si peu... On retrouve toujours encore le chant approximatif, mais qui touche quand même, ainsi que les claviers fous de Bardens qui ne plairont pas à tous.

"Lady Fantasy" est une très belle pièce progressive, le passage mélancolique dégage un tel feeling que j'en ai les larmes aux yeux à chaque écoute, ça ne loupe pas.

Un très bon skeud de Prog!






CAMEL
CAMEL


Le 22 Avril 2016 par CLANSMAN57


Un très bon début, certes pas aussi abouti que la suite, mais ils sont déjà en forme ces mecs.
Sur les trois chanteurs, Bardens est peut-être celui qui assure le mieux, cependant lorsque la musique est aussi bonne et qu'elle fait voyager, ça devient secondaire.
Bardens est effectivement un dingue, il utilise pas mal de claviers différents, les allergiques aux sons datés en seront pour leur frais... et passeront à côté d'un groupe superbe, tant pis pour eux.

Le leader d'OPETH est fan de ce groupe et ça s'entend clairement sur certaines parties de guitare.
J'y décèle même une cavalcade Maidenienne sur la fin de "Separation".
Ouh la belle influence Caravan-ienne sur "Curiosity", lors des passages aux claviers, qui empiète sur un solo Opeth-ien avant l'heure.

"Never Let Go" est un tube en puissance... avec une intro Opeth-ienne encore une fois...

Venons-en au morceau fleuve, "Homage To The God Of Light", enregistré Live et long de 19 minutes, seulement disponible sur la réédition.
Si on aime l'improvisation, ça fera notre bonheur... moi j'aime modérément, cette basse cyclique (Doug Ferguson est un merveilleux bassiste en passant) et ce thème récurrent à la guitare ont clairement été composés pour tricoter autour en concert.
J'avoue ne pas toujours l'écouter, ce genre d'exercice me perd à un moment donné, même si c'est un beau cadeau de leur part.

3,5/5





Michael JACKSON
THRILLER


Le 22 Avril 2016 par MISTER HARICOT


Pour ma part, et malgré les "tubes" je trouve que "Thriller" est le plus mauvais album de MJ.

Sans cracher dans la soupe du couple "Thriller-BAD" je trouve que musicalement Michael Jackson à été bien meilleurs au fur et à mesure que son succès s'amenuisait.

-Dangerous: Une tuerie dans l'ère du temps. Un renouvellement et une modernité quasi inattendu. Sans aucun doute l'album le plus riche, travaillé et coloré de MJ.

-HIStory: la petite défaite de la popstar MJ avec un album peu percutant. Mais pourtant le talent est là. Une sobriété incomprise mais pourtant musicalement digne d'un album des Beatles...

-INVINCIBLE: mon album préféré de MJ. Une tuerie sans nom que peu de monde, même chez les fans (normal) n'ont pas compris. Un album trop moderne et bizarre pour son temps. Je n'ai aucun doute sur le fait que d'ici 100 ans il sera considéré sur terre comme le meilleur album de MJ. Vous ne le savez pas encore, mais il est impossible de faire mieux et cet album sera et est déjà considéré comme un classique dans tout les univers et leurs dimensions. Même le dieu de tout monde n'arrive pas à trancher si il est bon ou mauvais, c'est dire...






PRINCE
1999


Le 21 Avril 2016 par GURTU


Sale temps pour les vrais musicos cette année...





The LAST INTERNATIONALE
WE WILL REIGN


Le 20 Avril 2016 par LONG JOHN SILVER

"Life, Liberty… " et "Wanted Man", ça envoie du bois, le groove apporté par Wilk propulse toussa au poil. Des gauchos révolutionnaires ? C'est risqué mais ça laisse de sacrées empreintes une fois que c'est passé. Y'a qu'à lire les noms qui sont cités en référence dans la chronique, et quelque part c'est tout le mal qu'on leur souhaite. Hasta siempre !





AC/DC
BLOW UP YOUR VIDEO


Le 20 Avril 2016 par FRED


Un album pourtant présenté à l'époque comme la renaissance du groupe, en particulier par une partie de la presse, après le prétendu creux de la vague à partir de "For those".
Certes, c'est meilleur que "Fly", mais nettement moins que "Flick".
Hélas, le temps est cruel, qui nous fait juger l'album à sa juste valeur.





The CURE
KISS ME, KISS ME, KISS ME


Le 19 Avril 2016 par LEO


Kiss Me, Kiss Me, Kiss Me m'a toujours fait penser à un The Top multiplié par 2.
Ces deux albums ont en commun la particularité d'être sacrément éparpillés et de passer du coq à l'âne en permanence, pour un résultat par franchement convaincant à l'arrivée.
De plus, l'excercice du double album ne réussit pas particulièrement au groupe qui peine à garder l'inspiration tout au long de ces 18 titres (j'y inclus "Hey You!" qui a réintégré sa place sur la réédition CD en 2006).
J'apprécie principalement la longue litanie "The Kiss", l'angoissé et entraînant "Torture", l'énergique mais émouvant "How Beautiful You Are", l'incisif "All I Want" et l'excellent "Fight" puis je sauve à la rigueur les plus étranges et atypiques "Like Cockatoos" et "Icing Sugar".
Je trouve tous les autres morceaux quelconques. soit trop légers et insignifiants, soit pas assez élaborés ou bien traînant trop en longueur.
Au final, je ne suis pas friand de ce double album qui a vite tendance à m'ennuyer donc je mettrai un 2,5 arrondi à 3.





AC/DC
BLOW UP YOUR VIDEO


Le 19 Avril 2016 par CéDRIC


certainement pas le meilleur du groupe à part heatseeker et that`s the way i wanna rock n roll le reste est à éviter heureusement que le groupe va se rattraper deux ans plus tard avec the razors edge





LOUISE ATTAQUE
ANOMALIE


Le 19 Avril 2016 par VIV


La première écoute de cette anomalie m'a déçue. A vrai dire je suis grand fan du premier album, moins du reste, en encore moins des albums solo de Gaëtan. Et pourtant au fil des écoutes j'ai appris a apprécier cette anomalie.
Les paroles semblant faciles d'accès sont intrigantes et amènent à la réflexion.
On pourrait regretter le "manque" de paroles, et l'abus de répétitions, mais cela fait partie de leur marque de fabrique depuis le début.

Déçu dans un premier temps par la face A, semblant sonner trop dans la facilité et calibrée pour les radios ; j'ai largement préféré la face B avec cette pépite : "l'insouciance".
Je trouve "les pétales" plutôt intéressant avec son cote dark marqué par la voix rocailleuse presque dissonante de Gaëtan en début de couplet, mais qui s'arrange par la suite (et me fait terriblement penser à Jean-Louis Aubert à chaque fois) Le refrain typé années 80 dans le son, ca se discute... Mais cette faute volontaire de grammaire les signals (les signaux) pour assurer la rime est tout bonnement excellente !
Aaavec le temmmmps... après quelques jours d'écoutes attentives j'ai complètement adhéré à l'ensemble de l'album, qui dégage vraiment une bonne énergie, bien taillé pour la scène.

Vu en live au printemps de Bourges, c'était fabuleux. Parfaite setlist bien partagée entre anomalie et les classiques des précédents albums, et surtout de très bonnes interprétations. C'est pas du copier-coller des albums studio et ca fait bien plaisir.
Anomalie prend une autre dimension en concert. Exit la production sonnant dans l'ère du temps et trop calibrée "radio", place au véritable son des instruments électriques et acoustiques. Le violon est toujours là et la rickenbacker sonne d'enfer !





DEPECHE MODE
VIOLATOR


Le 19 Avril 2016 par NONO


D'accord avec toi, "MR TINKERTRAIN" : Sweetest Perfection n'est vraiment pas génial, c'est même probablement le moins bon titre de l'album. Et c'est encore plus absurde que ce titre soit le 2ème de l'album, on l'aurait préféré à la fin du skeud ...?
Mais sinon l'album est globalement excellent, encore meilleur que "Music for the masses" quoi qu'on en dise.
Note réelle : 4,5/5







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