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DIRE STRAITS
BROTHERS IN ARMS


Le 02 Juin 2018 par VIV


Entièrement d'accord avec Nono. Your latest trick me gonfle à souhait, enfin, cette version studio de l'album. Je trouve la version live (on the night) qui passait à la radio en '93 bien plus intéressante et remplie de feeling. J'aime beaucoup également le final instrumental planant de "why worry" tout en longueur, bien que la chanson ne soit pas extraordinaire à mon gout. Ce final sauve le morceau et clôt la face du vinyle tout en beauté. Pour le reste de l'album, c'est pas mauvais mais bien trop fade et trop lisse avec le recul, ca manque de gras et de chaleur.





UNDERWORLD
DUBNOBASSWITHMYHEADMAN


Le 02 Juin 2018 par VIV


Comment ai-je pu passer à côté de ce chef d'oeuvre qui a près de 25 balais ?
Très plaisant à découvrir en 2018.
J'aime beaucoup "beaucoup fish", mais là ça ne joue pas dans la même cour...
Envoûtant à souhait et énergique. Impossible de ne pas penser aux Chemical Brothers sur certains titres.





NOIR DéSIR
VEUILLEZ RENDRE L'AME A QUI ELLE APPARTIENT


Le 02 Juin 2018 par ARTHOFZAFT


Je ne savais rien d'eux la première fois que je les ai vus en concert. C'était au tout début de l'année 89 à Nancy, dans une toute petite salle "Le caveau des Dominicains", sorte de cave tunneloïde basse de plafond. Et ce que j'ai vu ce soir là a été à la fois sauvage et carré, maîtrisé et plein d'une envie communicative de faire trembler les murs. Il y avait ce violon électrique qui s'envolait, ce chanteur habité, qui sautait et frappait le plafond, cette batterie qui donnait aux corps des spectateurs des envies de bouger complètement incontrolables. Le calme et la démence alternaient et c'était comme une exstase permanente de surprises. J'étais sorti de là certain d'avoir vécu une expérience unique. Cantat chantait le plus souvent en français, mais pas comme les autres. Il avait un phrasé, un regard qui portait ses mots, une théâtralité innée. J'ai vu une bête de scène. Un leader, comme le rock ici n'en avait jamais connu. J'ai entendu du rock en français, et à aucun moment je n'ai vu des singes savants qui régurgitent leurs influences. Logiquement, cet album, qui date de cette époque, contient un peu de tout ce que j'ai vécu ce soir là, en édulcoré. Mais l'essence est bien présente. Si la folie n'atteint jamais celle de la prestation en live dans une petite salle, le son impeccable en studio ne trahit pas l'esprit de Noir Désir. L'écouter assis dans un fauteuil relève toujours de l'épreuve, tant l'envie se fait grande, 10 fois, 20 fois, 50 fois, de se lever, d'aller prendre une autre bière au frigo, et de sauter en montant le son de plus en plus jusqu'à ce que la ville, les voisins, l'espace et pour finir le temps disparaissent dans une spirale de bien-être qui broie le présent jusqu'à me ramener au Caveau des Doms, en 89, avec tous mes frères et l'énergie de mes vingt ans.
Je les ai revus, plus tard, dans une salle cent fois trop grande, avec des lumières bleues qui masquaient la fatigue d'un groupe qui n'avait plus la même envie, forcément. Le violon avait disparu, Bertrand était devenu Cantat, et même si je n'ai jamais douté de sa sincérité, je dois bien avouer que la spontaneité s'était émoussée. J'ai lu ici les commentaires qui regrettent l'engagement du groupe, et franchement ça me fout le cafard ce tic récurrent qui consiste à écrire "bobo" à tort et à travers, comme si ce mot avait un sens alors qu'il ne fait que caractériser l'étroitesse d'esprit et l'intolérance de ceux qui en usent et en abusent comme s'ils s'administraient des doses de plus en plus fortes de conservatisme par crainte de perdre le trop peu qu'ils ont et qui leur suffit. L'épouvantail bobo qu'on plante dans les champs incultes a pour seule ambition d'empêcher de voir germer les idées dont la floraison pourrait bousculer l'ordre des puissants. Pas très rock'n roll ce mot. Alors ça serait pas mal si les bobophobes compulsifs pouvaient argumenter plutôt que se réfugier derrière un vide sémantique. Il n'y a pas de honte à être conservateur, l'égoïsme est humain, je l'admets volontiers... Mais de vous à moi, ne seriez-vous pas davantage en accord avec vos préceptes en commentant les articles du Figaro plutôt que des chroniques d'albums de rock?





Kim WILDE
HERE COME THE ALIENS


Le 01 Juin 2018 par BAKER

J'en aurais sincèrement les larmes aux yeux.... s'il y a bien une raison pour laquelle écrire dans un tel site est et restera à tout jamais important et nécessaire...

Merci messieurs, et pourtant, j'ai donné un brave et total 5/5 en me disant que j'avais mauvais goût, que je l'assumais et que de toutes façons vous aviez tous l'habitude !!! :D :D :D

Il y en a qui sont bouddhistes, désormais (mais c'était déjà latent depuis Cambodia), je suis RickiWildiste :D





A PERFECT CIRCLE
EAT THE ELEPHANT


Le 01 Juin 2018 par AZER


Penchant un peu plus vers Emotive et ses vélléités atmosphériques que des deux premiers albums du combo, Eat The Elephant emprunte également à son grand frère direct sa malheureuse hétérogénéité quant à la qualité intrinsèque de ses morceaux. Si "Dillusioned" et "The Doomed" sont des singles honnêtes et sans surprises, ni déceptions, il est difficile d'en dire autant du titre éponyme et de "Contrarian", qui pêchent par un cruel manque d'inventivité et trainent en longueur sans se renouveller. "So Long, And Thanks..." ainsi que "TalkTalk" font assurément partie des bonnes surprises, le premier empreintant le son de ses guitares à U2, le second se parant d'un refrain assez élégant, assez typique de ce que le groupe proposait sur "Mer de Noms".

Si l'album cultive tout au long de ses pistes une ambiance plutôt vaporeuse, portée par la voix de Maynard (qui signe, comme à son habitude, une excellente performance malgré l'âge commençant à pointer le bout de ses narines), j'ai beaucoup de mal à le considérer comme autre chose qu'un regroupement de morceaux sans agencement particulier tant la qualité des morceaux est fluctuante. La consitance n'a certes jamais été la marque de fabrique du groupe (Mers de Noms et Thirteen Step, bien qu'excellents, possédaient chacun leur lot de déchets) mais elle bât ici sont plein, sans compter un agencement des morceaux des plus particuliers (je me demance toujours quel est l'intérêt de DLB à cet endroit dans la tracklist). Si "Feathers" et "Delicious" sont de bons morceaux, ils se perdent au milieu d'un flot de tentatives assez dispensables de recoller à l'ambiance du titre éponyme (qui n'a de sucroit rien d'extraordinaire).

Autant dire que l'on s'ennuie un peu. Un peu dans la lignée de Puscifer quelque part, une poignée de morceaux sympathiques côtoyant des expérimentations pas toujours nettes et pas franchement ragoutantes. Un album moyen.





DIRE STRAITS
BROTHERS IN ARMS


Le 01 Juin 2018 par NONO

Je dois être bizarre car je suis un des rares à beaucoup aimer "Why Worry", et surtout son final grandiose et planant (ce que justement beaucoup détestent aparemment).
Par contre à l'opposé, je honnis de toutes mes forces "Your latest trick" (que beaucoup semblent aimer), pour moi y a pas plus musak d'ascenseur que ce titre.





PINK FLOYD
THE DARK SIDE OF THE MOON


Le 01 Juin 2018 par EROS


Cher JOJO

Si tu vois un jeune métalleux arborer un t shirt PINK FLOYD, ce n'est pas par hype ou je ne sais quoi. C'est un hommage rendu à un groupe ultra influent pour la scène, tout simplement. Fan de metal prog je sais de quoi je parle !
On pourrait aussi appliquer cette remarque à des groupes comme SLAYER, METALLICA ou la vierge de fer.
Amicalement





DIRE STRAITS
BROTHERS IN ARMS


Le 31 Mai 2018 par BAKER

@Jojo : Si vous avez le matériel adéquat, il existe un moyen de se "réconcilier" avec l'album et l'écouter en entier en le redécouvrant, c'est sa version 5.1, disponible en SACD ou en DVD-Audio (assez rare ce dernier je crois).

Moi qui, pareil, le connaissais par coeur à la moindre note tant j'ai usé la cassette, ce nouveau mixage m'a mis un bourrepif. C'est comme mettre des lunettes, tout s'éclaircit, et ce dès les toutes premières notes de So Far Away. Du coup, je l'ai réécouté un certain nombre de fois sous ce format alors que l'original est gravé dans ma tête.





PINK FLOYD
THE DIVISION BELL


Le 31 Mai 2018 par JOJO


Y'avait eu la WV Golf Pink Floyd série spéciale Pink FLoyd pour la sortie de The Division Bell .
J'aurais bien troqué mon AX contre à l'époque !
C'est du très bon boulot, meilleur que Momentary Lapse of Reason, surtout au niveau de la production, mais on est loin de la magie des albums sortis dans les 70's.





PINK FLOYD
THE DARK SIDE OF THE MOON


Le 31 Mai 2018 par JOJO


Un des rares albums qui met d'accord les métalleux, les rockeurs, les fans d'alternatif, les fans de jazz ...
Tout a tellement été dit & rabâché sur ce disque entre les docus ( Classic Album , reportage TV ... ), livres, revues musicales, que toute tentative de dire quoi que soit de nouveau est vaine.
Et puis c'est toujours marrant d'entendre les jeunes en parler & les voir porter des T-Shirts Pink Floyd comme si c'était le dernier groupe tendance.





DIRE STRAITS
BROTHERS IN ARMS


Le 31 Mai 2018 par JOJO


Brothers In Arms reçu en cadeau alors ado en 86, énormément écouté, le genre de disque où on connaît chaque note par coeur.
Je peux le jouer en entier dans ma tête, résultat je l'écoute désormais rarement, un peu blazé, j'envie les jeunes qui le découvrent.





Kim WILDE
HERE COME THE ALIENS


Le 29 Mai 2018 par MYCROFT


Chronique à l’enthousiasme communicatif ! Merci à Baker pour m'avoir fait découvrir cette tuerie !





NOIR DéSIR
VEUILLEZ RENDRE L'AME A QUI ELLE APPARTIENT


Le 29 Mai 2018 par DUS

C'est vrai que ça change du Rock consensuel que l'on écoute ds son petit confort Bobeauf





NOIR DéSIR
VEUILLEZ RENDRE L'AME A QUI ELLE APPARTIENT


Le 29 Mai 2018 par FRED

@Hannibal.
Ou, tu as raison, aussi, mais Lautréamont est une influence revendiquée du groupe, qui justement cite son nom dans "Les écorchés", sur cet album :
« Moi j'ai pas allumé la mèche
C'est Lautréamont qui me presse
Dans les déserts là où il prêche
Où devant rien on donne la messe »...
Sinon, à mon sens, effectivement, leur perte a été de se prendre trop au sérieux, de se piquer de politique, de vouloir faire du Rock "engagé"... ils en sont rapidement devenus insupportables, d'insupportables donneurs de leçons, Cantat, surtout… Je les aimais bien, ces "ploucs" bordelais écorchés vifs, quasi lycéens férus de poésie, il y avait un côté "cercle des poètes disparus" chez eux… leur métamorphose en pontifiants "bourgeois-bohème" rive-droite a eu raison de l'intérêt que je prêtais à au groupe somme toute si sympathique des débuts.





NOIR DéSIR
VEUILLEZ RENDRE L'AME A QUI ELLE APPARTIENT


Le 29 Mai 2018 par HANNIBAL LECTEUR


Leur seul grand album, mais quel album en effet ! C'est rare, des albums de ce calibre, dans la paysage du "rock français". Dommage qu'ils aient quand même eu recours à la béquille de l'anglais...

Par contre, j'ai beau chercher, je ne vois pas de Lautréamont là-dedans. Baudelaire & consort oui, voire même le romantisme un peu grandiloquent de Hugo ; mais Lautréamont est quand même nettement plus du côté de la parodie et de l'auto-dérision. Or ici les mecs se prennent pas mal au sérieux :)





NOIR DéSIR
VEUILLEZ RENDRE L'AME A QUI ELLE APPARTIENT


Le 28 Mai 2018 par FRED


J'ai décroché à partir du très mauvais Tostaky.

Sinon, les 3 premiers (mini LP compris), c'est les meilleurs du groupe, quand il savait conjuguer Rock et poésie noire (Lautréamont…).

Après, c'est devenu la bande son des manifestants beaufs de Sud, le symbole de la pseudo rébellion bobo-peau de lapin. TRUST, c'était devenu le Hard anti -Giscard, NOIR DESIR s'est fourvoyé dans le Rock anti-Jean Marie, et est devenu le symbole de la branchitude bien pensante, confère les dithyrambes humides et baveux de la très moche Pascale Clark…

Dommage, parce que l'on tenait un super groupe, qui s'est abîmé dans les méandres de la reconnaissance grand public. On connaît malheureusement la suite. C'est dur de gérer !





JJ CALE
NATURALLY


Le 28 Mai 2018 par JOJO


L'album le plus cool de l'univers quand même !
JJ Cale réussit l'exploit de nous faire sentir la chaleur pesante du sud via sa musique .
Naturally c'est le disque anti stress par excellence & quelles chansons !
Dommage il est très court , 33 minutes , bah oui JJ voulait surement pas trop se fatiguer .





The CHIEFTAINS
10: COTTON-EYED JOE


Le 28 Mai 2018 par FRED


Juste pour ouvrir ma grande bouche : an durzhunel, c'est la tourterelle, en langue bretonne, mon grand-père (et ses pairs…) prononçait an "drujuuunell"... vous vous en foutez ? Tant mieux/tant pis !
Viva la muerte (et la tourterelle) !





TOTO
IV


Le 28 Mai 2018 par NONO


Entièrement d'accord avec toi, JOJO ! (au fait c'est marrant : Jojo / Nono qui écoutent du Toto), bref.... en effet, ce "IV" est incroyablement surestimé. Il n'est pas mauvais mais oui, en-dehors des 3 ou 4 tubes, le reste est assez fadasse il faut bien l'avouer (peut -être à part "Lovers in the night") ! Et je bondis quand la quasi-totalité de la planète affirme que cet album est "le meilleur du groupe" ! Oh que non ! Le 1er album, Hydra, Isolation, The 7th one ou même "XIV" lui sont largement supérieurs.
Pour moi c'est un petit 3/5, à la limite du 2.5/5





ENSEMBLE MINISYM
MOONDOG NEW SOUND


Le 28 Mai 2018 par STREETCLEANER


Excellent. Cela nous permet aussi de nous rappeler que la musique ne fut pas toujours une mélodie avec un accompagnement mais qu'elle fut bien superposition de mélodies sans que l'une ne l'emporte sur l'autre (technique du contrepoint) car alors la musique n'était que mélodie. De nos jours nous ne connaissons que les accords et les harmonies… Paradoxalement, peut-être aux yeux des fins connaisseurs de Hardin dont je ne suis pas, je préfère cet album réinterprété au classique Moondog de 1969.







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