Le 19 Octobre 2014 par RIKKIT

Les membres de Kyuss ont avoué n'avoir découvert le Sabb que bien tard, ils ont du d'ailleurs tellement kiffé qu'ils ont repris Into The Void (Tin ouf comme reprise). Ils tiennent plus leur inspiration de Melvins, Black Flag.

Le 18 Octobre 2014 par DAVID HEWSON

Avec "How To Dismantle An Atomic Bomb", U2 tente de renouer avec son glorieux passé tout en gardant un son moderne. Comme il était difficile de faire pire que le précédent opus, il y avait quoi espérer (utopie) que le quatuor irish était encore capable de faire autre chose que des singles FM formatés en guise d'album.

Le retour aux racines rock se fait sentir dès "Vertigo". Rien de bien nouveau mais l'overdrive et les fidèles delays de The Edge calment un poil les immondes 'yeah yeah yeah' et les cours en espagnol ridicules de Bono. Les 2 suivantes sonnent trop commerciales, à l'image du refrain avec voix de fausset sur "Sometimes You Can't Make It On Your Own". Coldplay n'est pas loin. Mais tout n'est pas perdu, "Love & Peace or Else" est un morceau blues-rock débarrassé, en partie, d'une surproduction envahissante. Le morceau le plus abouti de l'album. "City Of Blinding Lights" est un morceau pop générique 'à la U2'. "All Because Of You" dépote un peu plus. Rock, frais, entrainant, mais doté d'un refrain pompeux. Ensuite, jusqu'à "Yahweh", on a le droit à une réminiscence de "All That..." avec son lot de ballades génériques affligeantes. Ce dernier morceau, pop, est agréable mais aurait pu être un peu plus développé, monter en puissance.
Pour les textes, il y a du mieux. Bono explore ses souvenirs tout en lyrisme. Mais le nombrilisme ou bien l'idole de Bono (God) ne sont jamais très loin.
Sur cet album, on sent que Bono s'est plus investi. Son chant est logiquement moins insupportable ; The Edge fait de nouveau sonner ses notes aériennes et ses riffs rageurs. Mais ses harmonies vocales se font rares ; le duo Clayton/Mullen redevient plus consistant, dynamique, excellent par moment.

Un classique depuis "Zooropa", il n'y a que 2-3 chansons dignes d'intérêt. U2 s'auto-parodie dans un énième album surproduit et 'overcompressed'. Il n'a plus rien à prouver, sait que le public suivra même en lui proposant une soupe très indigeste. Public qui va s'empresser de dire "oui mais U2 a évolué". Certes, mais mal... .

Le 18 Octobre 2014 par SGT JAKKU

Je sais bien que FP demande tant que possible aux commentateurs d'éviter les avis sur les chroniques. Mais il m'est impossible de ne pas réagir à celle-ci (constructive soit dit en passant) tant Blue Bell Knoll est mon opus préféré du groupe écossais.
Plusieurs rasons à cela :

- Rarement un groupe "new wave" n'a marié aussi bien la pop des 60's aux sonorités new wave (encore une fois) des 80's. L'influence (consciente?) de Phil Spector voire d'un Brian Wilson est frappante sur ce disque.

- Bien que les structures des chansons (comme l'a souligné Aigle Blanc) sont assez classiques, certaines sont de véritables ovnis sonores (Athol-brose, Suckling The Mender). Malgré un contenant plus "carré", Cocteau Twins continue à proposer une pop incroyablement originale et inspirée sur ce disque.

- A sa sortie, Blue Bell Knoll a été la meilleure production du groupe, la plus ambitieuse et la plus maîtrisée. Les albums précédents ont toujours présenté de graves erreurs de mixage ainsi qu'un déséquilibre important des fréquences. Techniquement, BBK est une réussite.

- Mélodiquement, BBK est exceptionnel. Il faudra certes plusieurs écoutes pour s'en rendre compte, le génie de l'album n’apparaissant pas de manière flagrante à la première. Le quatuor magique que sont Cicco Buff, Suckling the mender, Spooning Good Singing Gum et Ella Megalast Burls Forever (ah ces titres de chansons!!!) sont de vraies leçons de composition et rejoignent sans aucun doute les titres les plus inspirés d'un Burt Bacharach ou d'un Brian Wilson, tout simplement magnifiques !

Mon commentaire n'a pas pour objectif de critiquer la critique bien menée d'Aigle Blanc, je trouve injuste que BBK soit souvent un des albums les plus sous-estimés de Cocteau Twins.

Le 18 Octobre 2014 par PHILIPS OU PHILCO ?

Album pas trop mal. C'est du pop rock (new wave ? j'ai jamais remarqué on doit surement pas avoir la même notion de ce qu'est la new wave).
Il ne faut pas chercher midi à 14h, pour moi cet album est plus que banal, et seul Who Cant It Be Now et Down Under sont les titres les plus intéressants. Cet album pour moi est l'exemple même de l'album à ne pas acheter si on aime ces deux tubes des 80's car le reste n'est pas du tout le même.

Le 17 Octobre 2014 par NONO

Toto reste un grand groupe, mais qui a quand même perdu une partie de son âme depuis la mort de Jeff Porcaro.
Ca aurait pu être pire (avoir capitulé, ou sortir des albums nuls).
Or ça n'a pas été le cas, ils s'en sont très bien sortis avec l'arrivée de Simon Phillips à la batterie.
Leur son a changé, leur musique est devenue plus "prog", plus technique aussi, d'une certaine façon.
Mais bon, on est en droit de regretter le Toto d'antan, et ce disque, même s'il est très bon, n'arrivera jamais à égaler un "7th One", un "IV" ou encore un "Hydra".
Patience... Ils nous concoctent actuellement un nouvel album qui devrait voir le jour en décembre (selon les dire de Paich et Lukather). Et avec le retour de Joseph Williams en voix lead, ça promet d'être super.

Le 17 Octobre 2014 par RIKKIT

Les membres de Kyuss ont avoué n'avoir découvert le Sabb que bien tard, ils ont dû d'ailleurs tellement kiffé qu'ils ont repris Into The Void (Tin ouf comme reprise). Ils tiennent plus leur inspiration de Melvins, Black Flag.

Le 16 Octobre 2014 par DAVID HEWSON

U2 continue ses expérimentations électroniques d'une autre manière. Après le plus que prétentieux "Pop", le groupe se met à pondre ballades sur ballades. Ce qui est pourtant sa spécialité tourne vite en eau de boudin.

L'album commence par la réclame habituelle pour les radios avec 3 singles très formatés. "Elevation", le plus réussi, bénéficie des amusants effets de The Edge. Puis c'est parti pour d'interminables ballades poussives agrémentées de "bip", de 'toot' et de "blup" pour être bien dans l'ère du temps en cette année 2000. Il y a parfois de la matière mais il y a toujours trop d'arrangements ou d'immondes passages 'gimauves'. Comme par exemple, sur le morceau pop-folk "Wild Honey" qui aurait mérité mieux. Les textes ont comme un arrière-goût de narcissisme et de bondieuseries, portés par un Bono qui en rajoute des tonnes à chaque fois. Ce qui est frustrant, c'est que The Edge est parfois très inventif dans ses riffs, ses effets, mais les 3 autres sont à la ramasse.
Oh miracle! A la fin de ces 6 ballades, un moment de grâce : "New-York". On retrouve quasiment le vrai U2, son esprit rock, mélodieux, explosif, sans fard. Cerise sur le gâteau : Bono chante enfin, juste et naturel. Son phrasé sur le 1er couplet est probablement un clin-d'oeil à Lou Reed. Eclaircie de courte durée puisque les deux derniers morceaux sont à l'image de cet album, insignifiants.

"All That You Can't Leave Behind" (except this one) est certainement le pire album de la discographie de U2. Indigne d'un tel groupe.

Le 16 Octobre 2014 par RAMON

Quand on dit que BLACK SABBATH fut le principal inspirateur du stoner rock, on pense plus à celui de "Paranoïd" (l'album) qu'à celui d' "Heaven & Hell" (idem) bien entendu, mais il se peut que le "on" se trompe aussi ou du moins n'ait pas raison sur toute la ligne.
Quel âge ont les membres de ce qui deviendra KYUSS en 1983 ? Entre 10 et 13 ans ? C'est un bon âge pour découvrir sa musique, celle qui ne va plus nous lâcher mais aussi et surtout ce qui sort à ce moment. L'album Born Again se vend très très bien, mieux qu'espéré et surtout mieux que ceux avec Dio, le buzz autour de l'association avec Gillan, la promo qui s'ensuit qui colporte la fameuse anecdote sur la beuverie qui a scellé cette union improbable est parvenue à attiser la curiosité et en plus le groupe reprend "Smoke…" sur scène. "Trashed", "Zero The Hero" c'est du stoner avant l'heure, ça aurait du marquer les esprits du grand public, mais non. En revanche ça a probablement marqué les combos qui naitront dans la décennie qui succédera (enfin) aux 80's.

Tiens à propos de ce bon Ian qui officie ici, celui-ci a quelques années après évoqué ce disque en affirmant avoir vomi deux fois à son propos: la première en découvrant la pochette et la deuxième en entendant le mix…Il faut croire que l'alcool lui faisait moins de mal puisqu' il ne fait pas mention d'éventuels troubles de la digestion suite à la cuite qui a abouti à son embarquement dans l'aventure.
Par ailleurs, il chante à merveille sur cet opus, bien mieux que ce qu'il fera après quand il sera de retour chez lui.
Ce disque est très mal passé à l'époque, il s'est bien vendu certes, mais le plus grand nombre ne l'a jamais vraiment bien écouté et je me mets dans le paquet.
Déjà le départ de Dio. Et succéder aux deux albums devenus instantanément mythiques.
Et Gillan qu'on préférerait voir dans DEEP PURPLE…Et ce son à la con, parce que si on se réfère aux compos, pas de doute c'est du SAB', on reconnait sa science du riff, la lourdeur (encore plus) pachydermique de sa section rythmique originale et ses ambiances (toujours plus) malsaines. Mais cette prod nom de belzebuth ! Rien à faire ça ne passe pas, on plussoie Ian et oui la pochette est, euh…Beurk!! Ozzy se frotte les mains et nous on vomit. Deux fois. On a tort.

Car cet album est excellent, son défaut (en dehors du fait que Gillan n'ait jamais cru à cette collaboration) est d'avoir été en avance sur son temps au niveau du son, si on excepte les prises de batterie ,lesquelles sont typiques des 80's mais qui s'inscrivent parfaitement dans le paysage sonore proposé. Alors, il n'est pas non plus dénué de défauts, l'instrumental "Stonehenge" (mais où vont-ils chercher un titre pareil ?^^) arrive bien trop tôt, juste après l'entrée en matière sur "Trashed", pas facile d'enquiller "KYUSS" et "Vangelis" d'emblée. Les deux morceaux finaux "Hot Line" et "keep It Warm" sont quelque peu hors sujets et font du remplissage. Mais à par ça, on tutoie les sommets ou on les atteint avec "Trashed", "Zero The Hero" et "Born Again" qui justifient plus qu'amplement l'acquisition de la chose.
"La renaissance" du SAB' est de fait un excellent cru dont la mise en son faussement cradingue a dérouté plus d'un fan alors qu'elle est juste parfaite.
La prise de risque n'est simplement courageuse, elle témoigne d'un authentique investissement sur le plan artistique pour ce disque.
Dommage que (quasiment) personne ne s'en soit rendu compte, à l'époque (j'en fus) et depuis.
A (re)découvrir, si ce n'est déjà fait, un bonheur comme celui-là ne se refuse pas ad vitam eternam.

Le 16 Octobre 2014 par TONIO

Vraiment un très bon disque, pourquoi "seulement" 4/5 ? Beaucoup plus fouillé et riche que Electric et bien plus subtil que Sonic Temple, Love est une œuvre qui mérite amplement son statut de "grand album du rock".

Les mélodies sont superbes, Astbury est vraiment un chanteur capable de faire passer énormément de sentiments à travers ses lignes vocales, ici plus que jamais. Le travail aux niveau des guitares est juste passionnant, c'est léger, aérien, tellement bien pensé.

Mes préférences vont aux titres "Brother Wolf", "The Phoenix", "she Sells Sanctuary", "black Angel" et le superbe "Little Face" (la partie de gratte finale, my god), titre qui curieusement n'apparait pas dans la track list de la chronique. C'est un morceau énergique à la structure classique mais les mélodies sont superbes, je ne vois pas pourquoi ce dernier aurait été évincé du disque...

Le 16 Octobre 2014 par CHOCOLA CIDA

Album très décevant. Même si je ne possede qu'une version CD je vais parler en vinyl parce que ici ça vaut le coup : la "Face A" est à jeter, et la "Face B" est intéressante, sans plus, si ce n'est peut être que Tush et Blue Jean Blues qui sont intéressante.
Bref cet album est loin d'être le meilleur de la carrière de ZZTop.

Le 15 Octobre 2014 par NONO

A mon commentaire précédent, j'ajouterais: ô combien Mark King est un excellent chanteur, en plus de ses qualités de bassiste ! Cela, on le mentionne rarement.
On parle toujours de Mark King et de sa basse, de son rythme, etc... Mais rarement de ses qualités vocales remarquables !
Ce qu'il faut préciser également, c'est que les deux voix lead du groupe (Mark King et Mike Lindup), se complètent à merveille, à tel point qu'on a l'impression d'entendre Mark King chanter haut quand c'est en réalité Lindup qui prend le relais. Impressionnant !

Le 15 Octobre 2014 par NONO

Alors pour moi, grand fan éternel de LEVEL 42, cet album est une excellente entrée en matière. Cet album fait clairement partie des meilleures du combo.
Je vous fournis, par la même occasion, la liste de mes albums préférés d'eux (liste chronologique). Ces albums doivent absolument être écoutés au moins une fois !

* THE PURSUIT OF ACCIDENTS
* STANDING IN THE LIGHT
* STARING AT THE SUN
* FOREVER NOW

Le 14 Octobre 2014 par EMMANUEL DIEDHIOU

La pochette est magnifique.

"Aux armes et caetera" et "Vieille canaille" sont deux grands titres, imparables et indémodables.

Le 14 Octobre 2014 par MAGNU

Cet Ep a été ajouté sur la version remastérisée de Chronicles of the Black Sword

Le 14 Octobre 2014 par YANN 77

Petite rectification, ce n'est pas "Step beyond" ma petite préférée (même si je l'aime bien), mais "To ascend" qui est vraiment sublime!!!

Le 14 Octobre 2014 par MR TINKERTRAIN

Très bon commentaire de mon ami Hewson qui résume ma pensée. U2 est pour moi sans intérêt depuis Zooropa, du foutage de gueule envers les fans, et envers l'être humain. Ce groupe souffre du même syndrôme que Depeche Mode (et accessoirement de ces losers du Sab version 13): il mise tout sur la prod et croit assurer en proposant des mélodies sans saveur. Oui mais qu'en est il de la passion de faire de la musique et du talent de composition? Tous deux disparus mon capitaine. Essayez donc un "Love" de the Cult qui vient d'être chroniqué... Ou même leur dernier! Là il y a encore the Spirit of Rock. Amen.

Le 14 Octobre 2014 par NONO

J'adoooore ce disque !
Pas pour faire "exprès" d'aimer le contraire de tout le monde pour paraître original.
Non... Sincèrement... J'adore cet album car il nous expose une nouvelle facette du groupe, en abordant d'autres territoires (jazz et world notamment), sans aucune maladresse. Ce que je veux dire, c'est qu'on n'a pas l'impression ici d'un groupe de rock capable de ne faire QUE du rock et ratant tout autre genre musical.
Non, là on a la confirmation de la virtuosité et du professionnalisme de la bande à Lewis, et c'est un bon bol d'air frais je trouve.
Oui, c'est osé car personne ne s'y attendait.
On voulait entendre une énième version de "I want a new drug" ou de "Power of love".
Et bien là, on s'adapte... et on SAVOURE !!

Le 14 Octobre 2014 par MR TINKERTRAIN

Merci de réhabiliter ce chef d'oeuvre! Oui chef d'oeuvre car je trouve qu'il traverse admirablement bien l'effort du temps, et que les compos sont "fucking" efficaces! Plus instantané qu'"Electric" et moins brouillon que "Dreamtime" (déjà énorme pour l'époque), ce disque fait partie des disques mémorables du Metal, du Hard Rock, et même du Rock, encore plus que "Sonic Temple" je trouve, car nettement plus authentique. Du CURE dopé aux riffs jouissifs et aux amplis Marshall ! Ca m'étonne pas que Peter Steele adorait cette bonne came là...

Le 14 Octobre 2014 par NONO

Huey Lewis & The News est LE miracle rockn'roll des années 80.
Pour moi, ce groupe a su adapter avec génie le style blues-rock à la tendance "80" sans toutefois se vautrer dans tous les poncifs de l'époque.
Contrairement à "Streetcleaner", je préfère cet album à "Sports".
Pourquoi?
Car je trouve que Sports, même s'il contient de très grandes réussites (The heart of rocknroll, Bad is bad, If this is it, notamment), c'est toutefois un album plus contrasté, car contenant aussi 3 ou 4 chansons nettement moins bien (Walking on a thin line, Finally found a home...).
Alors que dans celui-ci, tout est de très bon niveau, sans exception.
Moins "tubesque", moins évident que le précédent, c'est vrai. Mais pourtant: plus intéressant musicalement, plus recherché, plus abouti.
Le suivant, "Small Worlfd" sera encore moins accessible, et divisera encore plus les fans. Mais ça sera, là aussi, un album fort intéressant, car abordant des styles musicaux totalement inédits pour le groupe (jazz, world...)

Le 13 Octobre 2014 par DAVID HEWSON

Cette note ne fera pas plaisir aux plus grands fans mais après deux écoutes de Songs of Innocence, on peut vraiment se demander dans quel sens se situe le mot "innocence". A part le correct "Cedarwood Road" ainsi que quelques intros prometteuses (avant que ça lorgne vite fait vers de la pop limite variété), c'est le vide total. Avant, on disait que Coldplay faisait du sous-U2. Aujourd'hui, on pourrait presque affirmer que U2 fait du sous-Coldplay ! Bono sonne de plus en plus faux, sans aucune émotion, The Edge est en mode sur-minimaliste et n'est même plus capable de faire de belles harmonies vocales, Clayton et Mullen Jr. font ronronner bêtement l'ensemble sans aucune inspiration. C'est d'ailleurs ce mot qui revient à la bouche, l'inspiration. Il n'y en a plus une once.

Demander à ce que des cinquantenaires fassent aussi bien que quand ils avaient la fraîcheur de leurs 20 ans est bien entendu impensable. Mais ils vieillissent décidément très mal. A chaque nouvel album, pas plus de 2-3 chansons sont passables ou bonnes. Jamais excellentes. Le reste est comme un rituel sans âme, de la surproduction, de la parodie. Le grand orchestre du marketing à outrance et la tournée des mégalos qui s'en suit font le gros du travail. Sans oublier la ritournelle : "c'est notre meilleur album depuis...".

Sincèrement, il serait grand temps qu'ils arrêtent leur carrière. J'en serais même presque à espérer que chacun d'eux se tape un problème physique les empêchant de jouer correctement. Un peu comme Phil Collins, quoi. Même leurs idéaux sociaux sont tombés à l'eau depuis longtemps, eux qui préfèrent payer leurs impôts aux Pays-Bas car ils sont moins taxés qu'en Irlande. Ce qui ne les empêchent pas de faire la morale et Bono de vouloir passer pour être le Pape.