Le 30 Octobre 2011 par ROCKCHILD

J'ai découvert ce groupe grâce à ta chronique et je n'ai pas tardé à me procurer la discographie, à l'écouter en boucle toute la semaine (et peut être bientôt une place pour le concert qu'ils font à paris en novembre) donc un grand Merci à toi!
Du hard rock typé 60's façon Led Zep c'est pas tout les jours qu'on voit ça mais quand c'est réalisé avec une puissance comme celle là et sans accroc... ces petits sont envoyés sur Terre pour sauver nos oreilles de l'immonde industrie musicale qu'est la notre. Qu'ils continuent sur cette voie! on avait bien besoin d'un peu de fraicheur avec cette galette d'un autre temps.

Le 30 Octobre 2011 par TROP MUCH

Excellent 2ème album. Je le trouve pas tellement meilleur que le premier, ce qu'il y a c'est qu'ils ont ajouté leur marque de fabrique en plus de leurs style blues/jazzy, qui est le folk rock façon JT.
Juste "A New Day Yesterday" sonne encore comme le premier album, et leurs 3 derniers dans les bonus.

Le 30 Octobre 2011 par EL PACHENKA

Deux frissons dans ce disque entendu une première fois dans un pub : les chansons interprétées par Sinéad O'Connor et qui nouent la gorge. Il y a aussi la partie avec Ry Cooder.

Le 29 Octobre 2011 par YAN LE COADOU

Hors mode dès sa Sortie ," let it rock" est sans doute l'album le plus personnel d'Alvin et sans doute le moins connu. Accompagné d'excellents musiciens , il offre une variété de compositions parfois diffile à classer musicalement hormis "little boy" proche d'un john Mayall ou "let it rock" d'un chuck Berry survitaminé. "downhill lady racer" est une vraie perle rock dans un ensemble de balades nostalgiques. Pour retrouver Alvin à son meilleur niveau il faudra attendre la sortie de "détroit diesel" dans lequel Lee, une nouvelle fois merveilleusement accompagné, alternera le rock, le blues en démontrant ses qualités de chanteur comme sur le superbe "back in my arms" et une guitare quasi absente.

Le 29 Octobre 2011 par WALTER SMOKE

Kraftwerk 2...Un album difficile à appréhender, surtout avec la qualité du vinyle que j'ai !
Alors quid de ce deuxième cru de Düsseldorf ? Ben, il me semble plus chaleureux que son prédécesseur, même s'il reste aussi peu accessible. C'est surtout son long morceau, Kling Klang, qui vaut le coup d’œil, avec un faux-air de proto-Autobahn, et reposant, surtout le deuxième tiers.
Cependant, ce morceau reste le seul intérêt, ou presque, de l'album (encore le syndrome "Atom Heart Mother" !) : trop de morceaux anecdotiques (Atem, Strom), et puis surtout, Kraftwerk 2 est loin de bien représenter le krautrock.

Allez, encore un an pour un vrai décollage !!!

Le 29 Octobre 2011 par YAN LE COADOU

Album difficile à écouter aujourd'hui de bout en bout. Ce qui faisait la force principale de ce groupe est absent de cet album disparate, c'est à dire cette faculté à composer de bons morceaux de rhythm & blues. C'est par l'entremise de John Mayall que Mick taylor avait rejoint le groupe, Roy Buchanan ayant finalement décliné la proposition.C'est vrai que ce guitariste exceptionnel ,plus inspiré par le blues et les improvisations ,aurait pu accompagner le passage aux années soixante-dix des Rolling Stones ;années qui voient l'émergence de groupes composés d' instrumentistes de talents aux influences diverses.On peut citer les "Roxy Music" "le J Geils Band" "little feat" et plus tard les groupes de rock progressif comme "van der graaf generator" ou de jazz comme "Weather report" autrement plus intéressants.Il vaut donc mieux se rabattre sur les premiers albums des "cailloux qui roulent", voire si vous êtes collectionneur des 45t et super 45t, que l'on écoutait dans les juke box à l'instar de bons vieux "Creedence " ou d'un "Roadhouse blues" des Doors.

Le 29 Octobre 2011 par WALTER SMOKE

Très grand album, magnifique. Les trois morceaux de la face A sont sublimes, surtout Hyperborea qui est sublime. Quant à la face B, bien qu'ayant été déçu par rapport à d'autres mouvements, il reste bien structuré et de bonne facture.

Le 29 Octobre 2011 par JF LE COAD

A propos de "Can't You Hear Me Knocking"
Pour savoir comment est né ce petit bijou musical, voici des propos de Taylor:

Can't You Hear Me Knocking... is one of my favorites... (The jam at the end) just happened by accident; that was never planned. Towards the end of the song I just felt like carrying on playing. Everybody was putting their instruments down, but the tape was still rolling and it sounded good, so everybody quickly picked up their instruments again and carried on playing. It just happened, and it was a one-take thing. A lot of people seem to really like that part.
- Mick Taylor, 1979

Keit Richard accusera Mick Taylor d'avoir détruit le concept des stones ...

"Mick is such a LEAD guitarist, which completely destroyed the whole concept of the Stones, that is, the idea that you don't walk into a guitar store and ask for a lead guitar or a rhythm guitar. You PLAY a fuckin' GUITAR. You are a GUITAR player."

- Keith Richards, 1976

Nous , on goûte toujours au plaisir d'écouter cette merveilleuse guitare.
Le déclin des Stones , c'est avant tout le déclin du tandem Jagger/richard et l'arrivée de Ron wood.

Le 29 Octobre 2011 par YAN LE COADOU

Sans doute le dernier grand album des Rolling Stones. Sans doute le plus grand groupe de rhythm & blues des années soixante dont on passait en boucles les 45 tours avec de petits chefs d'oeuvre comme Paint it black,Jumpy jack flash, Honky tonk women....Cet album est imprégné de la griffe d'un incroyable guitariste, Mick Taylor, à l'égal d'un Peter Green avec en plus la capacité de jouer très très fort sur sa "gibson les paul standard". Le solo de "Can't you hear me knocking" est un modèle du genre à enseigner dans toutes les académies de guitare!

Le 28 Octobre 2011 par ARP2600

Ah, les catégories... comme je le disais dans la chro du premier Ultravox, punk et new wave, c'était effectivement à peu près kif au départ. Alors certes, on pourrait avoir l'envie de garder ainsi les dénominations historiques, mais le temps a passé et l'usage a fait son œuvre... Quand je parle de New Wave, je m'y adapte et je parle donc surtout des nouveaux romantiques, de la cold wave et de l'électropop. Et donc des groupes de base comme Ultravox, Gary Numan, Joy Division, Human League, OMD, The Cure, Simple Minds, Duran Duran, etc.

Le 28 Octobre 2011 par BARBELé

Quelle horreur.
Un critique rock bien connu a émis l'idée qu'une pochette moche impliquait bien souvent un disque raté. Quand un artiste s'enfonce dans le mauvais goût et se fourvoie, cela se ressent dans tous les aspects de son oeuvre.

Ce n'est pas une équation infaillible, mais ici ça marche.

La pochette de ce disque est l'une des plus cheap et des plus laides de l'histoire du rock. Cette petite chemise ouverte, cette posture débraillée et ce look de dragueur latino de Saint Tropez, c'est grotesque. Et la musique est à l'avenant. Comment cet album a-t-il pu voir le jour ? Qui a vraiment écrit ces chansons banales, poussives, répétitives, mal jouées et mal produites ?

J'avais passé les années 80 à aduler Springsteen, j'ai été salement dégrisé par cette chose informe, dégoulinante de facilité et de mièvrerie. Les couplets sont mauvais, les refrains sont inconsistants, les arrangements sont ratés. Même le titre de l'album est nul !

Le plus triste est que le Boss lui-même n'arrive plus à chanter et commence à prendre ces fameuses intonations doucereuses qu'il affectionne dans les années 90 et qui mettent surtout en valeur son côté nasillard. Tout ici sent l'autoparodie, la crise d'inspiration et l'aveuglement.

Soyons clair : le talent, que ce soit en matière de musique ou dans d'autres domaines, n'est pas inépuisable. Dans le cas de Springsteen, tout a disparu quelque part entre 1987 et 1992.

Et c'est pareil pour Human Touch, même si la pochette - tout aussi criarde et torchée à l'arrache par un stagiaire - est légèrement moins kitsch. Dans ces deux albums, il n'y a même pas de quoi remplir un honnête EP.

Le 28 Octobre 2011 par MICKAW

Groupe découvert il y a presque 1 an maintenant! Quelle honte, j'ai du le télécharger sur ITunes parce que je le trouvais dans aucun magasin (j'aime pas le Mp3 Baaah)

Mais encore une fois la grosse claque! Un mélange d'Elvis et d'un bon gros Hard Rock bien couillu! Le pied quoi!

Le 28 Octobre 2011 par LEO

@ ARP2600
Reste à savoir ce qu'on définit par rock alternatif, post punk, new wave, etc....
pour moi lorsque je parle de new wave, j'englobe tous les groupes sortis en même temps ou juste après le punk (Ultravox, Wire, Gang Of Four, Magazine, Stranglers, XTC.... puis un peu plus tard, The Sound, Killing Joke, Comsat Angels....).
j'y verrai plus un courant qu'un style musical à proprement parler (d'ailleurs à l'époque, la presse musicale en Angleterre qualifiait de nouvelle vague, tous les groupes issus du mouvement punk mais dont la musique s'en différençiait par un son moins brut ou incorporation de claviers, violons......).

Le 28 Octobre 2011 par MANGEZDESSALSIFIT

Album très bon, dans un univers trop délirant pour des artistes dont leur travail se fait toujours dans un sérieux coupant la voix aux detracteurs aussi mesquin pourraient ils être dans un monde sans pitié ou les moindres défauts font l'objet de trop de critique pour des artistes trop fragiles sous l'emprise de journalise sans scrupules poru des gens ayant un mérite plus important que ...

dodo ...

Le 28 Octobre 2011 par ARP2600

Bon, Magazine, ce n'est pas vraiment de la new wave non plus. Je les verrais presque plus à la base du rock alternatif. Mais c'est sûr, comme Talking Heads et Ultravox, un groupe important dans cette transition très complexe des années 77 à 80. Je récrirai sans doute les chros de leurs deux premiers albums prochainement.

Le 27 Octobre 2011 par TERRY

Le sommet des Pogues. Un chef d'oeuvre absolu qui est, selon moi, le meilleur album de rock en provenance d'Irlande (même si Shane est né dans le Kent). Un album parfait, un des sommets des années 80. Je ne m'en lasserai jamais : "Dirty old town", "Sally MacLennane", "I'm a man you don't meet every day", "Navigator", "And the band played Waltzing Matilda" et cet instrumental gigantesque, "Wild cats of Kilkenny"... Mais tout est parfait, ici.

Le 27 Octobre 2011 par LEO

Systems Of Romance est mon album préféré d'ULTRAVOX avec John Foxx (Rage In Eden sera mon préféré avec Midge Ure).
Sur ce 3ème opus, le guitariste Robin Simon a pris la place de Stevie Shears qui officiait sur les 2 premiers, et on peut dire que l'on a pas perdu au change puisque la palette de Simon est plus diversifiée que celle du plus limité Shears!
Cette fois-çi, les guitares saturées se fondent bien plus harmonieusement avec les claviers et le violon de Billy Currie!
Si Systems Of Romance peut-être considéré comme un album charnière et de transition, celui-çi a presque plus de points commun stylistiquement avec l'ULTRAVOX à venir que celui des 2 premiers albums. en fait, on peut dire sans trop se tromper qu'il sert de fondation autant à ce que deviendra le futur ULTRAVOX avec Midge Ure qu'à la future carrière solo de John Foxx!
Pas forcément bien accueilli par la presse et le public à sa sortie, Systems Of Romance a par contre influencé pas mal de musiciens à l'époque: Gary Numan et Simple Minds entre autres.... (ces derniers s'inspirant également d'un autre groupe précurseur en matière de post-punk/new wave, je veux parler bien sur de MAGAZINE dont Robin Simon rejoindra les rangs brièvement pour une tournée et un album live en 1980).

Le 27 Octobre 2011 par LOUVOIR

Pour moi le problème de cet album, somme toute pas malhonnête, c'est Jagger.
Ce type a une voix taillée pour faire du rock et, à la rigueur du blues. Pas pour autre chose. Chacune de ses interventions font crisser les oreilles.
La musique en elle même est tout ce qu'il y a de plus conventionnel. La touche reggae me plait beaucoup en revanche. Damian Marley est un artiste que j'aime bien. S'il n'a pas le génie de son géniteur, il a bien appris ses leçons et a cette même sensibilité "roots" qui sait faire la différence.

Sans crier au génie, et en tenant compte du statut de super-groupe, je mettrais tout de même une étoile de plus.

Je garde quand même le sentiment d'avoir écouté un album inutile et d'avoir écrit un commentaire tout aussi inutile.

Le 26 Octobre 2011 par MR HHHH

C'est clair que cet album est... fort en dessous des autres. Mais moi j'ai envie de dire que c'est une première. Le fait de dire qu'il veulent faire "commercial" depuis Californication inclus c'est faux. Un peu après avoir écouté cet album lors de sa sortie, j'ai remis sur le tiroir leur album précédent, le double Stadium Arcadium, celui là je ne l'avais plus écouté depuis presque deux ans, ça a été la claque, sans le réécouter, j'avais envie de dire que I'm With You n'était qu'un petit prolongement, un genre de fond de tiroir des sessions de Stadium Arcadium, mais franchement, en comparant les chansons de cet album avec l'autre de 2006, il y a pas quelques différences, il y a un niveau en moins, je sais pas ce qu'ils m'ont foutu dans cet album là, mais dans Stadium Arcadium, et ses predécesseur, c'est un autre groupe...
Depuis le temps qu'on signale qu'un nouveau Red Hot allait sortir, je m'attendais personnellement à une deuxieme claque, un moment on disait même que c'était aussi un double album.
Et dans cet album ci, quand on pense au nombre de chansons bouche-trou, juste pour zapper,... c'est incroyable, de même que dans Stadium Arcadium, même les plus banales ont quand même quelque chose ne plus que l'album suivant...

Non là pour un échec c'est... pour un groupe que je connais depuis le début c'est carrément dramatique.

De toute façon ces derniers temps, tous les albums les plus recents des anciens groupes sont des merdes : le dernier Dream Theater est une daube, le dernier Red Hot (...), le dernier (les 2) Moby sont à chier, plus tôt, le dernier Radiohead était loin d'être exceptionnel, le dernier Massive Attack de 2009 était... 5 niveaux en dessous de Mezzanine...

On a tant critiqué les défauts évidents et malheureux du "commercial", je pense qu'on est davantage loin d'être sorti de tout ça... on va encore en ch**r pas mal ...

Ressortons nos vieux 33t et nos reeditions remarstered de vieux albums et oublions le reste ! il y a toute façon rien à retenir ! Tiens je vais fonder ma secte avec ça ... (ou faire dodo)

Le 25 Octobre 2011 par BARBELé

Les RED HOT CHILI PEPPERS ont traversé les années 2000 la tête haute, en se délestant de quelques fans désabusés mais en gagnant en maturité musicale. Alors certes, cette maturité a été pour certains synonyme de platitude et de niaiserie, mais beaucoup - dont moi - ont trouvé leur compte dans ce virage pop.

Que penser alors de ce nouvel album, qui marque l'entrée dans une quatrième décennie d'existence pour le groupe ?

Ce n'est clairement pas avec ce disque-là que les fans vont se réconcilier. Ceux qui ont décroché avec Califonication ne sont pas prêts de s'y remettre. Et pour les autres, ceux qui savent goûter des petites chansons pop subtiles et colorées comme le groupe a su en composer avec une inspiration jamais démentie ces dernières années ?

Disons que même pour eux, ce I'm With You a un petit goût d'aspartame. Cette musique est très light, très inoffensive et constitue la bande son honorable d'une après-midi californienne (ou niçoise...) ensoleillée. Un fond sonore agréable et honnête pour boire à petites gorgées un cocktail sans alcool. Des morceaux comme "Annie Wants a Baby" ou "Did I let you Know" sont bons, bien écrits, bien produits.... mais très gentils, très lisses et n'ont pas vocation à durer.

Bref, un disque à apprécier pour ce qu'il est, une sucrerie sans ambition ni véritable inspiration. Une petite douceur à consommer sur place mais que l'on n'emportera pas bien loin dans l'automne.

Est-ce un album indigne ? Sûrement pas. Leur virage commercial, les RED HOT l'ont pris en 1991 avec un Blood Sugar Sex Magic qui reste tout de même - il ne faudrait pas réécrire l'histoire n'importe comment - leur plus gros succès. Vendus, ils le sont depuis longtemps...