Le 16 Septembre 2011 par YAN LE COADOU

Un des musiciens que j'ai le plus écouté dans les années 70. Je garde un très bon souvenir de cet album ainsi que de Coney Island Baby sorti dans ces années.

Le 16 Septembre 2011 par IEN

J'ai une préférence pour le Brassens période "Non-demande en mariage" mais des pépites sont bien présentes sur cet album !

J'ai une tendresse particulière pour la "Ballade des dames du temps jadis" et "La marine".
Seul petite faiblesse "il suffit de passer le pont".

Le 16 Septembre 2011 par TERRY

Un disque franchement pas mal, mais un peu trop long, surchargé, inégal. Je l'ai en vinyle (et bien content de l'avoir dans ce format) mais je ne me le paierai jamais en CD, je n'en vois pas l'utilité. Je ne l'ai jamais vraiment apprécié, ce disque ! Mais il y à de très très grandes chansons, c'est clair.

Le 15 Septembre 2011 par ALEX

Un disque magistral, premier d'un groupe à l'oeuvre magistrale, elle aussi. J'ai eu beaucoup de mal avec le BÖC, je ne les trouvais pas assez "sabbathiens". Mais une fois entré dans l'univers si particulier de ce groupe à part, impossible d'en décrocher. Et on tient là probablement mon album préféré avec "Fire of Unknown Origin". grosse préférence pour les deux titres chantés par Buck DHARMA, la magnifique pseudo-ballade "Then came the lastas Days of may" et l'énergique "Before the Kiss, a Redcap" qui sera encore amélioré sur le live "On your Feet or on your Knees". A mon sens c'est même la pièce maîtresse de ce disque, bien qu'on retienne souvent "Cities on Flame" et son riff repompé sur "The Wizard" de BLACK SABBATH.

Le 15 Septembre 2011 par ALEX

Album acheté à cause du producteur fétiche d'Alice COPER, Bob EZRIN, et la présence de musiciens ayant aussi accompagné le COOP' durant sa carrière. Je m'attendais à une sorte d'équivalent de "Dada" d'Alice COOPER, mais vraiment, autant j'adore le sus-nommé album, autant Berlin m'a juste donné envie de me pendre. Il y a certes de bonnes idées, mais c'est noir (trop), glauque (trop) et surtout c'est un album mou, très mou. Définitivement sans moi. 2/5 quand même car il y a une prod' magistrale et quelques bonnes idées.

Le 14 Septembre 2011 par TERRY

Meilleur que le suivant, moins bon que les précédents. Un opus assez moyen, et assez méconnu (dans un sens, dommage, mais dans un autre sens, logique).

Le 14 Septembre 2011 par YANN

Je suis assez d'accord avec cet article. Je pense que Vanessa est arrivée à un point de maturité technique qu'elle recherchait. C'est l'album le plus abouti et qui je pense lui ressemble le plus. C'est assez marrant d'ailleurs quand on ré-écoute son premier album "Be not nobody" et celui-ci, on sent vraiment les dix ans qui les séparent. Je pense que c'est le meilleur (avec Harmonium). J'adore l'ambiance, qui plane un peu, avec les bruits des instruments. Le son trop "clean" et impersonnel du CD à disparu. La fin flotte un peu tout de même (pas joyeuse).

Le 14 Septembre 2011 par ?

Album découvert grâce à FP... Il y a donc une vie après Tangerine Dream ? Selected Ambient Works est en train de me convaincre que la musique électronique des années 90 n'est pas si abstraite (enfin des mélodies) ! Il y a une sorte de poésie sur cet album, avec une ambiance pleine de rêve. Je vais explorer la suite de la carrière d'Aphex Twin, mais j'ai peur d'être déçu.

Le 13 Septembre 2011 par ONCLE VIANDE

Euh…mon com était une grosse blague hein les enfants... Il s’agit d’un copier/coller d’un post de notre collègue ARP2600 qui – en interne – qualifiait mon 3/5 à H to he who am the only one « d’irréaliste ». Je pensais que l’intéressé apprécierait le clin d’œil^^
Ceux qui me lisent savent que je n’émets JAMAIS de jugement sur les notes d’autrui. Voilou. Bonne soirée et vive Kadhafi.

	Par Forces Parallèles Nous attendons ton retour avec impatience Onkelfleisch ! Ton hommage aux Tokio Hotel a attendu trop longtemps ! Saskatchewan P.S. (Post Saska) : Moubarak casse la baraque, pas Ultravox, ni Van der Graaf Generator.

Le 13 Septembre 2011 par DECIDELA

Merci pour la réponse marco stivell !

Si le disque m'a touché bien sûr ! Mais pas au point de me faire hurler si tu vois ce que je souhaite dire. Mais tu as raison, je me suis laissé emporter : à chacun ses chefs d'oeuvre !

J'espère sincèrement voir les autres disques du lycée Millet sur le site en tous cas ! Merci d'avance !

Le 13 Septembre 2011 par MARCO STIVELL

Cher Decidela,

Merci beaucoup pour ce commentaire. Pour te répondre, j'aurais tendance à considérer que tout artiste peut faire un chef-d'oeuvre, aussi bien le groupe de rock progressif classique que la petite chanteuse de variété, comme la "petite" classe de monsieur Lonjon. Chacun a sa définition du chef-d'oeuvre, on peut trouver des avis fort contraires sur le The Lamb Lies Down on Broadway de Genesis qui en est un autre pour moi (de chef-d'oeuvre). Le premier disque de cette nouvelle fournée Millet l'emporte sur le deuxième (qui je le redis, vaut 4/5) à mes yeux, il m'a vraiment ému (et m'émeut toujours autant) et vaut plus que de nombreux autres albums de reprises d'artistes hautement plus reconnus que j'ai pu entendre. Après comme je l'ai dit à la fin de la chronique, j'ai mis 5 le plus subjectivement du monde. Une chronique reste l'avis de celui qui l'écrit avant tout, et je comprends tout à fait que ce disque ne t'ait pas autant touché.

Sincèrement et au plaisir de te retrouver dans d'autres lignes !

Le 13 Septembre 2011 par DECIDELA

ça me fait tout bizarre de voir ce disque sur votre site, (je suis de Cherbourg et j'ai fréquenté ce même lycée il y a bien des années déjà) et je trouve que c'est un bonne initiative de la part de Marco Stivell de faire connaitre les travaux de monsieur Lonjon et de ses chers élèves !

Mais je reste septique quand à ce 5/5 que je réserve aux chefs d'oeuvre musicaux et non pas un album de reprises fait par des élèves musiciens. Ah je reconnais que c'est un bon disque, bien sympa, qui s'écoute avec plaisir mais pas de quoi s'émerveiller non plus !

Point positif : les styles abordés, très variés qui rendent le tout intéressant

3/5

Le 13 Septembre 2011 par LEO

Ce premier album d'Ultravox! première manière ne m'emballe pas outre mesure, mis à part le dynamique et punky "Saturday Night In The City Of The Dead" et à la rigueur le plus classique "The Lonely Hunter".
Le groupe laisse encore trop entrevoir à mon goût ses influences Roxy Music! (n'étant pas fan de la bande à Bryan Ferry, ça me gêne pas mal aux entournures !).
Que ce soit vocalement ou musicalement, "My Sex" a dû être l'inspiration principale pour la carrière à venir de Gary Numan tant ce dernier s'est calqué sur ce morceau pour concevoir certaines de ses futurs compos (c'est flagrant!).
L'album suivant privilégie un peu plus l'énergie mais est malheureusement aussi un peu plus brouillon, ce qui fait que c'est surtout leur 3ème album (le dernier avec John Foxx), bien plus mature et personnel, qui récolte tous mes suffrages.
Au final, je ne trouve pas que cette note de 3/5 qu'attribue ARP2600 à cet album soit irréaliste. Personnellement, pour moi il vaut encore moins que ça !

Le 13 Septembre 2011 par POWERBEAUF

Cet album souffre du même problème que de nombreuses BO de films : la musique perd de son sens et de sa force lorsque l'on n'a pas l'image sous les yeux, ou le joypad entre les mains dans le cas présent. Et c'est bien dommage, car étant grand amateur de ce jeu, autant j'adore cette musique lorsque je porte virtuellement des lunettes à infra-rouge, autant je n'arrive pas à l'écouter hors de son contexte. Les compositions me semblent alors répétitives, et même parfois insupportables (les percussions samplées lors des scènes d'action me cassent les oreilles). Et pourtant, les musiques de ce disque sont variées et très travaillées. Si vous n'avez jamais joué à "Slinter Cell Chaos Theory", le CD peut présenter quelque intérêt. Sinon, à moins d'être gros fan d'Ambient et de Tobin, restez-en au jeu.

Le 13 Septembre 2011 par POWERBEAUF

Album magnifique de la première à la dernière seconde, qui ne pourra décevoir que ceux qui détestent les années 80. Le groupe nous livre des compositions qui font mouche tant par leur musicalité que pour la qualité de leurs textes. L'accord de guitare introduisant l'album arrache tout, et la suite est à l'avenant.

L'interprétation est irréprochable, le son est boosté (particulièrement dans la version remasterisée, ce qui pourra plaire ou déplaire), et les titres s'enchaînent avec un plaisir qui prend fin trop rapidement à mon goût... Tout simplement le summum du groupe durant son cycle "hard synth pop". La déception provoquée par son successeur en sera d'autant plus grande. Il faudra attendre "Counterparts" près de 10 ans plus tard pour que RUSH nous offre un album aussi jouissif et homogène.

Pour compléter ce disque, le live "A Show of Hands" sorti en 89 est une obligation : le groupe atomise le public à grands coups de "Big Money" (quelle entrée sur scène!), de "Marathon", de "Manhattan Project" et de "Mystic Rhythms", entre autres joyausetés...

Le 12 Septembre 2011 par EL PACHENKA

Il serait souhaitable que les jours de pluies reviennent (je risque de me faire lyncher) pour écouter à nouveau ce disque à la dune de mer. "Dreams Burn Down", "Vapour trail" et "Taste", rien que pour ces trois-là.

Le 12 Septembre 2011 par GNAP

Ils ont copié une des mélodies du titre "If I could fly" de Joe Satriani. C'est assez flagrant.
Par contre j'ai pas écouté ce Coldplay donc pas de note.

Le 12 Septembre 2011 par BARBELé

Cet album m’a toujours laissé une impression très mitigée. A vrai dire, je le considère comme le plus faible de la période Peter Gabriel, dont je suis pourtant un fan inconditionnel. En fait je vois ici plutôt un chant du cygne plaisant mais raté, un peu bancal, inachevé et hétéroclite. Tout sauf un chef d’œuvre ou une apogée comme on le dit souvent.

Pourquoi ça ? D’abord l’ambiance du disque, que je trouve froide et morne. On est loin de la folie un peu médiévale typiquement anglaise des disques qui précèdent. Fini le "prog à hobbits" (je force le trait), au profit d’une musique plus urbaine, moins électrique et plus centrée sur le synthé. Steve Hackett me semble notamment beaucoup trop en retrait. Et ce défaut s’accentue au fil de ce double album un rien longuet dont la fin m’épuise immanquablement. En fait, je ne garderai pas grand-chose du second disque, et surtout pas ces plages « cosmiques » interminables (Encore un double album qui aurait gagné à être réduit à un simple LP ?).

Ce que j’aime dans le Genesis à la sauce Peter Gabriel : des chansons épiques, des montées en puissance délirantes, une musique entraînante ou parfois mélancolique, un prog qui n’est jamais démonstratif ou élitiste. Or, je n’ai rien de tout cela dans The Lamb Lies Down On Broadway. Même les passages héroïques comme "In the Cage", supposé renouer avec les classiques du groupe, me semblent très loin d’un "The Musical Box" (merveille des merveilles) ou d’un "Dancing With The Moonlit Knight". C’est à mes yeux moins inspiré, plus terne.

Bref, ce que j’apprécie chez Genesis me semble ici moins réussi, avec déjà un pied dans la carrière solo de Peter Gabriel et beaucoup de magie en moins.

En fait aucune chanson ne retient vraiment mon attention, même si l’ensemble se laisse écouter. Je suis même persuadé (mais d’autres diront le contraire – tant mieux pour eux !) qu’il est difficile d’aimer absolument la totalité de la discographie de l'époque Peter Gabriel : pour ceux qui, comme moi, considèrent Nursery Crime comme le véritable chef d'oeuvre du groupe, The Lamb semble plus en demi-teinte.

Le 12 Septembre 2011 par JOHANN

Un des très grands disques d'Hammill qui suinte le dépit amoureux. Impressionant le nombre d'oeuvres importantes qu'il aura enchaîné dans les années 70.

Le 12 Septembre 2011 par THE INNOCENT

The Rising est, sans aucun doute, un des meilleurs albums du Boss des 20 dernières années.

Les 15 morceaux qui le composent affichent une grande diversité de style et abordent toutes les facettes des événements qui l'ont engendré, comme le relève très bien la chronique de Suntory Time. On est bien loin des reportages racoleurs dont les médias nous abreuvent depuis une semaine, et The Rising offre assurément une vision bien plus complète et authentique de ce triste jour et de ses conséquences. La justesse du ton trouvé par le Boss, qui ne bascule jamais ni dans le mélodrame ni dans le message de haine, atteint ici une dimension universelle.

Springsteen nous délivre donc un album en forme de véritable chemin de croix: la souffrance initiale s'efface au profit d'un espoir certain, véritable rédemption d'une Amérique dont la fierté, bien que foulé aux pieds, reste intacte.

"Come on rise up !"