Le 29 Octobre 2010 par HGBDC

Santana, Abraxas, III, Caravanserai,..., Guitar Heaven?
Mettre cette bouse au milieu de ces chefs d'œuvre c'est presque un crime après son écoute. Rien à sauver ou presque (quelques passages sur certaines chansons, c'est dire...). Même un artiste qui chercherait à faire un album des plus médiocre n'arriverait à un tel niveau. All That I am devient passable à côté de ce torchon...de toute façon tout est dit dans la chronique.
A éviter absolument.

Le 29 Octobre 2010 par JOVIAL

Une catastrophe, un naufrage, un suicide... C'est tellement mauvais qu'on en viendrait presque à se demander si Guitar Heaven n'est pas tout simplement un canular. Mais non, l'album, bien que ridicule, n'en est même pas risible, et c'est plus de la tristesse vis-à-vis d'un guitariste aussi grand que SANTANA que j'aurais plutôt tendance à éprouver.

Je ne ferai pas de kro-express, Maniac Blues a parfaitement tout résumé sur ce médiocre album.

A fuir.

Le 29 Octobre 2010 par A.T.N.

Feelgood : merci. Mea culpa. J'ai lu le François Bon il y a longtemps... j'aurais dû m'y replonger.

Je maintiens mon opinion générale : je trouve la magie absente pendant la majeure partie du disque, sauf pendant le solo de TAYLOR (ce son très aigu et tranchant, j'étais vraiment persuadé que c'était RICHARDS) et pendant Fingerprint File, extraordinaire. Les clins d'oeil à d'autres styles existent, certes, mais ces styles ne sont pas réappropriés, et ne font pas de ces morceaux des moments intenses, nouveaux, comme l'étaient les morceaux des sixties / début seventies. En 1974 le rock part dans tous les sens, explore tous les sons, et je trouve cet album des Stones, au milieu de cette folie, assez quelconque...

Cela n'excuse pas les erreurs factuelles !
Je vais corriger ça.

Le 28 Octobre 2010 par LEO

FEELGOOD a excellemment bien résumé la chose !
En ce qui me concerne, It's Only Rock'n'Roll fait partie de mes albums préférés des STONES (et il n'y en a pas des masses, car je suis loin d'être fan).
Je place ce disque très loin devant l'insipide Goat's Head Soup et le mitigé et trop long Exile On Main Street (ce dernier comportant de très bons titres et d'autres faisant carrément office de remplissage).
Pour moi It's Only Rock'n'Roll est là, juste à côté de Beggar's Banquet, Let It Bleed et le merveilleux Sticky Fingers (mon favori !).
La suite sera définitivement moins intéressante, à commencer par l'insignifiant Black & Blue.
Les STONES auraient dû garder Mick Taylor...

Le 28 Octobre 2010 par MICKAW

Je n'ai pas l'habitude d'être aussi intransigeant, mais cet album est totalement inécoutable !

Pourtant j'ai voulu y croire quand on me l'a passé en me disant "jsuis dégouté de l'argent que je viens de claquer, c'est de la merde..."
Je me suis dit que cette personne n'était pas assez ouverte, que Linkin Park devait certainement essayer de nouvelles choses, qu'il devait y avoir des subtilités à sauver, à découvrir... mais non.

Je l'ai écouté en entier (difficilement) et me suis rangé à son avis...

Le 28 Octobre 2010 par NICHOLAS

J'ai bien aimé l'album, même si je trouve que le groupe se complait dans son nouveau style. Il y a des chansons qui me font penser à du Radiohead mais aucun morceau ne me fait penser à du Linkin Park. Pour évoluer le groupe a donné son âme au diable, ou à dieu sait qui. Linkin Park n'étant plus Linkin Park, voyons combien de temps le groupe tiendra avant de disparaitre de la circulation.

Le 28 Octobre 2010 par NICHOLAS

J'ai acheté l'album cet été, surpris de voir une nouvelle sortie officielle du groupe et intrigué par leurs diverses apparitions à la télévision lors des festivals. Depuis l'album tourne en boucle dans ma platine, il n'y a pas une semaine où je ne l'écoute pas. Cet album est magique, l'ambiance est magnifique, comme décrit dans la chronique. Je ne connaissais pas la moitié des titres, ayant fait l'impasse sur "Everybody Else Is Doing It", mais maintenant je croirais entendre un best of tellement toutes les chansons sont belles et sublimement jouées. Un bijou, un disque en or.

Le 26 Octobre 2010 par FEELGOOD

Ce qui est remarquable avec les Stones, groupe ultra-médiatisé s'il en est, c'est que tout un chacun se sent obligé d'y aller de son commentaire plus ou moins négatif. Entre ceux qui leur reprochent de ne rien avoir enregistré de valable depuis Exile... et les autres, qui s'esbaudissent régulièrement sur leur nouvel album, à chaque fois le meilleur depuis Tatoo You ( à moins qu'il ne s'agisse de Some Girls ?), il y a de la marge...
Toute critique est respectable, à condition qu'elle s'appuie sur des arguments valables ainsi que des faits irréfutables.
It's Only Rock'n'Roll (rien que le titre, "Ce n'est que du rock'n'roll...) n'a justement rien d'un disque de rigides " gardiens du temple ", concocté par des puristes rétrogrades, "inamovibles rockers attachés aux principes premiers ". Le Stones cuvée 74 n'est rien de tout cela comme le démontrent les clins d'oeil au reggae ( Luxury ), à la Tamla ( Ain't Too Proud To Beg ) ou au funk façon Isaac Hayes/ Curtis Mayfield ( Fingerprint File ) .
Insister sur les talents d'écriture de Keith Richards à propos du morceau-titre se révèle terriblement ironique. Car si des gens se font plaisir sur cette compo, ce ne sont certainement pas les Stones... " It's Only R'n'R (But I Like It) est cette maquette réalisée à Londres dans la cave de Ron Wood, où Jagger a fait venir le batteur Kenny Jones et l'organiste Ray Cooper, plus son complice David Bowie pour les choeurs : ainsi le morceau-titre de l'album ne comporte ni Keith Richards, ni Charlie Watts, ni Bill Wyman." Le passage entre guillemets est tiré de l'excellent ouvrage de François Bon, Rolling Stones une biographie, Fayard, pages 557, 558.
Pour le reste, les deux faces du 33 tours originel s'achèvent sur un fabuleux plat de résistance, deux longs morceaux inspirés et ambitieux de plus de six minutes qui auraient pu avoir de nombreux petits frères si Mick Taylor n'avait pas quitté le groupe.

Time Waits For No One et son émouvante évocation du temps qui passe constitue un véritable tour de force. Une batterie métronomique pour commencer, suggérant l'écoulement inéluctable des secondes, des paroles belles et prenantes, et surtout d'amples développements instrumentaux permettant au prodige ( Mick Taylor, pas Keith Richards ! ) de se lancer dans des solos brillants et inspirés, rappelant évidemment le style du grand Carlos Santana...

Et puis Fingerprint File, en bout de face B, composition absolument unique dans la carrière du groupe, stupéfiant OVNI musical capturant le meilleur de la soul des années 70, Fingerprint File et ses excitantes parties de guitare rythmique, riffs typiquement richardsiens pourtant joués par Mick Jagger, Fingerprint File et sa fabuleuse ligne de basse tenue par Mick Taylor - Wyman se contentant de tripoter un synthé et Richards assaisonnant le tout de pincées de guitare wa-wa - , Fingerprint File et la frappe parfaite, coups de cymbales compris, de Charlie Watts, Fingerprint File et ses paroles fiévreuses empreintes de paranoïa sur lesquelles plane l'ombre du Watergate et la face sombre de la récente histoire américaine!

It's Only Rock'n' Roll est le dernier album enregistré avec le brillant Mick Taylor... Un Taylor qui compensait comme il le pouvait l'absence créative d'un Richards perdu dans les paradis artificiels. Par la suite, les solos virtuoses seront remplacés par la bouillie indifférenciée que l'on sait.
Il ne s'agit certes que de rock'n'roll et le cru 1974, même s'il est souvent considéré comme un Stones mineur effectivement très en deçà des chefs-d'oeuvre passés, n'a heureusement pas grand chose à voir avec son fané prédécesseur. Et ne parlons pas de certains de ses "glorieux" successeurs...

Note : 3,5 sur 5.

Le 25 Octobre 2010 par MASTCARD

Mis à part Border Reiver, magnifique ballade japonisante au début mais belle et bien en hommage à l'Ecosse, les autres titres de ce Get Lucky ne m'ont pas transcandé.
C'est dommage, car il démarrait de la meilleure manière.

Le 23 Octobre 2010 par DEVIN TOWNSEND II

Lutain... je me disais "Tiens mais on dirait le chanteur du groupe de Hard Rock culte The Cult !". Et oui c'est bien lui sur 2 titres. Qu'il accepte de participer à un album électro prouve bien une chose : ces mecs de UNKLE ont une classe universelle.

Le 23 Octobre 2010 par JU DE MELON

Du très bon Vangelis, un album qui nous transporte très loin avec une émotion et une nostalgie très palpables.

Tout en délicatesse mais pas pour autant dénué d'une certaine puissance sur certains morceaux, cet opus est d'une fluidité d'écoute remarquable et ce malgré quelques légères longueurs.

Un grand coup de coeur pour les 3 premiers titres de l'album, vraiment excellents, mais aussi pour "Himalaya" qui malgré sa durée résiste à tous les écueils (il suffit de se laisser entraîner les yeux fermés).

Le 23 Octobre 2010 par BLUESURFER

Fini le néo-metal pour Linkin Park. Place à une pop-rock mièvre au possible, alliée à de la pseudo-éléctro stéréotypée et mauvaise (Le genre de son qu'on entend facilement dans toute boîte).

La quasi-totalité du disque est plate, fade et sans intérêt. Linkin Park se lance dans de l'expérimentation sans rien maitriser. The Catalyst démontre très bien cet aspect : Il n'y a absolument aucune esthétique, l'éléctro qui déboule de nulle-part pourrait même crisper un mort. Et encore, c'est à mon goût la moins pire, car disons-le carrément, si cette dernière est maladroite, le reste est franchement chiant.

Sans parler des morceaux à l'image de Robot Boy : Le piano est utilisé comme arme ultime de mièvrerie, seul instrument nageant dans le vide des compositions des gars de Linkin Park. J'imagine facilement le raccourci "Ballade = Piano" qui a dû germer dans leur tête.

Inutile de continuer à parler de cette innommable chose. Je finirai juste par la pochette : bâclée au possible, un gros foutage de gueule. Linkin Park semble avoir une inspiration proche de zéro, que ce soit graphiquement ou musicalement.

Le 21 Octobre 2010 par ALANKAZAME

LINKIN PARK a forgé sa popularité sur un parti pris assez audacieux, celui d'allier un hip-hop moderne à des sonorités metal, en se basant sur une alliance impromptue entre de gros riffs saturés et des scratches aux platines à tous les coins de refrains, et surtout sur un duo de chanteurs qui n'officient pas dans le même registre.
Puis c'est progressivement totalement parti en couille. Après un "Meteora" toujours aussi metal mais pas franchement convaincant, LP se met à la Pop Rock de bas étages avec un "Minute to Midnight" aussi puérile qu'indigeste, et maintenant, dans ce qui s'apparente à une véritable descente aux enfers, on a droit à de la pseudo electro expérimentale à deux balles...

Que les choses soient claires : ceux qui aiment l'esprit Rock'N'Roll en seront pour leurs frais. Sur ce que disque tout sonne faux, pour la simple et bonne raison que tout, de A à Z, est faux. Les sonorités sont synthétiques, fades, sans saveur, on se demande où sont passés les musiciens et Chester Bennington passe vraiment pour un gros con à gueuler piteusement sur des sons sans relief dont on se demande vraiment s'il sont l'œuvre du groupe.

Il ne s'agit pas ici d'une simple question de reconversion. On peut se reconvertir sans faire de la merde. Avec "Thousand Suns", LP ne fait pas de la musique, mais un produit commercial. N'est pas DAFT PUNK qui veut ! Au lieu de vaquer à leurs projets solo, Shinoda et Bennington feraient bien de reprendre LINKIN PARK en main. Parce que là je vois difficilement comment la platitude totale de leur musique et le vide intersidéral de leurs compositions pourra passer plus longtemps inaperçu aux oreilles des malheureux consommateur qui vont encore allier benoitement dilapider leur argent dans cette... dans cette merde il faut bien dire les choses comme elles sont !

Bref niveau technique : zéro, intérêt : zéro, créativité : zéro. 0/5. à peine de quoi faire de la musique de fond pour un restaurant McDonald.

Le 21 Octobre 2010 par VANNOORD

J'ai toujours eu un énorme faible pour BARCLAY JAMES HARVEST, ce depuis son premier album....C'est pour moi pratiquement le groupe de l'époque le plus régulier en terme de qualité dans ses albums, en studio ou en public...
Octoberon est un petit chef-d'oeuvre, du premier au dernier morceau. Il y a toujours eu chez BJH un sens de la mélodie hors du commun, qui devrait servir de modèle à tous ces pseudos-musiciens qui pensent que vomir sur un boum-boum , c'est de la musique... Les voix de John, de Les et de Woolly sont sublimes, touchantes, aériennes, jamais forcées et toujours en phase avec les morceaux dans lesquels elles s'insèrent..
OCTOBERON est un disque type de B J H avec les caractéristiques que je viens de décrire, mais peut-être celui avec la plus grosse touche de progressif , le plus abouti ...
Ra et Suicide dominent l'album de toute leur classe, mais les cinq autres morceaux frolent le parfait....
En conclusion, un cinq étoiles bien mérité pour un album- phare d'un groupe - phare....

Le 21 Octobre 2010 par PARCIMONIE

Cette comète traversant l'univers, libre et sans orbite d'aucune sorte, vous épuise jusqu'au tréfonds de votre être de part sa virtuosité à tous égards.
Franky, n'a pas eu, n'aura jamais la reconnaissance qu'il méritait.

Il faudrait au moins lui arriver à la cheville pour comprendre une petite partie de toute l'étendue de son art.

C'était un être, très rare, même chez les artiste, qui vivait pour son art, et non de celui-ci.

Ce qui me surprends lu plus, bien au-delà de ses immenses qualités artistiques, c'est son courage.

Mais, peut-être que l'un ne va pas l'autre.
Raison pour laquelle, il existe bien moins d'artistes que ce que l'on voudrait nous faire croire.

"Absolutely Free" ; comment mieux le définir ?

Le talent, n'est-il pas une glorieuse affirmation de soi même ?

C'est en tout cas ce je ressens en face d'un tel phénomène, inexplicable et inexpliqué.

Merci Frank, pour tout le mal et tout le bien que tu nous fais...

Le 21 Octobre 2010 par TERRY

Un très bon album, malgré des chansons un peu moyennes vers la fin ("Socialiste", "Petite"). Pas son meilleur, mais je l'aime beaucoup !
Et "Jonathan", "La Mère à Titi", "Putain de camion", "Allongés sous les vagues" et son délire vocal final, "Chanson dégueulasse" très drôle et "Triviale poursuite" sont des réussites. Soit la moitié des titres.

Le 21 Octobre 2010 par ANGEL D

Je m'en cogne du fait qu'il soit de la trilogie berlinoise ou pas.
Moi je n'ai pas encore approfondi "law" et "heroes" qui me semblent bien plus froid et difficile d'accès.

Bowie propose ici encore un autre "délire" qui ne plaira pas à tout le monde mais qui est incontestablement de qualité.
Travaillé et quand même accessible.

Mais la musique est subtile, les genres sont variées, pas de longueur : c’est frais, inspiré.Le chant aussi est magnifique.

Bref, la chronique le dit et raconte un peu tout : sonorités africaine, oriental, planante entrecoupé de titre un peu plus direct, rock, et conventionnel (enfin entre autres car chez bowie surtout à cette époque faut le chercher le conventionnel…) .

Je citerai l’efficace « DJ » ou le groove et la basse sont un modèle de composition…bandant.
Entre disco-funk et rock, il renvoie un « i was made for loving you » sorti la meme année au 10èm rang.
« red sails » est un titre bien rock qui scotch bien avec des sonorités à la guitare démente.

D’ailleurs les sonorités sont souvent démentes entre le travail de production et les musiciens, éclectique et inspirés.
De plus, Eno est pas loin, ca se ressent sur « red money » ou on retrouvera certaines sonorités similaire sur « achtung baby » de U2, 12 ans plus tard.

J’adore aussi le mal aimé « répétition », régal sonore un peu zarb et groovy à souhait ; « yassassin », entre ces sonorités oriental et ce doux parfum reaggae.

Bref, rien est à jeter.
On est dans un album de grande classe, un petit chef d’œuvre au dessus de la plupart des productions qui se faisait à la même époque.

Le 21 Octobre 2010 par ANGEL D

Et bien moi j'adore l'ambiance spéciale que dégage ce disque.
En particulier dans le début de l'album, jusqu'a "sweet thing" ou les titres doivent s'écouter pour ma part que dans l'ordre.

Bowie commence à mettre des éléments "soul" dans ce rock léger et subtile.
On le voit dans le titre "diamonds dogs" ou encore le triptyque "sweet thing-candidate-sweet sthing" qui alterne ballade et sonorité expérimental (la fin du titre, barré, est génial!)

La musique de Bowie est très personnel, c'est un génie un peu comme prince qui marie les différents styles avec finesse.

La face 2 me partage un peu plus.
"Rebel rebel" malgré un riff canon traîne en longueur, le funky "1984" est un vrai petit bijou.
En fait seul "rock n roll with me" ne m'intéresse pas vraiment. Un peu trop pop et facile.

Pour conclure, l’album n’est certes pas parfait mais est franchement bien pensé, bien foutu.

Le 20 Octobre 2010 par JOE SATRIANUS

Objectivement cet album vaut 3/5. Et oui Dark Panda c'est comme ça (je sais tu es fan, moi pas tout à fait, même si j'ai investi dans ce CD). Alors pourquoi? Et bien juste 3 parce que j'aime pas le chant" rappé" (c'est comme le gruyère, y a trop de vide, émotionnel s'entend) et on le trouve sur 2 morceaux (sur 9 vrais titres). 1er point noir... le deuxième étant la performance hyper décevante de Tom Yorke sur le 11e titre, qui en plus est coécrit par lui!!! Moi qui suit amateur de Radiohead (depuis le visionnage de l'Anime Ergo Proxy pour les curieux), je trouve ce titre vraiment insipide, le comble! Le reste du CD (j'y arrive) étant totalement jouissif, du Trip Hop de haute volée avec des envolées prog qui feraient tripper n'importe quel amateur de bonne zique dont je fais évidemment partie. Excellent pour découvrir le groupe, et même ce style!

Le 20 Octobre 2010 par ATOMDOOM

A part l'insipide "Angie" cet album n'est pas mauvais, inférieur aux précédents, mais loin d'être mauvais ou même moyen. Il est vrai que j'ai mis pas mal de temps pour apprécier pleinement la musique de ce disque des Stones - même chose pour "Black and Blue" - mais finalement on retrouve leurs influences habituelles dans les titres qui sont à mon sens un peu desservis par la production. De toute façon, tous les groupes avec une longévité exceptionnelle (ou pas) ne peuvent pas sortir que des chef d'œuvres et même leurs meilleurs albums ne font pas l'unanimité... donc un bon album quoique l'on dise. (véritable note : 3,5 sur 5).