Le 09 Novembre 2012 par TOM

Je trouve cette critique accablante, elle ne reflète pas du tout le goût de milliers de personnes, qui pourtant ont tout autant le droit d'avoir une opinion sur la musique.

Voici mon avis, je trouve cet album génial, il permet de bien s'éclater quand on fait la fête, la musique est hyper entraînante, et je trouve, originale. En tout cas c'est sûr que ça change des trucs de "vieux", qui ne sont même pas entraînants (car ils n'utilisent pas de sons modernes ou rapides).

Moi je dis bravo à l'ARTISTE Carly Rae JEPSEN pour son talent et ses chansons.

	Par Forces Parallèles Hello, la plupart des groupes ici chroniqués plaisent à des milliers voire des millions de personnes. Ton avis ainsi que celui du chroniqueur, à la même valeur que celui de tout autre amateur de musique. Le boulot d'un chroniqueur est cependant d'essayer de guider les pas d'une personne qui souhaiterait découvrir tel ou tel artiste. A ce titre, la chronique peut en cas de déception - comme c'est le cas ici - se transformer en critique. Cela n'empêchera pas tout le monde d'avoir une opinion, "génial" pour toi, et c'est respectable. En revanche, permet moi de mettre un bémol à ta rude présomption de distinguer "les trucs de vieux" - Mais de quoi parles-tu ? Ou pire de "quand" ? -, des autres. Seuls les sons modernes ou rapides seraient "entrainants" ? Allons...! Bref, il y a du bon partout, dans le neuf, dans le vieux. Sois en certain ! Keep on rockin ! Bien à toi Erwin

Le 09 Novembre 2012 par LEO

Destroyer est généralement considéré comme un 'classic' dans la longue discographie de KISS, mais pour moi il s'agit plutôt de leur 1er faux pas en studio.
S'acoquiner avec Bob Ezrin n'était certainement pas la meilleure idée vu l'égo du bonhomme et sa mainmise sur les compos des artistes qu'il a produit!
On peut se rendre compte de l'ampleur des dégats dès l'intro interminable du titre d'ouverture, qui de plus, est blindée d'effets inutiles!
"Detroit Rock City" est pourtant un morceau qui a de la gueule, tout comme le titre suivant: "King Of The Night Time World", mais ce sont bien les 2 seuls morceaux que je sauverai de cette première partie de l'album car dès le lourdeau "God Of Thunder", les choses se gâtent!
Cette compo de Stanley devait être chantée à l'origine par son auteur mais Ezrin exigea que ce soit Simmons qui s'y colle, pour soit-disant coller au mieux au thème de la chanson!!!
Perso, je préfère de très loin la demo chantée par Paul Stanley (que l'on peut retrouver dans le coffret 5 CDs paru en 2001) par rapport à la version Simmons qui est sur Destroyer. Non seulement le rythme est bien plus alerte sur cette demo (alors qu'elle est ici ridiculement pachydermique) et elle n'est pas encombrée de tous ces effets gogo-gadgets à la noix signé Ezrin! ....sans parler de la voix monstrueusement débile (ou débilement monstreuse) de Gene!
Quand à "Great Expectations" et au tristement célèbre "Beth", je zappe direct tellement ces 2 trucs mielleux et pompeux m'ont toujours filé la nausée!
Je préfère déjà nettement plus "Flaming Youth", "Sweet Pain" et "Shout It Out Loud" qui, bien que souffrant d'une production et d'arrangements édulcorés de la part d'Ezrin, sont déjà plus 'rock' dans l'esprit même s'ils manquent la magie et le grain de folie qui animait le groupe sur ses 3 premiers albums.
Je ne reviendrai pas sur l'écoeurante sucrerie "Beth", reste donc le risible et nullissime "Do You Love Me?" de Paul Stanley et le bouche-trou final sans nom (toutefois intitulé "Rock And Roll Party" sur la récente réédition en 2012) pour clôturer ce 4ème album de KISS.
Pour résumer, on a donc 2 très bons premiers titres (malgré le 1er entâché d'une longue et inutile introduction) et 3 morceaux sympathiques (mais pas pleinement aboutis). ça fait pas bézef au total !!! je mets 3/5 car pour moi "Destroyer" ne mérite pas plus malgré son statut 'mythique' totalement injustifié!

Le 09 Novembre 2012 par FEELGOOD

Alors que ses trois excellents premiers albums se ramassèrent commercialement parlant - au point de mettre en péril l'existence même de Casablanca, sa maison de disques - ce laborieux Destroyer, successeur du remarquable Alive!, reste l'album studio le plus apprécié de Kiss, le plus "grand public", surtout...
Peter Criss est le seul membre du groupe à figurer sur Beth, qui date de l'époque Chelsea, son combo pré-Kiss. Face B du 45 tours Detroit Rock City, cette ballade violoneuse et lacrymale devint un gros hit à partir du moment où les programmateurs radio s'avisèrent de retourner le disque. Par la suite, le single ressortit avec Beth en face A. On imagine avec ravissement la tête de Messieurs Stanley et Simmons, dans la mesure où il était alors de coutume de reléguer en face B les morceaux considérés comme foireux... Mais Criss n'avait-il pas menacé de quitter le groupe si sa ritournelle n'était pas publiée ? Beth n'en demeure pas moins le plus gros tube américain du Baiser...
Destroyer démarrait pourtant en beauté, sur les chapeaux de roues de ce tonique Detroit Rock City, seul morceau véritablement transcendé par les effets de production de Bob Ezrin, et sans doute ma composition préférée de Paul Stanley, toutes périodes confondues. L'introduction, permettant à Ezrin de mettre en application sa théorie de la "surcharge auditive", fait la part belle aux bruitages divers, et même le plus bouché des auditeurs visualise le protagoniste en train de démarrer son véhicule dont l'autoradio diffuse la version live de Rock'n'Roll All Nite. Jamais sans doute la batterie de Criss n'a été aussi bien captée que sur ce mythique Detroit Rock City, sans oublier l'évocateur solo de guitare d'un Frehley inspiré. Le crash final et l'enchaînement avec le très bon King Of The Night Time World de Kim Fowley constituent assurément un grand moment !
Le potentiel indéniable de God Of Thunder, l'un des futurs chevaux de bataille scéniques du groupe, est gâché par la surproduction peu avare de bruitages foireux. On y retrouve les enfants de Bob Ezrin, ceux-là mêmes qui sanglotaient sur The Kids, l'un des titres les plus éprouvants du Berlin de Lou Reed. God Of Thunder, composé par Stanley, semble avoir été taillé pour le Démon et demeure indissolublement lié à la personnalité de Gene Simmons. Avec un plus gros son de guitare, et la voix de Gene placée plus en avant, God Of Thunder aurait pu être carrément dévastateur...
Le reste s'avère moins intéressant. Le kitschissime Great Expectations, indigeste pièce montée flanquée d'une chorale de gosses, met en avant un Gene ridicule et même carrément niaiseux. Le Flaming Youth de Stanley, autre compo au potentiel mal exploité, donne dans le glam de seconde zone. Sweet Pain, oeuvre d'un Simmons décidément très en retrait sur ce disque, même flanquée de choeurs féminins et agrémentée d'un solo de Dick Wagner, ne décolle jamais.
On passera sur Shout It Out Loud, tentative maladroite de refaire le coup de Rock'n'Roll All Nite, en plus pop et en plus forcé. L'album s'achève sur Do You Love Me, hymne poppy et racoleur, pas désagréable mais loin d'être indispensable...
En ce qui concerne les albums studio, on est en droit de préférer à ce Destroyer les trois premiers disques du groupe au son si délicieusement pourri, et certaines oeuvres postérieures comme ce Love Gun de 1977 excellemment produit par Eddie Kramer.

Le 08 Novembre 2012 par IEN

Super disque ! La griffe Neil Young est bien présente sur chaque titre et on sent un groupe que joue avec plaisir.
Les quatre premiers titres sont vraiment fameux, ensuite certains titres sont un peu moins bons. Mais c'est un vrai plaisir d'écouter cet album de reprises.

Le 07 Novembre 2012 par POWERBEAUF

Sans être des chefs d'oeuvre de RUSH, "Grace Under Pressure" est un album très solide et unique par sa production délibérément glaciale. Personnellement, j'adore le son de ce disque ainsi que le jeu d'Alex Lifeson (en particulier ses solos "rythmiques" bourrés de classe alors que la vague des shredders vient d'être lancée). De plus, la moitié des titres touche au génie : le merveilleux "Distant Early Warning", le mésestimé "Afterimage", l'émouvant "Red Sector A" et l'implacable "Between the Wheels".

Malheureusement, les 4 autres chansons n'atteignent un tel niveau. L'originalité a beau être de mise (cf la rythmique reggae de "The Enemy Within"), la prise de risque n'est pas toujours très heureuse et ces titres sont logiquement tombés dans l'oubli.

En bref, un album couillu qui mérite bien ses 4 étoiles.

NB : le groupe n'a jamais été satisfait de la production de ce disque, et Geddy Lee a récemment confié dans "Rock Hard" qu'Alex Lifeson s'attèlera sans doute à un remixage dans un avenir plus ou moins proche.

Le 06 Novembre 2012 par ANGEL D

Toujours surpris de voir aussi peu de commentaire pour Hendrix.

Je suis d'accord avec Georges IV.
Ce premier album contient 6 bonus, ce qui casse un peu l'unité de l'oeuvre, (c'est à cause de sa sortie avec l'édition uk et us différentes ou on a depuis ici réuni les titres qui différait en y ajoutant également quelque face b ).

J'ai donc peut être une préférence pour les album suivants et j'ai mi du temps à apprécier celui ci mais franchement, difficile de faire la fine bouche quand on regarde bien.

Hormis les classique « purple haze » avec son riff heavy avant l'heure, le sexuel et rock n roll « foxy lady » et la reprise « hey joe » ou je reste moins fan, le reste contient du lourd.

Des titres direct et accrocheur comme « fire » , un rock qui dépote quand à « can you see me », plus enjoué et pop.

« May this be love » préfigure déjà les ballade magique comme "little wings" ou "castle made of sand » .

On à aussi des titres plus riche et moins saisissable à la première écoute comme « manic depression », love or confusion », et l'énorme « i don't live today » qui montre déjà la polyvalence du jeu d'hendrix et annonce aussi ses futurs album.

Quand à « third stone from the sun » et « are you experienced ?, » ces morceaux confirme qu'Hendrix est en avance sur son temps et qu'il reste un guitariste unique,

D'ailleurs ces morceaux son bourrés de trouvaille à la guitare.

Il faut aussi souligner globalement le jeu jazzy de Mitch mitchell à la batterie qui fait un bon travail.


Les bonus sinon apporte aussi de belle chose comme le heavy « highway chile»

Bref, à part « remember » qui me semble anecdotique et quelques titre dans les bonus moins dispensable, le reste est énorme.

5/5 pour l'album original et ses 11 titres.
4/5 pour le disque remasterisé 17 titres.

Le 06 Novembre 2012 par THIBAULT

Cet album est en effet excellent et délivre un beau patchwork de la musique noire d'hier, d'aujourd'hui voire de demain. Parfois, on est même plus proche du trip-hop comme pouvait le développer Massive Attack dans ses premiers albums que du jazz. Aussi, si je voulais poster un commentaire, c'était pour signaler une petite erreur dans la chronique. En effet, les 10 premiers morceaux ne constituent pas tous des compositions originales. Afro Blue est un standard du jazz composé par Mongo Santamaría et repris par tout un tas de grands noms (John Coltrane et d'autres..).

	Par Forces Parallèles Cher Thibault, Merci pour le signalement de cette faute impardonnable! Au risque d'enfoncer le clou contre moi-même, mon erreur ne concerne pas uniquement "Afro blue", puisqu'il semblerait que "Cherrish the Day" soit une reprise de Sade. Musicalement, Maniac Blues

Le 06 Novembre 2012 par MOMOHEARTBREAKER

Pour moi, je suis à 100% d'accord avec le chroniqueur.
Vous aussi d'ailleurs dans le fond. Car à vous lire vous êtes tous d'accord pour dire que la musique proposée par les Red Hod vous sert uniquement de musique de fond pour animer vos soirées ou vos après midi de sieste ensoleillée.
Bah moi, je trouve que pour un groupe du potentiel des Red Hot, c'est lamentable de finir comme cela. Ou est la passion, l'énergie ? Envolée !
Pourtant ça fait 20 ans qu’ils sont blindé ! Il pourrait se faire au moins plaisir à eux-mêmes.
Bref, désolé mais ma discographie n'a pas vocation a finir en musique d'ascendeur...
1/5 car le 0 pointé n'hésite pas.

Le 06 Novembre 2012 par ATP

J'aime beaucoup cet album, certes pas évident à la première écoute mais qui est excellent une fois pris le temps de l'apprivoiser, rien à jeter dessus. Un des plus intéressants de la première période d'Eno!

Le 06 Novembre 2012 par BAYOU

Et c'est en live qu'il faut voir la dame !

Grande tournée française au printemps 2013

Le 06 Novembre 2012 par BAYOU

Mon cher Hugo, je ne dis pas que Tempest est le meilleur album de DYLAN depuis X ou Y mais qu’il fait partie des « grands DYLAN ».

En ce qui concerne l’absence de la période « Slow Train » patience, la discographie de DYLAN est importante, et il faut du temps pour la chroniquer.
Ceci posé, je pense que Oh Mercy ou les Basements Tapes sont prioritaires, mais chacun voit Dylan à sa porte !

Enfin, tu évoques les Traveling Wilburys, réunion pour le fun de grands musiciens, et en effet ce groupe a sorti de véritables perles sur ces deux CD ; On y reviendra!

Le 06 Novembre 2012 par DOCMAN

Personnellement, j'adore cet album que je me ressors régulièrement. Orzabal a réussi a moderniser la musique de Tears For Fears qui sonnait très 80's et offre un album plus pop et accessible mais tout aussi mélodieux que les précédents. Ce virage annoncera d'ailleurs le très bon Raoul and The King of Spain. Quel dommage qu'Orzabal ne soit plus aussi productif, il a une telle voix...

Le 06 Novembre 2012 par ILôNIL

Belle découverte que cette brunette qui se met à rivaliser avec les blondinettes du genre ! Elle semble avoir hésité d'ailleurs : châtain, blonde, brune, parfois les deux, les expériences capillaires sont l'image de la belle en devenir. Mais il semblerait qu'avec l'âge et cet album elle ait choisi son camp, en témoignent "Baddest blues" et "Caught out in the rain", deux titres qui révèlent, pour moi, la véritable couleur de l'artiste... Album qui le vaut bien donc ! J'achète !

Le 05 Novembre 2012 par HUGO

"La question n’est pas vraiment de savoir si Tempest est le meilleur album de DYLAN depuis, depuis lequel au fait ?"

Depuis Modern Times peut-être ?

Je n'ai pas eu l'occasion d'écouter cet album en entier mais je trouve un peu dommage que ce site se contente de la "grande période" de Dylan et oublie le petit bijou qu'est "Slow Train", le plus que passable "Infidels", le génial "Modern Times" cité plus haut et tout simplement l'ensemble des années 80 (OK, je sais, il y a plus motivant comme période mais tout n'est pas à jeter). Au passage, Bob a aussi joué dans un groupe avec Harrison et Tom Petty (entre autre) avec lequel il a enregistré un petit chef d'oeuvre méconnu qui s'appelle "Tweeter & The Monkey Man"...

Le 05 Novembre 2012 par LE STO

Exact, moi j'ai enlevé Driftin Back qui tourne en rond, Psychedelic Pill pas très réussie et Born In Ontario dont le refrain me gonfle. Du coup, j'ai un joli album d'env 50 minutes auquel on peu, cette fois sans complexes, mettre un 4 étoiles.

Le 05 Novembre 2012 par BLAME!

C'est quoi cette manie de coller des 5/5 à presque tous les albums du DTP ? On doit pas avoir le même système de notation, mais quand on s'amuse à utiliser la note maximale tous les deux jours, ladite note ne veut plus strictement rien dire.

Concernant cet album, il n'est pas si mauvais. On s'attendait presque à un "Addicted 2.0" vu le line-up, mais la recette est ici beaucoup plus sucrée, au risque de provoquer des indigestions.
Townsend tombe ici dans la facilité, avec toute une palette de tubes et de ballades agançantes, le tout noyé dans des choeurs omniprésents. Sans parler du choix discutable de releguer Anekke au rang de figurante.

On retiendra "Liberation", "Grace", "More!" et à la limite la reprise de "Kingdom".

Le 05 Novembre 2012 par BENNETT

Effectivement, cette reformation inespérée du duo principal de TFF s'avère des plus goûteuses : agréable à souhait, plus léger que ses prédécesseurs et bardé de tubes.

Pas forcément impérissable, mais pas honteux non plus dans leur discographie. A découvrir surtout pour les fans de Seeds of Love auquel il ressemble pas mal musicalement.

Le 05 Novembre 2012 par EL PACHENKA

Album qui n'est pas à priori mon préféré mais que j'adore ouvrir avec "Johnson's Aeroplane". C'est un morceau incroyable, lancinant, sombre, nerveux. "Love Is (What I Say?)" suit très bien en tant que balade new wave pour insomniaques.

Le 04 Novembre 2012 par LIL' JACK

Superbe : Heavy, Hard, encore Progressif. Pour moi, c'est leur meilleur album

Le 04 Novembre 2012 par DAVID

Seulement 3/5 à Get Yer Ya-ya's Out, Exile on main Street, Some Girls, 2/5 à Goat’s Head Soup... y'a un vent de révisionnisme sur NFP ou je m'y connais pas !
Get Yer Ya-ya's Out est un live cradingue à souhait, rock 'n' roll, tellement naturel et spontané, ça pue la défonce à 10 mètres ! Certes, tout n'est pas parfait, la version de Street Figthing Man aurait pu être bien meilleure, 2 reprises, c'est un peu trop. Mais Jumpin' Jack Flash, Stray Cat Blues, Love in vain, Midnight Rambler et la version crade (presque punk) de Live With Me compensent largement. Ces versions là sont inédites, car les Stones ne les rejoueront plus dans cet esprit là sur les live suivants, qui seront surement plus "pro", travaillés, propres et "big band" ! Sale, rock 'n' roll... en un mot, tellement Stones !