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MUSE
ORIGIN OF SYMMETRY


Le 13 Mars 2009 par DREAMER_DECEIVER


Bonsoir,

D’entrée « New Born » annonce la couleur, lente montée introductive en pente douce mélangeant mélodie et électronique avant que de gros riffs bien rock hyper massifs viennent cueillir l’auditeur comme une fleur et le catapulter violemment dans une ambiance sonore riche et puissante.

Le titre se déroule sur plus de six longues minutes épiques sur un rythme rapide, des riffs en acier et un chanteur jouant à l’extrême de sa voix aiguë sur le registre quelques fois répétitif des émotions à fleur de peau.

Les mélodies de clavier, futuristes, froides et entêtantes apportent un joli coté spatial et aérien à « Bliss » , la plus belle réussite de cet album pour moi.

Muse c’est en effet cela de superbes effets mélodiques électroniques soutenant une massive charpente de riffs de rock lourd quasi métalliques.

Et puis point faible ou fort selon les sensibilités, ce chanteur, qui en fait beaucoup il est vrai, qu’on peut quelques fois trouver fantastiquement émouvant ou terriblement irritant par son coté vaporeux quasi permanent.

« Plug me baby » sent le tube à plein nez avec son petit format, son refrain irrésistible et ses grandes montées emphatiques.

« Micro Cuts » est un titre hors norme, presque monstrueux, avec ses lignes de chant à la fois très hautes, très puissantes et très mélodiques.

Je connais peu de chanteur de rock capable de telles prouesses.

« Feeling Good » lui aussi ahurissant , surfe sur une ambiance retro apportant un groove particulièrement efficace avec encore une fois un chant de très haute tenue.

Le principal reproche de cet album ? Peut être une certaine linéarité … Le groupe a trouvé une formule certes magique et l’applique sans coup férir sur 12 titres avec quelques légères variations.

Beaucoup d’effets, beaucoup d’emphase (surtout vocalement) même si il faut bien reconnaître en toute objectivité que la voix de Matthew Bellamy est exceptionnelle, peut être devrait il plus varier son style de chant pour quelques fois surprendre et donner plus de relief à l’ensemble.

Malgré ses légers reproches, le résultat est globalement impressionnant de densité et de maîtrise, ne présentant aucune faille.

A mes yeux la formule très enrichie proposée par le groupe fonctionne et apporte véritablement du sang neuf à une scène rock qui peine à se trouver de grands leaders.

Ampleur, ambition, efficacité, sensibilité, Muse a tout ça et a su se forger son propre style au milieu de la meute habituelle de médiocres suiveurs.

Leur immense succès est tout à fait mérité pour moi.

Dreamer_Deceiver





Albert KING & S.R. VAUGHAN
IN SESSION


Le 12 Mars 2009 par TIPO


Diapason d'or...et contrairement à certains pseudo labels de qualité, cela veut dire quelque chose...
l'enregistrement est d'une rare qualité...
sinon, la reunion de ces deux grands ne pouvait que donner un disque absolument magnifique, les intermèdes entre les chansons durant lesquels les artistes plaisantent sont là pour nous faire apprécier d'autant plus l'écoute!!
superbe!!!!!!!!





John COLTRANE
A LOVE SUPREME


Le 12 Mars 2009 par EFFREET


A love suprême est sans conteste le meilleur album du grand Coltrane (mais pas mon préféré).
D'une beauté incommensurable, on vit la musique de Coltrane (à l'instar de Miles Davis) et il nous emmène dans des contrées nuageuses suintant la liberté.
Ce disque est lumineux, ce disque est brillant, ce disque est Coltrane!





Les COWBOYS FRINGANTS
SUR UN AIR DE DÉJÀ VU


Le 09 Mars 2009 par CHTITE_MOON


Cet album c'est un merveilleux cadeau. C'est du J-F Pauzé comme on l'aime. Quand on est fan on ne peut que l'aimer comme on a aimé les précédents.
Je dirai tout de même que je trouve la chronique très bien écrite.





The STOOGES
THE STOOGES


Le 08 Mars 2009 par DREAMER_DECEIVER


Bonsoir,

Chronique en réécriture ? Alors autant faire le boulot d'intérimaire.

Commencer par parler de musique avec le premier album des Stooges est un bonheur inestimable. En effet « The Stooges » est pour moi un véritable album culte, de ceux qui changent la vie de millions de gens et laisse une empreinte indélébile dans le monde de la musique.

L’objet date pourtant d’un âge reculé que je n’ai pas connu, 1969, à l’orée des années 70, époque où la musique rock comme beaucoup d’autres courants artistiques bénéficiait de l’incroyable élan de liberté et d’ouverture culturelle qui soufflait sur les sociétés occidentales.
Malgré cela cet album est souvent considéré comme le père géniteur du punk et du garage rock.

Le ton n’est donc pas celui d’hippie perdu dans ses rêves enfumés et utopiques de sociétés nouvelles mais plutôt de jeunes voyous d’une ville industrielle (Détroit), exprimant leur mal-être social avec rage et désespoir sur fond de chômage, violence et défonce.

D’ordinaire je n’aime pas trop la musique des années 60, je la trouve aseptisée et vieillie.
Certes le son ici sonne daté et la production n’est pas surpuissante mais la qualité de la musique tout bonnement phénoménale compense largement ces quelques défauts technologiques.

D’entrée on est capté par l’intensité de la musique, séduit par le rythme saccadé, sourd , martelé et en même temps très entraînant de « 1969 ».
Deux frères, Ron et Scott Asheton, viennent d’inventer un nouveau son rock puissant, menaçant et lourd sur lequel un jeune chanteur excentrique du nom d’Iggy Pop chante son mal-être d’une voix traînante et nasillarde.

Vient ensuite « I wanna be your dog » , sans doute la meilleure chanson de punk-rock jamais écrite. Un riff infernal, vicieux, hypnotique, irrésistible, répété cycliquement comme les assauts de vagues déferlant sur les falaises d’une raison vacillante, des paroles complètement destroy, flirtant avec le sado-masochisme, le sexe et la démence assénées avec rage, ce bruit de clochette permanent rajoutant cet infime supplément de groove faisant basculer les derniers vestiges de raison du coté tellement tentant de la folie pure…
Comment s’étonner ensuite que ce titre demeure l’un des plus repris de l’histoire de la musique ?
Les Stooges alors gamins, ont tout simplement réussi le tour de force d’écrire le morceau parfait, le morceau intemporel qu’on oubliera jamais et que des générations entière de jeunes groupes reprendront au fil des années.

Le titre suivant « We will fall » casse complètement le rythme, révélant une autre facette moins évidente du groupe en plongeant l’auditeur dans une sorte de rêverie morbide et glaçante de plus dix minutes, véritable chant mortuaire invitant à la méditation, au recueillement et à une plongée dans les tréfonds de l’âme humaine…
Impossible de ne pas sortir ébranlé de ce long et terrible voyage dans l’au delà.

« No fun » renoue avec une dynamique rock plus rapide, là encore ce morceau contient un rythme irrésistible, presque guilleret et sautillant malgré des textes négatifs et volontairement à contre-pied de la musique. La deuxième partie de la chanson fait la part belle à de féroces rugissements de guitare auxquels répond la voix d’Iggy par de violentes harangues.
On est à la moitié de l’album et déjà on a écrit une nouvelle page de l’histoire de la musique avec une pluie de titres cultes.

L’album continue ensuite de dérouler sa formule ravageuse basée sur le son crade et rugueux de la guitare d’Asheton et la voix animale d’Iggy.
Dernière entorse à cette formule magique, le groupe sort une deuxième ballade particulièrement éthérée et glauque « Ann » où l’auditeur se retrouve une nouvelle fois enlisé dans un univers aussi poisseux que vénéneux. A cette occasion Iggy Pop révèle toutes les palettes de son organe vocal.

Alors on peut toujours faire la fine bouche, chercher des faiblesses à ce disque, cela reviendrait pour moi à traquer avec acharnement des bourrelets de graisse sur le corps-liane d’Iggy Pop. Cet album est parfait pour moi, extrêmement inspiré, sans une once de superflu, terriblement court et efficace comme un crochet à la mâchoire ou un uppercut au foie. Un album à écouter en boucle pendant des années sans se lasser en se demandant quelques fois avec envie comment « Ils » ont fait pour composer cela.

Assez ironiquement à l’époque les ventes furent ridicules, la critique peu habituée à ce type de personnages descendit le groupe, le trouvant ingérable et outrancier. Pourtant il plane assurément sur le premier album des Stooges le souffle invincible de l’Histoire.
Ron Asheton mort en 2009, aura accompli beaucoup plus dans sa vie que la presque quasi totalité des mortels et laissera avec ce disque sa marque enflammée dans le Hall of Fame des légendes du rock.





Albert KING & S.R. VAUGHAN
IN SESSION


Le 06 Mars 2009 par SISCO


Voilà un album que tout fan de blues se doit de posséder. Il y a beaucoup de live pirate de Stevie Ray Vaughan depuis son décès mais ce live avec Albert King surpasse quasiment tout. Ne serait-ce que pour Blues at sunrise et ses 15 minutes de folles guitares, de jam fiévreuse, de feeling extraterrestre... avec un son parfait. Mais les 11 morceaux de cette session justifient l'achat du disque. Comme l'écrit si bien Maniac Blues, le Pride and joy prend une belle tournure avec le phrasé d'Albert King, voire une certaine énergie, si cela était encore possible sur ce classique déjà assez pêchu. Rencontre magnifique que les mecs aux manettes ont eu l'intelligence de livrer brute avec ses petites conversations entre morceaux. Un petit bonheur.





PINK FLOYD
THE DARK SIDE OF THE MOON


Le 06 Mars 2009 par DONCHA


Alors cet album, c'est toute une histoire !
C'est le deuxième album de Pink Floyd que je me suis acheté (le premier étant THE WALL). Je connaissais sa réputation, notamment sa place dans le podium des plus grandes ventes, néanmoins le succès ne fait pas la qualité, c'est bien connu ^^.
Mon appréciation face a cet album a 3 étapes.
Lorsque je l'ai découvert, je l'ai vraiment adoré, puisque The Wall m'avait plu, mais pas conquis. Des chansons « Rock », des intrumentaux, bref génial.
Puis, comme Juan, je l'ai moins écouté, au profit des autres que je venais d'acquérir, les instrumentaux ne m'intéressait plus, « Money » & « Brain Damage + Eclipse » trop écoutées, etc..
Puis, j'ai eu TOUS les PF (sauf « The Final Cut» & « The Division Bell »), et puis je l'ai mieux réécouté, et ! En une seule traite, dans mon lit "peinard" quoi.. Et TDSOTM m'a reconquis ! « Speak To Me » qui nous envoie « Breathe » totalement planante, agréable, magique. « Time », les paroles, le solo, l'intro, la voix, la reprise de Breathe, TOUT est splendide ici, enfin bref, je ne vais pas tout décrire, je ne suis pas un chroniqueur 8)

Donc je lui mets sa place mérité de 5/5 =D





YES
YESSONGS


Le 06 Mars 2009 par TORPOEPFOOOOOOOO


Un triple Live pour l'époque il fallait le faire.
Seulement le son est fort bourbeux, on est loin du Made In Japan de Deep Purple ou du Live ad Leeds des Who.
D'accord c'est jamais possible de reproduire le même son qu'en studio, mais là c'est exagéré, en plus les interprétations sont loin d'être du même niveau, à peine si on reconnait la voix de Anderson.
Sinon j'adore Yes surtout entre 71 et 77 (la vraie époque).





HAWKWIND
DOREMI FASOL LATIDO


Le 06 Mars 2009 par KOV666


Très bon album, très planant mais très rock aussi. C'est particulier comme style mais si on accroche c'est une magnifique expérience en dehors du temps.





Rory GALLAGHER
IRISH TOUR


Le 06 Mars 2009 par JF LE COADOU


Rory gallagher parvient dans cet album à éviter l'écueil de nombreux disques de blues , à savoir un côté un peu ennuyeux et répétitif;
Sans doute grâce à son style pourtant assez "traditionnel" mais rugueux et fougueux .
Très bonne qualité d'enregistrement.





DIRE STRAITS
LOVE OVER GOLD


Le 06 Mars 2009 par CORD


Leur meilleur album : des morceaux élaborés, longs, planants avec la guitare de MK. What else?©





DIRE STRAITS
ON EVERY STREET


Le 06 Mars 2009 par CORD


Cet album est un peu entre deux chaises : c'est du Dire Straits réchauffé (ou classique pour être plus poli), mais de qualité avec un son superbe. Calling Elvis est le meilleur morceau de l'album je trouve.





DIRE STRAITS
BROTHERS IN ARMS


Le 06 Mars 2009 par CORD


Je pense que la note est un peu trop basse, même si ce n'est pas leur meilleur album (le meilleur étant Love Over Gold pour moi).
Je trouve que les "longueurs" sont excellentes, et je me demande si la fin de Why Worry? ne servait pas à combler la face A du vinyl (y avait-il encore les contraintes de longueur par face?), en tout cas ça rend le morceau plus planant.





GENESIS
TRESPASS


Le 06 Mars 2009 par SB


C'est marrant EFFREET ! "Stagnation" est ma préférée du disque !





The PRODIGY
THE FAT OF THE LAND


Le 02 Mars 2009 par SEIJITSU


Ce 3ème opus des Prodigieux n'est pas aussi bon que Music For Jilted Generation, mais il reste un excellent album de Big Beat et d'electro rock par la même occasion.

Et là aussi je trouve la note injustement sévère, car certes comme l'a dit SASKATCHEWAN, si on peut chipoter sur certains points de cet album, il reste un album majeur de la musique électronique des années 90.

Les tubes Smack My Bitch Up, Firestarter et les planant Narayan et Climbatize. Bref cet album tient la route de A à Z et offre de grands moments de puissance et nous envoûte dans une frénésie de beats lourds et incisifs.

Bref un disque franchement génial.

Note: 4.75/5





The PRODIGY
MUSIC FOR THE JILTED GENERATION


Le 02 Mars 2009 par SEIJITSU


Le groupe n'est que rock dans l'esprit certes, néanmoins ce Music for Jilted Generation est un excellent album d'électro.

Très sombre, il se veut à la fois contestataire (le brûlot Their Law) et dansant (No Good), on assiste aussi à un formidable mélange des genres ce qui en fait un album varié et long.
Peut-être bien pour moi le véritable album de la génération X, oui le Nevermind de Nirvana peut aller se rhabiller (ho ho le blasphème !).

Le 3/5 me paraît bien donc sévère, car nous sommes en présence d'une pure bombe si je peux me le permettre. Je rends donc justice à cet album qui me semble bien trop sous-estimé dans cette chronique !

Note: 4.75/5





The PRODIGY
THE PRODIGY EXPERIENCE


Le 02 Mars 2009 par SEIJITSU


Je comprends tout à fait la note de Chipstouille, mais malgré le fait que ce CD a beaucoup vieillit je le trouve doté d'une certaine folie et d'une originalité que ne posséderont pas les albums suivants du groupe.

Un très bon album donc pour moi qui malgré les années me fait toujours autant bouger la tête.

Note: 4.25/5





VAN DER GRAAF GENERATOR
STILL LIFE


Le 01 Mars 2009 par SMOUTHY


Van Der Graaf Generator... Avec un nom comme ça on sait pas trop à quoi s'attendre avant de déballer l'objet, et je ne m'attendais certainement pas à un tel résultat. Un album tout simplement splendide, bluffant, énorme, enfin tout ce que vous voulez quoi (et encore ces mots ne sont pas assez fort pour représenter l'album). Rien que pour la voix de Peter Hammill cet album vaut le coup (c'est dingue comment ce type arrive à moduler sa voix dans tous les sens, et du coup à faire passer un panel d'émotions assez bluffant). Et la ligne de sax au début de My Room, c'est trop la classe ! Le titre qui, je trouve, ressort le plus du reste de l'album (mais alors de peu parce que tout est génial) est Childlike Faith In Childhood's End, surtout pour la rythmique en fait que je trouve trop bien avec ses changements de tempo.
Dommage que la version live de Gog soit de si mauvaise qualité, sur des versions où l'enregistrement est plus propre (comme lors du live que l'on peut voir sur le site Fab Channel) on se rend contre que cette chanson elle est trop bien aussi ! Et on peut voir aussi sur ce live que Peter il doit être pas mal exigent envers les autres musiciens du groupe vu comment le batteur est méga concentré (surtout sur la fin du morceau).
Bref un album à posséder absolument, qui fait partie des meilleurs albums de rock progressif qu'il m'ait été donné d'écouter.





Alvin LEE
TEN YEARS LATER / ROCKET FUEL


Le 01 Mars 2009 par YAN LE COADOU


Pendant cette période de la fin des seventies, Alvin a alterné le pire et le meilleur !
A la recherche d'un nouveau souffle et d'une nouvelle formule, je ne suis pas sûr que ce soit avec ce "Ten Years Later" qu'il ait trouvé la solution. Manque d'inspiration et d'orientation, il allonge et gâte souvent la sauce, pour employer une expression culinaire !
Il trouvera en partie la solution du "power trio" quelques années plus tard avec Fuzzy Samuels à la basse et Tom Compton à la batterie. Les bootlegs que j'ai eu l'occasion d'écouter sont vraiment d'un très bon niveau et assez jouissifs. Au fond Alvin a toujours la nostalgie de l'ambiance des petites salles des débuts ! Dommage qu'il n'en ait pas profité pour renouer avec le Blues teinté de Jazz et de Rock des premières années du TYA quitte, faute d'inspiration, à aller puiser dans le répertoire des maîtres du genre.
Peut-être aussi à renouer avec une certaine simplicité en réécoutant la version initiale de "I Can't Keep From Crying Sometimes" !





ELECTRIC SIX
SENOR SMOKE


Le 28 Février 2009 par BUBBA


Ah ben ça fait plaisir de voir Electric Six chroniqué ! Un groupe complètement décalé ; c'est frais et drôle sans oublier d'être efficace. Pour ma part, je mets le premier album au-dessus de celui-ci. A quand la chronique d'ailleurs ?







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