Le 24 Décembre 2008 par DENKO

Coïncidence, il s'agit également pour ma part du premier album que j'ai véritablement écouté d'Oldfield. Le CD appartenant à mon père, il trainait sur son bureau et je m'en suis emparé.
Par conséquent les mélodies, simples mais dont le jeu de guitare de Mike apporte une profondeur incroyable, offrent à mon corps un petit frisson de nostalgie à chaque écoute.
Un commentaire un peu inutile, puisqu'à vrai dire la chronique de Mr. Ameforgée reflète exactement ma vision de ce CD. Néanmoins, je ne peux m'empêcher de repenser aux heures d'écoutes attentionnées, et je lui mettrai un tout petit point de plus en ce qui concerne la notation.

Le 23 Décembre 2008 par IEN

Je trouve cet album parfait, aucun titre faible, des instruments originaux, des paroles excellentes, une voix toujours aussi expressive.

Même si certains peuvent être rebutés par "La Mi Los" à la première écoute en raison de l'emploi du Bernois, je trouve personnellement ce titre magnifique.

Le 22 Décembre 2008 par JF LE COADOU

Par rapport au premier DOORS, L.A. Woman se remarque par la puissance qu'il dégage (peut-être en adaptation à la voix de Jim Morrison qui s'était durcie). Mais c'est un disque dont je me suis lassé et qui présente des longueurs ("L.A Woman"), mais aussi des moments sublimes comme "Riders On The Storm" à la fois cristallin, lourd et puissant.

Le 21 Décembre 2008 par DAVID

L'album d'Asia que je préfère, le 3ème, moins connu que les deux premiers car il n'y a pas Steve Howe dessus. Le nouveau guitariste a un jeu un poil plus hard et s'intègre sans problème, les claviers de Geoff Downes sont modernes, il n'a jamais été aussi inspiré. John Wetton n'a jamais aussi bien chanté, il s'est calmé sur la reverb sur sa voix et les mélodies sont moins cul-cul que sur les 2 premiers Asia. Le propos est plus sombre, plus ambiancé. Un très bon disque de rock FM.

Le 21 Décembre 2008 par LEO

Un peu le même problème que pour le premier album. La moitié du disque est vraiment réussie. A ceci près qu'il y a plus de titres sur ce deuxième opus et que ceux qui interpellent le moins ont des arrangements plus dépouillés que sur le premier 33 tours. Fripp a plutôt fait le minimum syndical question production. C'est brut de décoffrage mais au moins il n'en a pas rajouté des tonnes inutilement comme l'aurait fait Bob Ezrin !

Les morceaux qui pour moi se détachent le plus du lot sont 'On The Air', 'D.I.Y.', 'White Shadow', 'Animal Magic', le barré mais superbe 'Exposure' (qui figurera aussi sur l'album du même nom de Fripp en 1979) et 'Perspective'. J'aime bien aussi de temps à autre la ballade 'Home Sweet Home', mais mon Dieu, quel texte déprimant !
Pas un disque exceptionnel mais néanmoins j'aime bien la simplicité de cet album direct et sans fioritures.

Le 21 Décembre 2008 par LEO

Ce premier opus se barre un peu trop dans tous les sens pour être réussi !
La production et les arrangements de Bob Ezrin ne sont pas fait non plus pour arranger les choses et des titres comme 'Excuse Me', 'Slowburn', 'Waiting For The Big One' et 'Down The Dolce Vita' ne sont pas là pour relever le niveau !

Restent l'étrange et réussi 'Moribund The Burgermeister' (qui fait le lien entre "The Lamb..." et les futurs albums du Gab), l'agréable 'Solsbury Hill', le plus rock 'Modern Love' (qui aurait pu figurer sur le "II"), l'honnête ballade 'Humdrum' (dont je préfère l'interprétation sur le double "Plays Live") et le très beau 'Here Comes The Flood' qui rappelle un peu la période Genesis.
Un premier essai honnête mais pas vraiment abouti.

Le 21 Décembre 2008 par LEO

Bon album mais qui cependant ne vaut pas le précédent (le "III" est vraiment LE MUST du Gab) ! Tout comme David, je trouve que les intimistes 'San Jacinto' et 'Wallflower' sont les titres les plus réussis. Ce sont aussi mes morceaux préférés sur ce disque. En revanche 'I Have The Touch' et 'Kiss Of Life' ont pris un sacré coup de vieux et m'ennuient, comme le feront plus tard la majorité des titres sur "So". 'Shock The Monkey', qui est un peu dans la même veine, est beaucoup plus probant et passe assez bien la rampe !

'The Rhythm Of The Heat', 'The Family & The Fishing Net' et 'Lay Your Hands On Me' sont plutôt de bons morceaux, mais avec le recul ils m'emballent moyennement (peut-être sont-ils un peu trop monolithiques à mon goût). Globalement, je trouve l'album "III" bien plus homogène et moins forcé que celui-ci, et surtout l'écriture des morceaux était bien mieux construite. Il y a X temps, j'aurais mis 4/5 à ce disque. Aujourd'hui, je trouve qu'un bon 3/5 lui va mieux.

Le 20 Décembre 2008 par JF LE COADOU

Un disque que je n'avais pas écouté depuis 25 à 30 bonnes années.
Finalement, c'est encore assez agréable à écouter. Ca rappellerait presque un vieux Deep Purple d'avant 1970, avec le côté stéréotypé en moins.
C'est du brut, simple et efficace (comme "I'm Coming On" sur "Watt"), avec une rythmique davantage enmenée par la basse que par la batterie. En ce sens, on l'écoutera plus facilement auprès d'un "Who's Next" ou d'un "Deep Purple In Rock" que d'un "Sticky Fingers", bien plus sophistiqué.

Le 19 Décembre 2008 par JEFF KANJI

Ce disque est riche, bien produit, puissant, parfaitement exécuté et arrangé. On sent le groupe en pleine bourre après le succès du Works Tour. Pourtant cet album, qui comporte quelques unes des pièces les plus hard du combo (Gimme The Prize, One Vision, Princes Of The Universe), sonne assez variétoche.

Toujours touche-à-tout, Queen se lance dans la new-wave très électro avec Don't Lose Your Head, la ballade larmoyante One Year Of Love et le motown Pain Is So Close To Pleasure, qui n'a pas l'impact d'un Back Chat ou d'un Cool Cat (N'en déplaise aux détracteurs de Hot Space) avec bonheur, ce qui témoigne d'un talent jamais démenti et d'un sens des arrangements unique. Mais les synthés alourdissent beaucoup cet album. Impression qui ne se révèle qu'au fil des écoutes. Mais des morceaux comme One Vision ou Don't Lose Your Head et même Princes Of The Universe auraient mérité d'être allégés de ce côté-là pour gagner en intensité.

Paradoxalement, cet album est celui de toutes les réussites; celui dont la quasi-totalité des morceaux vont devenir des hymnes de référence dans l'histoire du groupe.

A Kind Of Magic, réarrangé à l'insu de Roger Taylor par Freddie Mercury, convaincu qu'il était du potentiel radiophonique de ce morceau à la base assez dark et ambiancé (écouter le end titles d'Highlander pour vous en convaincre). On peut dire que le succès de ce titre lui aura donné raison.

Friends Will Be Friends, facile mais fédérateur un hymne à reprendre par les fans.

Who Wants To Live Forever, un joyau absolu arrangé par Michael Kamen et Brian May qui partage sur ce titre les vocaux avec Freddie.

Gimme The Prize furibard, nous montrant par un tapping effréné que Brian est un redoutable bretteur quand il s'agit de faire parler la poudre. La batterie très massive et le chant de Freddie au summum de sa puissance rendent ce titre intouchable.

Princes Of The Universe aux chœurs grandiloquents et aux guitares savamment superposées et entrelacées.

A Kind Of Magic montre un groupe sûr de lui, au top de sa forme et de sa créativité qui sort un album très calibré et pas très méchant en fin de compte, bien que plus foncièrement rock que The Works, son prédécesseur surchargé de claviers et autres effets électro.

Le 19 Décembre 2008 par JEFF KANJI

Premier album : quelle maturité et quelle personnalité, la marque des grands certainement. Tout n'est bien sûr pas parfait sur et le groupe va affiner et diversifier sa musique dans les années qui suivent. Mais comment ne pas s'extasier devant l'architecture de Liar, Great King Rat ou My Fairy King, sur les trouvailles sonores de Son And Daughter. La diversité est déjà de mise sur chacun des titres. Doing Allright, morceau de Smile réarrangé ici par le groupe prend une dimension théâtrale et romanesque avec son pont en fingerpicking et ses accords furieusement saturés sur des couches de guitares pour réussir à calmer l'ambiance et retomber dans le calme pour mieux repartir et asséner le coup de grâce; Freddie Mercury utilise ici beaucoup sa voix de tête et la partie douce de son registre qui va se développer de manière exponentielle durant les seventies et le début des années 80. Mais on sent déjà le talent d'écriture et d'interprétation du bonhomme, tous comme les particularismes du jeu de Roger Taylor, le lyrisme mélodique de John Deacon et cette guitare venue de l'espace servie par Dr May. Le hard-pop-prog psychédélique prend vie.

Un disque qui fleure bon les 70's et surtout le TALENT d'un groupe déjà hors-norme appelé à devenir un géant de la musique moderne.

Le 19 Décembre 2008 par JEFF KANJI

Je pense qu'il eût mieux valu prendre son temps et donner sa chance à ce disque que je n'ai pas du tout aimé à la première écoute, mais alors pas du tout. Puis les écoutes passent, et on se rend compte qu'un nouveau groupe est né Queen + Paul Rodgers. Né sur scène, le groupe fait montre ici d'une bonne humeur assez communicative. En résumé The Cosmos Rocks, c'est la cour de récré. Mais quand on a un performer-songwriter comme Paul Rodgers et deux génies de la musique contemporaine comme Roger Taylor et Brian May, il y a forcément un lièvre à lever. La sensibilité joue certainement un grand rôle, mais il serait eronné de ne pas juger à leur juste valeur des morceaux de la trempe de Say It's Not True, C-Lebrity, Voodoo, Time To Shine, Still Burnin' malgré son refrain redondant, ou encore Warboys et le déjanté Surf's Up.. School's Out qui prouve à ceux qui en doutaient que ces Anglais ne se prendront jamais au sérieux. Les amateurs de structures baroques d'ANATO ou Innuendo comme moi vont morfler car ici la grandiloquence fait place à des tonalités bluesy inédites chez les deux anciens Queen et elles sont exploitées à bon escient. Voodoo nous récèle même une partie du jeu de Brian May qu'on aurait pas soupçonné. sa guitare est plus expressive que jamais. Continuez messieurs, votre groupe est jeune (vous moins) donc vous avez une marge de progression...

Le 19 Décembre 2008 par INNOCENT

Cet album est pour moi un pur chef d'œuvre, le meilleur album de The Cure.

Durant près de 45minutes, on est plongé dans un autre monde, de plus, je trouve les chansons très crues, sans passages inutiles, elles commencent et finissent puis ça passe à la suivante, cela donne un côté très étrange à l'album...

J'ai cet album depuis 5 mois, et depuis, je n'écoute plus que ça. ^^

Le 17 Décembre 2008 par SHIRIU

Plat, pop, mielleux, surprenant parfois, mélodique aussi, très pop, superbement chanté, trop pop, 3 pépites sur 13 titres... Foutage de gueule? Non car Anneke chante (toujours) bien et sa prise de risque est véritable. Ce sont les raisons pour lesquelles je mets 2,5/5 et pas 1. Décevant de la part d'une déesse...

Le 16 Décembre 2008 par TRAPAZON

Bah, tout le monde ne peut pas aimer les grands aussi bons soient-ils.
Sinon pour moi, je préfère nettement les albums studio, les concepts comme Takrus et leur plus célèbre évidement Brain Salad Surgery, où on peut voir tout l'art qu'avait ELP à leur grande période.
Ici c'est juste une version d'un morceau classique, peut-être trop ambitieux mais il m'attire pas trop non plus, trop long, trop d'impro.

Le 15 Décembre 2008 par ED

Complètement surréaliste, une véritable experience musicale : un indispensable !

Le 13 Décembre 2008 par ED

Disque ô combien sacré chez nombre de jeunes de mon âge, puisqu'il symbolise à lui seul les premiers pas dans le monde de la musique ! Offspring, Blink 182, Marilyn Manson... ces groupes qui rappellent furieusement les années passées au collège...

Le CD ne mérite sans doute pas une telle note, mais pour moi c'est surtout une question de souvenirs ! Impossible de donner un jugement objectif, pour moi chaque chanson est géniale !

Le 13 Décembre 2008 par JUAN

L'un des disques les plus brûlants du saxophoniste. Coltrane se donne ici à fond, jette tout ce qu'il a et même plus dans cette lutte sauvage, cette confrontation nouvelle et évidente. Les instruments s'y confondent, se jouent des rôles, inventent un langage qui leur est propre. La puissance tellurique du saxophone n'équivaut-elle pas celle de la batterie ? L'incandescence spirituelle de l'un ne trouve-t-elle pas sa parfaite image dans l'autre ? Pourquoi parler d'instruments d'ailleurs alors qu'il s'agit d'une lutte, d'une étreinte, d'un dialogue humain, entièrement libre. Le voyage entamé par ce fulgurant duo ne trouve alors qu'une destination : l'espace. Un voyage improbable et évident, d'une rage apaisée, un voyage paradoxale qui se termine dans l'extase universelle. Une expérience d'une intensité incomparable, dans laquelle Coltrane semble jeter ses derniers forces, signe d'un fin imminente qui l'emmènera vers ces espaces intersidéraux tant rêvés.

Le 13 Décembre 2008 par GESISIS

Je suis assez étonné de savoir que les Beastie Boys existaient déjà à cette époque, en 1983. En revanche ce single n'est pas fameux du tout, ce ne sont même pas des chansons, c'est n'importe quoi.
Pour le Rap de cette époque je préfère les grands-pères du Rap comme Grandmaster Flash, Sugar Hill Gang, Trouble Funk, ...

Le 13 Décembre 2008 par TRAPAZON

J'aime bien cet album car il est très homogène, très accessible, mais il m'a l'air un peu trop simple, formaté juste pour faire des hits, n'importe quel titre peut être un hit.
C'est décevant à écouter d'un gars qui a sortis des albums comme "Emergency In A Planet Heart".

Le 12 Décembre 2008 par CARTONMAN

Cet album n'est certes pas facile à aborder et plusieurs écoutes m'ont d'ailleurs été nécessaires pour commencer à en absorber la subtilité. Une première écoute peut donner l'impression d'un son fade, sans relief. Maintenant je peux dire sans hésitation que c'est un très bon album. Bien sûr, comme il en est dit en substance dans les commentaires précédents, il faut une certaine attirance pour les albums aux ambiances glauques voire un peu dérangeantes..