Le 13 Février 2021 par NONO

Je me souviens de ce titre, qui n'est pas inclus dans leurs albums. Etait-il sorti sous format "single-only" ? Ou était ce une face B ? Ou encore l'extrait d'une B-O de film ?

Le 13 Février 2021 par SGT JAKKU

Pas d'accord avec la chro. The long Run fait partie des disques les plus solides du groupe, à côté de Desperado, One of These Nights et Hotel California. Le ton a change, bien plus sombre que les albums précédents. J'adore cette ambiance nocturne, californienne et cette orientation Yatch Rock avec des titres comme I Can’t Tell you Why, King Of Hollywood, The Sad Cafe. À noter que l'excellente chanson de Joe Walsh, In the City, a aussi servi pour la B.O. du film The Warriors. La face A est irréprochable, la face B, un poil moins bonne. Il est vrai que The Greeks...fait un peu tâche et n’aurait dû être qu’une face b de 45 tour.
Note réelle : 4,5.

Le 13 Février 2021 par METALPROG84

Certainement le moins bon Santana des années 70. A part les 3 premiers titres qui sont pas mal (et qui seront repris à leur avantage sur l'excellent "Moonflower") et le très bon "Revelations", il n'y a pas grand-chose à se mettre sous la dent ! Pourtant, certains morceaux ne sont pas mauvais en soi, mais on est parfois plus proche de la variété que du rock. Dans la même veine que "Amigos", mais en moins bon.

Le 13 Février 2021 par CLANSMAN57

Sous la pochette de l'album, Richard marque "Le meilleur titre des Cure?".
Je me posais exactement la même question lorsque j'ai vu que ce single serait traité sous peu:)

Difficile de n'en choisir qu'un seul, mais "Charlotte Sometimes" est un sérieux prétendant au meilleur titre des Cure.
Ce qui est certain, c'est qu'il est un splendide tube brumeux.

Le 13 Février 2021 par NONO

Pour faire suite à mon précédent post, au sujet des périodes de ma vie dont j'ai le meilleur souvenir, (et curieusement reliées à des chansons, car celles-ci -tout comme les parfums- étant les meilleurs témoins d'époques), je citerais :

* Année 1982 / 1983 (souvenir des tubes de Toto IV, "I won't let you down" de Ph-D, "Do you really want to hurt me" de Boy George, "Drive" des Cars...)

* De l'été 1985 jusqu'au printemps 1986 : ça grouillait de super tubes à ce moment précis (passant simultanément à la radio) : "Take on me" (A-ha), "When the going gets tough" (Billy Ocean), "Nikita" (Elton JOhn), "Burning heart" (Survivor), "The captain of her heart" (Double), "Close to me" (The cure)

* L'été 1990 : "I promised myself" (Nick Kamen), "Words" (The Christians), la reprise de "Strawberry fields forever", la vague new-beat assez sympas : "Ride on time" de Black Box et "Happening all over again" de Lonnie Gordon, "Kingston town" (UB40)

Par contre j'ai detesté les périodes suivantes,
* Eté 1991 (interdit de me faire écouter "Senza una donna" ou "It aint over till it's over" ! lol...)

Le 13 Février 2021 par NONO

... et quelques années après (2000 /2001) : "Le vent nous portera" (Noir Désir), les tubes de Dido, Pink, "Comme un boomerang" (Daho), album "Personne n'est parfait" de Bauer, "Come along" de Tityio, l'album "Open the Door" de Hodgson, l'album de Santana sorti en 2000... une belle époque pour moi.

Le 12 Février 2021 par BORIS LE BORGNE

Au même niveau que le film, c'est à dire totalement orgasmique.

Rarement symbiose entre réalisateur et compositeur n'aura été aussi parfaite.

Indispensable.

Le 12 Février 2021 par GRINGO

... la "guéguerre" Oasis / Blur, le retour de Madonna, Björk, PJ Harvey, le trip-hop (Massive Attack, Portishead...), le "big beat" (Chemical Brothers, Fatboy Slim...), Moby, la "french touch" (Daft Punk, Air...), la jungle / drum'n'bass (Roni Size, Goldie, Photek... même Bowie s'y est mis avec "Earthling"), les clips de Jonze et Gondry et chez nous Obispo (et Zazie) qui prenait la relève des Berger et Goldman en écrivant pour tout le monde (Pagny, Hallyday, Kaas)...
OK BOOMERS ! :-)

Le 12 Février 2021 par NONO

@TOMMY_CALE : Souvenirs de 1998... Ah.. Tu nous prends par les sentiments, là ;-)
J'ai un super souvenir des ces années 1997 /1998 /1999. Et si je supporte Louise Attaque, c'est plus pour la nostalgie et les souvenirs que pour la qualité intrinsèque de leur musique... Ces années, c'était aussi la révélation de Manu Chao en solo, il a trusté les ondes pendant ces années, c'était quelque chose ! C'était aussi la grande époque de Natalie Imbruglia, The Wallflowers, Tori Amos, Radiohead...

Le 12 Février 2021 par BORIS LE BORGNE

Pas du tout d'accord avec la chronique. Si ce disque n'a pas forcément le niveau d'un "Affenstunde" ou de la B.O. de "Aguirre", il s'écoute cependant avec un plaisir quasi majestueux.

Extrêmement reposant et ressourçant à la fois.

Le 11 Février 2021 par NESTOR

Bien qu'un poil en-deçà de son prédécesseur, l'excellent Bloodlust, ce Carnivore n'en reste pas moins un bon album, très féroce.
Un album qui confirme que Body Count s'inscrit clairement dans une veine de Métal dur et énervé. Et si on ne retrouve pas la flamboyance de leur premier album, on ne peut que constater que le groupe confirme qu'il est dans une très bonne phase créatrice.

Le 11 Février 2021 par TOMMY_CALE

Je suis d'accord avec certains commentaires : Roussel veut trop "singer" Jacques Brel. D'ailleurs, je pensais vraiment à la base que LOUISE ATTAQUE était un groupe belge, pour cette raison, et aussi pour cette musique un peu "tzigane" rappelant Django. Les "Nuits Parisiennes", "Toute Cette Histoire", "Fatigante", "La Brune", une vraie claque pour l'époque. Le violon d'Arnaud Samuel me captivait clairement. Je me souviens aussi d'un groupe qui s'appelait Cornu (le titre "J'ai Besoin de tes Mains"), contemporain de L.A, et qui proposait aussi ce genre de musique bohème.

Sinon, un des premiers albums que j'ai achetés lors de l'été 1998, j'avais douze ans. Sacré biennale musicale pour moi avec les acquisitions du premier album de Manau ('vous moquez pas hein), Matmatah (La Ouache), Cabrel (Hors Saison), Tryo (Mamagubida)... Moins sur le plan footballistique car je supportais l'Italie, pays de mes parents, battue par la bande à Zizou en coupe du monde.

Le 11 Février 2021 par FRED

Qui est ce mystérieux disciple de Skippy, auteur de ce disque, véritable maillon véhiculatoire de la pensée richnou vers une totale liberté de la pensée cosmique en vue d'atteindre un nouvel âge réminiscent ?
Stivell nous délivre généreusement son pain spritique contre une petite participation sous forme de quête donatoire transcendantale.
Un grand délire : ainsi, c'était de l'algonquin, ce mystérieux langage ?
Totalement barré !
Note : ?/5

Le 10 Février 2021 par JUAN

Je crois qu’il faut prendre ce disque pour ce qu’il est : un formidable témoignage de ce que produisait Genesis sur scène en ce début de 1973, et impérativement (comme pour toute production d’ailleurs) le remettre dans son contexte. Si les interprétations sont très proches des versions studios, il n’en est rien au niveau de l’énergie déployée. Il y a ici une espèce d’urgence de la part du groupe à déployer sa musique et cette urgence traduit peut être le stress de l’erreur ou de l’imperfection pour un groupe qui reste constitué de 5 formidables compositeurs individuels attachés à respecter leur partition. On peut donc effectivement y trouver un manque de spontanéité (à l’exception du Knife, joué depuis plus longtemps), mais qui n’est que le reflet de leur manque d’assurance à ce moment-là. Les choses auront bien changé un an plus tard sur la tournée de selling.
Pour en revenir au disque, une fois que l’on accepte ce contexte, ce live reste une porte d’entrée phénoménale pour appréhender le Genesis première époque. Perso, et n’ayant bien entendu pas eu l’occasion de voir le groupe à cette époque (trop jeune), si ce disque n’avait pas existé, je n’aurais peut-être pas eu le même feeling avec Genesis. Ce live n’est pas parfait, il est nettement moins propret qu’un Seconds out, mais c’est justement ce qui fait toute sa richesse et sa valeur ! Il ne faut pas rechercher dans ce disque une production parfaite et lissée telle qu’on les fait aujourd’hui.

Le 09 Février 2021 par JE AUTEUR

Au contraire Yerte the turtle est bien mais le problême c'est qu'on sent trop la touche de George Clinton dessus c'est qu'à moitie du Red Hot idem pour Brother Cup.

Le 09 Février 2021 par LE KINGBEE

Disponible en CD à partir de 14,90 euros.
Chez Amazon à partir de 19 euros.

Guère plus cher qu'une daube courante. Il était prévu un 180 Gr qui n'a jamais vu le jour.

Le 09 Février 2021 par BORIS LE BORGNE

Délicieusement dansant et contemplatif.

Cela dit, dans la famille Window, je préfère le demi-frère Caustic. Plus hardcore à mon goût (de barbare).

Le 09 Février 2021 par METALPROG84

"Five miles out" est peut-être le meilleur Mike Oldfield après les 3 premiers albums. "Taurus II" est un instrumental vraiment intéressant avec une réelle unité et quasiment sans passage faible (presque 25 minutes quand même!): un de ses meilleurs instrumental
je pense. "Family man" et "Five miles out" sont dans un style pop-rock excellents aussi (surtout le morceau-titre). "Mount teidi" reste également d'un très bon niveau. Seul bémol, la première moitié de "Orabidoo" est un peu ennuyeuse, sinon le final est sympa.
Note réelle: 4.5/5.

Le 08 Février 2021 par DERWIJES

@Charles Minus,

Merci pour votre commentaire, cela me fait très plaisir de lire des retours, qu'ils soient positifs ou pour me signaler des erreurs !
Après cette chronique je fais une pause avec Charles MINGUS. Je me garde de côté ses Jazz Workshops, ses autres albums posthumes et quelques live. Mais si vous avez un disque que vous souhaitez voir sur le site, n'hésitez pas à utiliser la Boîte à Demandes !

Bien à vous,

Le 08 Février 2021 par RAMON PEREZ

Cette fois, c'est moi le plus raide. A partir des années 70, Pierre Perret a musicalement une vraie tendance au kitsch. Ce qui est parfois assez savoureux d'ailleurs. Mais sur cet album, c'est trop. Je crois que c'est celui que j'ai le plus de mal à écouter, malgré quelques bons morceaux (le premier surtout). Mais aucune grande chanson non plus (c'est pourquoi il est selon moi inférieur à la Cuvée). Son disque le plus faible chez Adèle.