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FLEETWOOD MAC
MIRAGE


Le 16 Août 2023 par VOX POPULI


"Mirage" arrive trois ans après l'aventureux "Tusk" qui a été une déception commerciale mais qui, avec le recul, reste un des albums les plus importants de leur discographie.
Entretemps, chacun des membres s'est lancé dans une carrière solo. Lorsque le label organise le rappel des troupes, il leur demande de produire un disque 'accessible' pour renouer avec le très grand public.
Peut être, pour la première fois de leur existence, le band compose des chansons qui ont clairement un but commercial. Problème, cela ne semble passionner personne et les compositions, sans être catastrophiques, sont complètement inoffensives. II n'y a rien de vraiment mémorable à retenir de ce disque. Les critiques saluent le morceau "Gypsy", un peu comme ils disaient que "Brownsville Girl" était un classique de Bob Dylan. On est dans l'auto-suggestion et la nécessité de trouver une oasis au milieu du désert. La vérité, c'est que "Mirage" est un album moyen sur lequel on ne ressent aucune envie, aucun désir. Les musiciens semblent composer comme on va à l'usine.
Bien entendu, ça reste 'correct' car on à ici affaire à trois des meilleurs songwriters de la planète, mais on est quand même en droit d'attendre beaucoup plus d'un groupe de cette envergure.
Je sauve quand même cet album, pour l'ensemble de leur oeuvre, et le fait que "Mirage" reste un disque agréable à écouter sur la route des vacances.

Note réelle 2.5





FLEETWOOD MAC
TANGO IN THE NIGHT


Le 16 Août 2023 par VOX POPULI


5 ans, c'est la première fois que Fleetwood Mac met autant de temps pour sortir un nouveau disque après le décevant "Mirage". Les principaux compositeurs ont entretemps poursuivi leur carrière solo et se sont parfois aussi beaucoup abîmés dans la drogue, comme c'est le cas de Stevie Nicks. Bref, les choses semblent compliquées et, à ce stade de l'histoire, il n'est pas impossible que le groupe se soit séparé sans même avoir pris la peine de faire une annonce officielle. Lindsey Buckingham se lance dans un nouvel album solo à la fin de l'année 1985 et, peu à peu, il se rend compte que les chansons pourraient faire l'affaire pour un projet de Fleetwood Mac. Il propose aux musiciens de le rejoindre en studio et cette petite affaire va durer un an et demi, temps durant lequel Nicks ne sera présente qu'une quinzaine de jours en studio, tant son état de santé est incompatible avec l'enregistrement d'une chanson. Christine profite alors de l'occasion pour prendre davantage la lumière sur l'album et compose presque autant de chansons que Lindsey Buckingham. Alors, quel est le résultat?

Pour commencer, je trouve la pochette, un hommage à la peinture naïve du douanier Rousseau, absolument magnifique, l'une des plus belles et envoûtantes de leur carrière. Cela est peut-être une opinion trop personnelle, je l'admets, car j'adore ce type de peinture.
À l'écoute, la première chose qui frappe, c'est le son très eighties de ce disque. En 1987, on est au sommet de la mode du son synthétique et la production de l'album s'en ressent énormément. C'est particulièrement dommage concernant les sons de batterie qui sonnent très artificiels. Les claviers eux aussi ont une couleur qui, avec le recul, est très cheap. Ce choix de production n'a pourtant pas que des inconvénients. Les morceaux sonnent en effet très clairs et chaque détail est parfaitement audible au casque. On se régale alors des trouvailles sonores et des arrangements sur des morceaux qui seraient, sans cela, trop classiques. Je pense aux accents arabisants dans le morceau "Caroline", par ailleurs très pop-friendly. Je songe aussi aux belles trouvailles hispanisantes de la chanson "Family Man". La clarté du son met parfaitement en valeur toutes ces trouvailles et participe grandement à sauver ces deux chansons de la médiocrité. Le formidable travail de guitare est d'ailleurs l'un des grands atouts de ce disque. Jamais Lindsey n'avait délivré un travail aussi abouti. Les grands solos de guitare s'enchaînent ("Tango In The Night", "Big Love", "Isn't It Midnight", "Caroline") et transcendent littéralement les chansons, donnant envie d'appuyer sur la touche repeat.
Reste la qualité des chansons, l'élément le plus important d'un disque. Avec "Tango", Fleetwood Mac repasse dans la cour des très grands. Oublions une ou deux facilités ("Big Love" et "Little Lies", très clairement écrites pour séduire les radios et qui aujourd'hui sonnent un peu datées) pour nous régaler avec des petites merveilles comme l'aventureux "Tango In The Night" qui renoue avec l'inspiration d'un album comme "Tusk". On se laisse aussi emporter par les formidables chansons pop telles que "Everywhere", "Seven Wonders" et "Isn't It Midnight", trois des plus beaux titres du groupe. Un petit ton au-dessous, on retrouve le charmant "You and I". De nombreuses pépites ont été composées par Christine sur ce disque, retrouvant totalement son inspiration après le disque précédent où elle me semblait un peu à bout de souffle en termes créatifs.
Sur ce disque, c'est Nicks qui rencontre des difficultés. Sa santé physique et mentale l'empêche presque totalement d'enregistrer. Elle ne compose que 3 titres, dont l'émouvant et magnifique "When I See You Again", qu'elle n'arrivera pas à finir en studio. Lindsey en fera du coup un duo totalement addictif.
Vraiment, il n'y a pas grand-chose à jeter sur ce disque qui, à mon goût, est parmi les meilleurs albums de leur carrière, malgré une production très ancrée dans son époque. Oui, mais une grande chanson reste une grande chanson !





FLEETWOOD MAC
BEHIND THE MASK


Le 16 Août 2023 par VOX POPULI


Nouveau chamboulement dans la vie de Fleetwood Mac qui perd sa tête pensante, Lindsey Buckingham, qui plie bagage après l'enregistrement de l'album précédent, quelques semaines avant le début de la tournée. Lui, tout comme ses illustres prédécesseurs (les grands musiciens injustement oubliés qu'étaient Danny Kirwan et Bob Welch), finit épuisé par les efforts déployés pour maintenir le navire à flot. Mick Fleetwood a jusqu'alors toujours trouvé la formule pour transformer une crise en opportunité et relancer la carrière du groupe tout en le régénérant artistiquement. "Future Games" et "Fleetwood Mac", deux albums qui ont marqué des ruptures profondes dans la vie du groupe avec l'arrivée de nouveaux musiciens, figurent parmi leurs meilleures réalisations. Le batteur de Fleetwood Mac allait-il encore une fois trouver la formule magique et faire du successeur de l'excellent "Tango in the Night" une nouvelle cure de jouvence ?

Il recrute deux musiciens pour remplacer Buckingham : Rick Vito à la guitare lead et le second, Billy Burnette, fils d'une lignée d'excellents musiciens possédant un style plus blues qui pourrait permettre à Fleetwood Mac de renouer avec ses racines. La production est également beaucoup plus simple sur ce nouvel album que sur les précédents.
Visiblement, le groupe souhaitait renouer avec des chansons plus directes que celles de son disque précédent, qui était très travaillé et rempli de trouvailles sonores et musicales qui en ont fait la richesse.

Résultat ?
Plutôt décevant : hormis deux excellentes chansons pop qui deviendront des succès radiophoniques ("Save Me" et "Sky Is the Limit"), ainsi que trois bonnes chansons de Nickie, le reste des morceaux manque cruellement d'inspiration. Les nouveaux arrivants, contrairement à leurs prédécesseurs, semblent un peu tétanisés par l'héritage du groupe. Ils écrivent visiblement sur mesure pour s'insérer dans 'l'histoire' sans réellement apporter de nouveauté à la formule. Ainsi, "In the Back of Your Mind" tente de replonger dans l'univers de l'album "Heroes Are Hard to Find" sans jamais approcher de la magie de ce dernier. Une deuxième tentative qui se solde par un nouvel 'échec relatif' est "Behind the Mask". Ces deux chansons ne sont pas mauvaises en soi ; on y entend même de belles choses. Cependant, elles semblent trop être de circonstances, une tentative d'ancrer le groupe dans le passé plutôt qu'une volonté de projeter la nouvelle équipe dans l'avenir.

Certains morceaux plus énergiques, comme "Love Is Dangerous" ou "Stand in the Rock", font allusion à la période "Mystery to Me", plus rock et directe.
Malheureusement, il manque les solos de Bob Weston pour qu'on accroche complètement à ces chansons. "When The Sun Goes Down" est une réminiscence de l'album "Kiln House", un disque qui était déjà à l'époque une impasse pour le groupe, malgré ses qualités.

D'autres chansons n'arrivent pas, malgré de nombreuses écoutes, à s'inscrire dans la mémoire : "Do You Know", "Hard Feelings"...

Heureusement, l'album se termine par une très belle ballade, comme Nicks savait en composer.

Au final, "Behind the Mask" n'est pas un mauvais disque, il est bien meilleur que "Mirage" par exemple et, malgré ses défauts, il contient de nombreuses qualités qui rendent l'écoute plutôt agréable. Cependant, c'est un album où l'on ressent un peu trop la peur des musiciens que le succès s'éloigne avec le départ de Lindsey. On a l'impression qu'eux-mêmes ne sont pas convaincus que Fleetwood Mac puisse exister sans leur leader. C'est comme s'ils voulaient dire au public : "Regardez, malgré l'absence de Buckingham, nous savons encore créer des chansons qui ressemblent à ce que vous aimez chez nous".

Note réelle 2.5/5





FLEETWOOD MAC
TIME


Le 16 Août 2023 par VOX POPULI


Un disque sorti en 1995 suite au départ de Nicks et de Rick Vito.
Christine McVie est, elle aussi, toute proche de la sortie au point d'enregistrer ses compositions seule de son côté. Quant à Burnette, il a du mal à trouver sa place dans l'aventure, tant et si bien qu'il interrompt l'enregistrement du disque pour travailler sur un album solo. Ceux qui imaginaient Burnette en nouveau leader en sont pour leurs frais. Au final, ce dernier apparaîtra presque en guest sur le projet.
Mick Fleetwood, fidèle à lui-même, refuse de baisser les bras. Il lance le recrutement d'un nouveau guitariste et d'une chanteuse pour remplacer Stevie Nicks. Faute d'avoir trouvé son bonheur, il propose alors à Bekka Bramlett, une chanteuse avec qui il avait déjà travaillé sur un projet solo, de rejoindre le groupe. L'équipe est complétée par l'ancien guitariste de Traffic, Dave Mason.
Il en résulte un disque étrange qui donne l'impression que Fleetwood Mac se dissout en direct sous nos yeux. L'identité du groupe a en effet presque totalement disparu dans cet album qui sonne comme un banal disque d'Americana. Les chansons de Christine McVie, la dernière à faire office de trait d'union entre l'ancienne génération de compositeurs et les nouveaux, sauvent les meubles avec trois belles réalisations : "Night in Estoril", "I Do" et surtout "sooner or later". ce dernier titre est la bonne surprise de l'album à mes yeux. Ce n'est malheureusement pas suffisant pour sauver l'album qui se termine par une étrange tentative de Mick Fleetwood qui sonne totalement hors-sol par rapport au reste du disque. Peut-être que les paroles avaient suffisamment d'importance à ses yeux pour inclure cette composition sur l'album et nous imposer un spoken word pour le moins dispensable.

Soyons justes : "I wonder Why", "I got it", "Winds of Change" ne sont pas des mauvais titres. C'est juste qu'ils pourraient apparaitre sur n'importe quel autre disque qu'un album de Fleetwood Mac. Ici, la nouveauté n'est ni expérimentale, comme sur Tusk, ou jouissive en termes d'écriture comme sur Bare Trees. Les musiciens semblent se contenter d'enregistrer leurs compos personnelles sous le nom de Fleetwood Mac.
Mick Fleetwood lui-même regrette d'avoir enregistré ce disque en disant que c'est la première fois de sa vie qu'il aurait mieux fait de ne pas insister. Les tournées qui s'ensuivent sont un véritable calvaire, les musiciens ne s'entendent pas et le groupe est à ce moment-là en situation de quasi mort clinique.

Note réelle : 2.5/5





QUEENSRΫCHE
THE WARNING


Le 16 Août 2023 par JOE THE ALIEN

Étonnant que le lien habituel vers NIME n’apparaisse pas sur la page…





Steve REICH
MUSIC FOR 18 MUSICIANS


Le 16 Août 2023 par BORAHKRETH

Je suis pour l'instant bien embêté par cette oeuvre : certains moments sont parmi les plus beaux que j'ai entendus de ma vie, tous styles confondus. Mais par contre, c'est long...

Vraiment, on a droit à de purs moments de grâce, dès la première écoute, on est subjugué, notamment par la première moitié qui enchaîne les claques. Mais c'est long... très long... trop long...

Je pense sincèrement que cette oeuvre aurait gagné à être condensée, en amputant quelques longueurs. Si ça avait duré une cinquantaine de minutes au lieu de plus d'une heure, je pense que c'était la note maximale sans aucune forme de débat possible.

Après, peut-être qu'après un certain nombre d'écoutes, les longueurs s'effacent au profit d'une plus profonde immersion. Mais pour l'instant, ce n'est pas le cas, en tout cas pas pour moi.





QUEENSRΫCHE
THE WARNING


Le 15 Août 2023 par THIERRY


Le meilleur pour moi.





MALICORNE
LES CATHéDRALES DE L'INDUSTRIE


Le 11 Août 2023 par MARCO STIVELL

Au bout de... non pas treize, mais quatorze voire quinze années après l'achat du 33 tours, j'ai enfin réussi à trouver une rare version CD de ce disque génial à prix décent. Merci au vendeur norvégien !

Malgré l'absence de la chaleur du vinyle, c'est toujours aussi grandiose.
Ah, "Big Science", "Dormeur", "Les Cathédrales de l'Industrie", "Le Temps", bijoux pop-folk avec des orchestrations massives et intelligentes comme on n'en fait plus !
Ah, belle Marie Yacoub et sa "Nuit des Sorcières", si joliment et suavement contée au milieu des synthés, de la basse lourde, de la batterie réverbérée...





BON JOVI
THIS HOUSE IS NOT FOR SALE


Le 11 Août 2023 par SWISSIDOL


Rien de fantastique, rien de catastrophique... Voilà un peu résumée l'histoire des derniers albums de BON JOVI (à part deux qui sont vraiment des catastrophes). J'adore "Rollercoaster", j'aime bien "Scars on this guitar" et "This house". Pour le reste, c'est entre le sympa et le bof.





Etienne DAHO
L'INVITATION


Le 11 Août 2023 par MARTIN LA BOTTE

"L'adorer", je l'adore dans sa version duo avec Deneuve, enregistrée en 2007 pour la B.O d'un film avec l'actrice ("Après lui") mais finalement inutilisée et publiée seulement en 2011 sur l'édition limitée "Delux" de "L'Invitation".





BON JOVI
BURNING BRIDGES


Le 11 Août 2023 par SWISSIDOL


BON JOVI fait ses adieux à sa maison de disques historique et règle ses comptes avec elle sur le morceau "Burning bridges". Un album pas désagréable bien que pas très nerveux. Les mélodies sont jolies ("Fingerprints", "Saturday night", "Blind love"). GEGERS parle de fonds de tiroir dans sa chronique; ma foi, bien des groupes voudraient pouvoir avoir de tels morceaux en stock.





The CARS
PANORAMA


Le 11 Août 2023 par LEO


Ravi de constater que 'Panorama' est mis à l'honneur sur Forces Parallèles et que PSYCHODIVER en fait les louanges, alors qu'il est généralement passé sous silence lorsqu'on évoque The CARS et leur courte discographie.
Cet album est effectivement excellent, plusieurs crans au-dessus du bancal 'Candy-O' qui contenait, certes, de très bonnes choses mais aussi pas mal de trucs dispensables. 'Panorama' livre un quasi-sans-faute tout au long de ses dix morceaux. De mon point de vue, il surpasse même d'une courte tête l'album éponyme de 1978 qui pêchait par son morceau "I'm In Touch With Your World" que je trouvais inconsistant par rapport au reste (quoiqu'il y ait le cas "Misfit Kid" sur 'Panorama', mais j'y reviendrai plus loin).
Ce troisième album pousse un peu plus loin les quelques expérimentations de son prédécesseur, mais d'une façon bien plus convaincante, tant dans sa mise en son froide mais racée que dans ses choix musicaux moins conformistes, quelque part plus osés.
L'anguleux "Panorama" avec ses couplets tendus et son refrain plus doux sonne presque comme un croisement improbable entre The Cure et Devo de cette période (dont les albums 'Seventeen Seconds' et 'Freedom of Choice' étaient parus à peine quelques mois avant 'Panorama'). Curieusement, ce morceau-titre ne sortit jamais en single alors qu'une vidéo fut tournée tout spécialement (clip assez comique d'ailleurs, qui prouvait que le groupe ne se prenait pas du tout au sérieux).
"Touch And Go" qui parut en single eut droit également à sa vidéo. Ce titre est intéressant car ses couplets à l'humeur maussade alternent une rythmique basse/batterie en 5/4 tandis que la voix, les claviers et la guitare jouent en 4/4. Par contre, tout le groupe joue en 4/4 sur les refrains plus joyeux.
L'énergique "Gimme Some Slack" (sorti aussi en single) est un peu un mariage contre nature entre les Stones et Devo mais le mélange fonctionne bien. À noter que sur ce morceau (comme sur quelques titres des deux albums précédents), Greg Hawkes cumule les fonctions de claviériste et saxophoniste et c'est bien la dernière fois qu'on l'entendra au sax sur un disque des CARS.
Le très bon mid-tempo "Don't Tell Me No" paraîtra également en single avec pour face B un titre hors album intitulé "Don't Go to Pieces" (que l'on retrouvera sur la double anthologie des CARS en 95 ainsi qu'en bonus sur l'expanded edition de 'Panorama' parue en 2017).
Quant au plus répétitif et barré "Getting Through" (avec ses influences Suicide/Alan Vega) qui refermait la première face du vinyle, il se rapprocherait plus d'un truc comme "Shoo Be Doo" (sur l'album précédent) mais en bien plus concluant cette fois-ci.
"Misfit Kid" qui ouvrait la seconde face du 33-tours me semble être bien plus anodin avec sa pop synthétique un peu passe-partout. Il s'agit pour moi du point faible de l'album, néanmoins la compo n'est pas désagréable (quoique pas franchement remarquable non plus).
Heureusement, le vigoureux "Down Boys" aux accents Bowie/Pop et le Curesque "You Wear Those Eyes" viennent relever le niveau.
La new wave mélodique de "Running to You" avec Benjamin Orr au chant succède au robotique "Up and Down" avec son mélange réussi de hard-rock, de post-punk et d'électro qui referme l'album de manière singulière.
Malgré une petite baisse de régime à mi-parcours avec "Misfit Kid", 'Panorama' n'en reste pas moins l'un des meilleurs albums des CARS, ex-aequo avec leur album éponyme de 1978 et le plus poppy 'Shake It Up' de 1981.





BON JOVI
ONE WILD NIGHT / LIVE 1985 - 2001


Le 11 Août 2023 par SWISSIDOL


Ce live constitue une jolie compil' des grandes années de BON JOVI : "It's my life", "Livin' on a prayer", "Someday I'll be saturday night"... Quelques petites surprises comme "Rocking in a free world" ou "Something to believe in" que je n'imaginais pas entendre en concert. Et puis cette autre reprise intitulée "I don't like mondays". La chanson fut inspirée d'un fait divers de 1979 : une mineure nommée Brenda Spencer avait tiré sur des écoliers et, pour toute explication à son geste, avait répondu "je n'aime pas le lundi" !





The BAND
MUSIC FROM BIG PINK


Le 11 Août 2023 par FOUDROCK

RIP Robbie Robertson.
Seul Garth Hudson reste de vivant du Band, désormais, il me semble.





BON JOVI
WHAT ABOUT NOW


Le 10 Août 2023 par SWISSIDOL


Je trouve que ce disque, sans être indispensable, présente un joli sursaut par rapport au navrant "The circle". "Because we can", "Pictures of you", "Amen" ou l'excellente "Beautiful world" me procurent du plaisir. A l'inverse, "Room at the end of the world" et surtout "Army of one" sont à oublier. Mais le groupe n'a pas à rougir de cet album. On peut juste regretter l'absence du lien qui unissait Jon et Richie jadis; ce dernier est passé au second plan et quittera bientôt le navire.





BON JOVI
THE CIRCLE


Le 10 Août 2023 par SWISSIDOL


Pour ma part, ceci est le pire disque de BON JOVI avec le plus récent "2020" ! Le groupe a beau essayer de refaire "It's my life" ("We weren't born to follow"), ça passe moins bien. "When we were beautiful" est chiante à mourir. Deux chansons potables, trois à la rigueur : on est loin des fastes du passé.





EXTREME
III SIDES TO EVERY STORY


Le 09 Août 2023 par SWISSIDOL


Fantastique album divisé en trois parties : d'abord les titres hard rock comme "Warheads" ou "Cupid's dead" mais qui n'oublient de groover comme EXTREME sait le faire. Puis quelques jolies ballades comme "Seven sundays" et, enfin, l'espèce de "symphonie" finale belle à pleurer. J'adore le son de la caisse claire même si j'admets qu'il ne conviendrait pas à tous les groupes affiliés "Hard". Il n'était pas facile de succéder à "Pornograffitti" mais le pari est relevé, au moins artistiquement.





EXTREME
SIX


Le 09 Août 2023 par MR TINKERTRAIN


"mais à qui il manque un peu de charme et de légèreté pour se montrer réellement convaincant." Et non justement. A mon avis cet album manque sérieusement de lourdeur au niveau des compos. Plus de gros riffs, funky ou non d'ailleurs, aurait donné une nette plus value à cet album qui n'est pas foncièrement mauvais. Mais mou du genou et destiné aux midinettes....





Lucinda WILLIAMS
STORIES FROM A ROCK N ROLL HEART


Le 09 Août 2023 par JASPER LEE POP

Décidément, c'est pas de chance, Jesse Malin qui cosigne ici le premier titre a été victime d'un traumatisme à la moelle épinière et se retrouve lui paralysé des membres inférieurs depuis le mois de mai.





BON JOVI
HAVE A NICE DAY


Le 09 Août 2023 par SWISSIDOL


Le dernier album de BON JOVI qu'on peut encore qualifier de "bon". Pas génial mais sympa avec des titres efficaces comme "Have a nice day", "Last man standing", "Last cigarette" ou "Bells of freedom". Il n'y a pas vraiment de ratés ici même si certaines chansons sont justes correctes ("Complicated", "I am").







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