Le 17 Février 2021 par FRED

Assez d'accord avec la chronique en général : album en demi-teintes dans lequel se côtoient l'excellent ("Aeroplane", "My Friends", "Coffee Shop", "Walkabout"), et quelques bonnes idées gâchées par l'abus de substances illicites (sérieux les gars, la fin de "Transcending", c'est quoi ce truc infâme?), voire l'inutile.
Par contre, dire que la batterie est un point faible du groupe, c'est quand même un peu osé. La section rythmique des R.H.C.P est juste monumentale au contraire.

Le 17 Février 2021 par LE FOUVERNEMENT

C'est un bon album mais pas comme Blood Sugar Sex Majik.

Le 16 Février 2021 par LE KINGBEE

J'ai revendu à prix d'or le pressage allemand assez rare édité par Philips pour cause de mauvais son.
Pour compléter l'excellente chronique, le saxophoniste amerindien Jim Pepper fait également partie du groupe.
Une curiosité à découvrir pour les amateurs de Jazz Garage Psyché.
A noter que le groupe ne figure pas dans le livre de Christophe Brault "Rock Garage - Fuzz, Farfisa & Distorsions".

Le 16 Février 2021 par VANNOORD

Où sont passées mes petites observations ? Virées ! Pourtant , moi, je ne confonds pas la musique d'un musicien avec ses opinions politiques. Dans le vent, merveilleuse musique ! Contraire au vent, navet !!!! Non, il n'est pas difficile de parler de Ted sans parler de ses opinions, dont je n'ai d'ailleurs que faire...C'est même très facile....Curieux que certains n'y arrivent pas.....Tout comme ces musiciens qui se prennent pour le nombril du monde et nous infligent leurs "pensées" ....
Bienvenue en ex-URSS. Ah, ironie , quand tu nous tiens....

Le 14 Février 2021 par NONO

Pour compléter mon post juste avant : en tous cas il est bien clair que "All cats are grey" ne m'évoque pas une après-midi au mois d'août en faisant du ski-nautique ! lol

Le 14 Février 2021 par NONO

@Richard : Ah... pour moi, si je dois retranscrire une image que m'évoque "All cats are grey", c'est de toutes façons une journée d'hiver dans la brume, après ça varie : soit en me promenant seul dans un grand paysage, soit seul dans une grande pièce vide plongée dans la grisaille.

Le 14 Février 2021 par RICHARD

Entièrement d'accord avec vous LEO et NONO. "All Cats Are Grey "retranscrit pour moi ce sentiment mélangé de résignation et de solitude. On se retrouve quoi que l'on fasse au final toujours seul. L'image est facile mais j'ai l'impression de me retrouver seul au milieu de l'Océan...les dernières secondes avec ce clavier pour seules notes sont particulièrement émouvantes. Faith dont il extrait est l'un des plus beaux albums des Cure, sans conteste, et " The Funeral Party " et " Pictures Of You" font partie de mes titres préférés également :)

Le 14 Février 2021 par NONO

@LEO : Ca alors, figure-toi que "All cats are grey" fait également partie de mon top-5 de mes titres du groupe, tous albums confondus !! Comme quoi ce titre a vraiment quelque chose de fort et d'unique. Cette boîte à rythme "réverbée" et cet orgue lointain... superbe titre, effectivement !
4 autres titres du groupe que j'aime particulièrement : The funeral party, A strange day, Push, Pictures of you.

Le 13 Février 2021 par LEO

@ NONO :

"Charlotte Sometimes" et sa face B "Splintered In Her Head" est un single hors album. on peut retrouver la face A sur la compilation Standing On A Beach - The Singles parue en 1986. certaines éditions en cassette proposaient les faces B de ces singles (dont "Splintered In Her Head"). sinon l'édition Deluxe de Faith incluait également "Charlotte Sometimes" sur son second CD, et on retrouve "Splintered In Her Head" dans le coffret 4CDs Join the Dots: B-Sides & Rarities 1978-2001.
THE CURE a joué "Charlotte Sometimes" en concert au fil des années (bien que pas régulièrement). il figure d'ailleurs sur l'album en public Concert - The Cure Live (1984) ainsi que sur l'album Paris (enregistré au Zénith en Octobre 1992 et sorti un an plus tard).

À part ça, ce morceau est l'un des titres que je préfère du groupe (avec "All Cats Are Grey" sur l'album Faith). en revanche je suis beaucoup moins client de "Splintered In Her Head" qui sonne comme un bad trip sous acide et qui commence à lorgner du côté de Pornography. mais la face A vaut bien un 5/5 à elle seule !

Le 13 Février 2021 par RICHARD

@ Nono, il s'agit d'un single qui n'est extrait d'aucun album à l'instar de Lament ou Never Enough. On peut néanmoins le retrouver sur la compilation Staring At The Sea (1986) ou sous une forme live avec les albums live "Concert" (1984) et "Paris" (1993). Ce 45-Tours est vraiment intéressant car il est comme un pont entre 1981 et 1982. Sa face A rappelle en effet en un peu moins gris le spleen cotonneux de l'album passé Faith tandis que sa face B, le superbe et totalement angoissant "Splintered In Her Head" annonce les prémices du malade et nihiliste Pornography.

Le 13 Février 2021 par NONO

Je me souviens de ce titre, qui n'est pas inclus dans leurs albums. Etait-il sorti sous format "single-only" ? Ou était ce une face B ? Ou encore l'extrait d'une B-O de film ?

Le 13 Février 2021 par SGT JAKKU

Pas d'accord avec la chro. The long Run fait partie des disques les plus solides du groupe, à côté de Desperado, One of These Nights et Hotel California. Le ton a change, bien plus sombre que les albums précédents. J'adore cette ambiance nocturne, californienne et cette orientation Yatch Rock avec des titres comme I Can’t Tell you Why, King Of Hollywood, The Sad Cafe. À noter que l'excellente chanson de Joe Walsh, In the City, a aussi servi pour la B.O. du film The Warriors. La face A est irréprochable, la face B, un poil moins bonne. Il est vrai que The Greeks...fait un peu tâche et n’aurait dû être qu’une face b de 45 tour.
Note réelle : 4,5.

Le 13 Février 2021 par METALPROG84

Certainement le moins bon Santana des années 70. A part les 3 premiers titres qui sont pas mal (et qui seront repris à leur avantage sur l'excellent "Moonflower") et le très bon "Revelations", il n'y a pas grand-chose à se mettre sous la dent ! Pourtant, certains morceaux ne sont pas mauvais en soi, mais on est parfois plus proche de la variété que du rock. Dans la même veine que "Amigos", mais en moins bon.

Le 13 Février 2021 par CLANSMAN57

Sous la pochette de l'album, Richard marque "Le meilleur titre des Cure?".
Je me posais exactement la même question lorsque j'ai vu que ce single serait traité sous peu:)

Difficile de n'en choisir qu'un seul, mais "Charlotte Sometimes" est un sérieux prétendant au meilleur titre des Cure.
Ce qui est certain, c'est qu'il est un splendide tube brumeux.

Le 13 Février 2021 par NONO

Pour faire suite à mon précédent post, au sujet des périodes de ma vie dont j'ai le meilleur souvenir, (et curieusement reliées à des chansons, car celles-ci -tout comme les parfums- étant les meilleurs témoins d'époques), je citerais :

* Année 1982 / 1983 (souvenir des tubes de Toto IV, "I won't let you down" de Ph-D, "Do you really want to hurt me" de Boy George, "Drive" des Cars...)

* De l'été 1985 jusqu'au printemps 1986 : ça grouillait de super tubes à ce moment précis (passant simultanément à la radio) : "Take on me" (A-ha), "When the going gets tough" (Billy Ocean), "Nikita" (Elton JOhn), "Burning heart" (Survivor), "The captain of her heart" (Double), "Close to me" (The cure)

* L'été 1990 : "I promised myself" (Nick Kamen), "Words" (The Christians), la reprise de "Strawberry fields forever", la vague new-beat assez sympas : "Ride on time" de Black Box et "Happening all over again" de Lonnie Gordon, "Kingston town" (UB40)

Par contre j'ai detesté les périodes suivantes,
* Eté 1991 (interdit de me faire écouter "Senza una donna" ou "It aint over till it's over" ! lol...)

Le 13 Février 2021 par NONO

... et quelques années après (2000 /2001) : "Le vent nous portera" (Noir Désir), les tubes de Dido, Pink, "Comme un boomerang" (Daho), album "Personne n'est parfait" de Bauer, "Come along" de Tityio, l'album "Open the Door" de Hodgson, l'album de Santana sorti en 2000... une belle époque pour moi.

Le 12 Février 2021 par BORIS LE BORGNE

Au même niveau que le film, c'est à dire totalement orgasmique.

Rarement symbiose entre réalisateur et compositeur n'aura été aussi parfaite.

Indispensable.

Le 12 Février 2021 par GRINGO

... la "guéguerre" Oasis / Blur, le retour de Madonna, Björk, PJ Harvey, le trip-hop (Massive Attack, Portishead...), le "big beat" (Chemical Brothers, Fatboy Slim...), Moby, la "french touch" (Daft Punk, Air...), la jungle / drum'n'bass (Roni Size, Goldie, Photek... même Bowie s'y est mis avec "Earthling"), les clips de Jonze et Gondry et chez nous Obispo (et Zazie) qui prenait la relève des Berger et Goldman en écrivant pour tout le monde (Pagny, Hallyday, Kaas)...
OK BOOMERS ! :-)

Le 12 Février 2021 par NONO

@TOMMY_CALE : Souvenirs de 1998... Ah.. Tu nous prends par les sentiments, là ;-)
J'ai un super souvenir des ces années 1997 /1998 /1999. Et si je supporte Louise Attaque, c'est plus pour la nostalgie et les souvenirs que pour la qualité intrinsèque de leur musique... Ces années, c'était aussi la révélation de Manu Chao en solo, il a trusté les ondes pendant ces années, c'était quelque chose ! C'était aussi la grande époque de Natalie Imbruglia, The Wallflowers, Tori Amos, Radiohead...

Le 12 Février 2021 par BORIS LE BORGNE

Pas du tout d'accord avec la chronique. Si ce disque n'a pas forcément le niveau d'un "Affenstunde" ou de la B.O. de "Aguirre", il s'écoute cependant avec un plaisir quasi majestueux.

Extrêmement reposant et ressourçant à la fois.