Le 06 Février 2021 par PILGRIMWEN

Je ne connaissais que "One Step Forward", depuis au moins une quinzaine d'années. Par curiosité, j'ai poussé le vice aujourd'hui en écoutant l'intégralité de l'album dont est issue la chanson. Et bien, ça ressemble à ALABAMA, contemporain du DESERT ROSE BAND. J'aime énormément ce premier effort studio. Léger, mélodique, entêtant et entraînant.

Le 06 Février 2021 par CLANSMAN57

Je me suis laissé tenter par ce disque trouvé en magasin, ainsi qu'un autre, une compilation.
Sur celui-ci, j'ai 14 chansons et pas beaucoup me plaisent.
Sur la compilation, (Elvis: La légende Volume 2 1961/1977), il y en a 24 et j'ai le même problème.

Donc je passe mon tour avec Elvis:)

Le 06 Février 2021 par NONO

@RICHARD : Ca, c'est marrant. Je viens de citer également Shania Twain dans mon post précédent, sans même avoir lu ton post jusqu'au bout. Et toi aussi, tu la cites, lol.
Comme quoi, les exemples pris "au hasard" ne sont pas si anodins.

Le 06 Février 2021 par NONO

Oui, c'est donc bien cela : nous sommes nombreux à penser que B. Adams a "commencé" en 1991 avec la B-O de Robin des Bois.
Il y a également, une artiste qui a "subi" le même phénomène : qui donc aurait cru que Kim Carnes avait déjà une discographie bien fournie avant "Bette Davies Eyes" ? Son album de 1981 "Mistaken identity", contenant ce titre, était son dixième album environ !
Pareil pour Shania Twain : la plupart pensent que le raz-de-marée de "Come on over" était son premier album.
Il y a donc souvent un effet de trompe-l'oeil : quand un artiste sort son album "de maturité" qui fait un tabac, celui-ci non seulement occulte les oeuvres précédentes, mais aussi fait croire que l'artiste n'a sorti que cet album.

Le 06 Février 2021 par BAKER

Eh bien décidément, R.H.C.P fera partie de la très longue liste des groupes cultes dont j'aime plus ou moins les albums détestés (Metallica, Megadeth, Mike Oldfield, et j'en passe).

Je trouve l'album correct, agréable, un peu vaseux parfois mais jamais au-delà de la limite du chiant, et surtout sa durée est correcte (n'est-ce pas Stadium ?).

La chanson "Dark Necessities" figure dans mon best-of 2016 et en très bonne compagnie (excellente année), je la trouve aussi ludique qu'accrocheuse.

Le 06 Février 2021 par LONG JOHN SILVER

Bonjour à tous,
Difficile de parler du Nuge sans faire fi de ses opinions politiques qu'il étale à longueur d'interview au lieu de parler... de musique ! De fait, l'intro' de la kro de Jasper est raccord avec le personnage et rapporte son opinion, qu'il n'a de cesse de clamer. Après quoi, il est tout de même bien question du disque !
J'invite les lecteurs à se référer à une série de documentaires sur le Metal (Story of Metal par Sam Dunn) où l'interviewer dit avoir eu le plus de mal possible à interroger Ted Nugent sans qu'il se mette à vociférer sur Obama.
D'ailleurs, on a droit à un court extrait avec notre Teddy qui effectivement tente de se calmer en prononçant plusieurs fois le nom honni, c'est hilarant.
(Je précise que cette anecdote rapportée ne fait pas office de soutien pour qui que ce soi.)
Autre anecdote, dans son autobiographie, Steven Tyler dit de Nugent ceci :"Il est tellement de droite qu'il en devient de gauche."
Enfin puisque le terme complotiste est (de nouveau) employé, je me réfèrerai à la théorie de Frank Lepage :"Il y a deux erreurs à ne pas commettre avec le complot, la première c'est d'en voir partout et la seconde est de n'en voir nulle part".
Néanmoins, force est de constater que certains soutiens du previous POTUS, notamment ceux qui emploient une bannière qui commence avec la 17ème lettre de l'alphabet, n'ont cessé d'enfumer le débat avec des annonces fracassantes, jamais vérifiées. (Je reprécise : ceci ne vaut pas soutien pour un éventuel camp du "bien" ou non)
Bien à vous.

Le 06 Février 2021 par HDPE 79

Détestable. On répète à l'envie pour cet album qu'on ne peut l'apprécier qu'après plusieurs écoutes. J'ai essayé, j'ai même insisté, mais non. C'est zéro. Alors, je comprends que les membres vieillissent, ce sont plus les jeunes drogué excentriques qu'ils étaient dans les années 80 et au début des 90's. Cela n'empêche pas de faire de la bonne musique. Ici, tout est plat, calme, limite sinistre (de la part d'un groupe comme les Red Hot, c'est le comble). La production, n'en parlons pas : ce son plat, sans aucun relief, la batterie avec ajout de programmations, alors que ce groupe a toujours eu un son brut et naturel, sa marque de fabrique. Il reproduisait aussi l'impression des concerts dans ses albums, sauf qu'ici, on n'y est plus du tout.
Bref, ces 2 albums avec Knoufofler se résument à ça : il est bon mais mauvais compositeur et le groupe n'a pas l'air du tout à son aise. Il paraît qu'il planche sur un nouvel album ces temps-ci. Après le retour de Frusciante, tant mieux. Mais il faut se dire que 10 ans déjà ont passé depuis son départ, je ne pense pas qu'on retrouvera un nouveau Stadium Arcadium ou By the Way.

Le 06 Février 2021 par DUDUL LE CANARD

Bon album. En effet, le groupe progresse d'album en album. Cela dit, The Uplift Mofo Party Plan était déjà pas mal dans le genre, mais celui-ci est plus diversifié, énergique et varié. De plus, il contient les premiers morceaux classiques du groupe. Là où le précédent restait tranquille et stable dans le style des morceaux, cet album se montre beaucoup plus "déjanté" comme avec la version 2x plus rapide du "Fire" de Hendrix, avec l'hommage façon Cheer Leaders à Magick Johnson ainsi qu'avec l'intro' de Johnny Holes The Sky ou les passages de bande à l'envers, etc. C'est aussi l'album le plus punk.

Le 06 Février 2021 par FRED1987

Il est bien vrai que Nuget tourne en rond depuis des décennies, et cet album renforce mon propos. Cependant, j'espère que Forces Parallèles ne deviendra pas un site de propagande idéologique à la Woke. Aussi, Sylvie Laurent cherche à diviser les gens au lieu de les rassembler.

	Par Forces Parallèles NDLR : réponse générale aux commentaires sur la chronique de Ted Nugent. Il va sans dire que la kro entre parfaitement dans la ligne éditoriale. Droit de réponse : Suite à la parution de l’avant-dernier album de Ted NUGENT qui clôturait l’intégralité de sa discographie, certains lecteurs ont exprimé leur mécontentement et m’ont adressé deux critiques. Permettez-moi d’opérer un tri dans ces reproches. J’ai pris le parti de commencer chacune de mes chroniques par un rappel biographique ou par un des commentaires de Nugent liés à l’actualité. C’était un fil rouge avec pour but l’envie de dresser sur l’ensemble de sa production le portrait d’un artiste controversé et emblématique de l’Amérique contemporaine. Oui, le portrait est à charge. Je le répète, c’était un parti pris et je l’assume. Le Nuge est un animal politique et ses concerts sont des meetings pro NRA dont il est membre du conseil d’administration et pro Trump et on voudrait que je me contente de causer couplet/refrain, Gibson Birdland et gamme pentatonique ? Ça agace ? Ça déplaît à certains ? C’est parfaitement légitime et vous pouvez l’exprimer librement dans vos commentaires. Contredisez-moi, traitez-moi de scribouillard de Libération, de bobo bien pensant, go ahead, make my day, c’est de bonne guerre et je l’encaisse sans broncher. En revanche, pour ce qui est de m’accuser de ne pas parler musique, objection, votre honneur ! Mon parti pris vous déplaît ? La marche à suivre est simple : zappez l’intro des chroniques. Parce que derrière, j’ai fait mes devoirs et j’ai rendu hommage à la musique du Detroit City Madman quand celle-ci avait du panache. Et j’ai continué comme un bon petit soldat à me coltiner ses albums quand ceux-ci étaient bien moins inspirés. Le travail sur le contenu artistique a été fourni. Je ne vais pas non plus faire trois feuillets sur « I Love my BBQ » (quoique, c’est peut-être le meilleur texte de l’album Shutup & Jam!). 14392 chroniques d’albums à ce jour sur Forces Parallèles. Des bonnes et des moins bonnes (et quelques détestables comme les miennes, si vous voulez). De toutes sensibilités. J’ai et j’ai eu des confrères talentueux. D’autres moins. Certains se livrent personnellement dans leurs écrits et d’autres jamais. Et toutes ces chroniques sont rédigées bénévolement et consultables gratuitement. You’re welcome. Jasper Lee Pop

Le 06 Février 2021 par BAKER

@NONO : Je suis plutôt d'accord avec toi du côté de la France. J'ai aussi découvert Adams en 91. A l'époque, je m'y connaissais autant en musique qu'en informatique (soit le milieu de la moitié de l'équilibre des 50%).

Par contre, du côté des "tubes" de façon universelle, il suffit d'écouter Reckless. 10 titres, 5 hits absolus.

Le 06 Février 2021 par FRANC-MACRON

Il faudra vous y faire, Claudo et Feelgood : ici (comme ailleurs), on pense (?) "bien" ! Comme tous les "artistes" (ou presque) et donc leurs amoureux (dommage que le lien d'amour ne soit pas forcément réciproque, les hommes et femmes d'Art en question étant généralement issus des classes aisées et en ayant conscience). Vive Obama, Monsieur "Prix Nobel de la Paix" et ses 8 ans de guerre ! (En 2011, Dave Mustaine de Megadeth qualifient Barack Obama comme étant "le président le plus diviseur que l'Amérique ait connu. En cinquante années de vie, je n'ai jamais vu un président américain tentant d'opposer deux couches de la société.")

Le 05 Février 2021 par FEELGOOD

Bientôt 19 ans que je n'ai pas acheté de nouvel album de Nugent dont je continue d'apprécier les disques parus entre 1975 et 1979 ! Fidèle de Forces Parallèles depuis les débuts du site, j'ai parcouru cette chronique de Jasper Lee Pop par pure curiosité.
Mal m'en a pris...
Pourquoi ce premier paragraphe hors sujet ne reflétant que les partis pris idéologiques de l'auteur ? Quel intérêt si ce n'est de montrer qu'on est dans le camp du bien et que Nugent, Trump et Schaffer sont des « méchants » ?
Un Schaffer (quoi qu'on pense de ses « exploits » du 6 janvier dernier) qui a au moins le mérite de la franchise... Ne déclarait-il pas dès 2003 qu'il ne laisserait jamais le « politiquement correct » lui dicter ce qu'il devait faire et ce qu'il devrait être ? « Et je peux te dire que si j'ai des enfants qui vivent sous un régime fasciste, je serai le premier à partir au combat . » Rock Hard n°28 (déc-janv 2004). J'ajouterai qu'il est facile de s'en prendre à un homme à terre...
Je serais tenté de paraphraser le chroniqueur : « Quand est-ce qu’on parle musique, me direz-vous ? » En effet !
Mais j'oubliais : « on se fout de la musique de Sweaty Teddy ! ». Ah bon ! Bel aveu ! Et pour le moins contradictoire puisque je suis censé être sur un site d'amoureux de musique...
En fait, il ne manque ici que l'utilisation de la sinistre écriture inclusive pour que cette chronique  trouve sa place dans le Monde ou Libé, ce qui, cela dit , aurait le mérite de clarifier les choses, tout article rédigé de la sorte passant, en ce qui me concerne, directement à la corbeille.
Pour finir, le terme « complotiste » est la nouvelle tarte à la crème des autoproclamés « progressistes » et s'ajoute aux convenus « réac », « facho » et « raciste » de naguère.
Allez, sans rancune et en espérant revenir bientôt parler de musique...

P.-S. : La mention de Sylvie Laurent (« « Pauvre petit blanc » est le titre du très bon ouvrage de Sylvie Laurent dans lequel elle retrace la genèse du mythe du blanc opprimé orchestré par le parti républicain dès la fin des années 60 avec le concept de « majorité silencieuse » de Nixon. ») ne relève pas le niveau, cette « chercheuse » étant loin de faire l'unanimité, le magazine Marianne l'accusant de « compiler dans son livre « presque tous les concepts les plus creux de la sociologie contemporaine », notamment en assimilant à du racisme la crainte d’être mis en minorité culturelle par les flux migratoires ». Source : Wikipédia.
Rappelons que le déclassement de la classe moyenne blanche états-unienne n'est pas un fantasme mais un fait avéré, expliquant l'élection de Trump en 2016. La baisse de l'espérance de vie des hommes blancs américains est démontrée par des statistiques irréfutables : « Encore une fois, toutes les classes d’âges sont concernées: «Les overdoses représentent 25 % à 30 % de tous les décès masculins entre 20 et 40 ans, 20 % entre 40 et 50 ans et un peu moins de 10 % entre 50 et 60 ans en 2017. La mortalité par overdose entre 60 et 80 ans a également augmenté, indique le rapport. Les plus touchés sont les «hommes ‘’blancs’’ de faible niveau d’instruction (ceux qui n’ont pas terminé le cycle secondaire).» » Article de Steve Tenré publié dans Le Figaro du 09/10/2019.
Mais cela n'est pas bien grave puisque ça ne touche que les « déplorables ».

Le 05 Février 2021 par MR LARSEN

@Nono
Je ne connais pas vraiment Bryan ADAMS, mais je pense que son tube "Summer of 69" paru en 1984 était un de ces plus grands "tubes" d'avant 1991. De là à savoir si ce titre avait la même aura à l'époque qu'aujourd'hui et s'il passait beaucoup à la radio chez nous, il n'y a qu'un pas que je ne m'efforcerai pas de franchir... car je suis né en 1990 ;) Quoi qu'il en soit, c'est effectivement par cet album du début 90's (avec le succès évident de "I Do It For You" - merci Robin des Bois) que j'ai découvert cet artiste. Comme beaucoup de Français j'imagine.

Le 05 Février 2021 par CLAUDO ALKOLOVITCH

Chronique hilarante car écrite au minimum au 45è degré (ou par une groupie de la rédaction de BFMTV) ! Purée, ce que j'ai ri... J'ai même failli me faire dessus quand j'ai lu l'éloge du torchon d'indigéniste cité en note ! En ces temps de déprime généralisée, ce que ça fait du bien de rigoler comme ça ! Merci, franchement merci de tout coeur!

Ah, au fait, et l'album dans tout ça ? Promis, si je le trouve dans un bac à soldes à 1€, je l'achèterai et vous ferai partager mon avis, hein... Bisous

Le 05 Février 2021 par DAN VANMAIDEN

Nono, le titre éponyme de cet album de 1983, ainsi que "Run to you" de l'album suivant (Reckless en 1984 donc), ont plutôt bien fonctionnés, et ont bénéficiés de passages en radio assez fréquents.
Puis sa carrière européenne s'est mis en silence jusqu'à l'album que tu mentionnes qui a cartonné en 1991.

Le 05 Février 2021 par RICHARD

Nono...ta mémoire ne te fait pas défaut...ou alors, nous sommes deux.
C'est bien avec la chanson-phare de Robin des Bois que j'ai découvert le Canadien et je pense que ce fut le cas dans l'hexagone pour beaucoup de monde aussi. Encore une preuve que le marché discographique nord-américain se suffit amplement à lui-même. Ceci me fait penser à Shania Twain avec "Man! I Feel Like A Woman!" que l'on entendait partout jusqu'à l’écœurement (pour moi) en 1997. Je pensais que c'était l'une de ses premières productions alors qu'elle avait déjà eu une vie outre-Atlantique.

Le 05 Février 2021 par NONO

Est-ce moi, ou j'ai l'impression que c'est par cet album que Bryan Adams s'est fait connaître en France ? (alors qu'il avait déjà une carrière conséquente auparavant) Car, sauf si ma mémoire me fait défaut, je n'ai pas le souvenir d'avoir entendu de tube radiophonique d'Adams avant ceux de cet-album, en 1991. Alors oui, on peut rétorquer "les tubes radio ne font pas tout", oui, mais... n'empêche que c'est grâce aux "tubes" qu'on connaît un artiste, à la base ! Bryan Adams avait-il déjà de gros tubes avant cet album ?

Le 05 Février 2021 par LE FéLON MASQUé

A l’étranger, les fans se mettent à la création des jeux vidéo Zelda, composant ainsi jusqu’à leurs musiques. Certains artistes sont tellement ingénieux qu’ils mériteraient un poste chez Nintendo. Je souhaiterais que les chroniqueurs se documentent sur le sujet en proposant la chronique d’un amateur. Le titre est The Missing Link.

Le 04 Février 2021 par RIKKIT

A savoir que Rikk Agnew, à la guitare ici, est pour beaucoup dans ce son tout bizarre et squelettique, fraîchement sorti des ADOLESCENTS. On y entend parfois déjà ce son particulier (Kids of the Black Hole notamment).
Franchement, j'ai toujours trouvé que c'était un skeud difficile à apprivoiser, tout de glauque et de dissonances vêtu, surtout pour la voix de Rozz Williams (qui sonnera bien plus Bowie sur le suivant), mais une fois le point de non retour franchi, c'est un kiffe.

Le nombre de groupes ayant suivi cette voie ensuite est hallucinant.

Le 04 Février 2021 par NORTHMATHR

Un chef-d’œuvre de l'Ambient dans son expression la plus polaire. Tellement froid que ça en est cauchemardesque, et pourtant le charme boréal opère. Ici, pas de musique monotone comme le genre peut parfois en proposer, mais des ariettes électroniques évanescentes sur fond de textures sonores glaciales. Les samples de Twin Peaks amplifient le côté mystérieux et insaisissable de ce "Substrata". Indispensable !