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PORTISHEAD
ROSELAND NYC LIVE


Le 12 Juin 2020 par CLANSMAN57


C'est un bon disque, mais comme avec la plupart des produits "Live", je ne l'ai pas souvent écouté, ni gardé...
L'orchestre est vraiment très discret par ailleurs.





RUSH
A SHOW OF HANDS


Le 12 Juin 2020 par LEO


Oui, franchement A Show Of Hands est un live inintéressant car il n'apporte rien de plus par rapport aux versions en studio étant donné qu'à cette époque, RUSH utilisait à fond les sequencers ainsi que d'autres parties de claviers pré-programmées pour coller au plus près aux arrangements particulièrement chargés sur les deux ou trois précédentes livraisons.
On a donc à l'arrivée, une interprétation assez 'rigide' ne laissant que peu de place à la spontanéité avec un son moins chirurgical que dans les versions studio !
Résultat: autant s'en tenir aux versions d'origine !
Autre sujet à caution, la setlist proposée. celle-ci contient "Closer To The Heart" qui fait inutilement doublon avec le précédent live Exit...Stage Left. déjà que je ne suis pas fan de ce morceau, je ne vois pas bien le propos de l'avoir réutilisé sur ce nouvel album en public, d'autant que celui-ci était censé résumer la période allant de Signals à Hold Your Fire !
Même en faisant une légère incartade, le groupe aurait pu retenir "Limelight" (de Moving Pictures) puisqu'il n'était pas encore paru sur un live du trio à ce moment là, ou même mieux, choisir tout bonnement "New World Man" (unique autre morceau de Signals avec "Subdivisions" a avoir été joué sur la tournée 86).
Comme l'a fait justement remarquer WALTERSMOKE, il y a effectivement un déséquilibre entre les titres extraits de Signals (1) et Grace Under Pressure (2) & ceux de Power Windows (4) et Hold Your Fire (4). les deux premiers sont sous-représentés par rapport aux deux autres. le hic, c'est que mis à part "Subdivisions" et "New World Man", RUSH n'interprétait pas d'autres morceaux de Signals depuis la tournée 84 (qui n'incluait en plus que "The Weapon"). par contre le trio aurait pu faire figurer "Red Lenses", troisième titre de Grace Under Pressure à avoir été joué en 86 et 88, ce qui aurait rétabli quelque peu la balance.
En sucrant le solo de batterie superflu ("The Rhythm Method") et l'inutile "Closer To The Heart", il aurait été donc possible d'inclure à leur place "New World Man" et "Red Lenses".
Cela dit même avec ce petit changement qui aurait pu être appréciable, ce troisième album en public de RUSH n'est pas vraiment passionnant pour tout dire, car autant j'apprécie beaucoup les trois premiers albums de cette troisième tétralogie du trio Canadien (je n'y inclus pas le peu palpitant Hold Your Fire), autant en entendre des versions en concert m'ennuie prodigieusement, tellement on y entend peu de différence.
Certes, c'est bien interprété et la prise de son est impeccable (c'est quand même RUSH !) mais cela ne suffit pas pour faire de A Show Of Hands un album en concert essentiel. il serait même plutôt fort dispensable par rapport au très correct All The World's A Stage et surtout au superbe Exit... Stage Left, qui reste de mon point de vue comme le meilleur témoignage de RUSH sur scène.
Juste un tout petit 2,5/5 pour ce live que je n'ai jamais beaucoup écouté.





CHRISTIAN DEATH
ONLY THEATRE OF PAIN


Le 12 Juin 2020 par ANTI


Certainement l'un des disques les plus hallucinés du punk, hanté par la mort et la fin des temps. Du sang sur les mains et des conversations sur l'enfer. Noir de chez noir.





PORTISHEAD
ROSELAND NYC LIVE


Le 12 Juin 2020 par FRANçOIS


Mes titres préférés du groupe y sont ("Cowboys", "All Mine", "Glory Box", "Strangers"). Ce live peut éventuellement suffire. "Sour Times" est dans une version différente, sans le sample de Lalo Shiffrin. Ce qui n'est pas plus mal au final car c'est vrai que savoir qu'un titre est basé sur un sample, ça gâche un peu l'plaisir (le mien en tous cas).





KRAFTWERK
AUTOBAHN


Le 12 Juin 2020 par YANN 77

Je suis en train de l'écouter, non sans à priori vu que je n'aime absolument pas l'électro… Puis finalement ce n'est pas la cata annoncée… ça s'écoute plutôt gentiment.
Je trouve quand même le premier morceau, "Autobahn" long au bout d'un moment… Je lui préfère largement la seconde face que je trouve finalement plus intéressante.
Vais-je oser continuer dans la discographie? :)

Pas de note, vu que je ne sais absolument pas par quel bout le prendre...





Sheryl CROW
TUESDAY NIGHT MUSIC CLUB


Le 12 Juin 2020 par CLANSMAN57


Je me suis laissé tenter par Sheryl Crow la semaine dernière.
Avec l'état d'esprit du type "Allez hop!", lorsqu'on se retrouve dans un magasin d'occases et qu'on ne peut pas préparer l'achat comme on le fait par le biais d'internet.
J'en ai chopé deux... dont ce premier album et je n'aime pas trop celui-ci.
A la première écoute (et la seule d'ailleurs), je me suis dit que ce n'était pas ma tasse de thé.
Je trouve sa musique assez ennuyeuse, voire plate et sa voix n'est pas extraordinaire, pour ne pas dire banale.

Bref, parfois, on tombe sur de bonnes surprises en effectuant les achats de cette manière et de plus, ça rappelle une époque révolue.
D'autres fois, on se dit "J'aurais mieux fait de la laisser dans le bac".

Pas si grave, j'espère tout de même que l'autre est meilleur...





Masami UEDA
RESIDENT EVIL: ORIGINAL SOUNDTRACK REMIX


Le 11 Juin 2020 par DAVID


Indispensable en tant que fan du jeu. Cette bande son de Resident Evil, sortie sur la mythique Playsation en 1996, me replonge directement dans le lugubre et mystérieux manoir d'Umbrella. La musique est vraiment flippante, le remix avec l'ajout de différents bruitages faisant partie intégrante du jeu, m'immerge encore plus dans l'ambiance tout au long des 34 morceaux.
Il existe trois versions plutôt rares du cd : une japonaise (Biohazard), une européenne et une américaine sorties entre 1996 et 1998.
Pour info, de superbes éditions vinyles des différents épisodes de la saga sont éditées par Laced Records depuis l'an dernier. Le vinyle de Resident Evil 1 correspond à la version du remake sortie sur Gamecube, la version Playstation est uniquement disponible sur le cd chroniqué ici.





OPETH
IN CAUDA VENENUM


Le 08 Juin 2020 par ADXBBR


Deception…. As usual, dirais-je. Il y a bien longtemps que je ne trouve aucune passion à un album d'Opeth, depuis 20 ans pour tout dire. Pourtant j'essaye, je recherche auprès des fans ce qu'ils ont trouvé, ce qui m'aurait échappé, ce que je n'aurai pas entendu. Et tous les commentaires confirment mes impressions et me font dire que ce groupe me laisse indifférent. J'ai le même problème avec le "génie" de Devin Townsend ou avec le "folie jubilatoire" de System of the down. Les morceaux sont interminables : Ayant créé ma culture musicale dans les années 70, je suis prêt à subir des morceaux qui prennent leur temps pour révéler leur potentiel et créer l'émotion mais il faut avoir des messages à passer. Et là je m'ennuie avec des chansons trop longues. Tout n'était pas bien dans les 70's...

L'intro nous a déjà été faite des centaines de fois, le mix entre doom et metal prog n'est pas une réussite, "Charlatan" porte bien son nom

Alors si vous avez aimé les précédents albums, vous serez ravis par "les subtilités au gré d'écoutes approfondies". Ce n'est pas mon cas, à part sur le très réussi "Lovelorn crime" ou sur le perturbant "Universal Truth"

Je ne remets pas en cause le talent des membres du groupe, et la voix de Akerfeldt rend certains passages intenses, je ne parle que de mon ressenti à partir de l'audition de la version anglaise, après une dizaine d'écoutes au casque





Pat MARTINO
BAIYINA


Le 08 Juin 2020 par FRANçOIS


Ah ben tiens, moi je préfère celui-là plutôt que sa veine bop ou soul-jazz, comme quoi... Peut-être justement parce qu'il est plus atypique.





Pat MARTINO
BAIYINA


Le 08 Juin 2020 par LE MERLE MOQUEUR


Un bon disque qui me laissa sur ma faim.
Un faible pour lui tout de même car Richard Davis grande pointure bassiste y participe. Il nous faudra un jour revenir vers ce bassiste qui n'est pas n'importe qui. Et sa présence avec Martino veut très certainement dire qu'il nous faudra un jour revoir nos copies.





John WRIGHT
SOUTH SIDE SOUL


Le 08 Juin 2020 par LE MERLE MOQUEUR


Oui il y a des musiciens qui ne nous laissent pas déplumés, ils nous enrichissent par leur véracité.
Je n'ai pas dit voracité. La voracité elle est pour d'autres, ceux qui pondent trois notes et se prennent pour des stars qui ont mérité leur Rolls-Royce. Mais ce n'est pas notre propos ici.

Apprécions cette modestie tout en chaleur de John Wright.





OPETH
IN CAUDA VENENUM


Le 07 Juin 2020 par BAKER

Je parle bien de "synthétiseurs" qui ne seraient aucun des instruments que tu cites, effectivement, et jusqu'à Sorceress inclus j'entends du Mello, de l'orgue, du piano droit, à queue ou préparé, mais pas de synthé au sens euh... disons Keith Emerson du terme.

Alors que ça m'a carrément attiré l'oreille sur le premier titre de ce In Cauda, il y a une nappe avec des programmations, ou au minimum un arpégiateur. Effectivement ça n'aurait pas été possible du temps de Per Wiberg, que j'adule par ailleurs sur Ghost Reveries.





TRAVIS
THE INVISIBLE BAND


Le 07 Juin 2020 par CLANSMAN57

@ Mr Tinkertrain:
C'est leur troisième album, j'ai écouté récemment les deux précédents.
Le premier, "Good Feeling" (1997), est assez moyen à mon sens, le groupe se cherche encore et pratique un Rock assez immature.
Le suivant, "The Man Who" (1999), devrait te plaire également, puisqu'il est dans la même veine Pop mélancolique de "The Invisible Band".
Ils ont bien fait de délaisser leur style de départ, ce style-là leur va beaucoup mieux.
Ce second opus demande un tout petit peu plus de temps, car il n'est pas encore aussi constamment accrocheur que la réussite de 2001, mais il demeure foutrement beau.
Si le coeur t'en dis, tu peux essayer les singles "Turn" et plus encore la petite merveille "Why Does It Always Rain On Me?", à coup sûr une de leurs meilleures chansons.







OPETH
IN CAUDA VENENUM


Le 07 Juin 2020 par BAKER

C'est pour moi leur meilleur et de loin depuis Watershed. Un peu plus sombre que Pale Communion, bien plus costaud que l'agréable mais fourre-tout Sorceress, et évidemment ne me lancez pas sur Heritage.

Une chose qui m'intrigue, soit j'ai mal lu soit je me trompe dans les faits mais il me semble que c'est la toute première fois de leur carrière qu'OPETH utilise des synthétiseurs.


Par Forces Parallèles

Tout dépend de ce que l'on entend par "synthé". Du mellotron, de l'orgue Hammond ou du piano électrique, il y en a à foison depuis Ghost Reveries et l'arrivée de Per Wiberg dans le line-up du groupe.
Il est d'ailleurs déjà présent sur le DVD lamentations où ses interventions sont déjà plus discrètes. Il n'y a de mémoire, rien d'acoustique dans ses instruments.

Fredrik Nordström était déjà crédité à l'orgue Hammond sur My Arms your Hearse (sur "Epilogue"), Steven Wilson au mellotron sur Deliverance. C'est bien du piano en revanche sur Orchid.

Après si par synthé tu entends une sous-catégorie qui n'inclue pas les instruments précités, Joakim Svalberg est crédité d'un vague "keyboards" sur Pale Communion alors que la liste d'instruments est beaucoup plus précise sur Ghost Reveries, Heritage et Sorceress. J'ajoute que Mikael Akerfeldt s'est crédité aux "FX" sur Heritage. Reste l'enigmatique Watershed dont je ne possède qu'une édition limitée et qui ne précise pas grand chose sur la question.

A mon avis, il y a du synthé depuis l'arrivée de Joakim Svalberg sur Pale Communion.

Chipstouille.





Pat MARTINO
EL HOMBRE


Le 07 Juin 2020 par LE MERLE MOQUEUR


C'est bien, le guitariste qui me balade le plus sort de l'ombre.

Une remarque personnelle je l'ai découvert dans les bacs d'un bon disquaire à Anthony. (le magasin malheureusement n'existe plus, est remplacé par un de fringues made in China...) Je disais découvert à Anthony avec Joyous Lake en 1976 c'est l'époque charnière où Pat Martino quitte les enregistrements de jazz traditionnels (Willis Jackon with Pat Martino. "Gravy") ou ceux de jazz plus expérimentaux et gagne un public plus nombreux.

Sur cet album "El Hombre" l'influence de Wes Montgomery est évidente (d'ailleurs le propriétaire du label et collègue Joel Dorn n'était pas étranger à ce rapprochement). Le flux musical coule de source... africain et autres. Transe due à des rythmes de percussions qui ne sont pas là par hasard. Mais tout cela Derwijes le dit.
Presque toutes les compositions sont dédicacées. Celle de "A Blues For Mickey-O" est un blues pour le père de Pat, Carmen Azzara qui se produira sous le nom de Mickey Martino. Dans ce disque derrière le travail "cymbalique" de Mitch Fine, les vedettes qui se partagent l'enthousiasme des connaisseurs sont Pitts avec ses longs riffs "orguaniques" et bien sûr Pat Martino qui continuera à nous étonner pour notre plus grand plaisir.





Pat MARTINO
EL HOMBRE


Le 07 Juin 2020 par FRANçOIS

Très bien mais je lui préfère le plus psychédélique et orientalisant "Baiyina (The clear evidence)", qui lui succède l'année suivante.





Donna SUMMER
LOVE TO LOVE YOU BABY


Le 07 Juin 2020 par FRANçOIS


Ah, "Love to love you, baby", cette voix, ces cordes, cette basse... Rétrospectivement, j'ai du mal à comprendre le rejet dont fût victime le disco (la fameuse nuit de destruction des disques dans un stade)... Que devrait-on faire de la plupart des courants musicaux qui ont suivi... Le reste du disque flirte malheureusement parfois avec la variété (imho). Heureusement, on trouvera le morceau-titre dans toutes sortes de compiles.





KING CRIMSON
IN THE COURT OF THE CRIMSON KING


Le 06 Juin 2020 par FRANçOIS


Mouais... Même sentiment que pour "Lark's Tongues...", à savoir un ou deux titres (en l'occurrence les morceaux d'ouverture et à un degré moindre de clôture) qui écrasent tout le reste... Me restent "In the wake of Poseidon" et "Islands" à découvrir, de la période "dorée" du groupe.





KRAFTWERK
MINIMUM-MAXIMUM


Le 06 Juin 2020 par FRANçOIS


Pour les retardataires (s'il en existe encore), ce live agira efficacement tel un best-of du quatuor teuton. J'apprécie particulièrement le final "Musique Non Stop", où chaque membre du groupe y va de son "solo" (sic) de laptop avant de saluer le public et s'éclipser en coulisses.





SEPULTURA
THE MEDIATOR BETWEEN HEAD AND HANDS MUST BE THE HEART


Le 06 Juin 2020 par DINICED


SEPULTURA redevient sale mais d’une beauté inégalable. Le genre de beauté qu’aucun élément extérieur ne peut altérer. Je pense à Claudia Cardinale dans « Il était une fois dans l’ouest », couverte de poussière, le visage mouillé de sueur, les vêtements sales, mais le regard d’une reine.
Et pourtant le titre de l’album n’annonçait pas une telle violence. La mélancolie de l’artwork non plus.
Pour moi c’est le grand retour d’un groupe que je suis depuis mes 16 ans. SEPULTURA laisse tomber les expérimentations et la métaphysique pour une musique plus authentique je pense. Un vrai plaisir.









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