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Jaco PASTORIUS
WORD OF MOUTH


Le 21 Mai 2020 par FRANçOIS

Ah oui, fin glauquissime pour cette légende... Le type a fait très peu de prison en plus et est devenu agent immobilier...
Hancock, Shorter, Dejohnette... Bon, si vous me prenez par les sentiments... Le jazz fusion est certainement l'une des musiques les plus "datées" qui soit mais j'm'en fous, j'm'enfuis, je m'offre une parenthèse, un sursis... euh... oui, ça fusionne les côtés positifs du jazz (luxuriance instrumentale) et du rock (rythme, énergie), sans les inconvénients (sauf quand ça verse trop dans la virtuosité gratuite).





BONFIRE
DON'T TOUCH THE LIGHT


Le 20 Mai 2020 par LE MOUNGEPEDOUN


Un des meilleurs albums de hard rock européen des 80's pour moi avec des compos bétons. Certes, ça ressemble à Scorpions époque 'love at first sting' mais c'est super agréable à écouter, et c'est bien là l'essentiel.





CANRAY FONTENOT
LOUISIANA HOT SAUCE CREOLE STYLE


Le 20 Mai 2020 par LE MERLE MOQUEUR


Connaissais pas.
je vais me plonger dans cette sauce musicale épicée. Surtout que le Zydeco nous invite à apprécier des haricots pas salés. Oui tout cela me plait bien. Après peut-être une planche à laver pour avec les copains faire de zizique.





GOTTHARD
HOMERUN


Le 20 Mai 2020 par PILGRIMWEN

Et bien!, "Homerun" m'apparaît aussi bon que "Human Zoo". J'adore ces albums qui ne dévoilent leur charme qu'au fil de nombreuses écoutes. Si l'on m'avait annoncé me rabiboché avec GOTTHARD en 2020, je n'y aurais sans doute pas cru ! "Homerun" offre une facette plus Rock Mélodique, moins Hard Blues Rock. GOTTHARD effectue la même approche que WHITESNAKE en son temps : d'un Hard Rock très Bluesy, les suisses ont adopté une orientation radiophonique-grand public et c'est à mon avis loin d'être dégueulasse !!! Steve Lee insuffle par ailleurs ce grain vocal si particulier, cette émotion qui vous prend aux tripes. Comme possédé ! Nic Maeder a repris le flambeau avec brio, bien qu'il me semble manquer parfois de profondeur.





The BEACH BOYS
PET SOUNDS


Le 20 Mai 2020 par DAVID


Pet Sounds n'est pas l'album que je préfère des Beach Boys : beaucoup de ballades mielleuses, du coup ça manque de rythme (un des points forts des Beach Boys en temps normal).
D'autre part, Brian Wilson est le chanteur principal de l'album, et sa voix ultra-maniérée sur tout un album peut devenir gonflante à la longue.
L'intérêt des Beach Boys réside justement sur la complémentarité des voix de chacun, Mike Love, Brian Wilson, Carl Wilson, Dennis Wilson, Al Jardine, et plus tard Bruce Johnston… ! Cette complémentarité des voix est très en retrait sur Pet Sounds, au profil d'un Brian Wilson envahissant.
Pour son aspect novateur, fondateur et mythique, Pet Sounds mérite bien sur amplement sa réputation ; nous sommes en 1966, et pas besoin de chercher bien loin d'où viennent les débuts de PINK FLOYD avec Syd Barrett par exemple. Mais il existe bien d'autres albums des BEACH BOYS davantage plaisants à écouter que ce Pet Sounds mollasson.





BLACKFOOT
STRIKES


Le 20 Mai 2020 par TOMMY_CALE


Un disque de référence.
Tout le long de celui-ci, on sent cette particularité d'influence amérindienne avec la magnifique voix de Ricky Medlocke (que j'avais découvert chez Lynyrd Skynyrd sur le Muscle Shoals Album), une rythmique d'enfer et ce feeling incroyable bluesy-rock. Un plaisir du début à la fin. Bordel ces reprises de Free dont surtout 'I Got A line on You' ! Mention spéciale pour le titre 'Left Turn on a Red Light' et toute l'émotion qu'il me procure à chaque fois, 'Train, Train' et son intro à l'harmonica du Shorty qui nous embarque totalement. Et comment ne pas citer 'Highway Song' le cousin de Free Bird des cousins de Lynyrd qui finit en beauté l'album dont on ne se remet pas. Allez, je me l'envoie une dernière fois (pour ce matin) maman, c'est promis !





John MELLENCAMP
WHENEVER WE WANTED


Le 19 Mai 2020 par FEELGOOD


Ainsi, Mellencamp ne serait pas fier de ce disque... J'ai découvert l'artiste en 1983, à l'époque du stonien « Uh-Huh » (et non pas « Uh-uh », tel qu'il est orthographié sur cet excellent site). Tout cela pour dire que ses albums suivants m'ont moins captivé, n'étant pas fan de country, de folk et de l'Americana en général.
« Whenever We Wanted » marque le retour à un rock simple, sans fioritures, direct et rageur. Dès le premier titre, l'excellent « Love And Happiness », magnifié par la trompette hystérique du jazzman Pharez Whitted, on est pris dans une bourrasque sonore qui nous emporte jusqu'au bout du CD, même si la deuxième partie de l'album est plus inégale. Il fut un temps où “Last Chance” passait pas mal en radio et ce titre s'inscrivait à merveille dans le paysage musical des années 90.
Un album bourré de grosses guitares et porté par la frappe dantesque de Kenny Aronoff ne peut être mauvais. Pour moi, Mellencamp ne donne son plein potentiel que quand il donne dans un gros rock dépourvu de prétention, primaire mais franc du collier.
Un gros 3,5 arrondi à 4.






The ZOMBIES
ODESSEY AND ORACLE


Le 19 Mai 2020 par BAAZBAAZ


Oui Erwin vient d'attribuer l'une des notes les plus stupéfiantes du site, pas très loin de l'horrible 3/5 du Disraeli Gears de CREAM. Mais pourquoi pas : nous ne sommes pas tenus d'aller dans le sens du vent.

Bon, mais alors, Odessey And Oracle ?

Allez : l'un des deux ou trois plus grands disques de l'histoire.


Par Forces Parallèles

Hey !

Ainsi que je l'ai dit dans mes kros, je préfère largement le premier album que je trouve "baroque". "Odessey and oracle" me semble en deçà, c'est de la pop très sympa, pas plus.

Il eut été fort simple d'écrire cette chronique vous-même, chers camarades chroniqueurs, depuis plus de dix ans qu'il fallait le faire, surtout si vous considérez qu'il s'agit d'un chef-d'oeuvre.

Il vous reste la possibilité d'écrire des KE sur cet album, afin de donner officiellement votre vision des choses et ainsi de rétablir un certain équilibre.

La bise !
Erwin





YES
CLOSE TO THE EDGE


Le 19 Mai 2020 par METALPROG84


Un classique dont le son a certes vieilli mais comme presque tous les albums de rock progressif de cette époque. Les 3 titres sont splendides et indispensables pour tout amateur du style. Il faudra quand même plusieurs écoutes pour vraiment l'apprécier (sauf "And you and I" qui reste plus accessible). Le meilleur Yes avec "Tales from..." et "Relayer".





YES
UNION


Le 19 Mai 2020 par METALPROG84


Très bon album je trouve, celui que je préfère de Yes 2ème période (c'est-à-dire depuis "90125"). Bien meilleur que "ABWH" à mon goût par exemple (album certes plus original mais moins abouti - et puis il y a l'affreux "Teakbois"!-). Dans "Union", les titres sont inspirés et variés, je ne m'ennuie jamais en l'écoutant (et il est pourtant assez long!). Certes, on est pas au niveau de la période 1971-1977, mais cet album vaut vraiment le coup avec un mélange des genres entre les différentes périodes du groupe (c'est d'ailleurs en partie à cause de çà qu'il est si mésestimé).





TERRANOVA
DIGITAL TENDERNESS


Le 19 Mai 2020 par FRANçOIS

Connais pas celui-là mais j'avais été très impressionné par leur "Hitchhiking Nonstop With No Particular Destination" (ouf !) de 2002, quoique un brin putassier : que des morceaux terriblement accrocheurs, dans une veine électro-rock-hip-hop. Mais peut-être le genre de disque qui séduit d'emblée puis lasse rapidement, à voir.
Sinon, "Violator" et "Music for the masses" de DM, c'est fin des 80's (et début des 90's), pas fin des 90's.





SOUNDGARDEN
SUPERUNKNOWN


Le 19 Mai 2020 par MR TINKERTRAIN

Un an jour pour jour je crois, que Chris Cornell est mort. Je viens de lire un article à ce sujet, ce suicide est assez improbable pour ses proches... Juste pour dire que l'album ne m'avait pas vraiment emballé à l'époque mais je vais y jeter une oreille neuve bientôt. Et puis black Hole Sun me touche encore beaucoup, va savoir pourquoi !?!





JOY DIVISION
STILL


Le 19 Mai 2020 par BORIS LE BORGNE


Sublime compile d'un groupe qui, par la grâce de son leader, incarne tragiquement le mythique "Live fast, Die young."

Indispensable.





MEAT LOAF
BAT OUT OF HELL II: BACK INTO HELL


Le 19 Mai 2020 par BABAR


Le premier Bat Out Of Hell c'est un disque légendaire, trop souvent oublié. Court, intense, inspiré, bref du caviar.
Pour ce deuxième volet c'est le contraire, c'est du gavage un peu forcé je trouve, et la magie n'est plus la même.
Un seul titre que j'adore, Rock'n Roll dreams come through, et qui n'a pas à rougir de la comparaison à mes yeux.
En revanche, Meat Loaf, putain de chanteur !





The ZOMBIES
ODESSEY AND ORACLE


Le 19 Mai 2020 par KID66


Ce 3/5 brise mon petit coeur... Odessey & Oracles est l'un des plus beaux albums de pop existants, il tient à mon sens largement la comparaison avec les meilleurs Beatles ou Pet Souds, si celle ci à du sens. Le qualificatif de "sous-quelque chose" ne rend pas du tout grâce au disque.

Bref, je me souviens avoir découvert O&O un WE de l'été 2017 et l'avoir instantanément relancé après les dernières notes de "Time Of The Season", chose que je ne fais jamais... Pour au final l'écouter trois fois d'affilée. The ZOMBIES n'ont pas l'ambition et la créativité d'un MacCartney ou d'un Curt Boettcher mais il savent pondre par camions des mélodies d'une beauté absolument incomparable dans un style parfaitement baroque et raffiné. La production est également superbe et met vraiment en valeur le talent des larons.

Ma préférée serait sans doute "Care Of Cell 44" mais globalement la face A est l'une des meilleures au monde (écoutez la délicatesse d'"A Rose For Emily" ou encore les mirifiques "Maybe After He's Gone", "Beechwood Park" et l'électrique "Hung Up On A Dream"). Pour la suite on a quand même l'exaltante "This Will Be Our Year", "Time Of The Season" (hymne sixties par excellence), "I Want Her She Wants Me" et "Friends Of Mine" sont également très bonnes. l'originale "Butcher"s Tale" a tout d'une perle cachée, impopulaire mais personnellement je l'adore.

Au final j'ai cité quasiment tous les titres je crois... N'hésitez pas et foncez sur cet énorme classique des 60's, il n'est en rien surestimé et n'a pas mal vieilli du tout. Cinq étoiles oh yeah.





JAMIROQUAI
THE RETURN OF THE SPACE COWBOY


Le 19 Mai 2020 par BAKER


Une anecdote sur ce disque... Acheté en 94 en vinyl à la FNAC Bastille, 64 françs puisque c'était le tarif habituel des double LP de l'époque (eh oui !) et ce alors que je ne suis franchement pas porté sur ce genre de musique alors, et c'est rien de le dire - mais bon, 64 francs...

J'écotue la face A et je suis assez surpris, et charmé. C'est "vibant", c'est organique, c'est planant et très original. On ressent les vagues sonores, la reverb s'éternise et sublime chaque morceau. J'avoue, j'aime énormément. C'est juste un peu lent, limite lourd, mais tellement cosmique que ça passe crème.

Au bout de dix minutes, arrive la voix.

Ah putain, j'étais en 33 tours et c'est un 45. C'était pô marqué dessus, m'sieur le juge.

Repassé en 45 du coup, et si le côté planant est moins présent, il reste un son terrible et une atmosphère prenante. C'est dansant, intelligent, organique et sophistiqué à la fois : révélation.





JELLYFISH
SPILT MILK


Le 18 Mai 2020 par NESTOR


Le commentaire du Merle moqueur m'a fait sourire parce que j'ai découvert JELLY FISH grâce à leurs pochettes que je trouvais amusantes et, par curiosité, j'ai emprunté leurs disques dans une discothèque. Ce qui fut une très bonne décision, car leurs deux albums sont vraiment très bons.
Du sous Beattles avec de très belles harmonies et mélodies. Un sens de la ritournelle légère très efficace. Pas certain que cela a bien vieilli, car le son était le point faible de ces disques, mais des compositions et des arrangements hautement recommandables.





COLD CHISEL
BLOOD MOON


Le 18 Mai 2020 par NESTOR


Jimmy Barnes m'avait déjà enchanté avec l'excellent groupe Living Lound qu'il partageait avec Steve MORSE et Bob DAISLEY, auteur d'un unique album éponyme en 2004. Mais je n'avais jamais eu l'occasion d'écouter COLD CHISEL.
Quelle erreur ! Ce Blood Moon possède le même groove, la même classe, le même charme que l'album suscité. De l'excellent Rock gorgé de chaleur et de mélodies enivrantes.
Du bonheur !





Dimitri CHOSTAKOVITCH
SYMPHONIE N°14 (KONDRACHINE)


Le 18 Mai 2020 par LE MERLE MOQUEUR


Un résumé.

Je viens de parcourir les chroniques écrites par SASKATCHEWAN (Plusieurs heures de loisir furent nécessaires). Un travail de longue haleine entrepris par ce chroniqueur. De longue haleine. On sent le passionné. Passionné à juste raison car Dimitri Chostakovitch ce n'est pas n'importe qui.

C'est un musicien de talent et de génie qui a fait une oeuvre qui colle aux aspirations, aux rêves, aux malheurs et aux espoirs des hommes avec tous leurs défauts mais aussi toutes leurs qualités. Voilà un musicien engagé dans le bon sens du terme. Cela semblait tenir de famille son grand-père (coté paternel) était un révolutionnaire qui pris par à l'insurrection de Janvier 1863-64 en Pologne contre l'empire russe. Exilé en Sibérie le grand père. Voilà le décors planté.
Dimitri naitra en Russie. Parcours classique si je peux dire, la mère le conduit vers le piano, qui sera son instrument privilégié.
À 11 ans il sera témoin oculaire de la mort d'un travailleur abattu par un policier (nous sommes en 1917) Touché par ce meurtre, il composera "Une marche funèbre pour les victimes de la révolution." Donc un adolescent musicie qui promet !

À 13 ans il rentre au conservatoire et le directeur d'alors qui n'est autre que Glasunow suivra attentivement l'évolution de ce jeune prodige.
Glasunow dira de la musique du jeune Chostakovitch : " Je trouve sa musique terrible, c'est la première fois que je n'entends pas de la musique quand je lis ses partitions. Mais peu importe. L'avenir ne m'appartient pas, mais appartient à ce jeune homme."

Le reste je laisse le soin aux lecteurs de force // de le découvrir avec les chroniques de SASKATCHEWAN et tous les écrits et les témoignages de cet homme et musicien qui marque de son empreinte la musique du xx siècle.

Les interprétations des oeuvres de D.Chostakovitch sont légions, pour les symphonies J'ai un faible pour Kirill Kondrachine et pour les quatuors "Le Quatuor Borodine", puis vient au piano Dimitri lui-même et Richter, quand aux cordes citons son ami Rostropovitch.

On suit Dimitri et sa musique, c'est mon cas, avec la gorge serrée, car au début de sa carrière nous avons un homme et musicien enjoué, plein d'espoir en une société nouvelle et puis au fur à mesure que le temps passe sa musique va en s'assombrissant. Nous savons pourquoi, un dictateur est passé par là et a ruiné tout les espoirs d'un peuple.

J'ai choisi la 14 Symphonie mais je dois bien l'avouer j'aime tout de ce musicien, oui même la 12ième qui est à mon avis une oeuvre où finalement Dimitri semble se moquer de lui-même et de ses élans plein d' espoir qui ont été trahis par le temps et les hommes. Peut-être se moque t-il des sentiments qui a éprouvés lors de ses jeunes années et s'en veux d'avoir été (si) naïf. La 12ième est comme une grande farce désabusée où la musique aussi peut périr devant l'inconstance des êtres humains.

Merci encore à SASKATCHEWAN qui un fait un énorme travail pour nous éclairer sur un musicien qui n'a rien à envier à Ludwig...





The PRETTY THINGS
THE PRETTY THINGS


Le 17 Mai 2020 par LONG JOHN SILVER

Phil May vient de quitter le building. Hommage à son oeuvre qui a commencé avec ce premier album abrasif.







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