Recherche avancée       Liste groupes




Commentaires :  1 ...<<...<... 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 ...>...>>... 1133
Comment poster un commentaire ?


Maxime LE FORESTIER
Né QUELQUE PART


Le 05 Novembre 2020 par CLANSMAN57


Pas grand chose à voir avec le très bon "Mon frère", en effet.
Principalement synthétique, je le trouve tout de même très réussi.
"Les Nuits Douces" me plait un peu moins.

L'hommage à Brassens sur "La Visite" est convaincant à tous les niveaux.





Alan STIVELL
BRIAN BORU


Le 05 Novembre 2020 par CLANSMAN57


Excellent disque dans l'ensemble, "Let The Plinn" déstabilise un peu de prime abord et devient correcte avec les écoutes.
Seule "Sword Dance" me parait un brin longuette, bien qu'elle ne soit pas mauvaise.

J'ai une nette préférence pour les morceaux joués de manière traditionnelle.






BLACKFOOT
VERTICAL SMILES


Le 05 Novembre 2020 par JOE THE ALIEN


Réécouté et jeté : une vraie honte que ce virage FM totalement putassier. Siogo avait amorcé le virage mais restait écoutable, avec même encore quelques touches du hard sudiste qui avait fait la réputation amplement méritée du groupe, consacrée avec le mythique Highway song Live. Mais là on touche le fond du caniveau, avec particulièrement ce son de batterie pourri comme les années 80 allaient en faire la norme pour les "artistes" en recherche de notoriété (et d'argent) facile.

Et quand on pense d'où vient "Morning dew", on en pleure à écouter cette adaptation aux tut-tuts Bontempi à deux balles.

Beurk.





Dolly PARTON
JUST BECAUSE I'M A WOMAN


Le 04 Novembre 2020 par FRED

Ben là, pas trop d'accord non plus. The Bridge est un des textes les plus originaux de toute la Country Music à mon sens, avec, en plus, cette fin abrupte qui surprend l'auditeur, et qui fait froid dans le dos lorsqu'il prend conscience de ce quelle signifie (un suicide).
En plus, chanté et composé par une femme sur ce sujet précis d'une femme enceinte abandonnée, ça le fait vraiment, et ça sonne même très "progressiste", je trouve.
Tout ça fait que je place l'album au dessus de la mêlée, finalement.
Mais les goûts et les couleurs...





Dolly PARTON
JUST BECAUSE I'M A WOMAN


Le 03 Novembre 2020 par LE KINGBEE

@ Fred

Je te donnes un indice: la rondelle du disque avec les 3 lettres gravées.
Ceci dit ça sonne plus roots et il n'y a pas de 20 choristes et un orchestre de cordes comme certaines productions typiques du Nashville Sound mais ça sonne quand même bien Nashville.

Je te conseille d'écouter les albums que je nomme qui me semblent plus captivants tant au niveau des textes que du contenu.






Dolly PARTON
JUST BECAUSE I'M A WOMAN


Le 03 Novembre 2020 par FRED

Salut, Le Kingbee !
Déjà, pour ma candidature, c'est non ! Je n'ai vraiment pas les disponibilités nécessaires et tu le fais en plus bien mieux que moi.
Pour le silicone... Admettons ! Ce n'est de toute manière pas le plus important.
Par contre, je viens de me taper, pour parfaire ma culture G, les Jim Reeves et autres Patsy Cline, archétypes, selon Internet, du fameux "Countrypolitan". Bon, c'est vrai, c'est pas ma tasse de thé, là... Mais cet album de Dolly : violon country (fiddle), steel guitar, banjo électrique, etc... Ben, c'est pas vraiment du "Nashville sound" 100% pur beure non plus, ça ! Les références Country "classiques" sont quand même là ! Même si c'est produit par Bob Ferguson... Mais peut-être ne suis-je pas assez connaisseur ? Ton avis ? Ca sent quand même le fumier, là, ce disque, même si c'est parfois de loin, d'accord, mais quand même : on est loin de la guimauve du père Reeves ! D'accord, il y a les background vocals... Mais c'est quand même Anita Carter, merde quoi !
Parce que Jim Reeves, ça le fait pas trop, en fait... trop "soupard" pour moi ! Patsy aussi, même si c'est déjà plus intéressant. Mais Dolly, ça sonne plus roots, ça le fait, pour moi ! Et j'adore ce son en fait ! Alors, Nashville Sound ou pas, cher Kingbee ?





PROGRAMME
L'ENFER TIèDE


Le 03 Novembre 2020 par RICHARD

Ah Programme...mes années Bernard LENOIR post-DIABOLOGUM.
La chronique est belle et tentante donc je laisserai bien de nouveau une chance aux Toulousains. J'ai le souvenir vivace d'un projet estampillé "Inrocks" (pour un projet hexagonal) au possible : prétentieux, des textes premier ou quatorzième degré, un sérieux tellement sérieux que ceci en était risible. Une chose était certaine, on ne pouvait rester tiède à son écoute (sa seule réussite ?).





Pierre BACHELET
HISTOIRE D'O


Le 03 Novembre 2020 par FEELGOOD

Le nom d'Alain Goraguer me disait effectivement quelque chose : il a notamment signé la B.O de "La Planète sauvage" de René Laloux. On trouve plusieurs de ses compositions coquines sur Youtube (entre autres, le groovy "L'ouvreuse fait son cinéma"). Il existe au moins deux albums compilant ses compositions les plus mémorables : Musique Classée X (2018) (avec notamment des extraits de "Croisières pour couples en chaleur" et "Infirmières à tout faire") et Brigitte Lahaie, le disque de culte (2016). Je ne résiste pas au plaisir de citer quelques titres de ce dernier : "Fièvres nocturnes pour Marianne", "La comtesse se dévergonde", "Denise se fait prendre en stop" ou encore le très évocateur "Disco symphonie en rut majeur".
C'est vrai qu'il y a dans ce domaine (ainsi que dans celui des films estampillés "Euro Trash") une inépuisable source de plaisirs... musicaux.





AYREON
ELECTRIC CASTLE LIVE AND OTHER TALES


Le 03 Novembre 2020 par ANCESTOR


Chouette chronique d'un magnifique DVD. Etrange toutefois en est la fin qui trouve qu'Into the Electric Castle passe pour le plus mauvais album d'AYREON... !





Dolly PARTON
JUST BECAUSE I'M A WOMAN


Le 03 Novembre 2020 par LE KINGBEE

@Fred

Je me doutais bien que cette chronique serait prétexte à quelques désaccords. Je précise bien que Dolly Parton demeure douée pour l'écriture et que c'est une très bonne chanteuse.
Pour ce qui est du Nashville Sound, je n'ai jamais été très porté sur ce registre et ce même si j'apprécie des guitaristes comme Sugarfoot Garland ou Grady Martin. Cet a priori enlève de ce fait 1 point à la note globale. Cela dit, toute chronique musicale demeure subjective, les goûts et les couleurs sont de vastes sujets et fort heureusement nous n'avons pas tous les mêmes.
Pour la note, je ne suis pas sévère parce que si on colle un 4 à ce disque, quelle note mettre à "My Tennessee Mountain Home", "Jolene" ou "Love Is Like a Butterfly"?Mettre une note surévaluée sous prétexte que la production américaine de l'époque proposait un nombre incalculable de daubes ne doit pas rentrer en compte, surtout dans le domaine de la Country, registre n'ayant pas de profondes racines chez nous autres gaulois:-))
Dernière chose, je ne pense pas être irrespectueux quand j'évoque que Dolly n'était pas encore siliconée à l'époque. Certains changements esthétiques sont assez visibles pour qu'on en parle ouvertement.
Je pense faire encore 1 ou 2 chroniques de cette icône de la Country, mais Fred pourrait s'atteler à ce personnage en lançant sa candidature.

Bien à toi.





Pierre BACHELET
HISTOIRE D'O


Le 03 Novembre 2020 par C'éTAIT VIEUX AMANT

"À quoi reconnaît-on un film érotico/porno des années 70 ? Au fait qu'il bénéficie souvent d'une musique soignée et groovy."

Exact. Autre exemple : les musiques signées Alain Goraguer (compositeur-arrangeur pour Gainsbourg notamment) sous pseudo "Paul Vernon" pour les films de Burd Tranbaree (Claude Bernard-Aubert), dans une veine jazz-rock typique de l'époque. Dispo sur aucun support, il faut donc visionner les films en question pour les écouter, ce qui n'est pas une punition... :-)





SEATEMPLES
TRóPICOS


Le 02 Novembre 2020 par MR TINKERTRAIN

Ecouté rapidos sur leur bandcamp (donc pas de note) j'ai trouvé ça hyper rafraichissant dans le dejà fait 1000 fois mais avec le style qui leur est propre, comme la prod d'ailleurs, très claire. Merci pour la découverte FP!





Dolly PARTON
JUST BECAUSE I'M A WOMAN


Le 02 Novembre 2020 par FRED


Ben là, euh... comment dire ? Bon !
Tout d'abord, j'adore le Nashville Sound de cet album, et en général d'ailleurs.
Je ne dois pas être assez puriste pour le chroniqueur.
M'enfin, vu que c'est devenu une "tradition", ce "sound", après tout !
Ensuite, l'album est une pépite de morceaux quand même vachement bien torchés : "Bay Sister" me fend le cœur à chaque écoute avec ses paroles peut-être naïves, mais bien touchantes et originales pour ce milieu bien macho de la musique de Cow Boy. Je dois être trop fleur-bleue !
Qui plus est, notre amie Dolly COMPOSE ! Et oui, il faut le souligner. On est loin de la "dumb blonde" et la référence au "non siliconée" n'est pas très respectueuse non plus.
Un petit classique bien sympathique pour moi, la note est vraiment très sévère lorsqu'on sait le nombre de daubes infâmes qui polluent les rayons de disques, merde alors !!!
Je ne suis pas très content en fait, et suis pourtant amateur de "early country music". Mais critiquer le Nashville Sound comme finalement artificiel et commercial : celui de Hank Williams, très typique des années 40, ne l'était-il pas tout autant, et pourtant, quel artiste !
Non, pas content, le Fred, sur ce coup-là !!!





JUDAS PRIEST
POINT OF ENTRY


Le 02 Novembre 2020 par LORAN


A mon sens bien meilleur que le précédent. On sent que le groupe s'est un peu lâché et a fignolé son travail.
Du bien bel ouvrage, peut-être un ou deux morceaux plus faibles, mais c'est une constante chez ce groupe, alors... Et puis moi, j'aime toutes les compositions.





JUDAS PRIEST
BRITISH STEEL


Le 02 Novembre 2020 par LORAN


Bon, mais pas parfait, à l'image de tous les albums de JUDAS PRIEST, ou du Number of the beast de MAIDEN.
Typique de l'album culte dont l'aspect historique a occulté la réelle teneur, avec quelques faiblesses de compositions par-ci par-là, voire des fillers (comme tout album qui se respecte ?).
Enfin, qui aime bien châtie bien !





Pierre BACHELET
HISTOIRE D'O


Le 02 Novembre 2020 par FEELGOOD


Tout d'abord, merci pour ces excellentes chroniques.
À quoi reconnaît-on un film érotico/porno des années 70 ?
Au fait qu'il bénéficie souvent d'une musique soignée et groovy. Autres temps, autres mœurs.
Lorsqu'on évoque Pierre Bachelet, on pense spontanément aux « Corons » ou à « En l'An 2001 » et ses choeurs d'enfants, tout cela n'étant pas spécialement ma tasse de thé.
La plupart des gens ne connaissent pas la BO d' « Histoire d'O ». Pourtant, celle-ci et le long métrage qu'elle illustre connurent un réel succès en leur temps. Enfant, je me rappelle avoir contemplé, fasciné, l'affiche et les photos d'exploitation du film. J'ignorais naturellement le sujet exact du film, mais tout cela avait un parfum de fruit défendu. Lorsque je passe cette musique en fond sonore, les gens me demandent toujours de quoi il s'agit, trouvant cela très beau. La tête qu'ils font quand je prononce les mots « Pierre » et « Bachelet ». C'est toujours un grand moment.
Cette B.O, un pur produit de son temps, s'inscrit dans la lignée des musiques de Nico Fidenco (la série des Emanuelle Nera), Francis Lai (Bilitis), Gainsbourg (qui composera deux ans plus tard la B.O de Madame Claude du même Just Jaeckin). On pense aussi, entre autres, à Stelvio Cipriani (Femina Ridens) et Piero Piccioni (Camille 2000).
Des compositions moëlleuses relevant de l'easy listening, langoureuses et éthérées, une atmosphère onirique et feutrée, le tout parfois relevé par un morceau plus rock, aux choeurs emphatiques et grandiloquents, sorti tout droit d'un opéra rock (« She's A Lady ») ou de « Phantom Of The Paradise ».
On sent aussi l'influence du Floyd des années 70, mais il y a certainement pire comme influence.
Dès le morceau-titre, on est plongé dans une ambiance automnale, hors du temps, avec cette voix féminine (à la Nora Orlandi) sur fond de claviers et guitares feutrés. Suivent des instrumentaux incitant à la rêverie et à la volupté, ce qui dénote quelque peu avec la thématique SM du film, produit érotico-chic témoin de son époque, visuellement très soigné, voire « classieux » comme disait Gainsbourg, avec ses images vaporeuses très « hamiltoniennes ». Le trop lisse Udo Kier s'avère cependant assez peu crédible en bourreau des cœurs. Anthony Steel est plus convaincant dans le rôle de Sir Stephen.
Piano romantique (« O' Avec Pierre »), guitares, claviers, voix masculine sur « O' Et Sir Stephen », valse (« O' Et La Valse Du Gramophone », guitare électrique (« O' Et l'Amour d'Yvan »), l'ensemble est riche et varié. La reprise finale du thème introductif dans une version différente, plus enlevée, conclut ce bien bel album.
Mon édition numérique de 14 titres ne contient pas la chanson scandée par la délicieuse Corinne Cléry (à voir aussi dans l'excellent thriller italien « Autostop rosso sangue », aux côtés de Franco Nero et David Hess). Je l'ai découverte sur Youtube et elle me fait penser à la reprise (1977) du « Je t'Aime Moi Non Plus » de Gainsbourg par le groupe disco Saint Tropez.
Ce que je ne comprends pas, c'est la faiblesse relative de la note qui contraste avec un avis pourtant élogieux. Pour ma part, ce sera 4/5, sans problème.





Nick MASON
SAUCERFUL OF SECRETS - LIVE AT THE ROUNDHOUSE


Le 01 Novembre 2020 par BRADFLOYD


Merci à vous pour ces commentaires... j'ai juste un regret : l'absence de bonus où l'on voit Roger WATERS interpréter "Set The Control For The Heart Of The Sun" et jouer du Gong au Beacon à New-York le 18 avril 2019, par exemple. Malheureusement, seules des images amateurs traînent sur le net. Dommage.





SANTANA
BORBOLETTA


Le 01 Novembre 2020 par METALPROG84


Au niveau de "Welcome" mais quand même inférieur au magnifique "Caravanserai". Sur la première face, après une introduction ("Canto de los flores") réussie, on a droit à 3 titres assez pop ("Life is new", "Give and take" et "One with the sun") qui sont sympas à écouter malgré un léger manque de profondeur. Le jazzy "Aspirations" qui clôture la 1ère face est pour moi le titre le plus faible de l'album. La 2ème face est encore plus intéressante: on retrouve un jazz-rock débridé et inspiré (et on est parfois quasiment au niveau de "Caravanserai").
Un très bon album au final (à part "Aspirations").





La FEMME
MYSTERE


Le 31 Octobre 2020 par LE VIEUNE


Je commence à fondre sous le charme de La Femme, groupe qui me laissait indifférent durant ces dernières années. On surf entre les vagues de musique électronique et de pop rock.

Il y a des déclics, comme ça, qui viennent et qui font "pop!" comme un bouchon d'une bouteille de péteux qui saute.

J'ignore combien de temps cet album tournera en lecture auditive. C'est la 'faute' à "Septembre".





The ROLLING STONES
TATTOO YOU


Le 31 Octobre 2020 par METALPROG84


Légèrement meilleur que "Emotional rescue" et assez différent quand même (plus de disco ou de reggae ici). La première face est pas mal, avec "Start me up" bien sûr, "Hang fire" et "Little T&A" notamment. J'aime un peu moins "Slave" (trop longue aussi) et beaucoup moins "Neighbours" (limite bâclée). "Black limousine" est un titre blues-rock qui aurait pu figurer sur "Black & blue": honnête sans plus. La seconde face est vraiment étonnante pour un album des Stones: quasiment que des titres calmes. Mais contrairement à certains, je la trouve plutôt réussie quand même, à part "No use to crying" qui manque franchement d'inspiration.
"Tatoo you" est plutôt bon dans l'ensemble bien qu'assez inégal: j'aurai même mis 4 étoiles sans "Neighbours" et "No use to crying".







Commentaires :  1 ...<<...<... 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 ...>...>>... 1133






1999 - 2025 © Nightfall.fr V5.0_Slider - Comment Soutenir Nightfall ? - Nous contacter - Webdesign : Inox Prod