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KRAFTWERK
AUTOBAHN


Le 28 Mai 2020 par LEO


Par rapport aux deux premiers albums plutôt hésitants et expérimentaux, le 33-tours Ralf & Florian faisait une réelle incursion dans la musique électronique. Cependant, c'est avec Autobahn que KRAFTWERK fait un grand pas en avant car ce disque est autant la fin d'un chapitre que le début d'une autre période pour la formation qui devient quatuor à partir de là.
Le morceau-titre "Autobahn" montre un réel changement de direction chez KRAFTWERK, dû en grande partie à la présence du chant dans la musique du groupe qui lui confère une couleur un peu plus 'pop' si l'on peut dire et un caractère bien plus accessible (même si la compo avoisine les 23 min et que les voix ne sont pas toujours très justes !). Certes, on peut trouver cette longueur excessive mais personnellement cela ne m'a jamais gêné car même si cette suite est très monolithique, elle contient assez de passages bien distinctifs pour ne pas lasser l'auditeur jusqu'au bout. Qui plus est, je trouve cette évocation sonore d'un voyage sur l'autoroute tout à fait réussie et convaincante !
Le son de KRAFTWERK n'est pas encore totalement électronique à cette époque puisqu'on peut y entendre à nouveau la flûte de Florian Schneider ainsi que la guitare et un violon tenus par Klaus Roeder (ou Röder selon les sources) qui ne fera pas long feu dans la formation, contrairement au percussionniste Wolfgang Flür (arrivé à la fin de l'année précédente et qui tiendra son rôle jusqu'en 87). Cette longue suite est finalement peu représentative de ce quatrième album car toutes les compos à suivre sont instrumentales et un peu plus hermétiques, mais la face B n'est pas en reste car les deux parties de "Kometenmelodie" et le sombre "Mitternacht" continuent cette exploration en territoire électronique. Ce dernier morceau est en quelque sorte un précurseur du futur "The Hall of Mirrors" que le groupe enregistrera deux ans plus tard. Il reste tout de même un soupçon de krautrock dans le champêtre "Morgenspaziergang". Certes, le lent "Kometenmelodie 1" est pauvre musicalement et a tendance à traîner en longueur avec son atmosphère à deux de tension mais il faut plutôt le prendre pour ce qu'il est : un prélude à "Kometenmelodie 2" qui reprend le schéma de base du précédent avec sa mélodie simpliste mais plus enjouée cette fois-ci, et qui malgré son caractère limité, m'est plutôt sympathique et en tout cas bien plus supportable que (Désolé ARP2600 si je te froisse !) Zuckerzeit de Cluster qui m'ennuie prodigieusement. Je n'y trouve rien d'accrocheur et ne vois pas bien en quoi cet album serait "immense" par rapport à Autobahn. Je n'y entends que des instrumentaux assez quelconques et anodins avec une mise en son somme toute très banale. Bref, Zuckerzeit et plus spécifiquement Cluster me laissent de marbre, mais il en faut pour tous les goûts comme on dit !
Ce quatrième album de KRAFTWERK est perfectible mais je lui trouve un charme certain qui ne s'est pas évaporé avec les années (sans doute aussi parce que je l'ai découvert à l'époque et que l'aspect nostalgique l'emporte, mais pas que !).
Pour moi, ce sera donc un bon 3,5/5 que j'arrondis généreusement à 4/5.





GONG
CAMEMBERT éLECTRIQUE


Le 28 Mai 2020 par ALEX F

Déjà je voudrais dire que je ne suis pas un grand fan du Gong psyché, lui préférant le Gong seconde époque, c'est-à-dire jazz rock. Mais là n'est pas la question.
Comme François, je trouve que le niveau général de la musique aujourd'hui est bien inférieur à ce qu'il était avant les années 80 si je suis sévère et avant les années 2000 si je suis indulgent (et même avant 1996 si je veux être encore plus précis).
Est-ce que les musiciens aujourd'hui sont moins bons techniquement parlant ? Non, ça je ne le crois pas, j'ai même tendance à penser le contraire, car il y a effectivement toute une flopée de musiciens virtuoses incroyables aujourd'hui, il suffit d'aller sur youtube pour s'en convaincre. Est-ce que pour autant la musique est meilleure aujourd'hui ? Eh bien non de mon point de vue comme je l'ai déjà dit plus haut. Je trouve en effet que la créativité a fait le chemin inverse et a considérablement chuté. La capacité à composer de bonnes chansons, de bonnes musiques, a quasiment disparu. La faute au tout numérique peut-être ? Plus facile de faire du copier-coller sur Pro-Tools. Et je tiens à préciser que je ne suis pas un "boomer" (ridicule cette expression "ok boomer", je pensais qu'on en avait fini avec ce truc), j'ai la trentaine, j'approche des 40. Bref, tout ça n'est qu'une affaire de goût, et n'a pas forcément de lien avec notre âge.





SHURIK'N
Où JE VIS


Le 28 Mai 2020 par MERMöTH


Étant Parisien dans l'âme et dans le coeur, cela me fait mal de mettre une aussi bonne note à des Marseillais, et supporters de l'OM de surcroît ! Mais bon, cet album ainsi que l'artiste sont tellement bons qu'il est important de considérer l'essentiel. Dans la pure lignée de l'école du micro d'argent, ce disque est un vrai chef-d'oeuvre. Je reste quand même, et sans objectivité, je le reconnais, prioritairement fan de Assassin (surtout l'album "Homicide volontaire) et le "suprême NTM".





PENDRAGON
LOVE OVER FEAR


Le 28 Mai 2020 par MERMöTH

Merci également à toi Brad pour ta réponse. Je veux bien te croire quant à l'importance d'une hiérarchisation de l'ordre des chroniques à réaliser, pour avoir été moi aussi chroniqueur. Je suis totalement d'accord avec toi concernant Steven WILSON. Ce mec a une inspiration divine et sans fin ! C'est tout bonnement hallucinant. Et le truc encore plus impressionnant, c'est que la qualité est régulièrement élevée. A des prix accessibles. Tout comme Damien Saez aussi, avec ses triple CD à parfois même moins de 20 euros.
Pour revenir à Pendragon, même à 60 euros je n'investirais pas, et ce bien que ça puisse devenir collector. Les raisons sont simples. Déjà même à ce prix là, je trouve que c'est exorbitant. Ensuite, parce que j'ai déjà acheté la version standard, donc rajouter 60 à 15 on en arrive à 75. Et enfin, cette somme, je préfère la mettre pour d'autres artistes. Je ne suis pas suffisamment connaisseur du groupe pour savoir que ce disque avait été auto-produit. Du coup, je suis doublement choqué car il y a donc encore moins d'intermédiaires et que le groupe aurait pu se permettre un prix moins élevé. Je pense notamment au "one man band" australien Midnight Odyssey (je ne sais pas si tu connais, c'est du Black Metal atmosphérique). Le musicos fait absolument tout, avec une qualité assez remarquable, et il ne propose pas ses productions à des prix de malade. Pourtant, l'album Shards of Silver Fade propose un double cd de 2H20, et il a été vendu une vingtaine d'euros avec un t-shirt. Et fait partie des plateformes de streaming, y compris Tidal que j'utilise prioritairement vu que la qualité proposée est meilleure. Ce qui est pratique, notamment en voiture quand les postes ne proposent même plus de lecteur cd. En tout cas, cette stratégie purement '"objectif thunes" (petite référence humoristique) me déplaît profondément. Enfin, tu l'auras compris.





BRAINTICKET
COTTONWOOD HILL


Le 28 Mai 2020 par FRANçOIS


Les deux premiers titres sont très bons. Hélas, les deux "Brainticket" sont deux interminables suites ultra-répétitives (de la techno avant l'heure...) à base de guitare et d'orgue, épisodiquement perturbées par une voix hallucinée et divers bruitages. Usant sur la longueur mais sans doute est-ce le but (l'esprit)...





SIMPLY RED
PICTURE BOOK


Le 28 Mai 2020 par WHATUSE?


Voici un album qui m'accompagne depuis plus de 25 ans.
Acheté chez un disquaire allemand dans le courant de l'année 94, et après m'être procuré les trois suivants, je décide de me lancer dans l'écoute de ce premier album.
Comme l'explique bien la chronique, Tonton Hucknall lassé de ses Frantic Elevators décide de mettre sur pied fin-84 une nouvelle formation composée de quelques fameux musiciens locaux: Fritz Mc Intyre aux claviers, David Fryman (qui ne restera que durant l'enregistrement de l'album) à la guitare, et surtout trois anciens collaborateurs d'un groupe dont j'ignorais tout à l'époque, à savoir The Durutti Column: Tim Kellett à la trompette et aux claviers, Tony Bowers à la basse et enfin Chris Joyce aux fûts. Le groupe devait s'appeler Red, mais quand Hucknall contacte l'organisateur de son premier concert et qu'on lui demande forcément le nom de la formation, ce dernier lui demande: "Red what?" auquel Hucknall lui répond "No, simply Red", l'histoire débute ainsi.
Revenons au disque : il a très bien vieilli car il ne porte pas trop les stigmates sonores de l'époque (à savoir réverb-à-gogo et autres synthés digitaux mal programmés). Au contraire, cette pop aux références soul et jazz bien digérées fait du bien aux oreilles et peut tenir la comparaison avec SADE, l'autre groupe U.K qui officiait alors dans le même genre.
"Come to my head" (qui sortira en single) débute avec brio. D'une pop sautillante, on passe à "Sad Old Red", un jazz feutré et cuivré du meilleur goût. "Look at you now" est certes un peu kitsch mais tient quand-même la route. Puis, vient "Heaven", une reprise assez surprenante en mode reggae-soul des Talking Heads. "Jericho" (autre single) est un des sommets du disque, tant par sa musique que par ses paroles sociales (on est bien-sûr en pleine époque Thatcher et le groupe lui rappelle bien qu'ils sont originaires de la working-class de Manchester-la-meurtrie ). Autre single et autre commentaire social "Money's too Tight (To Mention)" est une reprise du duo américain Valentine Brothers (sortie en 1982), et même si je préfère l'originale, il faut quand-même avouer qu'on est en présence d'un très bon morceau. "Holding back the Years" est une adaptation du dernier single des Frantic Elevators. Certes, ce morceau est archi-connu, mais il reste excellent. Le bluesy "Red Box" et "No Direction" ne sont pas mauvais, mais pas à la hauteur du morceau-titre qui clôt l'album avec son passage dub final. On retrouvera ce morceau dans un épisode de Miami Vice.
Bref, si toi pas aimer Simply Red pour des raisons bien compréhensibles (Mick Hucknall a quand-même été très jet-set par la suite, produisant des albums pour "ménagères de moins de 50 ans" ), vous devriez quand-même jeter une oreille sur ce "Picture Book".





QUICKSILVER MESSENGER SERVICE
HAPPY TRAILS


Le 28 Mai 2020 par SLEEPINGCARPORTER


BAAZBAAZ. Le début de ton commentaire était plutôt critique. Par contre, je ne savais pas que tu avais le pouvoir de parler et de ressentir les choses à la place de tout un chacun. Et honnêtement, laisser quelqu'un qui encense Dua lipa et BB brunes me traiter explicitement de menteur, je ne pouvais pas laisser passer. Une boîte de cotons tiges te sera livrée sous peu par mes soins.
Semi cordialement.
Adieu





EMBRYO
ROCKSESSION


Le 28 Mai 2020 par FRANçOIS

Belle découverte pour qui voudrait aller au-delà des noms connus du krautrock (Can, Neu!, Faust...). Il n'est pas fait mention dans le line-up de l'organiste américain Jimmy Jackson. Si "A place to go" est en effet trop court, on ne peut pas en dire autant d'"Entrances" qui pêche lui par l'excès inverse.





GOTTHARD
G.


Le 28 Mai 2020 par PILGRIMWEN

La durée de l'album, le nombre de pistes... Tout pour me refroidir. Et puis, en écoutant sereinement et progressivement l'album, je constate avoir fait fausse route. "G" est l'opus le plus abouti de GOTTHARD ère Hard Rock deeppurpleïenne-rainbowesque-whitesnakesque. Les Suisses frappent fort en 1996 ! Outre les influences précédemment citées, je suggère un zeste de Rock Country et Sudiste. Les années 90 ont produit des disques de Hard-Rock d'une qualité incroyable, quoi qu'en disent les tristes sires traumatisés à vie par la fameuse et bouc-émissaire vague Grunge ! Du Hard-Rock brut, dépouillé de ses froufrous, de son maquillage, paillettes et autres frivolités.





MEAT LOAF
BRAVER THAN WE ARE


Le 27 Mai 2020 par BAKER


Plutôt d'accord avec Marco. Le premier titre est abominable, et ensuite c'est plutôt très sympathique, avec un gros son, un bel epic, et quelques bêtises auditives qui font très plaisir ("More"). La voix est archicramée mais finalement ce n'est pas le plus important ici.





GENESIS
LIVE


Le 27 Mai 2020 par MAGNU


Il vaut bien ses 4 étoiles, ce live.

Il y a dans ce live une énergie rare (pour Genesis hein!) qui transcende les versions studio, un peu comme "Yessong", avec un son brut mais loin d'être mauvais, surtout celui de la version remastérisée.





GUNS N' ROSES
APPETITE FOR DEMOCRACY : LIVE AT THE HARD ROCK CASINO


Le 26 Mai 2020 par THORPEDO


Pas d'accord et je le dis! ^^

L'est pas mal ce Live de l'autre GN'R.
Une fois passée la déception de ne pas retrouver qui de droit, on passe un excellent moment, les concerts des GUNS étant toujours longs et riches.
Une vraie fête du RN'R, tiens!
4/5

Puis de toute façon, qui de droit est de retour alors!





Frank ZAPPA
HOT RATS


Le 26 Mai 2020 par LE BARON


Je n'ai jamais compris pourquoi cet album a une aussi bonne réputation. Il me semble très daté, beaucoup moins inventif que les premiers Mothers ou que les albums à venir.
Je ne sauverais que "Peaches en Regalia", qui est effectivement une fanfare kitsch, BAAZBAAZ, c'est pour cela que je l'aime.
Mais le reste me semble pesant, démonstratif, très éloigné de ce que j'aime chez Zappa. Même chose pour Beefheart, d'ailleurs.
J'ai l'impression que les deux hommes se sont manqués, sur Hot Rats comme sur Bongo Fury. Les fortes personnalités peuvent avoir du mal à s'accorder.





Frank ZAPPA
HOT RATS


Le 26 Mai 2020 par BAAZBAAZ


Je n'ai jamais rien compris à ZAPPA.
"Peaches In Regalia" sonne comme une fanfare kitsch... C'est tellement loin du Jazz fusion que j'aime.





PENDRAGON
LOVE OVER FEAR


Le 26 Mai 2020 par BRADFLOYD

Salut MERMöTH. Merci pour ton message.
Si je n'étais pas allé au-delà des 55 secondes, c'est tout simplement parce que je devais hiérarchiser l'ordre de mes chroniques. Si je n'avais que cet album à écouter, c'est sûr que je serais allé au-delà.
Pour ton information, il existe des sites qui proposent le triple CD à 60 euros, frais de port inclus. Alors, je sais que c'est cher pour un triple CD et je te rejoins totalement sur ton coup de gueule. Note que j'en fais part dans ma conclusion. Le problème en l'espèce est qu'il s'agit d'autoproduction et que j'ai du mal à comprendre la logique commerciale, quand bien même la diffusion n'est pas à grande échelle. Et je crains, malheureusement, qu'avec le temps ce triple volume ne coûte beaucoup plus cher, personne ne voulant s'en séparer. C'est maintenant qu'il faut acheter, à mon avis, pas plus tard.
Sur ce système d'autoprod, je pense que les gars de l'équipe de Barrett devraient prendre de la graine en s'inspirant de Steven Wilson qui crée des objets cultes vendus à petite échelle, mais pas trop cher au regard de leurs qualités, mais dont la source se tarit très rapidement au point que les tarifs s'envolent très rapidement. C'est pour cela que les centaines de disques de S.W sont si difficiles à acquérir (j'ai récupéré la liste de tous les disques sortis par le binoclard : cela fait plusieurs dizaines de pages de références et je défis chacun d'entre nous de dire "j'ai l'intégrale").
Donc, pour en revenir à Pendragon, nous n'en sommes pas là et j'ai du mal, effectivement, à comprendre.
Bien à toi.





Frank ZAPPA
WE'RE ONLY IN IT FOR THE MONEY


Le 26 Mai 2020 par FRANçOIS

« Quelle est la partie la plus sale de votre corps ? Certains disent le nez, d’autres les oreilles…moi je pense que c’est votre cerveau »

Ce n'est pas plutôt tout ce qui se trouve entre le nombril et les cuisses ? :-)





MARILLION
AFRAID OF SUNLIGHT


Le 26 Mai 2020 par METALPROG84


Cet album est légèrement inférieur à "Brave" ou à "Strange engine", la faute à des titres parfois un peu trop mous (notamment "Afraid of sunrise", "Out of this world" et "Beyond you" dans sa première partie : cela dit, ces 3 morceaux sont loin d'être mauvais). J'apprécie moyennement "Cannibal Surf Babe" qui, en plus, dénote un peu dans l'album. "Gazpacho", "Beautiful", "Afraid of sunlight" et "King" sont excellents.





Frank ZAPPA
WE'RE ONLY IN IT FOR THE MONEY


Le 26 Mai 2020 par JéRôME IS CHROME


Dans la continuité du premier album "Freak Out" mais en plus fun encore, avec des morceaux plutôt courts couvrant aussi bien des styles populaires (soul, folk) que des expérimentations bruitistes dignes de Pierre HENRY. Avec un train d'avance, ZAPPA nargue autant le conservatisme américain que le mouvement hippie en plein boom à l'époque. Si le ton est souvent parodique, il démontre néanmoins le génie du moustachu à assembler et arranger toutes les sonorités ensemble. Je pense qui si cet album sortait aujourd'hui, il ferait office de bonne musique pour les mêmes raisons absurdes sur internet !





The BEACH BOYS
PET SOUNDS


Le 26 Mai 2020 par SGTJAKKU

BAAZBAAZ, je confirme, Dennis Wilson, l'album, est sublime.





GONG
CAMEMBERT éLECTRIQUE


Le 26 Mai 2020 par FRANçOIS

@ANTé-FRANçOIS
Je vous remercie pour l'extrême originalité de votre intervention et pour la profondeur de votre argumentaire.
Sachez néanmoins, à toutes fins utiles, que mes propos ne sont pas ceux d'un sexagénaire ou septuagénaire dont le jugement aurait pu être mis sur le compte d'une certaine nostalgie pour l'époque de sa jeunesse mais d'un quadra qui a le privilège de goûter aux musiques d'aujourd'hui comme à celles d'hier...







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