Le 15 Mars 2020 par FINISHERFRANKY

Quelle surprise de trouver chroniqué sur Forces Parallèles O.S.I et non sur NIME. Justement, un signe certainement, OSI étant plutôt inclassable. Certes les guitares sont métal mais cette atmosphère, ces ambiances quasi planantes, au minimum atmosphériques, ce chant doux et mélancolique classe le groupe dans un ailleurs. J'adore O.S.I, tous leurs albums, avec une préférence pour Free et moins d'entrain pour le 1er. Je les ai découvert avec le titre Radiologue , ici dans Blood. Cette intro, ces sons subtils, ce chant qui arrive du fond...c'est juste beau, puis la force, le pesant. Ça a été, pour moi, la 1ère formation découverte a marier avec génie deux courants que j'adore depuis toujours mais que je pensais incompatibles : les ambiances planantes de ma référence Klaus Schulze, au plus majestueux d'un métal puissant et clinique, dérivant sans faute de goût vers des motifs technoïdes propres à l'électro (Be The Herd quelle claque!). 5 étoiles pour moi ne sont pas assez.

Le 15 Mars 2020 par FRANçOIS

"... la voix du petit Hubert, BLANC-FRANCARD fils (et futur musicien lui aussi, membre de CASSIUS)"

Euh, plutôt futur programmeur que "futur musicien" (je prend un sample, je rajoute des effets par-dessus et je fais tourner 5-6 minutes)... :-)

Le 15 Mars 2020 par AIGLE BLANC

Merci Jipe Cherbourg du compliment concernant la chronique du coffret consacré à Ennio MORRICONE.
Le problème que tu évoques dans ton commentaire, celui des relectures plus ou moins bonnes des musiques du Maestro ne s'applique pas me semble-t-il aux albums mais aux innombrables compilations et autres best of émaillant la carrière du compositeur. En effet, il arrive souvent que ces compils faites "à l'arrache" et dans le seul souci de rapporter du blé à moindre coût recourent à des formations orchestrales au rabais qui reprennent les titres les plus célèbres de MORRICONE avec moins que plus de bonheur bien entendu.
Oui, je confirme, les titres de ce coffret respectent l'auditeur en lui offrant les versions initiales, donc authentiques, de ces mythiques B.O. Tu ne seras pas déçu sur ce point.
Bonnes écoutes si jamais tu parviens à te procurer ledit coffret, ou à te le faire offrir en cas d'anniversaire ou autres occasions.

Le 15 Mars 2020 par JIPE CHERBOURG

Bonjour Aigle blanc,
Quand tu écris : "Consacrer 5 CD aux films de Sergio Leone, n'est-ce pas exagéré, alors que ses films et leurs B.O se trouvent sans difficulté chez n'importe quel disquaire d'occasion ? ". Le problème n'est-il pas que, si on veut acheter des musiques de films, celles-ci, la plupart du temps, ne sont pas originales mais des reprises plus ou moins fidèles ? Au moins, cela permet à l'auditeur de s'y retrouver plus facilement puisque, de ce que je comprends, il s'agit bien des orchestrations de l'époque.
En tout cas, chronique fort intéressante.

Le 14 Mars 2020 par CLANSMAN57

Rien à jeter parmi ces chansons polyglottes.
En dehors de "Déjeuner en paix" et "Pas d'ami (Comme toi)", soit les plus connues, j'aime beaucoup la reprise "Hemmige" chantée dans un dialecte allemand de chez eux.
Les origines gitanes du chanteur ressortent bien sur celle-ci.
A la base, c'est une chanson de Mani Matter, un chanteur de Bern, comme Stéphan. (En fait non, il est de Münchenbuchsee, c'était juste pour la vanne. Chut.)

Bonne idée que cette reprise de Hank Williams avec du Jean Seb Bach dedans, elle devient atypique, comme si un cow-boy parcourait les plaines en compagnie des anges qui jouent des cordes par-dessus son chapeau.

"Wicked Ways" me rappelle la grandeur de la montagne, je pourrais presque inspirer son air pur.
Simon Clark joue avec l'orgue du cloître d'Engelberg, ce qui lui confère sans doute cette ambiance.

N'empêche que, tel un Cabrel, on entend d'où ce chanteur vient.
Je me permets de recopier partiellement le commentaire d'un internaute à ce sujet :
"Ch'abandonne chur une chaiche, le chournal du matin, les noufelles sont maufaises d'où qu'elles fiennent".

Bref, c'est très bon pour moi.

Le 14 Mars 2020 par JENLAIN

Ce EP est magnifique, une musique mélodique, intelligente et toujours inspirée que ce soit dans la composition, l'interprétation ou les arrangements.
Plus Kate Bush que R'N'B par rapport à son précédent "Cleo" (très bon aussi), ce qui est loin d'être un reproche!
Un disque pour passer un moment sous la couette en bonne compagnie, pour accompagner le cognac du soir devant la cheminée, pour accueillir le lever du soleil un matin d'été, pour tous ces moments précieux d'envies de vie un peu plus pure et profonde que d'habitude...
Beau !!! Mais trop court...

Le 14 Mars 2020 par PARESSEUSE

Canned Heat a enregistré un live en 69 (At Topanga Corral) et sur ce disque il y a "I'd Rather Be the Devil", et aussi "When Things Go Wrong". On dirait des vieux machins blues mais non, c'est Bob Hite qui les a composés ces chefs d'œuvre, je crois! Comme un Ours. Bref, de tous ces groupes qui ont remanié le blues à la fin des 60s, Canned Heat était de loin le plus fort. Ils ne faisaient pas qu'adapter, ils ont composé du blues, du pur, du vrai, du pas de la variété. Je les adore. Et quand ils touchaient les racines, déjà ils n'allaient pas au plus évident, mais wouah, comme ils l'avaient le mojo eux! Ecoutez juste pour vous sentir vivants leur "Wish You Would" emprunté à Billy Boy Arnold et Little Walter, toujours sur ce Live At Topanga Corral de 69... Grand, je n'ai pas d'autre mot. Et pourtant l'originale semblait intouchable. Ahlala! Ce que j'aurais aimé les voir en vrai eux! le Live At Topanga Corral, il faut vraiment y aller en rêve, sapé(e) en hippie, fermer les yeux et laisser le trip monter. Diabolique, je vous dis. Danser le blues, c'est enlacer la sorcière pour la séduire dans l'espoir qu'elle vous présente le diable et qu'il vous trouve sympa.

Le 14 Mars 2020 par PARESSEUSE

Vraiment un super album. J'ai écouté et ré-écouté Recordings aussi, qui est dans la même veine, et c'est de la très bonne musique. C'est bien produit, bien joué, bien écrit... mais je ne sais pas si j'aime ou pas au final. Je trouve que c'est trop sérieux. Sans folie. Un peu comme Archive en fait. Même si musicalement c'est différent. Mais dans l'esprit, ça fait trop bon élève pour moi. En tout cas, merci à ceux qui m'ont aiguillée dans la découverte de ce groupe. J'y reviendrai certainement. A mon rythme.

Le 13 Mars 2020 par RED ONE

"D'où le titre, même si, en dehors du fait de vouloir sonner moderne, je ne comprends pas trop l'emploi de l'arobase, ni l'envie de tripler le chiffre."

La signification du titre est pourtant assez simple : "50:50@50" se prononce en anglais "Fifty-Fifty at Fifty", ce qui veut techniquement dire "Moitié/moitié pour nos cinquante ans".
Le "moitié/moitié" renvoyant vraisemblablement au fait que l'album est moitié live, moitié studio.

Le 13 Mars 2020 par NONO

Et cette pochette... Quelle pochette !

Le 13 Mars 2020 par BAKER

Enorme surprise de retrouver State of Grace sur ce coffret !
Double énorme surprise en lisant un chroniqueur connaissant ce film si inconnu et en louer les grâces !

En plus en duo avec Untouchables qui est quand même une sacrée B.O (et un sacré film) !

Le 13 Mars 2020 par NSA

@CaptainCritic : Hé ho, ça va hein qu'est ce que t'y connait déjà ? Tu fais quoi toi ici maintenant ? T'es ou ? T'es dans quoi ? T'a même plus aucune activité, moi qui pensait que t'allais faire tant de choses, et t'es nulle part à rien foutre à part cultiver ta haine ta colère et ton dégout sur le monde actuel. Bravo. Alors te mêle pas de me reprendre pour le moment.

Le 12 Mars 2020 par CAPTAIN CRITIC

@NSA alors là pas du tout.

Le 12 Mars 2020 par BAAZBAAZ

Jean-Louis Aubert a présenté son album dès novembre 1992 à la télévision. La date que donne Wikipédia (juin 1993) est impossible.

J'en profite pour souligner ma détestation de cet album, ainsi que de tous les albums de cet artiste.

	Par Forces Parallèles Le 20 novembre 92 ? Il est sorti de l'armoire de fer ? Baaz tu es énorme !Je m'incline devant ta sagacité ! Erwin

Le 12 Mars 2020 par IEN

Cet album est un sommet de la chanson Française. Il n'y a pas un titre faible. Qui plus est, il contient des singles de grande classe : "Temps à nouveau", "Entends-moi", "Toi que l'on n'Homme pas" et "Moments".
Pour une fois avec Aubert, les paroles ne sont pas trop "étranges" et les arrangements ont très bien vieilli.

Le 12 Mars 2020 par VALEK

Définition de Tchikita pute qui suce bien. C’est vachement instructif les paroles de JUL. C’est sûr qu'en soutenant ce genre d’artiste vous gagnez le respect des autres. De toute façon, c’est connu, les gens qui ont du goût n’ont pas la majorité des voix et c’est comme ça pour la plupart des chef d’œuvres. Excuse-moi de vexer la Team JUL mais moi-même en Rap je n’écoute pas des amateurs. JUL est un amateur et ceux qui l’aiment ne connaissent pas les véritables Freestyle. Je connais la véritable histoire du Rap français et je peux dire que la majorité des gens sont passés à côté de véritables artistes mais comme les français n’ont aucun critère d’exigence ils mangent des déchets en permanence.

Le 12 Mars 2020 par BITCHY COWGIRL

Personnellement, "Au temps à nouveau" m'horripile atrocement. Juste pour dire que je ne comprends pas l'intérêt que portent beaucoup de gens à cet artiste si ce n'est qu'il a fait partie d'un vieux groupe de Rock français hyper-médiatisé et mou du genou au possible. Je ne note pas l'album car je ne l'écouterai jamais.

Le 12 Mars 2020 par THIERRY RAOULT

L'album est sorti en octobre 1992, pas en 1993.

	Par Forces Parallèles Hey Thierry ! Pas évident, Wiki donne les deux dates et revient le plus souvent sur juin 93. C'est à confirmer. Bien à toi Erwin

Le 11 Mars 2020 par GUILLAUME THE ELDER

RIP Andrew Weatherall, musicien, DJ prolifique et quelque peu barré… il aura aussi produit ce « Screamadelica », que l’on range aujourd’hui dans la catégorie « culte ».

« Movin’ On Up », « Come Together », « Loaded », 3 titres que vous connaissez si vous regardiez MTV en 90-91 grâce à votre « télévision par câble ». Primal Scream y tournait donc en boucle et la révélation fut totale pour beaucoup d’entre nous, toute obédience confondue. Tantôt rock, festif, psyché ou gospel sur fond de militantisme, les titres, assez longs, hypnotisent tout comme les passages télé par leur côté fiesta option défonce. Un vent de fraîcheur, tout droit venu d’Ecosse, qui nous fit entrer avec confiance dans ces années 90.

Le 11 Mars 2020 par LEO

Je suis passé complètement à côté de ce maxi en 1986 lorsque j'ai acheté Commercial Suicide et n'ai appris son existence il n'y a qu'une petite dizaine d'années, mais franchement à son écoute, j'aurais pu aussi bien ne jamais le connaître tant ce genre d'expérimentation m'indiffère au plus haut point ! je n'y décèle aucune trouvaille ou audace qui vaille le coup de s'y attarder. tout ceci n'est juste qu'un collage sonore mêlant voix et sons provenant de sources diverses, le tout sur une rythmique robotique. pas de quoi crier au génie, d'autant que je n'ai jamais goûté aux bidouillages soit disant avant-gardistes !
1/5, c'est tout ce que cela vaut pour moi.

	Par Forces Parallèles C'est typiquement le type d'œuvre où la note peut aller de 1 à 5 sans que cela donne trop lieu à discussions en fait. Streetcleaner.