Le 21 Mars 2020 par RICHARD

C'est vrai que cette galette est bien inégale mais en passant après " The Idiot" et "Lust For Life", elle avait une sacrée pression la pauvre...J'ai toujours trouvé que l'Iguane partait un peu dans tous les sens et que la seule chose qui les reliait plus ou moins fortement était sa voix toujours aussi magnétique.

Le 20 Mars 2020 par NONO

@Richard : Ah oui c'est vrai il y a "hours "aussi ! De cet album-là je ne retiens que le "Something in the air". Le reste : bof, pas terrible !
Pour ma part, j'ai dû attendre jusqu'à "Heathen" pour apprécier pleinement un nouveau bon album de Bowie.

Le 20 Mars 2020 par LEO

Après la parenthèse discographique et scénique avec les tapageurs (mais peu inspirés) Tin Machine en 89 et 91 plus la tournée sous son propre nom en 90, DAVID BOWIE enregistre ce Black Tie White Noise en 92, de nouveau en tandem avec Nile Rodgers (peut-être dans l'espoir d'en faire un succès comme avec Let's Dance). l'album n'apparaîtra dans les bacs qu'au Printemps 93, soit six ans pile après son dernier album en solo en 87 avec l'immonde Never Let Me Down.
Est-ce que ces six années ont suffi à BOWIE pour se ressourcer et retrouver l'inspiration? Pour moi la réponse est non à l'écoute de ce dix-huitième album du Thin White Duke même si le niveau général remonte à peine d'un cran par rapport à la catastrophe précédente mais ça n'était pas bien difficile vu le niveau de celui là et il n'y a pas de quoi se réjouir pour autant car l'ensemble de ce disque est vraiment très très pauvre !
L'instrumental "The Wedding" en ouverture et "The Wedding Song" qui est sa séquelle chantée en toute fin d'album sont inintéressants. je trouve ce style smooth-jazz/acid-jazz plat et ennuyeux.
"You've Been Around" sur un tempo plus soutenu n'est pas plus passionnant. ça tourne en rond.
La cover de Cream "I Feel Free" a été remaniée à la sauce electro-funk mais ça ne donne pas envie de sauter au plafond. je préfère encore la version d'origine, et pourtant je ne porte pas la musique de Cream dans mon coeur ! c'est tout dire.
Le morceau-titre "Black Tie White Noise" m'emmerde carrément avec son R&B teinté de soul-jazz. pas mon truc.
Il me faut attendre le cinquième morceau, "Jump They Say" pour enfin trouver une compo à ma convenance. musicalement ça n'est pourtant pas bien différent du reste car on navigue entre de l'electro et du jazz contemporain mais cette fois le morceau est entraînant et très convaincant et la partie de trompette de Lester Bowie crée une espèce de tension vraiment réussie.
"Nite Flights" la reprise de Scott Walker (dont l'original se trouve sur l'album Nite Flights des Walker Brothers en 78) est également bien foutue. BOWIE mise bien plus sur le côté 'groove' mais l'atmosphère particulière qui y règne n'est pas si éloignée que ça du titre d'origine.
Par contre "Pallas Athena" avec son mix entre house et drum'n'bass me gonfle. pas mon truc.
"Miracle Goodnight" est plus 'poppy' mais aussi très gnangnan. je zappe.
"Don't Let Me Down & Down" est une ballade insignifiante et l'instrumental "Looking For Lester" pas bien plus passionnant malgré l'intervention pianistique de Mike Garson.
La cover "I Know It's Gonna Happen Someday" est assez différente de l'originale (signée Morrissey). si le morceau d'origine sonnait un peu comme un hommage à "Rock 'n' Roll Suicide", BOWIE a choisi de lui donner une tournure minimaliste à la manière des compos de l'album John Lennon/Plastic Ono Band, mais agrémenté de cuivres et de choeurs soul/gospelisants un peu dans l'esprit de Young Americans. ce mélange est bien senti et je trouve le résultat épatant.
Les bonus sont totalement inintéressants et superflus, que ce soit les remixes ou l'original "Lucy Can't Dance" qui tire sur la dance-pop façon Madonna.
Au final, je ne retiens que trois titres sur les treize (si je prends en compte "Lucy Can't Dance" et laisse de côté les remixes). je garde donc l'original "Jump They Say" plus les 2 reprises "Nite Flights" et "I Know It's Gonna Happen Someday". ça ne pèse pas lourd sur tout un album !!!
Pas plus de 2/5 et encore, je trouve ça très bien payé !

Le 20 Mars 2020 par CHRIS

L'album ou les australiens sonnent le plus heavy. Le groupe est servi ici par une production dantesque qui sonne lourd. Les compos sont pour la plupart très inspirées mais l'album souffrent d'une grosse dissymétrie entre tubes géniaux et morceaux passables.
Un indispensable du groupe tout de même.

Le 19 Mars 2020 par RICHARD

@NONO. "Outside" est pour moi le meilleur album de l'Anglais pour cette décennie et de loin. En même temps, ce n'était peut-être pas si difficile. Le reste de sa disco de l'époque est pour moi plus que mitigé. "Black Tiw White Noise" ne vaut que pour le superbe et émouvant "Jump They Say". Je me souviens lorsque ce titre passait en rotation lourde début 1993 l'accroche a été totale. C'est encore l'un de mes titres préférés de Bowie. On était tellement désespéré du Bowie des années 80 que l'on a fait de cette galette limite un chef d’œuvre... Ce que le temps a bien dilué." Earthling" pour une fois sent quant-à lui trop le copier-coller des années drum'n bass. Il y a de très bon titres (" Little Wonder ", " Telling Lies " et " The Last Thing You Should Do ") mais le reste demeure par trop bancal. De "Hours", je retiens évidemment ce retour à une pop bien faite mais pas nécessairement accrocheuse et manquant un peu d'originalité. "Outside" est bien donc un OVNI dans la décennie de Bowie, voire même dans sa carrière. C'est ce qui pour moi en fait tout son intérêt.

Le 19 Mars 2020 par METALPROG84

Bizarre, très peu de commentaires pour cet excellent skeud. De toute façon, c'est bien simple, le loner n'a sorti que des très bons albums de 1969 à 1975. "After the gold rush" fait partie donc de sa "période d'or". A part "Till The Morning Comes" et "Cripple creek ferry" un ton en-dessous, on a que de l'excellent. Note réelle: 4.5/5.

Le 19 Mars 2020 par NONO

@Richard : Les années 90 ont été, à mon sens, très inégales pour Bowie.
J'adore cet album par exemple, mais je n'aime pas du tout "Black tie white noise ", ni "Earthling".

Le 19 Mars 2020 par RICHARD

@NONO. Entièrement d'accord avec toi. Cet album fourmille d'idées, de sensations opposées. On l'a souvent accusé d'être du remplissage, d'être vide de sens, pompeux et surestimé. Pourtant, on a qu'une seule envie : emboîter le pas à Nathan Adler. Outside rappelle opportunément que même si le Londonien a toujours su capter l'air du temps, il n'était pas pour autant un copieur même talentueux. On peut visionner sur le net le concert donné dans le cadre de cette tournée au festival de Loreley en Allemagne en 1996 pour se rendre compte qu'il y avait Bowie et...qui d'autre d'ailleurs...?

Le 19 Mars 2020 par RICHARD

Je trouve en général que les productions de Zorn ne sont jamais évidentes. On doit être particulièrement actif, s'impliquer Mais si on ne subit pas son œuvre, le plaisir est alors intense.

Le 19 Mars 2020 par NONO

Album magnifique, rempli d'univers étonnants, d'atmosphères denses.
J'ai adoré l'album dès la première écoute, et je l'adore encore plus maintenant.
S-U-P-E-R-B-E !

Le 18 Mars 2020 par MARCO STIVELL

pour info, Dave Brown, le bassiste est décédé en 2000.

Le 17 Mars 2020 par LE KINGBEE

Ce double Live restitue parfaitement la puissance, l'univers et les mélodies de Leftoverture et Point Of Know Return, deux albums de référence. Un parfait condensé du répertoire seventies du groupe.
La suite sera, à mon sens, moins rose mais KANSAS reste le propriétaire d'au moins 3 disques exceptionnels. Grand regret de ne les avoir jamais vus en concert, mais il est vrai que les salles gigantesques comme le Zénith me faisaient déjà peur à l'époque.

Le 17 Mars 2020 par MAGNU

La belle époque... J'ai connu le groupe à la sortie de ce live, même si je l'ai apprécié bien après. C 'est un album live parfait pour découvrir l'époque dorée du groupe, du Kansas à son pinacle !

Le 16 Mars 2020 par METALPROG84

J'ai toujours beaucoup aimé cet album. Pas si accessible qu'on veut bien le dire malgré quelques titres effectivement un peu "faciles" ("Take Away My Pain" ou "Anna Lee"). Les morceaux sont variés et inspirés pour la plupart. "You not me", "Burning my soul" et "Just let me breathe" sont quand même bien pêchues. Parmi mes albums préférés du groupe.
Top titres: "New millenium", "Peruvian skies" et "Lines in the sand".

Le 16 Mars 2020 par CLANSMAN57

Oui, c'est bien résumé quant au Metal de nos jours, c'est soit un mix, soit du revival... Ou encore les anciens qui n'y arrivent plus.
De mon point de vue, bien entendu, à chacun le sien.
Et oui, Brothers Of Metal, c'est bien réalisé, dire le contraire serait de la mauvaise foi.
M'enfin, c'est pas bien grave au final, il y a pire dans la vie, surtout actuellement...
Je me console en me disant que j'en ai écouté pendant 27 ans, que j'arrive à en apprécier 4 décennies (mais pas tout hein, faut pas déconner)...
Et même lors de la précédente décennie, je peux encore faire un listing de très bons albums, bien que ce soit plus maigre qu'auparavant et que je ne pense pas que ça fasse le poids face aux classiques.
T'as pas à être désolé, c'est ainsi:)
C'est moi, je ne peux pas m'empêcher d'être honnête en partageant mon ressenti... Faudrait peut-être que je me taise, mais bon... Il faut que ça sorte parfois, c'est dû à mes racines tziganes sans doute.
Il y a tout de même de quoi faire depuis le premier Black Sabbath, si l'envie d'en écouter me prend.

Jolie chronique en tout cas:)
Et que ça n'empêche pas les gens d'y jeter une oreille!
Le principal, c'est d'en tirer du plaisir.

Le 16 Mars 2020 par BRADFLOYD

Désolé pour toi, CLANSMAN57. Je peux comprendre ta frustration. Mais, à chaque fois que j’écoute un nouvel album, je fais fi de tout ce que j’ai écouté avant. Soit j’aime, soit je n’aime pas. Là, en l’espèce, j’aime.
De toute façon, je ne crois pas qu’on puisse inventer quelque chose de nouveau aujourd’hui. Tout a été dit et tout n’est qu’une redite, la nouveauté ne se caractérisant désormais que par la fusion de différents genres. Alors, c’est sûr que ce groupe n’est pas très original. Mais au moins il fait des choses bien et c’est agréable. Et la voix de la chanteuse est assez exceptionnelle, je trouve. Je ne demande rien de plus. Mais je te comprends.

Le 16 Mars 2020 par LEO

Entre les albums It Seems et Bastard, il s'est passé neuf années sans album solo de Colin NEWMAN, celui-ci étant plutôt occupé par Wire (et Wir, son abréviation suite au départ momentané du batteur Robert Gotobed à la mi-'90) ainsi que des participations à divers projets (dont le trio Oracle composé de Colin, Malka Spigel et Samy Birnbach, tous deux ex-membres de Minimal Compact et qui donnera lieu à un unique album en 94 intitulé Tree).

À vrai dire, Bastard n'est pas vraiment un album solo de NEWMAN bien qu'il soit sorti sous son nom seul, car il est stipulé dans les crédits: music by Colin & Malka mais rien d'autre n'est mentionné, ce qui fait que l'on ne sait pas vraiment qui fait quoi (tout en sachant le couple très polyvalent, les deux pouvant passer aisément de la guitare, à la basse en passant par les claviers). de plus, c'est Malka Spigel qui figure seule sur la pochette !

Cette fois-ci, pas de chant (si ce n'est quelques bribes de voix en fond à l'occasion). l'album est entièrement dévolu à des pièces instrumentales electro sous influence Trip-Hop / Drum'n'Bass comme il était courant à l'époque (nous sommes en 97 et David Bowie lui aussi n'échappera pas à la tendance du moment sur son album Earthling).

Hélas, ce courant musical n'a jamais été mon trip et je n'adhère donc pas à l'ensemble de ces titres qui me semblent s'éterniser indéfiniment sans proposer un quelconque développement, un semblant de mélodie ou même une simple accroche instrumentale. tout ça est bien basique et repose essentiellement sur des patterns métronomiques simplistes (que ce soit pour les rythmiques ou les autres instruments). même en musique de fond, je m'emmerde grave, c'est dire l'aversion que j'ai pour ce genre là !

Je sauve à la rigueur le morceau ambient "Without" sur lequel il n'y a aucune percussion mais c'est bien tout. Comme si ces pénibles 50 minutes n'étaient déjà pas suffisantes, l'édition limitée propose un second CD de 25 minutes occupé par quatre instrumentaux dans la même veine !!! non merci, sans façon ! Sur la pochette, on peut distinguer le visage flou de Malka Spigel et devant celle-ci, un gros doigt d'honneur, fait sans doute par son taquin de mari Colin qui l'adressait peut-être à certains acheteurs potentiels qui ne goûteraient pas (tout comme moi) à ce style minimaliste. pas de bol pour toi Colin, je n'ai jamais acheté ton foutu disque l'ayant écouté au préalable !!!

Depuis ce méfait, Colin NEWMAN n'a plus refait d'album en solo. par contre depuis 2004, celui-ci a fait paraître une série d'excellents albums avec son autre formation (après Wire) nommée Githead (qui comprend Malka Spigel, Max Franken, autre ex-Minimal Compact et Robin Rimbaud, spécialisé dans l'electro).
Concernant ce bien nommé Bastard, je lui attribuerai un 1/5 juste pour "Without".

Le 16 Mars 2020 par CLANSMAN57

Il faut vraiment que je pense à ne plus écouter les nouveautés Metal.
Plus particulièrement celles dans cette veine Heavy épique, je n'en peux plus...
"Emblas Saga" est largement écoutable, mais je n'y suis plus du tout réceptif, à mon grand dam.
Pareil pour The Ferrymen proposé en sélection par le super sympa Fredouille sur NiME: aucun plaisir...
Dans les deux cas, j'ai juste cette désagréable sensation d'avoir déjà entendu ces chansons 1 000 fois auparavant.
C'est là que tu te dis que soit tu deviens vieux, soit c'était mieux avant.
Et même dans une veine plus mélancolique ou sombre, qui reste pour moi ce qu'il s'est fait de mieux dans le Metal, toutes périodes confondues, plus précisément les années 90 et 2000:
Paradise Lost sort un nouvel album: je m'en fous.
Katatonia en a sorti un: je m'en fous.
Il fut un temps, j'aurais jeté une oreille.
Désormais, je n'en ai même plus l'envie et Dieu sait que j'adore ces deux groupes, à titre d'exemples.
Le premier, je le sens pas du tout et le second me semble être arrivé en bout de course depuis longtemps.
Aujourd'hui, il faudrait s'extasier sur Idle Hands ou Angellore.
L'un comme l'autre s'écoute, mais bon sang, que le temps béni de ces courants me semble lointain...
C'est pareil en moins bien.
Bref, je baisse les armes, je suis fatigué, les années 2010 ne m'auront pas fait beaucoup de bien en ce qui concerne ce milieu musical.
La nouvelle décennie sera sans moi!

RIP.

Le 15 Mars 2020 par LEO

It Seems poursuit dans la voie d'une pop arty ouvragée mais à la différence de Commercial Suicide, les instruments à cordes ne sont pas conviés cette fois-ci bien que les cuivres soient toujours de la partie. au final ce sont les synthés qui sont mis bien plus en avant, auquel s'ajoute quelques parties de batterie ou de boite à rythmes sur trois titres. un choix un peu regrettable qui fait que ce cinquième album en solo de COLIN NEWMAN est bien plus ancré dans les années 80 que son prédécesseur, mais celà dit les compos restent de qualité tout à fait appréciable.
Les sequencers du très beau "Quite Unrehearsed" en ouverture, m'évoquent un peu Depeche Mode mais on sait tout de suite que l'on est dans l'univers bien particulier de COLIN NEWMAN lorsque l'on entend sa voix bien distinctive.
Comme le fait justement remarquer STREETCLEANER, "Can't Help Being" est effectivement bien dans l'esprit de ce que proposait COLIN NEWMAN avec WIRE à la même période, ce qui fait que l'on peut penser à juste titre, que cette facette plus 'poppy' a été apporté par Mister NEWMAN himself !
Le chant principal de "The Rite Of Life" est assuré par Malka Spigel (qui participait déjà à l'album précédent). il s'agit d'une compo dans l'esprit de Commercial Suicide, sans rythmique mais avec des motifs cycliques aux synthés, tout comme les deux titres suivants: "An Impressive Beginning" et "It Seems" (le morceau qui donne son nom à l'album).
Tout à fait du même avis que STREETCLEANER sur l'excellent et très accrocheur "Better Later Than Never" (chanté en duo par Colin et son épouse Malka), qui avait vraiment le potentiel pour des passages en radio mais qui n'a malheureusement reçu qu'indifférence lors de sa sortie en single. injuste ! Handful Of Snowdrops (formation electro basé au Canada) en a fait une reprise très sympa en 2015.
Depeche Mode est évoqué de nouveau sur "Not Being In Warsaw" qui a des allures de "Little 15". hélas, Music For The Masses est passé par là un an auparavant et là aussi point de salut pour Colin !
"At Rest" est de mon point de vue la compo la moins remarquable de toute. cette pop-song synthétique n'est pas mauvaise mais plutôt banale et pas franchement mémorable ni mémorisable.
Je préfère nettement les séduisants "Convolutions" (de nouveau en duo avec Malka Spigel) et "Round & Round" qui se rapprochent de l'album précédent.
STREETCLEANER n'a pas parler du titre final intitulé "Si Tu Attends", qui se trouve sur la version CD (mais pas le sur 33 tours ni les exemplaires en cassette). ce morceau chanté en Français (avec l'accent so British de Colin !) est une gentille ritournelle synthétique, pas franchement indispensable mais fort sympathique malgré tout.
It Seems est moins inventif et intemporel que Commercial Suicide, néanmoins je trouve ce disque fort agréable.
Un bon 4/5 pour ce cinquième album de COLIN NEWMAN.

À noter que STREETCLEANER fait remarquer que l'on est loin d'un chant comme sur "Ambitious", mais cela n'a strictement rien d'étonnant puisque c'est Graham Lewis et non Colin Newman qui assure le chant principal sur ce titre de WIRE ! (et quoiqu'il en soit, je ne trouve pas que Lewis soit vraiment plus expressif que Newman dans son chant !).

Le 15 Mars 2020 par NONO

En 2022, JUL président ?
Non non... Pas taper... pas taper !....