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Lou REED
LIVE


Le 25 Janvier 2019 par LEO

@ LE BARON

Live emblématique peut-être, mais pour qui ? sans doute pour les afficionados de LOU REED (et encore, ce n'est même pas certain) mais pour moi qui ne suis pas fan du bonhomme habituellement (et encore moins du Velvet Underground), Take No Prisoners m'ennuie prodigieusement et ce pour plusieurs raisons. d'une part, LOU jacte plus qu'il ne chante tout au long de ce double album fleuve et ensuite je n'aime pas la direction musicale prise et les arrangements qui tire l'ensemble vers du blues/jazzy.
Si j'en suis venu à écouter LOU REED c'est uniquement par le biais de Rock 'N Roll Animal/Lou Reed Live dont j'aime justement le côté hard-rock très prononcé et la liberté accordée aux musiciens par rapport aux autres albums de l'artiste.
Retrospectivement, j'ai beau avoir entendu les versions originales en studio ou d'autres en concert sur diverses tournées, c'est toujours vers ce fameux concert de Décembre 1973 à l'Academy Of Music de New York que je reviens !





Lou REED
LIVE


Le 25 Janvier 2019 par LE BARON

@LEO et DU LIVE : pas un mot sur "Take No Prisoners" ? Et pourtant, ne serait-ce pas plutôt celui-ci, le live emblématique de Lou REED ?
Bien à vous.





YES
FRAGILE


Le 25 Janvier 2019 par LEO


Bien qu'assez proche stylistiquement de The Yes Album, Fragile va encore plus loin musicalement que son prédécesseur.
On a droit à quatre compositions de groupe et cinq courtes pièces individuelles (attribuées à chacun des membres de YES) dont presque toutes sont jouées par la formation (mis à part "Cans And Brahms" et "Mood For A Day", toutes deux en solo).
La palette de sons s'est également élargie au niveau des claviers. contrairement à Tony Kaye qui s'en tenait à son orgue et au piano (et aussi à un chouïa de Moog sur The Yes Album), la panoplie de claviers de Rick Wakeman est bien plus conséquente (orgue Hammond, piano électrique, grand-piano, Minimoog, clavecin, Mellotron). ce dernier est aussi un claviériste bien plus accompli que ne l'était Kaye, à un tel point que sa virtuosité atteindra la grandiloquence sur les albums à venir. mais nous n'en sommes pas encore là ! pour le moment, son jeu (tout comme celui de ses collègues) est très équilibré sur Fragile, qui porte très bien son nom !
En effet, avec cinq individualités aussi fortes qu'Anderson, Bruford, Howe, Squire et Wakeman, il est étonnant de trouver autant d'équilibre dans cet album, chaque membre n'essayant pas de tirer la couverture à soi.
Les plus longues pièces "Roundabout", "South Side Of The Sky" et "Heart Of The Sunrise" sont fouillées et très arrangées mais pas à un point de complexité telle que la technicité prendrait le pas sur l'aspect mélodique. leur construction est certes progressive mais fondamentalement ça reste du pop rock entraînant et ouvragé. on peut en dire de même pour le plus court "Long Distance Runaround". Il va sans dire que ces quatre compos sont excellentes.
À côté de ça on pourrait croire que les cinq pièces individuelles restantes ne sont que bidouillages ou morceaux de complaisance et pourtant il n'en est rien ! ces cinq titres participent à la cohérence de l'album et font tant pour l'intérêt de Fragile en tant que tout indivisible, et contrairement à "Clap" de l'album précédent, j'aime beaucoup le "Mood For A Day" de Steve Howe !
"We Have Heaven" (Anderson) et "The Fish (Schindleria Praematurus)" (Squire) sont hypnotiques à souhait avec leurs figures cycliques qui agissent comme des mantras.
Le délirant, bref et syncopé "Five Per Cent For Nothing" (Bruford) sonne preque comme un mix de Gentle Giant et ELP !
Seul Rick Wakeman ne put écrire une pièce de sa plume à cause de problèmes contractuels le liant à A&M Records. "Cans And Brahms" est donc une adaptation d'un des mouvements de la symphonie n°4 de Johannes Brahms.
Fragile est de mon point de vue l'album le plus harmonieux de YES et selon moi, il faudra attendre Drama neuf ans plus tard pour retrouver pareille homogénéité sur un album du groupe.
Fragile et Drama font d'ailleurs partie des albums que je préfère chez YES (avec The Yes Album, Relayer, Tormato, 90125 et Fly From Here).





PANIC ROOM
SKIN


Le 25 Janvier 2019 par HEART OF STEELE

A noter une ré-édition de ce disque avec 15 min supplémentaire. Dispo sur le site du groupe!





GENTLE GIANT
ACQUIRING THE TASTE


Le 24 Janvier 2019 par ALEX F


Il m'arrive parfois d'être un peu partagé sur cet album, car il est assez hermétique, complexe, bref, pas très facile d'accès. Mais dans l'ensemble, il faut reconnaître qu'il s'agit là d'un très bon album. Et l'entame est fabuleuse ! Quelle tuerie ce "Pantagruel's Nativity" !





HAPPY THE MAN
HAPPY THE MAN


Le 24 Janvier 2019 par ALEX F


Super album, un des meilleurs du prog. De la virtuosité, mais toujours au service de la mélodie. Et il y a juste ce qu'il faut de folie pour que le tout soit original tout en restant accrocheur. Et c'est vrai qu'on est un peu entre prog rock et jazz rock sur ce disque.
A mes yeux, les meilleurs morceaux sont "Stumpy Meets The Firecracker In Stencil Forest", "Upon The Rainbow", "Carousel" et "New York Dream's Suite", de vraies merveilles !
Si je devais faire la fine bouche, je dirais juste que "Starborne" me semble un peu long, et que "Knee Bitten Nymphs In Limbo" me paraît un peu trop démonstratif par moments. Mais en bref, il s'agit d'un grand album !





Phil COLLINS
LOVE SONGS


Le 24 Janvier 2019 par CLANSMAN57


C'est long 25 chansons d'amour...
Oh, bien sûr, rien ne nous oblige à écouter le tout d'une traite.
Mais même en deux fois, c'est long pour moi.

Il chante bien, certaines chansons sont très belles, d'autres m'endorment net.
Par ailleurs, je ne savais pas que Léonard Bernstein écrivait des chansons ("Somewhere").

J'ai une petite préférence pour le premier cd.





Lou REED
LIVE


Le 24 Janvier 2019 par DU LIVE

comme le dit LEO, en compilant ces 2 albums live on obtient ce qui est pour moi l un des 10 meilleurs live parus à compiler et à réécouter de toute urgence. Les 9 autres :
Dylan and the band "before the flood"
J Geils band "blow your face out"
Blue Oyster Cult "on your feet or on your knees"
The Who "live at leeds" réédition avec concert complet dont Tommy
Led Zeppelin "how the west was won LA' 72"
Rolling Stones "bruxelles 73 bootleg"
Pink Floyd "wembley arena 1974"
Joe Cocker "mad dog and english man"
Neil Young "live rust"





SIOUXSIE AND THE BANSHEES
THE RAPTURE


Le 24 Janvier 2019 par RICHARD


Il y a quand même une certaine amertume à voir les Banshees terminer leur carrière si inventive sur ce malheureux faux pas.
Je n'y retrouve pas ou alors à de très rares occasions (le splendide titre éponyme par exemple ou l'ultra pop "O Baby") la verve créatrice si particulière des Anglais. On écoute les douze titres défiler sans que l'on soit véritablement secoué par de durables émotions. Un comble pour les Banshees !! Leurs morceaux ayant ici, même un parfum de quasi similarité...
Avec "Superstition" sortie en 1991, cette galette est assurément (pour moi) l'une des plus faibles des Londoniens. Triste année 1995.
2,5/5





INDOCHINE
13


Le 24 Janvier 2019 par SIEGFRIED


Un album beaucoup trop long et répétitif... A la limite j'ai bien aimé Black Sky, 2033 et Station 13, le reste je me suis endormi.. Toujours le même rythme du début à la fin des chansons, aucune variation, accélération..
Et le pire, c'est qu'en plus d'être ultra répétitif et déjà entendu, ça contient des daubes sans nom (Henry Darger, Suffragettes Bb, Trump le Monde (dommage, c'était la seule "différente" dans le tas mais nulle nulle nulle !!!)) sans avoir un seul vraiment bon titre (et je ne parle même pas des paroles encore pires que d'habitude).
Le pire d'Indochine, y a pas de doute pour moi.





Stevie WONDER
SONGS IN THE KEY OF LIFE


Le 24 Janvier 2019 par BAAZBAAZ


Mon problème avec cet album ne tient pas tant au fait qu'il soit double, ce qui implique nécessairement du remplissage (mais rien n'empêche de zapper) qu'à la durée des chansons... Je suis effaré par la tendance de Stevie WONDER à prolonger inutilement des compositions qui, sans cela, seraient des petits chefs d'oeuvre.

Tenez, "As" par exemple : excellente chanson, bon groove 70s, refrain canon, montée en puissance, jam finale et... et non, ça continue : Stevie empile les sons et moi je jette un œil sur la montre : encore 2 mn à tenir... 2 mn ? Je fais quoi, moi, pendant ce temps là ?

Et je ne parle pas de "Isn't She Lovely", pleine d'émotion et adorable mais ultra-répétitive au point d'être finalement insupportable .

C'est chaque fois pareil : j'ai l'impression que toutes ces compos, qui pour certaines ne sont pas spécialement dansantes (et dont la longueur se justifierait donc en vue des dancefloors) ni très complexes dans leur structure, ont été étirées sans raison, sans que quelqu'un ait la présence d'esprit de lever la main en studio pour dire à Stevie : "heu...Et si on coupait là ?"...

Dommage.





SIMPLE MINDS
SPARKLE IN THE RAIN


Le 24 Janvier 2019 par NONO

@SQRT(-1)/0 : C'est vrai que dans cet album la batterie est trop présente et parfois les breaks tombent comme un cheveu sur la soupe et vont nulle part, bref ça sonne assez brouillon.
Simple Minds est pour moi un groupe très paradoxal : ce sont d'excellents musiciens avec un excellent chanteur. Ils ont donc un énorme potentiel de base, mais malheureusement beaucoup de leurs titres sont gâchés par 2 problèmes majeurs à mon avis, qui sont en fait les défauts de leurs qualités :
1) Ils ont des capacités à créer de belles mélodies, mais par paresse ou autre (?), leurs titres ont tendance à répéter ad-nauseam le motif mélodique des 30 premières secondes sans jamais vraiment décoller , ce qui fait qu'on finit par se lasser : côté répétitif, pas de différence de ton entre les couplets et le refrain, etc. L'auditeur a souvent du mal à tenir la distance, comme si la force motrice du début d'un titre se "dilue" à partir de quelques minutes pour laisser place à un truc planant, vaguement dans la continuité, mais un peu en roue libre, comme si le morceau se "perdait". Bref, comme si le groupe avait du mal à tenir la distance niveau inspiration.
2) Jim Kerr est excellent quand il chante normalement mais il a malheureusement tendance à sur-chanter (frôlant parfois la gueulante), et là ça devient vite saoûlant.
Donc pour moi, ce groupe a un potentiel énorme, mais ces qualités sont souvent : soit pas assez exploitées, soit souvent gâchées par des détails, ce qui fait que je n'en arrive pas à être vraiment fan , même si j'aimerais !





Michel SARDOU
CHANTEUR DE JAZZ


Le 24 Janvier 2019 par NONO

@Richard : et avec une enseigne bleue et jaune, dont le nom commence par "I" et finit par "A", c'est cela ?
Non, parceque j'ai failli confondre avec William Saurin ;-)





YES
THE YES ALBUM


Le 24 Janvier 2019 par LEO


The Yes Album (enregistré en 1970 mais paru début '71) est le 33t ou YES parvient réellement à trouver son style pour la première fois. et ce n'est sans doute pas un hasard puisque Steve Howe a remplacé Peter Banks et qu'il a largement contribué à l'écriture de deux morceaux (je ne compte pas sa pièce acoustique en solo).
Sur ce troisième opus, plus aucune reprise comme ce fut le cas sur les deux précédentes livraisons. on ne trouve ici que des compos originales ! et pas des moindres...
"Yours Is No Disgrace", "Starship Trooper", "I've Seen All Good People" et "Perpetual Change" sont autant de standards que le groupe a joué en concert et gravé sur nombre d'albums live tout au long de sa carrière. c'est peut-être pourquoi je reviens moins souvent vers The Yes Album car j'ai l'impression d'en avoir fait le tour depuis des lustres à force d'en avoir entendu de multiples versions sous toutes ses formes. celà n'enlève rien à la qualité de ces morceaux mais personnellement j'en suis un peu lassé.
À côté de ces quatre gros pavés on a aussi deux trucs bien plus passe-partout.
"Clap" le moment acoustique de Steve Howe est non seulement anecdotique mais aussi très mal capté lors d'un concert au Lyceum de Londres. étrange décision d'avoir inclus cette prise live alors qu'une version en studio fut enregistrée lors des sessions de l'album ! dans un cas comme dans l'autre, cette pièce acoustique m'ennuie.
"A Venture" n'est pas franchement mauvais mais pas remarquable pour autant.
Ce sont donc les quatre plus long titres qui retiennent mon attention.
L'album suivant sera plus ou moins dans la même lignée musicale mais aussi avec une différence de taille, Tony Kaye sera remplacé par Rick Wakeman, ce qui amènera plus d'emphase dans les parties de claviers.







Roger WATERS
THE PROS AND CONS OF HITCH HIKING


Le 24 Janvier 2019 par REALMEAN


Evidemment, si on n'accroche pas avec le Floyd version Waters, on n'a guère de chance d'adhérer au "Pros and Cons" ayant ré-ouvert le sillon en solo du bonhomme.
Et on est obligé de reconnaître que cet album est parsemé d'embûches, maladresses, recyclages (ad nauseum pour ceux qui auraient décroché du Floyd à partir de "The Wall"...). "The Wall" en effet est plus que présent, et d'entrée de jeu avec une entame avouant une furieuse envie de clamer 'In the flesh'. L'album se recycle aussi sur lui-même, je pense notamment au thème de 'Running Shoes' qui revient plusieurs fois en filigrane, sans productivité vis-à-vis du concept (ce serait plutôt le contraire), car il ne s'agit pas de la meilleure mélodie de la livrée. J'ajoute que je m'agace rapidement, aussi, avec le bruitage du tic-tac de réveil, à chaque fois que je réécoute "The Pros and Cons". Là encore, la volonté conceptuelle tombe dans un travers contre-productif.
Alors, pourquoi une évaluation enthousiasmée à hauteur d'un prestigieux 4 étoiles ? Parce que d'une part, comme l'a souligné Long John Silver dans la chronique, la production est époustouflante. Le travail sur les cuivres et les choeurs est magnifique, c'est un véritable antidote au vieillissement des compositions. D'autre part, parce que malgré toutes les claques qu'on aurait envie d'asséner aux poncifs de l'ami Roger, les compositions sont justement d'excellente facture dans leur ensemble, sans être viscérales comme celles du "Final Cut". Enfin et surtout, parce que Waters est toujours habité par son cauchemar, que son vocal prend encore aux tripes, après un dantesque"Animals" (le seul album de PF que je pourrais écouter en boucle sans aucune lassitude), un légendaire "The Wall" (l'album de PF, peut-être, que j'ai le + écouté à son époque), un "Final Cut" en ovni (le seul m'ayant ouvert les portes d'une 4ème dimension... hé oui). C'est ce qui me différencie de l'auditeur ne pouvant apprécier un "Pros and Cons" s'il n'appréciait pas un "Final Cut" : Roger ressasse, oui, mais tant que tout n'est pas sorti, c'est un exutoire authentique et inexorable. Il n'y a que 2 verdicts potentiels: c'est insupportable, ou c'est jubilatoire. Je suis tombé dans la marmite de "Final Cut" quand j'étais (plus) jeune... Comment passer à côté de "Pros and Cons" dans ces conditions ?





Michel SARDOU
CHANTEUR DE JAZZ


Le 23 Janvier 2019 par ROCHARD

Lorsque j'entends "Chanteur de Jazz", j'ai irrémédiablement la vision des reprographies de photos de New-York que l'on retrouve au rez de chaussée d'une chaine suédoise de magasins proposant des meubles à monter soi même et des boulettes au menu.





Al STEWART
LAST DAYS OF THE CENTURY


Le 23 Janvier 2019 par METALPROG84


Moi je le trouve plutôt bon voir très bon cet Al Stewart. Le son typé eighties n'est pas si dérangeant que çà (y'a bien pire niveau son synthétique typé 80's: "Invisible touch" de Genesis par exemple).
2 titres sont un peu moyens ("Bad reputation" et "Licence to steal" ne sont pas franchement inspirées), mais les autres morceaux sont réussis: "Last days of the century", "Where are they now", "Fields of France" et "Antartica" (dans un style très Jethro Tull pour ce dernier) sont même excellents.
Bon, on est quand même un peu en-dessous des meilleurs albums de l'artiste (qui se situent entre 1975 et 1980) mais "Last days of the century" reste recommandable.





Elton JOHN
BLUE MOVES


Le 23 Janvier 2019 par NONO


Je reviens aujourd'hui sur cet album, suite à mon dernier avis d'il y a 3 ans (janvier 2016). Hé bien, depuis je l'ai écouté cet album. Ne me fiant auparavant qu'à ce qui en était dit, j'étais vraiment sévère !
Cet album fait clairement partie des meilleurs albums d'Elton, même s'il est quand même dépassé par quelques autres. Disons qu'il fait partie de ses 5 meilleurs albums (derrière Goodbye yellow brick road et surtout Captain Fantastic).
"Blue Moves", il ne faut clairement pas chercher des tubes en puissance dedans, mais plutôt se laisser porter par la musique. Ce qui m'a le plus marqué, c'est la prépondérance de chaque musicien mis en valeur, chacun pour une chanson en particulier. Cet album est très musical. Oui ça semble bateau de dire ça mais je veux dire qu'il y a un soin spécial apporté aux arrangements sophistiqués, aux solos, etc. notamment les percussions mises à l'honneur ici (écoutez-donc "Crazy Water", vous me le confirmerez !).
Cet album est certes, long et un peu "boursouflé", mais extrêmement agréable à écouter. Il a ce côté un peu "fleuve" rappelant "Madman across the water", mais avec cependant des titres plus marquants et mémorables.





YES
TIME AND A WORD


Le 23 Janvier 2019 par LEO


Tout comme sur le premier album, la musique de Time And A Word navigue toujours en eaux psychédéliques comme en témoigne la partie de basse ondulante de Chris Squire sur "No Opportunity Necessary, No Experience Needed" (la cover transfigurée de Richie Havens) mais cette fois l'élément symphonique est ajouté par l'entremise d'un orchestre de cordes et de cuivres.
Contrairement à ARP2600 et WALTERSMOKE, j'aime bien ce mix d'orchestre et de basse agressive au premier-plan qui certes, enterre la guitare de Peter Banks et également l'orgue de Tony Kaye par endroits (quoique ce dernier est particulièrement bien audible à d'autres), mais personnellement celà ne me gène pas.
Ce second 33t de YES est généralement peu apprécié des fans mais de mon côté je préfère largement celui-ci à l'album éponyme ou certains albums ultérieurs du groupe (tels Close To The Edge).
Même si l'on sent que YES cherche encore son style, globalement je préfère les compos de ce deuxième opus par rapport au précédent.
Pour moi ce sera un bon 3/5.





YES
YES


Le 23 Janvier 2019 par LEO


Ce premier album de YES n'est pas désagréable mais il est vraiment très anecdotique et inconsistant.
Pour le moment point encore de rock progressif à l'horizon (sinon sous forme embryonnaire), la musique du groupe s'apparentant à un genre de pop-rock psychédélique mêlant les influences des Beatles, des Byrds, Simon And Garfunkel et même The Nice par moments.
Si la formation n'a pas encore trouvé son style, en revanche le son YES est presque déjà là avec la voix bien distinctive de Jon Anderson et Chris Squire avec sa basse vrombissante et qui assure les choeurs.
2/5, pas plus.







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