Le 23 Janvier 2018 par BENIS

The extremist est listé sous JOE SATRIANI au lieu de Joe SATRIANI

Le 23 Janvier 2018 par JOVIAL

Excellent album, idéal pour se détendre l'esprit ! Nocturne mais jamais angoissant, du grand art.

Le 23 Janvier 2018 par HEART OF STEELE

Bizarre ça, l'album "the Extremist" n'apparait pas dans la liste...Sinon ce disque a été pour moi comme pour beaucoup d'autres personnes un electro choc. C'est grâce à lui, et à un ou deux autres groupes, que j'écoute du Metal du Jazz, de la Fusion et toute musique qui conjugue virtuosité et Mélodie. Alors même s'il a un peu mal vieilli (qui a dit une batterie pourrave?), cet album restera à jamais culte pour moi.

Le 23 Janvier 2018 par HEART OF STEELE

De loin le meilleur de la trilogie entamée avec Born Into This. Un sommet du Rock avec un Ian Astbury plus vibrant que jamais.

Le 23 Janvier 2018 par LEO

Excellent 1er album de KILLING JOKE !
Contrairement à STREETCLEANER, je ne peux pas dire que la musique du groupe soit vraiment Punk même si ses origines viennent de là, par contre Post-punk elle l'est incontestablement !
L'univers sonore est presque comme un croisement de Gang of Four, Devo, et XTC période Drums & Wires ! ...mais avec ce petit quelque chose en plus que les autres n'ont pas.
Effectivement, la particularité de la formation c'est:
1. Des parties de batterie lourdes et tribales.
2. Une basse bien en avant mais pas forcément agressive à la J.J. Burnel, non le jeu de Martin Glover (alias Youth) est souple, presque élastique !
3. Une guitare tronçonneuse, sale et acérée.
4. Des claviers éparses au climat glacial avec une sonorité industrielle par moments.
5. Un chant plus déclamé que réellement chanté dans lequel on ressent de la colère mais ce serait une colère sourde et froide comme la musique du groupe en fait.
Oui, KILLING JOKE est bien la bande son de l'apocalypse.
Même sur l'instrumental "Bloodsport" avec son côté dansant, la sensation reste menaçante, c'est presque du disco-metal-robotique... du disco-mutant en somme !
Pour son 1er album, KILLING JOKE a fait très fort. non seulement ils ont amené un son inédit (copié maintes fois par la suite) mais en plus toutes leurs compos font mouche (y compris l'excellent single "Change", inclus en bonus sur le 2005 Remaster).

Le 22 Janvier 2018 par BAKER

Ah j'ignorais, merci beaucoup pour cette précision ! A l'époque de la chronique, je n'étais pas arrivé à trouver une version "complète", mais uniquement une version simple + inédit studio, et ce qui m'inquiète, c'est que quelques bonnes années plus tard, je n'arrive PLUS à trouver cette version simple !!!

Donc ça confirme mon sentiment sur ce DVD : il est bien, mais son pendant vinyllique est plus indispensable :)

Le 22 Janvier 2018 par BRUNO

Existe aussi en double CD et 18 titres.

Le 22 Janvier 2018 par SAPERLIPOPETTE!!!

Fallait étre sacrément armé et blindé de la téte aux pieds pour assister à un concert de MOTORHAED,parce que ces gars là vous foudroyaient de décibels non stop pendant 1h30 et ceux qui n'étaient pas assez costauds restaient sur le carreaux et martyrisés à vie.

Une furie totale qui retrace parfaitement ce qu'était MOTORHEAD et fera de ce live un album mythique,juste derriére "If you wan't blood...you've got it" de AC/DC.

Le 22 Janvier 2018 par BALDRICK

SATCH a corrigé les défauts du précédent en cessant de chanter et en sortant un album bien plus court (sans perdre en variété pour autant). L'ensemble s'écoute très agréablement, mais l'effet de surprise ne joue plus. Et malheureusement, bien que les titres soient plus riches qu'il n'y paraît, l'ensemble m'a toujours donné une impression de trop grande facilité dans la composition (cf "Summer Song", LE titre idéal pour accompagner une rétrospective du Paris-Dakar).

Attention, le niveau du disque est clairement au-dessus de ce que proposaient la plupart des concurrents de SATRIANI (en particulier les poulains de Mike Varney). Mais on sent son auteur tiraillé entre l'obligation de sortir un disque sans grande prise de risque et la volonté d'entrer de plein pied dans les 90's. Le succès sera néanmoins au rendez-vous : The Extremist a quand même réussi à devenir disque d'or en France (dixit Hard Rock Mag) !

Le 22 Janvier 2018 par BAAZBAAZ

J'ai une relation en dents de scie avec KING GIZZARD. Je déteste sa lourdeur psyché mais j'ai adoré son incursion folk déglinguée de "Paper Maché...".

Ce "Flying Microtonal Banana" est assez agréable car il reste sur un format mélodique. Mais ce que c'est long et répétitif ! Dommage que ce groupe ne se décide pas à faire de vraies chansons, à structurer, à couper... Il pourrait être tellement plus efficace.

Je ne peux m'empêcher de penser que si ces gens-là arrêtaient un peu le délire et prenaient le temps de construire un vrai disque au lieu de s'éparpiller, ils sortiraient des choses absolument essentielles. Je ne pense pas que ce soit le cas pour le moment.

Le 22 Janvier 2018 par AZER

Remercions dans un premier temps Annie Clarke pour cette magnifique pochette, l'une des plus somptueuses qu'il me fut donné de contempler.

Une déception n'arrivant jamais sans l'autre, l'écoute de cet album se révéla fort décevante. St. Vincent délaisse progressivement ses guitares grasses pour un ensemble de synthétiseurs clinquants assortis d'une demi douzaine de boîtes à rythmes, le tout accompagné par une ribambelle d'effets électroniques. Le ton est résolument moderne et dansant, tout en se voulant plus hargneux et agressif qu'à l'accoutumée. La voix d'Annie Clarke (toujours aussi impressionnante de justesse et de maîtrise, cela n'a fort heureusement pas changé) est par ailleurs à de multiples reprises retouchée et agrémentée de divers filtres, artifices dont la pertinence n'est pas toujours facile à relever.

Le morceau d'ouverture, "Hang On Me", donne le ton; cet album sera résolument électropop ou ne sera pas. Le morceau est néanmoins doté d'une mélodie agréable et plutôt bien exploitée, ce qui n'est certainement pas le cas de "Pills", sorte de succédané de single "Top40- ready" au refrain atroce et aux effets grossiers. "Sugarboy" ne fait guère mieux; aller simple vers la corbeille.

MASSEDUCTION enchaîne un ruban de chansons dansantes et bruyantes, qui séduisent immédiatement une oreille distraite sans pour autant laisser autre chose qu'une impression très vague, sans réelle saveur. Surnagent le titre éponyme, dont la performance vocale d'Annie Clarke rattrape les choix de production discutables, ou Los Ageless, sauvé par son refrain. Les ballades, bien que potables, sont tout à fait hors de propos dans un album aux allures grandiloquentes et technoides.

Un bilan fort mitigé.

2,5/5

Le 21 Janvier 2018 par LAHBARI

Un beau lieu chez des amoureux de l'art !
On se sent perdu, mais la Salle d'Orange Amer vous rattrape!
Les Sun Sha, de la création, des envolées, du beau !

Le 21 Janvier 2018 par FRED

Album mythique.
What else ?

Le 21 Janvier 2018 par ARTHOFZAFT

Qu'est ce que je penserais de cet album si je le découvrais aujourd'hui? Question à la con, j'admets. Alors je pose la question miroir : si je ne l'avais pas écouté quand il est sorti, à 13 ans, qu'est ce que j'en penserais aujourd'hui? Ben déjà, pour commencer c'est tout pareil... Shadows of the night c'était une chanson chiante en 1982, et elle l'est toujours, 36 ans après. On dirait Bonnie Tyler. C'est mauvais. Commencer un disque avec ça c'est pas bon signe... Pas comme Looking for a Stranger, qui me fait toujours sautiller... sauf qu'après m'être fait largué plein de fois, et avec des bases d'anglais, je sautille en grimaçant quand je sautillais tout sourire avant. Mais l'important c'est de sautiller non? Pis vient Anxiety. Alors là je me dis qu'à 13 ans j'avais tout compris à mes goûts. J'allais aimer la Pop synthétique et les mélodies faciles à écouter... la musique de danse rapide. C'est comme une sucette après six bières. Un Kiff. Get Nervous. Objectivité nostalgique égal néant. Je sais toujours pas si c'est une bonne chanson ou si je retombe en enfance. Pas grave, le plaisir est là. La suivante je la trouvais chiante forcément, j'étais pas concerné. Maintenant elle me touche davantage, mais musicalement je hausse les épaules et j'attends la suite. The Victim elle s'appelle. Pas mal mais déjà en 1982 je préférais "I'm your Victim" de Girlschool. J'avais des tendances Heavy Metal, j'avoue. Bon, elle est quand même bien cette chanson, surtout la fin qui dure, qui dure et qui dure encore sans faire chier. Un peu comme Bomber de Motôrhead en (beaucoup) plus doux. La suivante c'est pas trop mon truc, elle a rien qui accroche un gosse ni un adulte. Remplissage. Commencer la face B avec cette daube c'est frustrant. Bon, la suite de la B-Side c'est pas mieux. Quand même on peut accuser l'époque, mais ne rien faire pour s'en démarquer c'est un crime. Les années 80, surtout de 82 à 87, ça pourrait être une excuse, mais avec un brin de vigilence ils auraient pu éviter le mauvais goût eux-tous non? Cette face B est un naufrage. Bilan : tout pareil vieux! à 13 ans je n'écoutais que Looking for A Strager et Anxiety. Un foutu bon single que ça aurait fait. J'ai perdu des cheveux, mais en-dessous je suis resté le même? Euuh je suis pas certain que ça soit une qualité. Yesssss???

Le 21 Janvier 2018 par JOE THE ALIEN

Enfin une chronique sur FP de ce disque majeur dans l’histoire de la musique. En espérant que celles sur les autres chefs-d’oeuvre du Maître suivront (sur NIME, plus rien depuis plus de 10 ans, alors que la créativité du plus grand guitariste que la Terre ait jamais porté reste intacte plus de 30 ans après ses débuts - n’en déplaise aux pisse-froid restés coincés dans la nostalgie des 80’s).

Satriani : la synthèse parfaite de la virtuosité, de l’inventivité et de la mélodie accessible à tous. Bref, le Génie.

Le 20 Janvier 2018 par FINISHERFRANKY

Voilà j'y suis. J'y suis à cette période de ma vie que je redoutais . Celle où les idoles de ma jeunesse passeraient l'arme à gauche. Quand Fast Eddie est parti j'ai simplement baissé les paupières pour accuser le coup. Je vais attendre de récupérer avant de réécouter un bon Motorhead mais je sais que ce sera par cet album. Et je passerai outre les acouphènes que des décennies de rock m'ont laissé pour pousser religieusement le volume. Mais si c'est comme pour Bowie, la convalescence va être longue...Je n'arrive toujours pas a réécouter un album.

Le 19 Janvier 2018 par SAPERLIPOPETTE!!!

C'est grâce à AC/DC que je suis entré dans le monde sombre et fantastique du hard rock puis du heavy metal. Ma première grande émotion musicale fut avec "For those about to rock"( mon premier skeud, j'avais 12 ans).
Pas leur meilleur certes, mais que de bons souvenirs pour moi. C'est donc logiquement que je me suis intéressé à l'ère pré Brian Johnson, c'est- à-dire la période Bon Scott, la meilleure des kangourous électriques.

Et cet "High voltage" fait partie de mes préférés du combo. Brut, incisif, bluesy (toujours... c'est aussi leur marque de fabrique), charnel et terriblement bien foutu. Que du bon. Et Bon Scott, mon dieu, ce mec est la définition même du Rock n' roll. Un bad boy tendre en quelque sorte, qui a brûlé la chandelle par les deux bouts et qui aimait la vie, les femmes, l'alcool et le rock n' roll plus que tout.
D'une sincérité inébranlable, avec son sourire malicieux annonçant une blague bien graveleuse. Il est resté un enfant, mais un enfant turbulent, se souciant peu des codes et de la morale. Un bon pote en quelque sorte.

Je ne vais pas en ajouter d'avantage, sinon j'en ai pour des plombes.

J'ai juste envie de finir par: MERCI les mecs.

Le 19 Janvier 2018 par SAPERLIPOPETTE!!!

Je suis du même avis que CLANSMAN : cet album, c'est la NWOBHM la plus brute marinée à la sauce Thrash. Ils vont tellement droit à l'essentiel qu'on en regretterait presque cette période insouciante et spontanée.

Bon bien sûr,on peut toujours trouver à redire. Par exemple, les solis de la paire Henneman/King m'agacent, je les trouve rébarbatifs. Ils n'apportent rien de vraiment constructifs aux morceaux.

Malgré cela, ça reste la période la plus intéressante jusqu'à "Reign in blood" (quoique... ce dernier devient vite saoulant). Même si je n'ai pas vraiment approfondi la suite de leur carrière, le groupe me gave un peu.

Bon pour la note, un bon 3...ou un petit 4, c'est selon. Quelle importance de toute façon !

Le 19 Janvier 2018 par ED VAN PETRUCCI

Belle chronique pour cet album jalon dans l'histoire de la guitare. Quatre ans après le premier album d'Ingwie Malmsteen , Joe Satriani dépose à son tour son empreinte avec un jeu légèrement moins virtuose que le suédois volant, mais plus diversifié et surtout avec des compositions plus accessibles au grand public, ceci du à un enrichissement mélodique inégalé dans le genre à l'époque.
Pour approfondir Satriani n'est effectivement pas un adepte du sweeping, ni du fast picking d'ailleurs. Son jeu repose exclusivement sur le legato et le tapping (surtout au médiator).

Le 19 Janvier 2018 par MAGNU

Le meilleur live de Motörhead et un des meilleurs live de tout les temps