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Phil COLLINS
OTHER SIDES


Le 13 Juin 2019 par NONO


Que des gens n'aient pas supporté la pop de Phil Collins dans les années 80 ça peut se comprendre, bien que moi j'aimais bien (y compris le Genesis version "80").
En revanche, du Phil Collins 30 ans plus tard, re-réchauffant la soupe déjà réchauffée pour remettre le couvert et "essayer" de se replonger dans la nostalgie.... faut pas charrier, et là franchement j'ai du mal.





Phil COLLINS
OTHER SIDES


Le 13 Juin 2019 par RICHARD

L’intérêt de ceci ?
Espérer que Patrick Bateman déclame de nouveau tout son amour pour Phil Collins.





Elton JOHN
ROCKETMAN (MUSIC FROM THE MOTION PICTURE)


Le 13 Juin 2019 par MARCO STIVELL

Nono, complètement d'accord avec toi !
Le problème est qu'il y a deux manières de revenir sur la carrière d'un artiste en audio-visuel : la rétrospective d'un côté, qui balaie l'ensemble de l'oeuvre, et de l'autre, le biopic façon Bohemian Rhapsody ou Rocketman, qui se concentre plus sur les aspects extra-musicaux de la vie/carrière de l'artiste. Et ce sont ces derniers qui plaisent au grand public.
La thématique de l'enfance, le rapport avec les parents, l'amitié, l'homosexualité, les dépendances et excès sont des thèmes "forts", "universels", et on accompagne le tout avec des chansons que tout le monde connaît (avec une ou deux raretés, histoire de). Le public de masse n'a pas besoin de plus.
En tant que fans, nous aimons les rétrospectives, mais du coup, le fait de vouloir entendre parler de chansons méconnues ou d'albums comme ceux que tu cites est sujet à frustration devant ce type d'oeuvre.

Celle-ci n'en est pas moins très bonne pour ce qu'elle est, à mon sens. Mais devant une durée limitée et face à une telle carrière, il a fallu faire des choix. "Song for Guy" par exemple, est totalement absent et cela m'a surpris. En revanche, on n'a ni "Candle in the Wind", ni de mention de Lady D !
À partir d'un certain moment, le matériau musical devient limité, la création musicale s'estompe. De mémoire, le "sol" de "Your Song" est le seul terme de composition employé pour tout le film.
Il serait intéressant d'avoir une vraie rétrospective, si possible commentée par Elton lui-même... Un jour peut-être ! Mais pas avec le même succès, très certainement.





Phil COLLINS
OTHER SIDES


Le 13 Juin 2019 par MARCO STIVELL

Le Merle Moqueur = Très heureux de voir que les personnes qui postent les avis les mieux écrits et les plus subtils savent également se contenter du strict minimum ! Pour moi qui en manque pas mal, de finesse, je n'en suis pas capable...
Et connaissant vos goûts, j'aurais été surpris si vous aviez dit apprécier !

Gurtu = Le même intérêt que tout album fait de raretés et chansons méconnues du grand public, surtout de la part d'un "grand"... :) Il est vrai que ceux qui collectionnaient les singles n'en ont pas forcément besoin (en théorie, car certains étaient enthousiastes à l'origine...).





Phil COLLINS
OTHER SIDES


Le 13 Juin 2019 par LE MERLE MOQUEUR


Variété... tout est dit...





CHIC
RISQUE


Le 12 Juin 2019 par LEO

Au fait, pour ce qui concerne les pochettes Risqué de CHIC et In Through The Out Door de Led Zep, leur seul point en commun serait pour moi leur tonalité sépia. Sinon, celle de CHIC est plus axée sur les années 30 et celle de Led Zep plus proche des années 40 à 50 dans le style des films noir de ces années là. Malgré son côté macabre (Bernard Edwards affalé contre un piano avec un poignard dans le dos), l'artwork de CHIC n'est pas dénué d'humour (on retrouve également deux autres clichés, l'un au dos de la couverture et l'autre sur ce qui servait de pochette de protection pour y glisser le 33t et sur laquelle figurait également les textes au verso).





CHIC
RISQUE


Le 12 Juin 2019 par LEO


L'album C'est Chic a bien installé CHIC dans le paysage musical de cette fin des années 70.
Fin '78, Bernard Edwards et Nile Rodgers ont produit le troisième album du quatuor Sister Sledge (paru en Janvier '79), qui a engendré quatre hits: “He's The Greatest Dancer”, le morceau-titre "We Are Family", "Lost In Music" et "Got To Love Somebody".
Pour leur propre compte ou par artistes/interprètes interposés, le son CHIC est à présent bien implanté et ce n'est qu'un début !
En plein coeur de l'été 1979 paraît Risqué, qui va définitivement consacrer le groupe comme une valeur sûre et inspirer une ribambelle de groupes d'horizons divers.
Le mega-hit "Good Times" ouvre les hosilités durant huit minutes (le single se verra réduit à trois minutes et des poussières). au même titre que "Le Freak", "Good Times" est devenu instantanément un 'classic' de la dance music, dont la ligne de basse sera samplée ou copiée à de multiples reprises. malgré l'excellence de la compo et à l'instar de "Le Freak", j'ai à présent un peu de mal à l'écouter tant elle a été diffusée et transformée à toutes les sauces (dont ce 'fameux' "Rapper's Delight" des Sugarmachinchose que je n'ai jamais pu encadrer). la version album d'une durée conséquente m'est d'autant plus dure à avaler.
La longueur et la structure linéaire des morceaux, c'est d'ailleurs ce qui ressort à l'écoute de cette première face (qui en 33t, comprenait les trois premiers titres).
En effet, "A Warm Summer Night" se traîne sur plus de six minutes, d'autant plus que sa construction est monolithique et invariable mais c'est sans doute aussi celà qui fait tout le charme et le magnétisme de cette sublime ballade langoureuse et hypnotique.
"My Feet Keep Dancing" (troisième morceau de Risqué à paraître en single et chanté en duo par Bernard Edwards et Luci Martin) a la particularité d'avoir une partie de basse véloce et bien soutenue tout du long alors qu'en son refrain on y entend des accords de piano électrique au son cristallin ainsi que des violons tout en staccato qui créent une sorte de tension, puis en milieu de morceau des danseurs font des claquettes. là aussi, sa durée de six minutes et demie (raccourcie à quatre en 45t) peut sembler quelque peu superflue, toutefois comme dans nombre de moments fleuves chez CHIC, cette répétition ne dessert aucunement la compo mais lui donne au contraire tout son sel !
Par contraste, la seconde partie de l'album (soit la seconde face du vinyl) contient des morceaux d'une durée bien plus courte.
La section de cordes sur le refrain de "My Forbidden Lover" (deuxième single extrait de l'album) donne presque quelque chose de tragique au morceau alors que les couplets semblent plus détendus par comparaison. en ce sens, je suis d'accord avec DERWIJES sur le fait que la musique et les textes de CHIC sont souvent faussement perçu comme joyeux et insouciants alors qu'ils sont souvent empli de désillusion concernant les relations hommes/femmes. celà dit, contrairement au chroniqueur je n'y trouve aucun point commun avec les Talking Heads et Public Image LTD. !!!
"Can't Stand To Love You" est un peu plus relâché avec son ambiance rythm'n blues décontractée.
La ballade douce-amère "Will You Cry (When You Hear This Song)" est par contre plus mélancolique.
"What About Me?" aurait presque pu figurer sur l'un des deux albums de Sister Sledge produit par Rodgers et Edwards tant il s'en approche dans ses arrangements et sa mélodie vocale. quand au texte plein de rancœur, c'est du CHIC tout crâché ! "When we first met, I thought we were gonna be the greatest love of all time, Oh what a fantasy ! I put faith in you and you shattered my dreams completely, Used me, abused me, Knocked down and walked all over me". c'est sur ce triste constat (mais admirablement troussé musicalement) que ce referme ce troisième 33t de CHIC.
Evidemment, après avoir marqué les esprits avec les trois premiers albums du groupe, la suite ne pouvait que passer inaperçue auprès du grand public (et de la presse musicale) même si les futurs productions annexes de la CHIC Organization (pour Diana Ross, Sister Sledge, Sheila.....) seront couronnées de succès.
Bien dommage car les deux 33t de CHIC qui suivront en 80 et 81 seront tout aussi intéressants à plus d'un titre !





Phil COLLINS
OTHER SIDES


Le 12 Juin 2019 par GURTU


J'aime bien Phil.

Mais quel intérêt cet album?

Allez 2 parce que c'est lui !





FLEETWOOD MAC
TANGO IN THE NIGHT


Le 11 Juin 2019 par METALPROG84


Malgré toutes les bonnes critiques, "Tango in the night" reste assez loin de "Rumours" ou "Tusk" (je lui préfère même "Behind the mask"). Le son est vraiment trop typé années 80 et quelques titres sont très moyens dans la 2ème partie de l'album ("Welcome to the room...Sara" ou "You and I, part II" par exemple). Un album sympa à écouter quand même dans l'ensemble.





Mike OLDFIELD
TUBULAR BELLS


Le 10 Juin 2019 par KAELKA


Un petit correctif à la phrase "repéré par Richard Branson" : Simon Draper, cousin et associé de Branson depuis ses débuts, a raconté que c'était lui qui avait reçu et écouté la maquette d'Oldfield et avait ensuite décidé de le faire venir au Manor. De l'aveu de Draper, Branson était un amateur de chansons de variétés et ne connaissait pas grand-chose à la musique d'avant-garde (ou "progressive") comme celle de Gong par exemple, dont le "Flying Teapot" sortira le même jour que "Tubular Bells".
Par ailleurs, pour comprendre cette oeuvre passablement déjantée et mégalomane (que j'aime à qualifier de "séance d'intense onanisme musical"), il convient de rappeler que Oldfield était presque en permanence sous l'influence de substances illicites (en particulier le LSD) à cette période, ce qui venait s'ajouter à l'état maniaco-dépressif qui était le sien (et dont il parut réussir à se sortir au début des années 80, au prix, diront certains, de sa créativité musicale).
"Tubular Bells", quels qu'en soit les défauts, reste un monument : comme "La Joconde" ou "Le Penseur", il est vain de vouloir en faire une critique objective. un monument, ça se visite, c'est tout.





Frank ZAPPA
THE GRAND WAZOO


Le 10 Juin 2019 par LE MERLE MOQUEUR


Comme je le disais un disque culte... mais le free jazz... écoutez du Cecil Taylor ou des "germains" comme Peter Brötzmann ou Alexander von Schlippenbach... c'est vraiment autre chose.
Un label qui vaut le détour Free Music Production... les amoureux du Free européen se lèchent déjà les babines.
PS : J'oubliais pour ce "Grand Wazoo" soyons au Zénith.





Frank ZAPPA
THE GRAND WAZOO


Le 10 Juin 2019 par LE MERLE MOQUEUR

Un des meilleurs de la planète Zappaéenne avec quelques autres bien sûr...
C'est avec cet album que j'ai découvert que Zappa était aussi un musicien savant... n'est déplaise à certains.





Bruce SPRINGSTEEN
TUNNEL OF LOVE


Le 10 Juin 2019 par CARLO


Bruce est d'humeur romantique. Ca donne quelques réussites mais aussi quelques mièvreries. "Ain't Got You" est une introduction absolument imparable. "Tougher Than the Rest", "Spare Parts" et "Brillant Disguise" me plaisent aussi. Mais à côté de ça, on a souvent l'impression d'être dans une comédie romantique des années 80. Sauf que sans images, ça tombe à plat et ça semble long. On a même droit à la scène de mariage sous l’œil ému du papa. Ceci étant, il faut lui reconnaître le talent pour écrire des histoires et pour parler des sentiments. Par contre, je ne me ferai jamais à la voix plaintive qu'il peut parfois prendre comme sur "Cautious Man".





ANGRA
OMNI


Le 10 Juin 2019 par HEART OF STEELE

Une des plus grande voix du Heavy Metal vient de s'éteindre beaucoup trop tôt. A 47 ans, celui qui a lancé Angra sur la voie du succés vient de nous tirer sa révérence. RIP André, tu nous manqueras et tu manqueras à beaucoup d'entre nous. Ta voix a marqué une génération de fans, et ça c'est magique.





SQUARE ENIX
FINAL FANTASY X OST


Le 10 Juin 2019 par AZER

Première fois que Nobuo UEMATSU n'est plus seul aux commandes, et cela s'entend. Les compositions de Masashi HAMAUZU ne sont absolument pas au niveau de ce qu'il proposera sur les opus suivants et Nobuo lui-même ne compose qu'une poignée de titres mémorables, dispersés au milieu de dizaines de titres composés en tout et pour tout de trois accords s'étirant sur 4 pénibles minutes.

On retiendra l'énergique Otherworld, complètement incongru dans le paysage ambiant/orchestral cheap proposé ici, le thème de Zanarkand, simple et élégant, Besaid Island, l'un des rares titres "ambient" qui proposent un minimum de progressio, et à l'extrême rigueur le premier thème de Seymour, qui a le mérite d'être plus sombre que le reste.

Du reste, on ne peut s'empêcher de ronger son frein face à la pauvreté des compositions, qui se contentent la plupart du temps d'emplir l'espace sonore à l'aide d'une boucle mélodique le plus souvent peu inspirée. Ecouter ces morceaux n'a guère de sens sans les images du jeu, tant il est clair et apparent que leur principale fonction est d'en habiller du mieux possible les séquences de gameplay plutôt que de séduire par la richesse de ses compositions.





Richard WAHNFRIED
TONWELLE


Le 10 Juin 2019 par JIPE CHERBOURG


J’ai acheté cet album en version double : un disque enregistré en version 33T et un autre en version 45T. Très étonnant : c’est la même chose et ce n’est pas la même chose. Ainsi, Schwung passe de 17´00 à près de 23´00 et Drunk de 18´33 à 24´27. L’approche sensorielle est totalement différente et l'expérience vaut le coup. Honnêtement, j’adore écouter les deux versions... un des achats que je regrette le moins dans toute ma discographie.





CHIC
C'EST CHIC


Le 09 Juin 2019 par LEO


Si le premier album de CHIC a bien planté le décor et imposé le style du groupe, il restait encore quelques petites imperfections à gommer. chose faite avec C'est Chic.
Le 33t démarre au quart de tour avec le répétitif et funky "Chic Cheer" au texte succinct mais approprié. un de mes morceaux favoris de la formation.
Que dire sur l'archi-connu "Le Freak" ? compo toujours aussi efficace 40 ans après sa sortie mais que j'ai un peu trop entendu, ce qui n'enlève rien à l'excellence de ce titre imparable !
"Savoir Faire" m'évoque vaguement Steely Dan avec ses arrangements luxuriants et le jeu jazzy de Nile Rodgers. un instrumental cool et classe qui porte bien son nom !
J'aime beaucoup également les deux titres chantés par Bernard Edwards, "Happy Man" avec sa belle ligne de basse et sa nappe de synthé qui crée une espèce de tension sous-jacente et le plus relax (mais néanmoins entraînant) "Sometimes You Win" dans lequel le bassiste partage le chant avec Alfa Anderson.
"I Want Your Love" (deuxième single extrait de l'album) mise tout autant sur sa rythmique groovy que sur l'atmosphère un peu désabusée du texte et des quatre notes jouées par les tubular bells tout autant que par les cordes langoureuses. la durée excessive du titre (presque sept minutes au compteur) pourrait paraître un brin redondante mais c'est justement cette répétition qui crée ce climat particulier. il en va de même pour la superbe ballade mélancolique "At Last I Am Free", qui plafonne à plus de sept minutes et dont le refrain répété à l'infini résonne tel un mantra. ce morceau aura droit à une très belle reprise par Robert Wyatt en 1980.
L'instrumental "(Funny) Bone" est par contre la pièce la moins marquante du lot et seule la section de cordes donne un peu d'intérêt à ce titre plus banal mais cependant très agréable à l'écoute et qui a le mérite d'être placé en toute fin d'album afin de ne pas interrompre ce flot continu de compos irréprochables. avec ses bruitages de rires et de conversations en arrière-plan il sonne un peu comme une fin de fête ou les invités s'apprêtent à partir. le morceau se conclut par un speech en forme de boutade: 'Just one more thing ! Remember the whole world's a circus, Don't you be the clown'.
Pour un néophyte souhaitant découvrir l'univers de CHIC, ce cru 1978 est sans doute l'album idéal pour débuter car nombre de joyaux y figurent. quoiqu'il en soit, la formation ne s'est pas arrêté en si bon chemin et a fait paraître à sa suite, d'autres albums tout aussi intéressants même si sans doute pas aussi iconiques que celui-ci (quoique Risqué le talonne de près).
À titre personnel, C'est Chic me rappelle le Noël '78 et la soirée du nouvel an '79 ou cet album tournait inlassablement sur la platine familiale. souvenirs, souvenirs...... !





SQUARE ENIX
FINAL FANTASY X OST


Le 09 Juin 2019 par SEIJITSU


Oula ! Je suis tellement en désaccord avec la chronique de mon collègue Chisptouille que je me demande si on a bien écouté la même musique ! Je suis assez surpris qu'on parle autant d'ambient au sujet de cette OST. Si la musique est volontiers plus atmosphérique que sur les OST précédentes du sieur Nobuo et qu'il touche bien à ce style sur certaines pistes (telles que "Ominous" ou "Underwater Ruins"), résumer ce quadruple album à ce seul genre me semble très réducteur. Surtout qu'il s'agit de la BO la plus diversifiée de la saga.
A mon avis, c'est en partie grâce à cela qu'il s'agit de la meilleure de la série des Final Fantasy. En plus, on peut y ajouter un paquet de thèmes mémorables (mais oui, il y a bien des mélodies ici ! Comme sur la majorité des thèmes des personnages, la musique du Blitz ball et même celle du menu principal !). Si Chipstouille a raison de souligner des répétitions ici et là, elles ne sont pas forcément plus nombreuses que sur les anciens travaux du maestro Nobuo (ses morceaux ont un aspect cyclique qui peut agacer sur les titres les moins bons). Il est dommage de ne pas mentionner "Challenge" qui est un des morceaux les plus puissants de la musique de jeu vidéo (musicalement, c'est une sorte de version metal de VANGELIS).

Tout n'est évidemment pas parfait car les OST ont toujours leur lot de pistes de remplissage qui n'ont de sens qu'une fois entendues dans le contexte du jeu. Mais celle de Final Fantasy X en contient peu, ce qui en fait une des 3 meilleurs OST de jeu vidéo que je connaisse (les deux autres étant celle de Resident Evil 2 et Silent Hill 3). Par extension, il s'agit donc du sommet de Nobuo Uematsu (même s'il ne fut pas seul pour la confectionner, ce qui explique sa grande variété) et comme le hasard fait bien les choses, cette merveilleuse BO sert d'écrin sonore au meilleur épisode de la saga. C'est pas merveilleux ça ?


Par Forces Parallèles

Quand je parle ici de répétition, ce n'est pas au sein d'une même piste (il n'y a en effet pas de différence remarquable par rapport à tout ce qu'à fait UEMATSU par ailleurs), mais concernant les reprises d'un même thème.

Il y a au moins 11 versions de Song of Prayer et un nombre incalculable de reprises de Suteki Da Ne ou du thème de Seymour. A moins d'avoir une mémoire de poisson rouge, c'est difficile à ignorer.

C'est très hollywoodien dans l'esprit, et personnellement ça me gonfle. J'avais déjà mis un carton rouge sur l'OST de FFIX pour 4/5 reprises de ce type. FFX explose les compteurs, et à part Koji KONDO sur Super Mario World, je n'ai pas vraiment d'exemple pire en la matière que FFX.

Chipstouille





LUMEN DRONES
LUMEN DRONES


Le 09 Juin 2019 par MR LARSEN


Quel beau voyage musical au coeur du froid et des grands espaces ! Ce mélange de folk, post-rock et noise est lancinant à souhait, souvent beau à pleurer et toujours efficace. Et la pochette, énigmatique, est des plus envoûtantes. A écouter impérativement !





Elton JOHN
ROCKETMAN (MUSIC FROM THE MOTION PICTURE)


Le 08 Juin 2019 par NONO

@Marco Stivell : Je n'ai pas vu le film, que je me dépêcherai de voir, étant grand fan de Sir Elton. Mais ce que je veux souligner (et c'est ce que tu mentionnes dans la chronique), c'est le défaut qu'a cette vision "cliché", toujours la même, de la carrière d'Elton John : on parle souvent que des mêmes albums (le premier album, ainsi que : Yellow Brick Road, éventuellement Sleeping with the past....) que des mêmes titres (souvent ceux du début des années 70 : Your Song, Crocodile rock, Bennie & the Jets, Sorry seems to be the hardest word...), que des mêmes moments (surtout sa proximité avec la famille royale, la mort de Lady Diana, etc.)...
Alors qu'il y a une foultitude d'albums inconnus ou oubliés (à quand une re-mise en valeur de toute la période 1977-1982, soit entre "Captain Fantastic" et "Jump Up" ?) A en croire les média on dirait qu'Elton a directement sauté de 1975 à 1990... en mentionnant seulement (parfois) l'album "Too low for zero", qui est indéniablement une grande réussite.
Quand remettra-t-on en valeur ses albums des années 80, comme 21 at 33, The Fox, Ice on Fire, Reg strikes back ?
Ce sont ces moments précis, un peu cachés, un peu oubliés, qu'il faut absolument réhabiliter concernant notre Sir Elton !







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